La nuit de tous les risques – Partie 3

- Par l'auteur HDS GCG -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La nuit de tous les risques – Partie 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La nuit de tous les risques – Partie 3
J’étais encore échaudé par ce que je venais de vivre : ce pied que j’avais pris à faire l’amour à ma femme avec comme fond sonore les cris de jouissance de sa salope de mère, hurlant son plaisir à se faire tringler dans le seul et unique but de me rendre encore plus accro à elle. A dire vrai, elle avait certainement elle aussi, dû s’éclater en entendant nos cris à nous… J’étais réellement curieux de savoir comment elle avait vécu la chose, et surtout, quels effets cela lui avait fait !
Mais cela allait devoir attendre.

Je voulu faire un arrêt aux toilettes, mais avec l’érection qui gonflait encore mon boxer, je savais que c’était peine perdue. Je décidai donc de passer voir les enfants afin de m’assurer que tout ce remue-ménage ne les avait pas réveillés, et de continuer ensuite ma route vers la cuisine afin de me prendre un rafraichissement bien mérité. Il régnait un calme apaisant dans toute la maison, et c’est donc sans surprise que je découvris mes enfants endormis, leur repos ne semblait pas le moins du monde avoir été troublé.
Rassuré, j’entrepris de descendre les marches de l’escalier, tendant tout de même l’oreille pour essayer de déterminer si l’un de mes beaux-parents se trouvaient déjà en bas.
Rien.
Vêtu uniquement d’un T-shirt enfilé à la hâte et de mon caleçon, le pire des scénarii étant celui où je tombais sur mon beau père. Je n’y pensais que maintenant, mais il avait lui aussi dû entendre nos ébats… Cependant, il fallait relativiser, car compte tenu de son état de soumis extrême, je doutais fortement qu’il puisse me faire une quelconque réflexion à ce sujet. Pour être tout à fait honnête, je devais bien l’avouer, avoir ce sentiment de contrôle sur le mari de ma maitresse était extrêmement satisfaisant.

Les marches craquèrent doucement sous mes pas, mais je ne m’en souciai guère, le bruit n’étant pas suffisamment audible que pour réveiller qui que ce soit.
J’arrivais dans le salon que je traversai rapidement, passant devant la table de la salle à manger vide et plongée dans l’obscurité pour arriver enfin dans la cuisine, où j’allumais la lampe afin de faciliter mes recherches. La lumière tamisée qui se répandait dans la pièce était chaude et rassurante, dissipant vaguement ma frustration de ne pas avoir pu me vider.
Je saisi un verre propre dans l’armoire située au-dessus de l’évier, et fit couler un fin filet d’eau tempérée tandis que l’écho des mugissements de mon succube me hantait l’esprit. Je sentais mon sexe effectuer des soubresauts à ces pensées, et me jurai de la faire crier encore plus fort lors de l’un de nos futurs entretiens…
Mon verre déborda, me sortant de mes songes. Une bonne rasade plus tard, je le nettoyai pour remonter auprès de ma femme, certainement toujours profondément plongée dans les bras de Morphée.
Ma main allait actionner l’interrupteur lorsque ma muse apparut dans l’ombre.

— Alors, tu ne dors pas ? me lança-t-elle avec un sourire en coin.
— Non pas vraiment, j’avais soif.
— Je le vois à ta tête, il n’y a pas que ça, j’en suis certaine…Elle savait, aussi je décidais de changer de sujet, ce dernier m’irritant étrangement.
— Bon concerto en tout cas, je dois avouer que ça a fait son petit effet !
Elle me sourit, dévoilant ses magnifiques dents blanches.
— Merci, mais vous vous êtes bien plutôt bien défendus aussi je trouve…— Je sais que ça te brule les lèvres de le demander, et la réponse est oui. Ta fille a été surprise, mais on va dire que très vite ça l’a motivée encore plus !
A la moue qu’elle affichait, je sus que j’avais marqué un point.

Elle se rapprocha de moi, sortant de l’obscurité. Il fut facile de remarquer qu’elle était nue sous son peignoir beige. La bande de tissu ceignant son tour de taille soulignait à merveille ses larges hanches.
Je sentais le désir monter à nouveau en moi.

— Tu sais, je pense qu’elle s’est endormie avant de te faire juter… chuchota-t-elle au creux de mon oreille.
— Ça, ça ne te regarde pas !
Elle m’avait eu, j’avais réagi à sa provocation comme un idiot.
— Ho d’accord, pas de souci ne t’énerve pas. De toute façon, je suis bien trop fatiguée pour faire quoique ce soit, mais tu t’en doute je suppose… Elle me défia du regard, sa main posée sur mon torse glissa jusqu’à mon cou et elle se souleva sur la pointe des pieds pour y déposer un baiser sur le coin de mes lèvres.
Elle sentait la transpiration, une odeur douce mais puissante, qui m’enivra immédiatement.
— Je vais aller me coucher et tu devrais en faire autant.
De ma main droite je saisis son visage au creux de ma paume, écrasant légèrement sa mâchoire.
Elle ne s’attendait pas à cela, et me mit en garde tout aussi vite.
— Tu sais qu’on ne peut rien faire, quand je suis descendue il ne dormait pas, et si elle descend alors que nous sommes occupés… non c’est impossible !
Je plaçais sa tête à quelques centimètres de la mienne.
— Tu es ma trainée, et peu importe les risques, si j’ai envie de te baiser, je le fais !
— Mais…Sans lui laisser le temps de terminer sa phrase, je lui fourrai ma langue dans sa bouche, et, sentant qu’elle n’était clairement pas contraire, nos langues entamèrent cette dance que nous affectionnons si particulièrement.
Après plusieurs secondes d’échanges intenses, je relâchai mon emprise.
— S’il te plait, on ne peut pas, si je ne remonte pas, il va surement venir voir où je reste ! implora-t-elle.
— Alors raison de plus pour faire en sorte que je jouisse vite !

Je contemplais ses tétons pointer au travers du coton durant quelques instants, avant de brusquement la plaquer contre le frigo, faisant vaciller les bibelots qui se trouvaient au-dessus, et d'attraper à pleines mains ses seins sur lesquels j’exerçais une pression de plus en plus forte. Elle couina de surprise, mais très vite je la sentis me caresser les cheveux, d’une façon suffisamment chaotique que pour me conforter dans l’idée que cela lui plaisait malgré ses réticences initiales.
Ma langue tournait autour de ses mamelons, doucement, avant d’atteindre le point culminant de ces montagnes de chair, ce qui secoua son échine de frissons.
Elle voulut attraper mon sexe mais je la retins, maintenant son poignet au-dessus de sa tête, contre le métal froid de l’électroménager.

— Tu n’auras pas ce que tu veux… lui dis-je en léchant son sein droit, pour remonter par son aisselle jusqu’à son biceps.

Elle ne tenait plus en place, croisant et décroisant les jambes dans un ballet incessant.
Je lui fis joindre ses deux poignets, la tenant fermement pour l’empêcher de bouger, et l’embrassa dans le cou, tantôt à gauche, tantôt à droite, escaladant ce col légèrement humide petit à petit, faisant ainsi grimper en flèche notre désir.
Lorsque je fus à hauteur de son menton, je reculai d’un pas, et planta mon regard dans le sien.

— J’espère que tu ne seras pas trop épuisée pour ce qui va suivre ma belle…
Je fis glisser lentement de ses épaules son négligé, dévoilant ses formes voluptueuses et désirables, attrapant sa ceinture que je tendis devant ses yeux, lui rappelant à nouveau que les rôles étaient inversés ce soir. Je la fis pivoter à cent-quatre-vingts degrés, dévoilant une des plus belles croupes que je connaisse, large et parfaitement galbée, et tandis que je collais contre elle mon membre bien bandé, le glissant entre ses fesses, j’entrepris de nouer cette sangle délicatement autour de son cou.
Je m’assurai que je n’avais pas serrer trop fort.

— En voilà une belle laisse pour une belle chienne…
Tirant sur la bande, j’en profitait pour effectuer quelques allers retours entre ses deux lunes bien en chair, maculant abondamment son sillon inter fessier d’un pré-sperme liquide et transparent.

— A quatre pattes, tout de suite ! On va continuer dans la salle à manger.

Elle s’exécuta immédiatement.
La voir se déplacer d’une façon aussi lascive, adoptant une démarche féline remuant ses formes généreuses me rendait complètement dingue. Je savais qu’elle y prenait beaucoup de plaisir, aussi je claquai ma main sur son postérieur, y laissant une empreinte rouge qui resta visible quelques secondes durant. Elle accéléra la cadence, et nous arrivâmes enfin à destination.
Je mis une chaise devant la table, une grande table en verre transparent, et l’a fit grimper dessus, l’étreignant avec force pour la récompenser d’être si obéissante.

Le buste penché sur la table, je la forçais à se cambrer, écrasant sa poitrine contre le verre froid, et m’offrant son arrière-train dans toute sa splendeur.
Je déposais mes lèvres sur sa croupe, embrassant sa peau halée comme s’il s’agissait de sa bouche, pendant que mes mains lui massaient les pieds.
Je pouvais la sentir fondre sous mes caresses, tous ses muscles se relâcher un à un.
Massant ses cuisses, je rapprochais mon visage de sa vulve, ouverte et dégoulinante de sa liqueur, dans laquelle il me tardait de pénétrer.

L’instant tant attendu était arrivé, ma langue plongea entre ses lèvres avec avidité, explorant les moindres replis de l’entrée de sa caverne aux merveilles.
Sous l’effet de l’excitation, et ne pouvant se servir de ses mains, ma petite pute me fit comprendre qu’elle voulait s’occuper de ma queue avec ses pieds. Inconsciemment, mon pieu se mit à glisser entre ses plantes de pieds, ma langue jouant avec son petit bouton tressaillant.

— Baise moi ! S’il te plait, défonce-moi !

Je ne lui répondis pas tout de suite, car à présent j’étais remonté sur son puit sombre, le lubrifiant avec ma salive et le dilatant de mes doigts pour le préparer à la suite de la soirée.
Je me trouvais au bord l’extase, et je stoppais ma masturbation par crainte de jouir trop tôt.
Même si l’idée de maculer ses mollets et ses pieds de mon sperme était plutôt tentante.

— Comment tu veux que je te baise ? lui demandais-je, certain de sa réponse.
— Bourre moi la chatte, remplis-moi !
— N’oublie pas qui est le maitre ici ma belle…
Et sur ces mots, je crachais une dernière fois sur son anus, avant d’y plonger mon membre au bord de l’explosion.
Elle cria de surprise tandis que la moitié de ma verge s’engouffra dans ce canal étroit et doux.

— Alors, tu aimes ?
— Oui… oui maitre ! me répondit-elle essoufflée.

Je lui laissais le temps de s’habituer à ma présence dans ce cylindre, étonnement serré, et lorsque, quelques secondes plus tard, elle commença à se déhancher sur mon pieu, je compris qu’elle était prête.
A chacun de mes coups de reins, le bruit de mon ventre sur son gros cul claquait au travers de la pièce, projetant de la mouille épaisse sur le coussin de la chaise, stimulée sous l’effets de mes doigts fouillant son vagin. Elle gémissait, doucement au début, consciente que nos cris pouvaient alerter nos compagnons.
Cependant, très vite, ses râles devinrent incontrôlables.
Plus je m’enfonçais en elle, plus je grommelais fortement moi aussi, et ce bien malgré moi.
Nos corps en sueur se chevauchaient férocement, ma queue s’enfonçant désormais entièrement en elle, m’insufflant un sentiment de bien-être quasi absolu.
Je m’appliquais à lui casser le cul, car je voulais qu’elle se souvienne de cette soirée longtemps encore, et je fus convaincu d’être sur la bonne voie en voyant ses doigts se crisper, griffant vainement le verre dans un maelstrom de douleur et de plaisir.
Elle se redressa, prenant appui sur la table, afin de me sentir plus profondément encore elle.
Le souffle irrégulier et la peau luisante, je pouvais voir depuis cette position son ventre, ses fesses et ses seins bouger dans tous les sens, malmenés par mes coups de butoir de plus en plus puissants.

— Je vais cracher mon jus dans ton cul ma belle !
— Oui maître, s’il vous plait ! Videz-vous-en moi !

Je ne tenais plus, et dans un puissant râle commun, je sentis mes bourses se vider, mon membre palpitant galvanisé par les mouvements de son anus se refermant à intervalles réguliers.
Elle colla son dos contre mon buste, et retira ma main couverte de son liquide sirupeux de son entre jambe. Je déposais quelques tendres baisers dans son coup, effectuant encore quelques vas et vient pour mon propre plaisir pendant que je la retenais, ses jambes prises de spasmes n’étant plus capable de la supporter.

— Merci maître…
Cet instant, à la fois amoral et magnifique, me donnais le sentiment que notre relation évoluait à nouveau, que cette femme sublime s’abandonnait enfin complètement à notre contrat.
Apaisés, nous sommes restés quelques instants sans bouger, le temps que nos corps se remettent de cette expérience.

Malheureusement pour nous, nous avions cédés à nos pulsions, oubliant tout le reste.

Et lorsque la lumière s’alluma, et que mon beau père entra dans la pièce, horrifié de nous observer emboités l’un dans l’autre, je compris que rien ne serait plus jamais pareil.

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