La meilleure amie de ma mère et moi 2
Récit érotique écrit par Jerinak [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La meilleure amie de ma mère et moi 2
La meilleure amie de ma mère et moi 2
Après avoir baisé la meilleure amie de ma mère sur sa table de terrasse, je la suis donc à l’intérieur. Elle me guide jusqu’à sa chambre. Elle m’entraine sur son lit. Nos corps nus sont de nouveau en contact. Nous nous embrassons tendrement. Je suis allongé sur elle. Je quitte ses lèvres et j’embrasse ses joues, puis son cou. Je vais ensuite sur ses seins, je m’y attarde un peu. Ensuite, je descends sur son ventre avant de finalement planter ma langue dans sa chatte. Elle recommence à gémir bruyamment. Sa chatte dégouline toujours. En enfonçant ma langue en elle, je récupère du sperme que j’ai laissé tout à l’heure.
Je l’embrasse alors et elle enfonce sa langue dans ma bouche pour récupérer un maximum de sperme et l’avaler. Une fois qu’elle n’a plus de sperme à boire, elle se penche un peu pour mettre sa tête devant ma bite. Elle la gobbe tout en me caressant les couilles. Elle ne suce pas mieux que tout à l’heure mais comme je suis déjà hyper excité, ce n’est pas grave. J’ai vraiment envie de la culbuter. Je suis prêt à la prendre sur son lit quand elle me dit :« - Pas sur mon lit s’il te plaît.
- Pourquoi ?
- Je m’y ennui depuis des années. Même quand mon mari me baisait, je m’ennuyai déjà. Je n’ai pas envie de me remettre dans les mêmes positions et de voir le même mur ou le même rideau.
- Ok. Alors mets-toi debout contre le mur. »
Elle se place alors contre le mur. Elle se cambre bien. Son cul est magnifiquement exposé. Je m’approche d’elle et le caresse un long moment. D’abord avec mes mains puis avec ma bite. Je frotte ma bite contre ce cul si généreux. Puis j’agrippe ses hanches et je m’enfonce dans sa chatte. Je la culbute doucement. J’embrasse son dos tout en la prenant. J’accélère ensuite la cadence. Je la démonte sans retenu. Elle s’appui de plus en plus contre le mur. Du coup, sa chatte est de plus en plus exposée à ma bite la pénètre de plus en plus violement. Je commence à lui mettre des fessées et elle semble vraiment apprécier si je me base sur les cris de bonheur qu’elle pousse. A force de voir son cul s’agiter juste au dessus de ma bite, je n’ai maintenant qu’une seule envie. J’ai cette envie depuis des années mais maintenant que je suis si près du but, je dois absolument l’enculer ! J’approche alors mon visage de sa tête et je lui glisse à l’oreille :« - J’ai envie de prendre ton cul !
- Je ne l’ai jamais fait avec mon mari.
- Mais là tu es avec ton amant qui a 22 ans de moins.
- Je t’avoue que j’ai envie d’essayer depuis des années. Alors vas y mais doucement.
Je la laisse en appui contre le mur. Je m’écarte à peine d’elle, juste ce qu’il faut pour poser mes lèvres sur son cou. Je fais glisser mes lèvres doucement contre son dos. Elle pousse des petits gémissements. Ses gémissements sont encore plus forts lorsque mes lèvres se posent sur son cul. Depuis le temps que j’en rêve, me voici en train de lécher son cul. J’agrippe ses fesses à pleines mains tout en les embrassant. Puis ma langue s’enfonce délicatement entre ses deux globes généreux et fermes. C’est si bon ! Stéphanie aussi trouve cela très bon. Ma langue titille maintenant son petit trou. Avec ma main, je caresse aussi sa chatte et son clito. Elle n’arrive plus à tenir debout. Elle se laisse glisser le long du mur pour se retrouver à quatre pattes devant moi.
Je me place derrière elle et je reprends ma dégustation de cul. De part notre nouvelle position, j’ai un meilleur accès à son cul. J’enfonce délicatement ma langue dans son anus. Cela lui fait beaucoup d’effet. Elle réagi bien et je décide donc d’insérer un premier doigt. Son cul continue de bien s’ouvrir. Après plusieurs minutes, j’enfonce un second doigt. Elle réagi toujours aussi bien. Son petit trou est maintenant bien ouvert. Stéphanie semble être faite pour ça. Après tout la nature est bien faite donc il est logique qu’un si beau cul qui fait autant envie soit fait pour se faire défoncer. Cela fait de longs moments que je lui bouffe le cul et elle semble prête à passer à l’étape supérieure. Et il est grand temps pour moi aussi car ma bite est bien dure et elle me démange.
Je me mets derrière Stéphanie. Nous sommes en levrette, ma bite est juste devant son cul. Je tiens ma bite d’une main. De l’autre, j’agrippe ses hanches. Je m’enfonce lentement en elle de quelques centimètres. Elle pousse un cri très puissant. Il est si fort que je ne sais pas s’il s’agit de douleur ou de bonheur. Je ressors et me renfonce d’une traite là où je m’étais arrêté. Puis je m’enfonce de plus en plus mais très lentement. Elle gémit toujours très fort mais je peux voir son visage dans un miroir et je constate qu’elle prend son pied. J’en profite pour nous regarder dans ce miroir. Je suis vraiment excité de me voir enfoncé d’une dizaine de centimètres dans le superbe cul de la meilleure amie de ma mère. Je continu ma lente progression en elle. Finalement, l’intégralité de ma bite est dans son cul.
Je ressors et profite de la vue de sa rondelle grande ouverte. Elle n’avait jamais pris de bite dans le cul mais cette salope est vraiment faite pour ça. En un seul coup, mais toujours lentement, je m’enfonce entièrement en elle. Je continu mais longs va et vient dans son cul pendant près d’un quart d’heure. Son cul m’appartient et il s’est parfaitement adapté à ma bite. Stéphanie me demande alors de la, je cite, défoncer. Je prends donc ses hanches à deux mains et je commence à la pilonner sans aucune douceur. Je lui explose le cul à toute vitesse. Les gémissements très sonores de Stéphanie ont repris. Elle hurle comme une cochonne mais je vois qu’elle prend son pied à se faire défoncer le cul. Après plusieurs minutes d’une violente sodomie, Stéphanie atteint l’orgasme. Je l’imite quasiment dans la foulée en inondant son cul qui reçoit du sperme pour la première fois.
Stéphanie est épuisée par sa première sodomie, je l’aide à se hisser sur le lit. Puis je m’allonge à coté d’elle. Elle se blotti contre moi. Je la serre dans mes bras. Je sens son corps qui vibre encore de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je lui dis alors :« - Ca y est tu es une vraie femme !
- Merci c’était trop trop bon.
- C’est sur. Depuis le temps que je rêvais de te faire les fesses.
- J’ai vraiment adoré. Au début j’ai eu mal mais c’est vite passé. Tu as fait ça bien.
- Ton cul est tellement parfait c’est dur de se rater.
- Tu m’as fait découvrir plus de choses en quelques heures que mon mari depuis des années.
- Ah oui. Comme quoi ?
- Baiser hors du lit. La sodo, la pipe, l’éjaculation dans la bouche, le gout du sperme… - Tu ne regrettes pas d’avoir pris un amant alors ?
- Non. Et encore moins un jeune si endurant et vigoureux qui peut me prendre à volonté !
- Alors tu voudras que je te rebaise ?
- Oui s’il te plaît. Je veux vraiment que tu sois mon amant. Faudra être discret car je ne veux pas que tout le monde le sache mais j’ai vraiment envie que tu me baises souvent.
- Ok ça me va !
- J’aimerais tellement que tu restes dormir là avec moi. Mais ce n’est pas prudent à cause des voisins, s’ils voient ta voiture demain matin, ils vont se demander qui a dormi ici.
- C’est sur. Mais j’espère qu’ils sont sourds parce qu’avec le bruit que tu as fait !
- Je ne suis pas la seule femme du quartier ! Et puis ce n’est pas mon genre d’avoir un amant !
- Ils croiront que tu as maté un porno !
- Au pire c’est mieux que de croire que j’ai un amant !
- Ils croiront la réalité sans y croire vraiment.
- Quoiqu’il en soit j’ai vraiment aimé les moments qu’on vient de passer. Je t’aime (elle m’embrasse).
- Bon je vais y aller avant que tes voisins n’aient des doutes.
- Atteint je te laisse mon numéro pour qu’on puisse se revoir très vite. C’est 06.XX.XX.XX.XX.
- Si tu veux je reviens demain soir.
- C’est risqué que tu reviennes deux fois de suite.
- Alors viens chez mes parents !
- Ok. Je viendrais à pied. Ce sera plus discret.
- Alors à demain ma belle. »
Je l’embrasse une dernière fois puis je me rhabille et je pars. J’ai déjà hâte d’être demain soir. Même si je sais qu’entre temps je vais sauter Laureen demain midi au boulot. Voila comment je suis devenu l’amant de la meilleure amie de ma mère et voici comment j’ai dépucelé son cul. Nous avons encore vécu de très bons moments que je pourrais vous raconter. D’ici là, vous pouvez me contacter par mail : Mcfps@hotmail.fr ou à rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.
Après avoir baisé la meilleure amie de ma mère sur sa table de terrasse, je la suis donc à l’intérieur. Elle me guide jusqu’à sa chambre. Elle m’entraine sur son lit. Nos corps nus sont de nouveau en contact. Nous nous embrassons tendrement. Je suis allongé sur elle. Je quitte ses lèvres et j’embrasse ses joues, puis son cou. Je vais ensuite sur ses seins, je m’y attarde un peu. Ensuite, je descends sur son ventre avant de finalement planter ma langue dans sa chatte. Elle recommence à gémir bruyamment. Sa chatte dégouline toujours. En enfonçant ma langue en elle, je récupère du sperme que j’ai laissé tout à l’heure.
Je l’embrasse alors et elle enfonce sa langue dans ma bouche pour récupérer un maximum de sperme et l’avaler. Une fois qu’elle n’a plus de sperme à boire, elle se penche un peu pour mettre sa tête devant ma bite. Elle la gobbe tout en me caressant les couilles. Elle ne suce pas mieux que tout à l’heure mais comme je suis déjà hyper excité, ce n’est pas grave. J’ai vraiment envie de la culbuter. Je suis prêt à la prendre sur son lit quand elle me dit :« - Pas sur mon lit s’il te plaît.
- Pourquoi ?
- Je m’y ennui depuis des années. Même quand mon mari me baisait, je m’ennuyai déjà. Je n’ai pas envie de me remettre dans les mêmes positions et de voir le même mur ou le même rideau.
- Ok. Alors mets-toi debout contre le mur. »
Elle se place alors contre le mur. Elle se cambre bien. Son cul est magnifiquement exposé. Je m’approche d’elle et le caresse un long moment. D’abord avec mes mains puis avec ma bite. Je frotte ma bite contre ce cul si généreux. Puis j’agrippe ses hanches et je m’enfonce dans sa chatte. Je la culbute doucement. J’embrasse son dos tout en la prenant. J’accélère ensuite la cadence. Je la démonte sans retenu. Elle s’appui de plus en plus contre le mur. Du coup, sa chatte est de plus en plus exposée à ma bite la pénètre de plus en plus violement. Je commence à lui mettre des fessées et elle semble vraiment apprécier si je me base sur les cris de bonheur qu’elle pousse. A force de voir son cul s’agiter juste au dessus de ma bite, je n’ai maintenant qu’une seule envie. J’ai cette envie depuis des années mais maintenant que je suis si près du but, je dois absolument l’enculer ! J’approche alors mon visage de sa tête et je lui glisse à l’oreille :« - J’ai envie de prendre ton cul !
- Je ne l’ai jamais fait avec mon mari.
- Mais là tu es avec ton amant qui a 22 ans de moins.
- Je t’avoue que j’ai envie d’essayer depuis des années. Alors vas y mais doucement.
Je la laisse en appui contre le mur. Je m’écarte à peine d’elle, juste ce qu’il faut pour poser mes lèvres sur son cou. Je fais glisser mes lèvres doucement contre son dos. Elle pousse des petits gémissements. Ses gémissements sont encore plus forts lorsque mes lèvres se posent sur son cul. Depuis le temps que j’en rêve, me voici en train de lécher son cul. J’agrippe ses fesses à pleines mains tout en les embrassant. Puis ma langue s’enfonce délicatement entre ses deux globes généreux et fermes. C’est si bon ! Stéphanie aussi trouve cela très bon. Ma langue titille maintenant son petit trou. Avec ma main, je caresse aussi sa chatte et son clito. Elle n’arrive plus à tenir debout. Elle se laisse glisser le long du mur pour se retrouver à quatre pattes devant moi.
Je me place derrière elle et je reprends ma dégustation de cul. De part notre nouvelle position, j’ai un meilleur accès à son cul. J’enfonce délicatement ma langue dans son anus. Cela lui fait beaucoup d’effet. Elle réagi bien et je décide donc d’insérer un premier doigt. Son cul continue de bien s’ouvrir. Après plusieurs minutes, j’enfonce un second doigt. Elle réagi toujours aussi bien. Son petit trou est maintenant bien ouvert. Stéphanie semble être faite pour ça. Après tout la nature est bien faite donc il est logique qu’un si beau cul qui fait autant envie soit fait pour se faire défoncer. Cela fait de longs moments que je lui bouffe le cul et elle semble prête à passer à l’étape supérieure. Et il est grand temps pour moi aussi car ma bite est bien dure et elle me démange.
Je me mets derrière Stéphanie. Nous sommes en levrette, ma bite est juste devant son cul. Je tiens ma bite d’une main. De l’autre, j’agrippe ses hanches. Je m’enfonce lentement en elle de quelques centimètres. Elle pousse un cri très puissant. Il est si fort que je ne sais pas s’il s’agit de douleur ou de bonheur. Je ressors et me renfonce d’une traite là où je m’étais arrêté. Puis je m’enfonce de plus en plus mais très lentement. Elle gémit toujours très fort mais je peux voir son visage dans un miroir et je constate qu’elle prend son pied. J’en profite pour nous regarder dans ce miroir. Je suis vraiment excité de me voir enfoncé d’une dizaine de centimètres dans le superbe cul de la meilleure amie de ma mère. Je continu ma lente progression en elle. Finalement, l’intégralité de ma bite est dans son cul.
Je ressors et profite de la vue de sa rondelle grande ouverte. Elle n’avait jamais pris de bite dans le cul mais cette salope est vraiment faite pour ça. En un seul coup, mais toujours lentement, je m’enfonce entièrement en elle. Je continu mais longs va et vient dans son cul pendant près d’un quart d’heure. Son cul m’appartient et il s’est parfaitement adapté à ma bite. Stéphanie me demande alors de la, je cite, défoncer. Je prends donc ses hanches à deux mains et je commence à la pilonner sans aucune douceur. Je lui explose le cul à toute vitesse. Les gémissements très sonores de Stéphanie ont repris. Elle hurle comme une cochonne mais je vois qu’elle prend son pied à se faire défoncer le cul. Après plusieurs minutes d’une violente sodomie, Stéphanie atteint l’orgasme. Je l’imite quasiment dans la foulée en inondant son cul qui reçoit du sperme pour la première fois.
Stéphanie est épuisée par sa première sodomie, je l’aide à se hisser sur le lit. Puis je m’allonge à coté d’elle. Elle se blotti contre moi. Je la serre dans mes bras. Je sens son corps qui vibre encore de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je lui dis alors :« - Ca y est tu es une vraie femme !
- Merci c’était trop trop bon.
- C’est sur. Depuis le temps que je rêvais de te faire les fesses.
- J’ai vraiment adoré. Au début j’ai eu mal mais c’est vite passé. Tu as fait ça bien.
- Ton cul est tellement parfait c’est dur de se rater.
- Tu m’as fait découvrir plus de choses en quelques heures que mon mari depuis des années.
- Ah oui. Comme quoi ?
- Baiser hors du lit. La sodo, la pipe, l’éjaculation dans la bouche, le gout du sperme… - Tu ne regrettes pas d’avoir pris un amant alors ?
- Non. Et encore moins un jeune si endurant et vigoureux qui peut me prendre à volonté !
- Alors tu voudras que je te rebaise ?
- Oui s’il te plaît. Je veux vraiment que tu sois mon amant. Faudra être discret car je ne veux pas que tout le monde le sache mais j’ai vraiment envie que tu me baises souvent.
- Ok ça me va !
- J’aimerais tellement que tu restes dormir là avec moi. Mais ce n’est pas prudent à cause des voisins, s’ils voient ta voiture demain matin, ils vont se demander qui a dormi ici.
- C’est sur. Mais j’espère qu’ils sont sourds parce qu’avec le bruit que tu as fait !
- Je ne suis pas la seule femme du quartier ! Et puis ce n’est pas mon genre d’avoir un amant !
- Ils croiront que tu as maté un porno !
- Au pire c’est mieux que de croire que j’ai un amant !
- Ils croiront la réalité sans y croire vraiment.
- Quoiqu’il en soit j’ai vraiment aimé les moments qu’on vient de passer. Je t’aime (elle m’embrasse).
- Bon je vais y aller avant que tes voisins n’aient des doutes.
- Atteint je te laisse mon numéro pour qu’on puisse se revoir très vite. C’est 06.XX.XX.XX.XX.
- Si tu veux je reviens demain soir.
- C’est risqué que tu reviennes deux fois de suite.
- Alors viens chez mes parents !
- Ok. Je viendrais à pied. Ce sera plus discret.
- Alors à demain ma belle. »
Je l’embrasse une dernière fois puis je me rhabille et je pars. J’ai déjà hâte d’être demain soir. Même si je sais qu’entre temps je vais sauter Laureen demain midi au boulot. Voila comment je suis devenu l’amant de la meilleure amie de ma mère et voici comment j’ai dépucelé son cul. Nous avons encore vécu de très bons moments que je pourrais vous raconter. D’ici là, vous pouvez me contacter par mail : Mcfps@hotmail.fr ou à rejoindre le groupe Facebook : Fans des histoires de Jerinak.
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