La nouvelle vie de Charlotte (3) - histoire érotique

Dans le chapitre précédent, la prude Charlotte a perdu son pucelage, grâce aux bons et loyaux servicesde sa meilleure amie, qui a rompu son précieux hymen à l'aide du gode offert par un vieux prof... Cette petite chanceusea joui dès ce premier rapport. Une entrée encourageante dans la luxure.
---------------------------------Au petit matin, je me réveille encore toute chamboulée de la veille.
Marta dort à côté de moi. Elle est belle, sa peau mate contraste avec la blancheur de mes draps.
Elle a l’air paisible. Son corps est parfait, il donne envie de la gouter.
Cette pensée me fait réaliser que ma vulve est de nouveau toute mouillée. J’y glisse mes doigts. Marta a un soupire. J’ai envie de la manger.

Je me glisse sous la couette, avec mes doigts je pars à l’exploration de sa toison brune, je glisse machinalement vers sa vulve et y introduit mon majeur.
Puis, comme elle la fait la veille, je pose ma bouche sur son clitoris et commence à fouiller sa vulve avec ma langue.
Elle se réveille doucement elle pose se mains sur ma tête et me guide. Elle attrape aussi ma main pour me guider dans son vagin. Elle gémit et moi aussi. C’est agréable.
- Attends ma biche Elle m’attire vers elle, m’embrasse à pleine bouche et me retourne sur le dos. Elle prend le gode et se masturbe un moment avec.
- Tu aimes me regarder- Oui, j’adore, ça m’excite.
- Caresse-toi.
En la regardant au bord de l’orgasme, je me caresse, je me doigte assez brutalement, je passe ma langue sur mes lèvres. Elle m’excite vraiment.
- T’es belle ma biche, je vais te faire jouir.
Elle vient contre moi, nous entrelaçons nos jambes pour que nos chattes se collent nous bougeons toutes les deux frénétiquement pour frotter nos vulves humides.
Cela dure plusieurs minutes, puis nous jouissons au même moment, emportées par un frisson. Je sens un jet sortir de ma vulve tandis que Marta m’arrose de sa mouille, peut-être même un peu d’urine.
Nous avons baisé ainsi presque tous les soirs, parfois en s’empalant en même temps de chaque côté du gode, jusqu’à la fin des vacances.

------------------------Retour à Paris
Rentrée de janvier un peu morose. Il faut préparer les partiels. Le soir dans ma chambre, je m’endors en m’adonnant aux plaisirs solitaires.
Marta, je crois, a réveillé en moi une vraie nymphomane. J’ai envie de sexe, j’ai envie d’un homme…. J’ai envie d’Éric.
Je décide que je vais tout faire pour le récupérer. Je serais plus chienne mais moins vulgaire que Camille.
Je me donne le délai de la soirée de fin de partiels pour arriver à mes fins. C’est une soirée au restaurant, organisée par le bureau des étudiants. Un resto un peu chic.
Je décide de me mette en robe, avec des bas qui tiennent seuls.

Emportée par mon appétit sexuel, nous avons dévalisés les boutiques de lingerie avec Marta.
Je choisis de porter le string ficelle rouge noué sur les côtés et un soutien-gorge en dentelle qui va avec.
Des escarpins à talons bas complètent pas tenue. Je relève mes cheveux en chignon. Je me sens l’âme d’une chaudasse avec ma lingerie et mes bas.

Je retrouve Marta directement au restaurant. Éric est déjà assis à une table pour quatre personnes mais il est seul.
David, Marta et moi nous installons. Je m’assois à côté de lui.
- Salut Éric- Salut.
- Ça a été les partiels- Ouais et toiLa conversation ne prend pas. David vient à mon secours. Au fil des verres de vins, les langues se délient. L’ensemble de la salle est très bruyant. Tous ces étudiants éméchés !
La conversation se porte sur les vacances de Noël.

Leur évocation me donne des frissons. Marta explique qu’elle les a passée à faire des expériences sexuelles.
Je me sens rougir. Et j’ai envie de me caresser. David me sourit. Evidemment, Marta a dû tout lui raconter. Éric remarque mon trouble.
- Ça te fait de l’effet pucelle de parler de sexe ?
- Un peu- A voir tes couleurs, c’est plus qu’un peu….
- Ok, c’est beaucoup.
- Je peux voir
Il ne me laisse pas le temps de répondre et glisse sa main sous la table. Il attrape mon genou, puis remonte doucement l’intérieur de ma cuisse, jusqu’à mon entre jambe, le tout en me fixant.
Marta et David gloussent.
- Oh mais Mademoiselle Pucelle est en string. Hmmm c’est délicieux
Il glisse un doigt dans ma culotte, puis il regarde David et Marta- Ça lui fait de l’effet effectivement. En plus, elle me laisse faire la petite cochonne.

Je devrais le retenir, dire quelque chose, mais mon reflexe est de saisir sa main et de la mettre directement au contact de ma fente, déjà plus qu’humide.
Je me penche vers son oreille et murmure- Doigte-moiSurpris, il me sourit et commence à introduire ses doigts dans ma chatte.

Le dessert arrive. Nous continuons à manger et à deviser, en vidant nos verres, tandis qu’Éric intensifie les mouvements de sa main dans ma culotte.
Je n’arrive plus à me concentrer. Excité lui aussi, de sa main libre il attrape mon décolleté et fait apparaître par-dessus mon soutien-gorge le bout d’un de mes tétons, qui pointe.
Il regarde Marta et David, et en touchant mon sein du doigt dit malicieusement :- On dirait que la pucelle a quelque chose à me donner.
J’ai envie de jouir, mais il y a trop de monde dans la salle et cela me freine.
Je remets mon sein en place et supplie Éric pour que nous allions ailleurs.
- Ok, chez toi. Tu n’as jamais voulu qu’on y aille.
Arrivés en bas de mon immeuble, alors que j’essaye de taper le digicode, troublée par les attouchements d’Éric, il me plaque contre le mur, se colle derrière moi et attrapant mes seins il me glisse à l’oreille:- Ça m’excite les portes cochères….
Je le repousse. Nous prenons l’ascenseur et en profitons pour nous embrasser.
Un vrai baiser dégoutant, plein de bave, de langues et de sensualité.

Une fois dans mon appartement, un torrent de désir nous emporte. A peine entrés dans le salon, Éric me couche sur la table et arrache mon string.
Il enfouit sa tête entre mes cuisses, et sans avertissement comment à me lécher, à violer mon intimité avec sa langue.
Puis ses doigts viennent s’enfoncer en moi, et je sens mes lèvres s’écarter, alors que ma chatte de plus en plus béante laisse s’échapper le liquide chaud désormais familier.
Lorsqu’il commence à pomper mon clito, je jouis, un orgasme aussi fort qu’avec Marta.
Je crie. Afin d’étouffer mes bruits, Éric enfonce mon string dans ma bouche.

Il se relève, défait son pantalon et le baisse juste assez pour libérer son sexe, très long et très épais, déjà bien raide.
Je me relève de la table. Il se caresse la queue en me regardant, et glisse un doigt dans ma bouche, que je suce par réflexe- Tu sais faire?
- Non- Viens je vais t’apprendreIl appuie légèrement sur mes épaules, me forçant à m’agenouiller. Avec son gland, il caresse mes lèvres et l’enfonce à peine, juste pour me faire ouvrir la bouche.
Toujours par réflexe, je lèche le bout de son sexe. J’aime bien le goût, ça me donne envie d’en savoir plus.
J’ouvre un peu plus la bouche, il s’enfonce un peu dedans.
Je continue à lécher. Il rentre de plus en plus. Je me remets à mouiller. J’adore ce qui est en train de se passer.
Il ressort complètement, puis rentre d’un coup sec, qui le fait taper le fond de ma gorge. J’ai un haut le cœur de surprise.
- Elle est un peu longue pour ta bouche je crois. Attends, je vais t’aider.

Il se penche en avant, m’embrasse et crache dans ma bouche. Avec son doigt, il répartit la salive dans tout ma bouche, jusqu’à la glotte.
- Voilà. Tu es prêteIl attrape mes cheveux, me tire la tête en arrière et enfonce sa queue jusqu’au fond. Cette fois, je trouve ça agréable.
Avec sa main libre, il prend ma main et la pose sur ses couilles.
- Masse-les un peu, et regarde-moi dans les yeux.
Il tire ma tête en arrière et se met à pilonner ma bouche comme si c’était une chatte. Je mouille comme une folle. C’est délicieux.
- Regarde-moi ne ferme pas les yeux. Continue. Tu suces bien. T’es une vraie cochonne. J’ai bien fait d’attendre. Haaaaannnn oui vas-y bouffe ma bite…. Branle mes couilles.
Il s’enfonce si loin que je sens ses couilles taper sur mes lèvres.
Et soudain, sans prévenir, je sens un spasme dans sa queue et un liquide chaud jaillit dans ma bouche en quatre ou cinq salves successives.
Je ne sais pas trop quoi faire de ce que j’ai dans la bouche. Je suis un peu embarrassée.
Il me sourit- T’as le choix : soit tu craches, soit tu avales. Moi ça m’exciterait que tu avales, mais si c’est ta première fois, je pourrais comprendre que tu craches.

J’ai trop envie de lui faire plaisir, alors j’avale.
- Bravo petite cochonne.
Je suis trempée et fatiguée. Lui aussi. Il s’assoit sur mon lit.
- Vient. Il faut nettoyer les outils Mademoiselle.

Je m’assois près de lui. Il me prend par la nuque et il me dirige vers son sexe ramolli.
- Un ou deux coups de langue pour nettoyer tout ça.

Je réalise un léchage en bonne et due forme.
- Voilà, propre et prêt à recommencer mon cher Binôme.

Il sourit et me prend dans ses bras. Nous nous allongeons. Ses mains parcourent mes jambes puis emportés par une vague sensuelle, nous nous mettons nus et nous allongeons sur le lit pour nous caresser mutuellement.
Nous nous endormons.

Un peu plus tard, je suis réveillée. Éric dort toujours à côté de moi. Je réalise qu’il est en pleine érection.
Je ne résiste pas à caresser son membre et à le prendre dans ma bouche.
Allongé comme ça sur le dos, j’ai l’impression qu’il est à ma disposition. Objet de plaisir. Pour la Nympho qui dort en moi.
Je pompe son sexe tout en le branlant. Puis ni tenant plus, je me mets à califourchon sur lui.
Il attrape mes deux bras.
- Tu prends la pilule ?
- Non- Alors attends.
Il attrape son pantalon et sort un préservatif de sa poche. Il l’enfile sur sa tige.
- Branle moi un peu… Elle aime pas les chapeaux, ça la ramollit.

J’astique sa queue amoureusement et reprends la fellation commencée plus tôt.
De nouveau impatiente, je m’installe sur lui et empale ma chatte sur sa verge turgescente, j’initie des mouvements de haut en bas, plus ou moins rapides, accélérant par moment, ralentissant lorsque je sens nos orgasmes respectifs arriver.
- Putain salope, tu ne veux pas que je jouisse en fait- Non je veux qu’on jouisse ensemble, après que tu m’as baisée comme une cochonne.

Ces mots lui font l’effet d’un déclencheur de bestialité.
Il se relève brutalement, m’attrape par les hanches et me force à me mettre à quatre pattes.
Il attrape un sein dans chaque main et se met à me défoncer la chatte avec une violence incroyablement délicieuse.
Je frotte mon clito d’une main et masse ses couilles de l’autre- Oui, baise-moi, vas-y, plus profond, défonce ma chatte de pucelle. C’est trop bon. Je sens que je viens- Vas-y ma salope prend ton pied, je vais gicler dans ta fenteSur ces mots, il introduit son pouce dans ma rondelle et l’enfonce assez loin.
Je jouis immédiatement sous le coup de rein qui fait taper sa queue tout au fond de mon vagin.
Je suis secouée de spasmes, à tel point, qu’il est obligé de me soutenir pour que je ne m’effondre pas. Il continue à me pilonner et halète en gémissant.
- Oui, oui han oui, de plus en plus fort.
Soudain, il s’arrête net. Il sort de ma chatte. Je l’entends enlever la capote.
- Tourne-toiJe m’allonge sur le dos. Il se branle au-dessus de moi et termine dans un jet de foutre qui dégouline sur ma poitrine.
Il éjacule plusieurs fois en continuant à s’astiquer et pendant qu’il déverse son liquide chaud sur mes seins, il m’embrasse à pleine bouche en me tirant les cheveux.
Je me caresse les seins en étalant toute cette crème chaude partout.

Je suis couverte de sperme. Repus, Éric s’avachit sur moi et s’endort quelques minutes.
Il finit par se lever.

- C’était bien. Demain matin, je t’emmène au labo, on fait un test MST et on va te trouver un contraceptif. Je veux te baiser sans capote si tu es d’accord.
L’idée de recevoir son jus directement dans la chatte m’excite et me fait acquiescer directement.
Il va vers le coin cuisine et se sert un verre d’eau. Au passage, il repère la boîte livre sur la table. Il l’ouvre. J’ai envie de me cacher.
- En fait, t’es une vraie petite salope… J’adore ça.
Il pose un baiser sur mon front et s’en va.


A suivre