La Patronne soumise
Récit érotique écrit par Max herrscher [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Patronne soumise
« La Patronne soumise » .
Lydia Travaillait depuis deux mois, dans la boutique de mode de madame Laura Papini, laquelle avait accepté de la prendre pour une période d’essai de trois mois. Cet accord était très important pour Lydia, les services sociaux lui avaient permis de sortir de prison après deux années d’internement pour bonne conduite.
Elle avait étudié pendent son emprisonnement, en réussissant a prendre son bac. Ce n’avait pas été facile du tout, heureusement elle avait connu Claudia qui l’avait prise sous son aile protectrice, évidemment, elle en était devenue l’esclave, devant toujours la satisfaire sexuellement, mais c’était mieux que de servir de punching Ball et se faire cogner dessus par les autres filles détenues jusqu'à quand elle ne serait devenue leur jouet.
Elle était vraiment belle et donc pour ça chance, Claudia l’avait choisie pour son Caravan sérail, de cette façon comme esclave de Claudia personne n’osait la toucher.
Claudia l’avait prise en grande sympathie et donc la protégeait de toutes, et l’aidait aussi pour ses études.
Lydia dans cette position de privilégiée, avait appris à soumettre les autres filles, sous la guide de sa maîtresse Claudia.
Au moment de sortir Claudia lui donna un certain nombre d’adresses pour le cas ou elle aurait besoin de quelque chose.
Claudia était une Maîtresse, qui avait dirigé avant d’être enfermée, une organisation qui mettait a disposition de clients très riches, des femmes soumises, mais son amant, avait voulu être trop gourmand e l’avait trahie.
Lydia au contraire n’avait rien fait d’illégal, seulement elle aussi devait son emprisonnement à son fiancé, lequel avait caché de la drogue dans son appartement, sans rien lui dire. Elle avait été condamnée, malgré tout, pour complicité.
Encore un mois et elle serait libre, et pourrait peut-être se refaire une nouvelle vie.
Lydia était une jeune femme de vingt et un an, elle était très jolie, une chevelure noire, des yeux verts, des jolis nichons pas trop gros, mais bien plantés sur sa poitrine, des demis pommes qui avaient la forme d’une coupe de champagne, avec des téton plus foncés, des fesses bien rondes qui étaient un spectacle au dessus de ses longues jambes, comme celles d’une danseuse, un cul que Claudia avait bien aimer fesser pendant leurs moments intimes.
Lydia pouvait bien être considérée plus belle de beaucoup d’actrices de cinéma.
Le mari de Laura qui dirigeait leur boutique, avait tout de suite remarqué cette jeune beauté, et pensait de pouvoir en profiter, comme il faisait avec les autres employées.
Mais cette fille était d’une autre trempe, il avait bien des fois essayé de la toucher en faisant semblant que ce soit involontaire. Lydia c’était bien aperçue que cet individu voulait l’avoir inscrite dans son palmarès, comme pour toutes les autres employées, et elle avait remarqué comment il s’appartait avec quelques une des employées de temps a autre dans les cabines d’essayage. Quand il devint un peu plus hardi, elle l’affronta avec un ton dur, en lui disant clairement de ne plus la toucher, et en disant cela elle lui pris les doigts de la main et d’un mouvement rapide les lui tordit en arrière, l’homme surpris fut obligé de s’agenouiller a cause de la douleur, et aussi pour essayer de s’échapper de cette position de faiblesse.
Lydia lui parla a l’oreille, toujours en continuant de le tenir dans cette position humiliante, « petit con, tu n’es rien d’autre qu’un trou du cul, je peut te casser les doigts comme et quand je veux, et si tu me cherche encore, je vais chez ta femme et je lui donne les photos de toi et de tes copines ».
« Comment ? » s’écria t’il. Elle répondit « oui mon petit, j’avais bien remarqué tes petits manèges, et depuis le premier jour, je savais que tôt ou tard tu aurais voulu me faire marcher dans ton petit cirque, alors j’ai pris mes précautions, avec quelques photos qui ni toi ni tes copines étes réussi a me voir pendant que je les faisait, tu me trouve douée non ? ».
« D’accord » répondit Marco « je ne te toucherait plus » et alors la belle Lydia le lâchât.
Marco se défila, et s’en allât dans son bureau, cette garce l’avait humilié il en était hors de lui, il désirait le lui faire payer.
Rentré dans le bureau, se sentant très frustré il regarda la secrétaire avec un sourire de cruauté au coin des lèvres. Il l’interpellât « Sonia, met toi en position, les fesses bien en l’air, et vite » Sonia était habituée a obéir a son patron, elle soupira et se leva, fit tomber la jupe a terre, et se mit penchée sur la table et abaissa ses culottes jusqu'à mi-cuisse, Marco se plaça derrière elle, il avait une petite cravache a la main « ne bouge pas, je te donnerai seulement six coups » il frappa les belle fesses que lui offrait la secrétaire, un coup sec qui claqua et marquant la peau, en traversant les deux globes blancs, un raye rouge apparut immédiatement sur ces fesses splendides, la jeune Sonia poussât un gémissement quelle essayait de suffoquer pour ne pas faire fâcher Marco.
Dés qu’il terminât de battre la jeune secrétaire, il s’approcha sortit son penis qui était devenu si dur qu’il lui faisait mal, et la pénétras dans son vagin qui était bien mouillé.
Il la baisait avec violence, a chaque coup il l’insultait, « tiens garce, petite salope, tiens dans ton con ma bite prend la comme il faut, je te donnerai toute ma crème ».
Sa pensée était adressée a Lydia et a ce qu’il aurait tant désiré lui faire, car elle avait osé le repousser, la salope, c’était bien la première fois qu’une femme osait le repousser et surtout l'humilier.
Il pensait a comment prendre sa revanche, mais il n’avait aucune idée qui puisse fonctionner, il lui faudrait trouver les photos, les détruire, toutes ces pensées pendant qu’il baisait sa secrétaire, le faisaient durer plus longtemps que d’habitude, il la lima pendant une bonne demi heure, en la faisant jouir plusieurs fois, la jeune femme se sentait complètement épuisée.
Il était si distrait dans ces pensées qu’il ne se rendait pas compte des risques qu’il courait en restant dans le bureau si longtemps dans cette situation.
Lydia en ces deux mois avait bien compris tout ce qui se passait dans cette boutique, Marco était simplement un gérant qui avait trouvé le moyen de satisfaire ses fantasques, en profitant de la position acquise avec son mariage, dans le dos de sa femme qui n’ayant jamais vraiment travaillé, car elle avait hérité ce qu’elle possédait et donc avait trouvé très commode laisser son mari s’occuper de tout, du moment qu’il avait été l’employé de son père.
Le seul risque pour Marco s’était venu a créer du moment que sa femme venait au bureau tout les matins, pour signer la correspondance avec les banques, en se donnant l’air d’une femme qui travaille.
Marco avait été le plus proche collaborateur de son père, pendant quatre années, il s’était acquitté de cette tache avec capacité, et son Beau-père lui avait donné une certaine confiance.
Il lui permit de gérer la partie du travail qui comprenait le contact avec la clientèle, qui était de haut niveau.
Pour habiller cette clientèle, ils devaient disposer de matériel de choix, étoffes de grande qualité, ils avaient aussi le rayon pour les chaussures, faites sur commande, mais le point fort c’était la haute couture, pour hommes et pour femmes.
Le rayon de la lingerie était le plus particulier, avec des commandes très spéciales, la clientèle sélectionnée, désirait voir endossée la lingerie, pour cela ils avaient organisés que les leurs jeunes employées, devaient être disponibles a faire les mannequins et ce prêter a défiler avec la lingerie devant les potentiels clients.
Ses employées étaient donc sélectionnées avec attention, et seulement celles qui acceptaient de se soumettre aux exigences des patrons et de la clientèle étaient engagées tout de suite.
Marco et son beau-père, avaient très bien organisé leur petite écurie, de jeunes esclaves qu’ils pouvaient même prostituer avec leurs clients, qui de cette façon devenait une clientèle très fidèle.
Ils faisaient un double travail, les commerçants et les maquereau. Marco était sur d’hériter et de devenir le propriétaire, mais se fut sa femme seule qui héritas le tout.
Et sa femme s’était mise en tête de participer à la gestion. Laura ne savait absolument rien de cette deuxième activité, et ne l’aurait jamais su, car son mari c’était bien gardé de lui en parler.
Lydia qui était une jeune qui avait bien appris à connaître les hommes, avait très vite dévoilé le mystère de la boutique de madame Pampini. Sa Maîtresse en prison lui avait raconté quelle avait un amant, et c’était le père de Laura Pampini, il l’avait éliminée des affaires quand les choses commencèrent à mal tourner entre eux.
Lydia avait découvert tout cela après avoir été engagée, elle avait connu en premier Laura, et donc ce n’était pas Marco qui l’avait engagée, par la suite elle découvrit que Laura était la fille de l’amant, dont lui avait parlé sa maîtresse Claudia en prison.
Madame Laura ne venait au bureau que trois fois par semaine, et seulement le matin de dix heures a midi.
C’est donc aussi a cause de son absence quelle n’aurait jamais pu comprendre ce qui se passait, pratiquement sous son nez.
Marco était bien planté dans la vulve de sa secrétaire, en oubliant toute prudence, a cause de sa rage, quand Laura entra dans le bureau, le spectacle fût pour elle un véritable choc, comment accepter de voir son mari qui baisait avec la secrétaire, elle resta figée a fixer son mari qui s’agitait dans le con de la secrétaire, complètement absorbé par son désir de jouir.
Les larmes emplirent les beaux yeux de Laura, elle se mit a trembler, dans tous ses membres, mes complètement muette due a la honte, et a la déception de se voir trahie.
Les deux amants ne s’aperçurent point de sa présence, Laura toujours en silence continuait de regarder ce spectacle incapable de bouger.
Lydia qui avait bien imaginé se qui se serait passé, quand elle vit Laura rentrer c’était mise en guet, elle s’approcha et la pris par un bras, la retira en arrière. Laura se laissa faire complètement prive de force, ni de volonté. Lydia la fit appuyer au mur, et ferma la porte.
Les deux imprudents ne s’aperçurent de rien, trop occupés par leur accouplement. Elle pris Laura par les bras et lui chuchota a l’oreille : « viens avec moi, il ne faut pas rester ici ». Elles sortirent, Lydia tenant Laura par les épaules, en la réconfortant, elles rencontrèrent une novice, laquelle travaillait seulement depuis une semaine dans la maison, et Lydia avait déjà pris la petite dans sa souricière, en passant deux jours d’amour ensemble. La jeune Simona, était déjà éperdument amoureuse et dépendante de la belle et autoritaire Lydia.
Lydia dit a Simona de ne rien dire a personne quelle s’en allait avec madame, si on lui demande elle doit seulement dire qu’elle c’est absentée pour aller a la pharmacie.
Personne ne s’était aperçu que madame Laura était entrée dans le magasin et en était ressortie, cela lui donnait un bon avantage pour son plan.
Elle se fit donner de Laura les clés de sa voiture, et la raccompagna à la maison. Laura complètement bouleversée parait dans un état de somnambulisme duquel elle ne réussit a se reprendre, et surtout maintenant que quelqu’un s’occupe d’elle, s’abandonner totalement est vraiment la seule chose qui l’intéresse, la seule réaction se note sur son beau visage aux traits délicats, qui est mouillé de larmes, le rimmel de son maquillage coulant sur ses joues, elle est vraiment effondrée, et donc une bonne proye pour la belle Lydia, et Laura lui était si reconnaissante de sa tendresse de lui rester proche dans ce moment difficile, ce qui arrange les plans de Lydia, et qui constitue un pas vers la reddition de Laura.
Sa belle collaboratrice qui sortant de prison avait trouvé chez elle la possibilité de reprendre une vie saine et honnête, avait de la tendresse vers elle, qui se sentait si seule en se moment trahie par son mari auquel elle avait donné tout ce dont elle pouvait, sa tendresse, son amour qui maintenant était bafoué.
Heureusement Lydia était là, elle n’aurait pas su quoi faire si elle était restée seule dans ces terribles instant ou la découverte de la trahison de Marco s’était montrée a elle, jamais elle n’aurait cru possible, cette trahison si quelqu’un lui aurait dit que son mari la trompait, elle ne l’aurait jamais cru, mais elle avait découvert ce terrible fait de ces propres yeux.
Lydia la conduit a son appartement, et la fit déshabiller, elle lui parlai comme on parle a une gamine ou a une malade, dans ces cas il faut prendre un bon bain chaud, se boire un cognac, et comme ça très calmement réfléchir sur les décisions a prendre.
Laura voyait en Lydia sa sauveuse, sa protectrice, en ce moment sa seule amie et son soutien moral, dans la douleur déchirante quelle éprouvait.
Elle se laissait déshabiller et conduire dans la salle de bain, c’était vraiment très agréable de ne pas penser, de se faire guider, dans cet abandon langoureux, oubliant qui elle était, ou elle était, c’était trop bon et comme ça elle ne souffrait plus. Elle ne voulait plus prendre de décisions seulement s’abandonner dans les mains de son amie qui la traitait si bien, Laura se sentait totalement incapable de faire quoi que se soit.
Lydia prépara la baignoire, lui donna un verre de cognac, qui se répandit dans son estomac lui donnant une sensation de chaleur, elle se laissa conduire dans la salle de bain et s’assit dans la baignoire, l’eau était bien chaude, délicieuse.
Elle se sentait mieux, les mains de Lydia sur con corps qui la caresse, et lui donne une sensation de tendresse et de plaisir surtout quand ses doigts passent sur les pointes de ses seins.
Lydia l’avait caressée tendrement comme si c‘était une fillette, le bain lui donna une sensation d’abandon total même quand elle avait senti que les doigts de Lydia avaient pénétré dans les plis de sa petite chatte qui s’état instantanément mouillée, Lydia avait bien remarqué que Laura était troublée par ses caresses, elle continua de la laver en s’approchant du sexe de Laura mais en évitant tout contact direct, après quelques minutes, Laura commença a faire balancer son bassin, s’était un réflexe inconscient mais elle désirait avoir des caresses, pour jouir. Lydia voulait que se soit Laura qui lui demande de la faire jouir, et ses caresses étaient très troublantes, grâce a son expérience. Elle voulait faire perdre à la belle Laura tout complexe, elle continuait à lui masser les seins comme s’il s’agissait d’un massage relaxant. Laura s’était soulevée a genou dans la baignoire en exposant mieux sa poitrine, offerte aux doigts habiles de Lydia.
Elle sentait l’exigence d’avoir quelque chose de plus.
Lydia connaissait bien les femmes, elle savait que cette jeune et belle bourgeoise était certes orgueilleuse, mais son orgueil était dû a sa formation, c’était une femme qui aurait aimé avoir un maître et avec son mari elle était en quelques sorte une soumise mais a moitié.
Marco n’avait pas la capacité de comprendre les nécessités et le coté sombre de l’âme de sa femme, et il n’avait pas le courage d’agir avec elle comme avec les autres femmes, car c’est Laura qui est propriétaire de la société.
Le père de Laura lui avait fait signer un contrat pré-matrimonial, lui il serait seulement le gérant, mais jamais le propriétaire de la boutique.
Lydia attendait patiente en massant le corps de Laura qui s’agitait sous ses doigts, ses fesses se soulevaient en s’offrant a la belle Lydia, mais bien qu’elle souffrait de son désir frustré, et il était évident car, sa respiration était très accélérée, elle n’osait pas demander d’être caressée, d’être touchée entre ses jambes ou elle sentait sa chatte qui coulait son excitation.
Laura n’en pouvait plus, avec un soupir elle se résignât a prononcer des mots : « Lydia, je t’en prie, arrête toi, je veux sortir, sinon termine ce que tu as commencé ».
Lydia : « que dis-tu ? », « fait moi jouir, ou laisse moi sortir » prononça Laura. Lydia sentait bien que la voix de Laura était troublée, mais elle ne voulait pas que cette dernière pense qu’elle lui ferait plaisir de la toucher.
Alors elle lui demanda : « tu veux que je te fasse jouir ? », en rougissant Laura répondit « oui » dans un souffle de voix a peine perceptible.
Lydia sentait quelle avait gagné la partie et insistât : « demande moi de te faire jouir avec plus de gentillesse, et dit surtout s’il vous plait, en me vouvoyant ».
Laura était trop désireuse de jouir : « Je vous en prie faites moi jouir ».
Alors lentement Lydia fit passer ses doigts sur les grandes lèvres, elle sentit comme sa victime était très mouillée, et ceci, elle le considérait comme un bon signe pour ses projets, elle enfila trois doigts dans le vagin de Laura, et celle-ci émit un soupir de satisfaction.
Quelques va et viens dans la chatte inondée de Laura et celle-ci vint sur sa main avec force, s’était un orgasme prolongé, qui fit secouer le corps de Laura, elle était très chaude la belle bourgeoise, et Lydia en fut heureuse, elle aurait sû profiter de son potentiel sexuel, en la modelant selon son propre désir.
Une fois que Laura eût jouit, elle s’effondra dans la baignoire, Lydia commença à la laver et rincer a nouveau.
La pauvre Laura était honteuse maintenant pour avoir du demander a Lydia de la faire jouir, pourquoi se sentait elle comme çela faible, comment ses sens l’avaient subjuguée au point de lui enlever tout sens de retient. Mais la faiblesse la rendait sujette à la jeune employée, et pour le moment bien que ressentant la honte son visage était pourpre en effet, elle décida de s’abandonner, c’était un moment de faiblesse qui peut arriver dans la vie, elle se sentait entre les mains de son employée, et ceci lui donnait un sens d’excitation étrange qu’elle ne comprenait pas, un désir de s’abandonner totalement de ne plus penser a rien.
C’était Lydia qui décida quand la faire sortir de la baignoire, et l’essuya avec un linge qu’elle avait trouvé comme si elle était chez elle.
Une fois sèche, Lydia laissa tomber le linge en la laissant toute nue, et comme ça la conduit à travers l’appartement. Laura avec Lydia à ses cotés toute habillée, se laissait faire, obéissante sans aucune volonté.
Lydia accompagna Laura jusque dans sa chambre et lui fit des câlins comme si elles étaient amantes depuis longtemps. Laura ne résista à aucun moment, sous la caresse de Lydia comme si elle avait nécessité de ses tendresses, comme de l’air qu’elle respire.
Dans le lit, Lydia aussi se déshabilla complètement, et se mit sur le corps de Laura qui n’osait pas bouger, elle avait trop besoin de se sentir aimée et malgré tout cette situation la rendait si réceptive d’un besoin de plaisir, pourquoi y renoncer.
La souffrance pour la tromperie de son mari, était maintenant passée pour laisser la place au désir, elle voulait oublier complètement Marco, seulement ce que Lydia lui faisait comptait pour elle en ce moment. Elle se serait jetée dans les bras de quiconque pour un peu de plaisir et pour oublier la souffrance que son mari lui avait infligée avec son attitude de salaud, la tromper avec la secrétaire,c’était trop.
Lydia savait bien quoi faire pour pousser dans un état de folie de plaisir, et Laura se laissait conduire par elle confiante dans celle qui l’avait soutenue tout de suite en lui empêchant de s’effondrer.
Laura avait jouit mainte fois pendant le traitement de Lydia, elle sentait ses mains et sa langue partout, elle avait bû tout ses jus qui coulaient copieusement. Lydia s’était retenue.
Lydia avait envie de jouir, mais elle voulait maintenir le contrôle de la situation, et son entraînement le lui rendait possible, sa maîtresse Claudia lui avait bien appris comment dominer son corps.
Quand elle vit que Laura s’était relaxée, après les émotions auxquelles elle avait été soumise, elle lui parlât : « écoute, je sais que tu souffre pour avoir vu ton mari avec une autre femme, mais ceci n’est rien, si tu savais qu’il oblige toute ses employées a se donner a lui, il l’as toujours fait. Il a essayé même avec moi, ce matin même, mais il a risqué que je lui casse les doigts ».
Laura était émerveillée, cette jeune femme, avait en elle une force incroyable, elle avait tenu tête a son mari, et elle s’aperçu aussi que Lydia la regardait comme un homme avec le même désir de possession, c’était une proie, sa proie, elle lui racontait d’avoir affronté Marco physiquement e l’avait mis a genoux, et ceci la rendit heureuse, et aussi admirée devant cette jeune femme très belle.
Alors elle voulut savoir si Lydia l’aiderait à se protéger. Que fera son mari se elle lui parle de divorce, Laura n’avait pas le courage d’affronter cette situation.
Même si dans le passé elle avait eu des doutes dur Marco, elle s’était trouvée a se demander souvent si lui la trompait quand il rentrait tard le soir, mais son père avait toujours dissipé ses doutes car il avait dit qu’il travaillait, et depuis lors elle avait toujours eu une confiance aveugle envers son mari.
Elle confia a Lydia quelle n’avait pas le courage d’affronter son mari et de lui dire de l’avoir vu, ni de demander le divorce.
C’est Marco qui sait tout du travail, c’est lui qui tient les contacts avec les fournisseurs, avec la clientèle, les banques et tout le reste. Moi je ne fais que signer les papiers de l’administration extraordinaire, les chèques des salaires, mais pour le reste je ne sais rien du travail.
Lydia la regarda fixement, et lui dit en toute simplicité sur un ton de complicité et de compréhension : « si tu veux je m’occupe de tout, contact avec les fournisseurs, tu devras seulement continuer a faire comme avec lui, rester tranquille, tu me lègue ses fonctions, et moi je m’occupe de toi, et te protégerait de ton mari ».
Laura était effrayée : « comment faire avec le divorce, dire a tous que la secrétaire était avec mon mari et que je les ai surpris ensemble ? Qui me croiras ? On dira que je le fait exprès, pour ne lui donner rien, pour tenir la maison de mode pour moi, il y a un contrats, si on divorce je lui doit une liquidation le 40% de mon patrimoine, et je ne puis prouver qu’il me trompe ».
Lydia chercha a la tranquilliser : « je m’occupe de tout ça, laisse moi faire et te promets de régler toute cette histoire, et tu pourras le liquider avec un bonus minimum sans devoir renoncer au 40% de ta maison ».
Laura lui dit : « si tu m’aide c’est a toi que je donne le 40% de la maison de mode, nous serons associées, toute les deux, se serait merveilleux ».
Lydia posât ses lèvres sur celles de Laura et avec sa langue pénétra dans la bouche de cette jeune femme qui avait besoin d’être aimée, et elle s’abandonna totalement dans les bras de Lydia.
Lydia était douce dans son baiser, sa langue parcourrait toute la bouche de Laura, et cette dernière se sentait fondre entre ses bras.
Laura se sentait faible et son abandon était total, elle ressentait le désir d’être dominée par cette jeune femme qui lui donnait la sensation de sécurité dans ses bras, même plus qu’avec son mari au début de son mariage.
Pour Laura l’idée d’être seule lui était intolérable, appartenir a quelqu’un était dans sa personnalité, cela lui était nécessaire comme de l’air quelle respire.
Elle n’avait pas une claire conscience de tout ce que ses sentiments signifiaient réellement, mais son instinct la guidait a s’abandonner dans les bras de Lydia, pour se sentir protégée.
Lydia forte non seulement de sa personnalité mais aussi de son expérience, compris très bien ce qui se passait dans l’intime des sentiments de Laura, et commença donc a se prendre son pouvoir sur elle, en lui disant : « tu viens chez moi, et donne moi le numéro de ton avocat, comme ça je fixe un rendez vous, nous irons ensemble ».
Laura se laissait guider, cet abandon lui était très agréable, ne prendre aucune décision, et tant que la situation avec son mari ne serait pas réglée, chez Lydia elle serait plus sûre.
Laura habitait déjà depuis une semaine chez Lydia, Marco resta surpris de se retrouver dans cette situation sans bien comprendre comment cela s’était passé, l’avocat avait été très rapide a lui communiquer l’intention de divorcer de sa femme, avec une lettre assurée avec avis de réception.
Il n’avait plus pû communiquer avec sa femme, elle était disparue, l’avocat avait été très clair Laura ne désirait plus avoir aucun contact avec lui.
Il lui fût communiqué que sa femme le matin quelle était venue au bureau l’avait vu avec sa secrétaire, et donc elle divorçait pour juste cause.
Marco du signer les papiers avec quoi il renonçait a toute revendication, a libérer l’appartement, e aussi il devait accepter de laisser le travail auprès de l’entreprise de famille, Laura acconsentait de lui donner une liquidation calculée sur ses salaires pour les années passées a travailler auprès de la maison Pampini.
Lydia avait pris en main la situation, donc, elle fit toutes les démarches nécessaires pour bloquer toute initiative de la part de Marco.
Laura lui avait délégué tout pouvoirs pour s’occuper de la situation, et aussi l’avait nommée gérante de son commerce.
Marco sommé par un arrêt du Tribunal, de ne plus s’approcher de sa femme ni de ses propriétés, se trouva en difficulté.
Marco voulait surtout récupérer ses agendas, pour continuer ses affaires, s’etait au fond son seul souçi car il n’avait jamais éprouver de l’amour pour Laura elle était seulement un moyen pour faire ses intérêts.
Lydia avait pris Sonia de coté, le premier jour ou elle devint gérante, et ayant en main beaucoup de photos et de papiers compromettants envers elle, lui fit un petit discours, ou petit chantage si on préfère, du moment quelle était mariée et avait un fils, si ces photos arrivent a son mari elle perdrait tout, y compris son fils, donc Lydia voulait compter sur sa fidélité professionnelle a la nouvelle direction, mais aussi sa totale obéissance, si elle serait une bonne secrétaire soumise elle resterait a sa place. Sonia accepta trop inquiète des conséquences de l’envoy des photos sur ses relations adultérines.
Le même discours fût fait à toutes les autres employées. Ensuite Lydia se fit ajourner sur tout les fournisseurs et les principaux clients.
Elle voulût connaître aussi où étaient les livres secrets de la comptabilité parallèle, pour les prestations spéciales. Les clients qui demandaient des jeunes femmes soumises, ou qui avaient des préférences particulières.
Sonia rougit devant ces questions, Et Lydia nota son embarras, lui dit : « tu es surprise que je sache que vous exercez un travail parallèle, et que vous vous prostituez ? »Sonia restait silencieuse, car elle ne savait pas trop bien quoi dire, devant cette jeune femme qui était devenue si vite la chef de la boutique.
Lydia se rendit tout de suite compte qu’il était Nécessaire de prendre en main la situation et de se faire obéir sans discuter, elle devait démontrer son autorité.
Avec un ton de voix dur elle donna son ordre a la secrétaire : « déshabille toi, immédiatement et va prendre la cravache », Sonia restât bouleversée de l’ordre de la jeune cheftaine, Lydia la voyant hésitante s’approcha et lui donna deux gifles sur les joues.
Sonia en restât choquée, mais immédiatement ses réflexes réagirent pour elle, inconsciemment son dressage qui la portait a l’obéissance la fit agir sans réfléchir et elle commença a se déshabiller, une foi nue elle alla dans le bureau et prit la cravache qui était dans le tiroir et qui tant de foi avait été employée sur ses fesses.
Quand elle s’approcha de Lydia elle n’eut besoin d’aucun ordre elle se mit en position pour recevoir la punition, pliée en deux, les fesses bien tendue appuyée avec les bras sur la table.
Lydia en fut bien heureuse de voir Sonia si bien dressée, ceci était un avantage pas secondaire, du travail en moins à faire.
Lydia annonça a la secrétaire : « six coups, et maintient la position ou je recommence ».
Le premier coup arriva sur la cible offerte, Sonia était vraiment une esclave soumise, elle eût un sursaut, mais maintint la position bien ferme, les fesses bien tendues, elle se rendît tout de suite compte que la nouvelle patronne savait bien comment on emploie une cravache, ce n’était pas une novice.
Elle sentait de même toute son impuissance, elle qui avait trente ans, mariée avec un fils, elle se trouvait maintenant soumise par une femme bien plus jeune qu’elle, pliées en deux sur la table avec les fesses bien offertes, elle n’avait pratiquement pas opposés de résistance. Et ce qui lui faisait ressentir une sensation de majeur honte fût que tout cela lui faisait sentir une sensation de plaisir, son abandon comme avec son ancien maître même plus, qu’avec son ancien maître, elle sentait qu’elle était mouillée, le plaisir lui coulait sur le cuisses, et Lydia ne pouvait pas ne pas remarquer cette simple vérité.
Quand le sixième coup s’abattit sur son cul, elle se relaxa, elle s’abandonnât sur ses bras, les fesses lui brûlaient, mais elle n’osait pas bouger, sa maîtresse l’appela, et comme une esclave beine dressée, ou un chien elle se précipita vers sa patronne, Lydia la fît mettre a genoux, le buste bien droit, les cuisse écartée, et lui dit de se toucher.
Sonia obéit sans discuter, en commençant a passer ses doigts le long de ses grandes lèvres bien épilées, elle trouva ensuite son bouton qu’elle commença a presser entre ses doigts, et ensuite en faisant un mouvement rotatoire elle aurait vite jouit devant sa nouvelle patronne, et elle vint en s’enfilant trois doigts dans son vagin rempli de jus, elle coulait incroyablement comme depuis longtemps cela ne lui arrivait plus, la honte de se montré devant cette jeune femme la fit jouir. Lydia souriant devant la secrétaire soumise, était bien contente de son pouvoir, alors pour le faire sentir encore plus elle ordonnât a la secrétaire de la remercier pour l’avoir punie et lui avoir permis de jouir devant elle en s’adressant a elle comme a sa nouvelle maîtresse.
Sonia reconnaissait en cette jeune femme celle qui avait les droits sur son corps, comme avant les avaient eût Marco et son beau-père avant lui : « je vous remercie de m’avoir puni, et de m’avoir permis de jouir madame ».
« Bien » dit Lydia « tu me parais plutôt bien dressée, habille toi et remet toi de nouveau au travail allez vite ! ».
Ensuite Lydia commença a contacter toute les employées de la boutique après avoir consulter tous les livres secrets et les fiches personnelles réservées que Sonia s’empressa de fournir a sa nouvelle patronne.
Elle expliquât a chacune que rien ne changeait, seulement ce n’était plus Marco qui commandait mais elle.
Elle leurs fit voir quelle disposait d’une procuration de madame Papini qui la rendait fondée de pouvoirs et entre autre elle disposait de toute la documentation qui démontrait leurs liaisons avec monsieur Marco. Ce n’était pas le cas de nier le fait qu’elles était toutes des putains au service de Marco, mais depuis ce moment elle devraient seulement changer de maître.
Toutes se rangèrent en bon ordre sans oser discuter la nouvelle chef ne paraissait pas plus tendre de Marco et pendant les colloques, elle avaient observé les fesses de Sonia, qui avait du introduire les jeunes en tenant la jupe soulevée pour faire voir comment elle avait été punie, et ce fût surtout sa totale soumission a Lydia qui convaincu les autres jeunes femmes a se soumettre. Il fut évident pour toutes, que la nouvelle gérante était bien plus sévère et dangereuse de Marco.
Lydia se fit rejoindre par Simona, la jeune fille qui était devenue son amante, elle lui plaisait vraiment beaucoup cette petite, et elle promettait bien.
Lydia pris la jeune Simona dans ses bras, et lui dit : « ma petite, on ne se verras pas trop souvent, car j’ai vraiment beaucoup a faire, mais bientôt, tu verras ça ira mieux », et ceci dit elle embrassa la jeune en lui enfilant la langue entre les lèvres, Simone ne résista pas se laissant chatouiller par la langue tendre et mouillée de cette femme autoritaire qui la faisait bander, elle sentit tout de suite ses culottes, se mouiller, elle aurait tellement voulu faire l’amour et quand Lydia la laissa elle se sentit frustrée, avec les larmes aux yeux elle essaya de s’accrocher au cou de Lydia, qui tendre mais décidée se dégagea.
Simona avait été recrutée par Marco, mais il n’avait pas encore eu le temps de s’occuper de cette jeune biche, et Lydia avait compris que la jeune fille avait des numéros pour l’amour et elle était vraiment envieuse de commencer à faire l’amour.
Lydia lui dit quelle aurait dû faire tout ce que Marta lui aurait ordonné, se serait elle qui devrait s’occuper de son éducation.
Simona fit la moue elle n’était pas très contente de devoir être instruite par une autre, elle se sentait plaine d’amour pour Lydia, et c'est pour cela quelle lui obéissait.
Marta était la plus capables des employées, elle savait s’occuper des ventes et connaissait bien tous les clients, elle avait été très amie de Claire quand elle était en activité, et dès quelle avait sû que Lydia était la pupille de sa vieille patronne, ne discuta pas son autorité, et ce changement pour elle était le bienvenu, elle en était très contente.
Entre temps, Lydia avait fait déshabiller Simona, qui était maintenant toute nue et a genoux, et ce fut ainsi que la trouva Marta.
Pour Simona ce fut assez embarrassant, elle adorait se soumettre a Lydia, mais de se faire trouver par d’autres personnes comme ça, elle rougit tenant les yeux a terre et tremblant pleine de honte. Elle ne bougeât pas obeissante aux ordres de Lydia.
Lydia s’entretenait avec Marta faisant semblant de rien, en expliquant quelle devait s’occuper de Simona, l’instruire et lui faire faire de l’expérience, une chose graduelle.
Marta avec un ton de soumission lui répondit d’avoir confiance elle aurait fait selon les désirs de Madame.
Lydia avait voulu attendre au moins un mois, afin que toute les questions soient réglées, avant de passer a la seconde phase de son projet avec Laura. Cette dernière avait démontré pleine confiance en Lydia, elle décida de faire démarrer son plan.
Tout procédait pour le mieux, Laura était confiante en Lydia et pour oublier son chagrin dû a son mari, s’abandonner dans les bras de Lydia c’était la chose quelle désirait par dessus tout.
Son Mari avait été payé avec une petite somme d’argent comme liquidation, et il avait signé une confession de ses activités illégales avec les détournements d’argent de la compagnie, de cette façon toute tentative de chantage avait été éliminée, en tout cas il devrait lui aussi en répondre a la justice.
Lydia était maintenant gagnante sur toute la ligne, et elle était allée signer pour la dernière fois auprès des autorités, elle était définitivement libre, la justice n’avait plus rien à prétendre d’elle.
Elle se présentât chez Laura qui avait repris son habitation, avec ses bagages, en informant cette dernière que depuis ce moment elle était libre et qu’elle aurait pu rester avec elle, Laura accueillit son amie avec une grande joie, ce serait leur maison, leur nid d’amour, sans devoir se cacher comme dans le dernier mois.
Sa solitude était terminée, pensait Laura en aidant Lydia à s’installer dans sa chambre, il restait à définir le divorce, car la seule séparation Légale pouvait être un problème dans les deux années suivantes.
Leur rapport avait progressé, maintenant, Laura se rendait compte qu’elle nécessitait d’avoir une personne auprès d’elle qui la fasse sentir bien et confiante, et aussi qui la protège.
Lydia lui dit quelle devrait venir a la boutique plus souvent, car elle désirait l’avoir toujours a la portée de sa vue autant que possible. Ceci faisait plaisir à Laura qui ne voulait pas contrarier son amie, elle aimait sa façon autoritaire de lui commander, et de se sentir aussi désirée.
Pendant le dernier mois quelles avaient passé ensemble très souvent Lydia avait voulu que Laura reste nue pendant leurs soirées, et de s’occuper de servir a table, et ensuite elle lui donnait des petits ordres comme se faire apporter une boisson pendant qu’elle restait confortablement assise dans un fauteuil a regarder la télé.
Quand Laura s’approchait et lui posait la boisson sur la table devant elle, Lydia en profitait pour lui donner quelque coups pas trop fort sur les fesses, auxquels Laura répondait avec un sursaut et des petits cris, et ensuite riait jouissant de ça comme d’une attention et une appréciation de son corps.
Un matin elles allèrent ensemble à la boutique. Laura pendant la nuit s’était souvent frottée contre Lydia, mais cette dernière avait prétendu quelle reste tranquille, parce quelle était fatiguée, en réalité elle désirait que Laura soit excitée sans pouvoir être satisfaite, elle avait besoin de la savoir très troublée et pleine de désir.
Laura avait passé une nuit terrible, se demandant si Lydia ne s’était pas fatiguée d’elle elle ne la désirait peut-être plus comme auparavant, tout son monde lui parait s’ébranler, mais quand le matin Lydia l’avait embrassée lui annonçant quelles seraient allées ensemble à la boutique tout ses doutes s’étaient dissous comme par enchantement.
Lydia lui dit que sa présence était nécessaire, beaucoup de travail s’était accumulé et il n’était pas convenable qu’elle reste a la maison, une fois faites les enregistrassions des factures, elle aurait du signer les chèques pour régler les fournisseurs, et les salaires, en lui suggèrent que du moment qu’elle n’avait pas de délégation ni étant fondée de pouvoir les payments, elle ne pouvait pas s’occuper de tout ses détails.
Elle la gronda un peu comme une gamine qui avait été paresseuse pendant tout ce temps. Laura reconnaissant quelle avait en effet profité de son amie et quelle n’avait pas été juste de lui abandonner tout le travail se sentait honteuse, ses joues montrèrent sa honte car elle devint rouge, elle baissât la tête, ne sachant que répondre.
Après un long moment embarrassé, elle dit « excuse moi, si tu veux on pourrait fixer un rendez vous chez le notaire, et on fait les papiers pour que tu puisse administrer le tout, tu sais que je t’avais promis le 40%, et je ne l’ai pas oublié, mais tu comprends avec tous ses bouleversements je me sentait toute étourdie et n’avait envie de rien faire, tu me pardonnes ? ».
Lydia la regarda froidement et répondit : « tu sais ce que je pense de ton argent ? Je m’en fout, je veux seulement qu’on puisse travailler tranquillement, tu pense que je sois intéressée a devenir ton associée ? Mets moi simplement dans les conditions de travailler ».
Laura était plutôt étonnée, pourquoi son amie ne voulait pas devenir son associée, elle en était complètement abasourdie, ne comprenant pas.
Elle voulait savoir pourquoi et elle commença a la questionner sur ses raisons, elle eût encore une fois peur de rester seule, son amie peut-être ne voulait pas s’engager ; elle ne voulait surtout pas rester seule et elle eût une petite crise, des larmes mouillait son beau visage, son mari l’avait trompée, et maintenant l’idée que Lydia pouvait ne pas rester avec elle lui était totalement insupportable.
Elle commença à faire une jérémiade à son amie, en la reprochant de ne pas vouloir prendre au sérieux ses sentiments et d’avoir jouer avec elle.
Lydia qui était tranquillement assise dans le fauteuil patronal, regardait le désespoir le Laura debout devant elle.
Elle laissa qu’elle s’essouffle, et sa plainte arrive a sa fin, Laura maintenant sanglotait ne réussissant plus a parler, Lydia se levât, s’approchât, sa proie était maintenant cuite et elle devait simplement la cueillir, lui pris le menton dans ses doigts et souleva son visage, et la fixa dans les yeux. Laura était troublée, les larmes donnaient une couleur intense à ses yeux qui paraissaient encore plus beaux, tandis que ceux de Lydia étaient froids et durs.
Lydia gifla Laura sur les joues, puis lui sourit, et lui dit de ne plus se permettre de hausser la voix avec elle.
Elle poursuivit : «tu es a moi, tu m’appartient et je ne te laisserait jamais, tu dois être un peu plus confiante en moi, et tu ne peux pas m’acheter avec une simple participation sociétaire. C’est clair ? ».
Laura essayât de l’embrasser heureuse de l’entendre parler comme cela, elle lui appartenait, mais Lydia la repoussât en disant « alors c’est clair ? », « oui, oui, bien sur c’est clair ma chérie je ne veux pas t’acheter, je t’appartiens corps et âme, j’ai besoin de toi ».
A la suite de cette séance, dès quelles furent rentrées à la maison, Lydia pris sa copine passant son bras autour de sa ceinture, et lui dit : « maintenant on va au lit, j’ai besoin aussi de jouir », Laura fut rassurée, sa copine avait encore envie d’elle.
Dans la chambre a coucher, Lydia se fit déshabiller par son amie et lui dit : « tu seras mas petite exclave, et tu me déshabilleras, et tu me rhabilleras le matin, tandis que toi tu seras toujours nue chaque fois que nous serons a la maison, je te désire comme ça, soumise comme maintenant ». Elle se tu pour voir la réaction, mais Laura commença a la déshabiller et des que Lydia fut nue, cette dernière lui répéta la question « alors tu as compris ce que je veux de toi ? ».
« Oui, que je sois ton exclave, et je t’aime, je veux être ton exclave ».
Lydia s’assit sur le lit, et elle dit, « viens mets toi a genoux, et lèche moi la chatte, fais moi jouir ma biche ».
Laura obéit volontiers et a genoux s’approcha un peu pour pouvoir arriver bien sur la chatte de sa bon amie, Lydia était déjà mouillée. Impatiente Laura appuya ses lèvres sur la chatte de Lydia e sépara les lèvres et se mit a lécher di bonne haleine elle passa sur la longueur, puis arriva a son clitoris le pris entre ses lèvres e le léchât avec acharnement Lydia était partie pour un orgasme qui la faisait se démêler et agiter sur le matelas.
Elle appréciait particulièrement la caresse de la langue de sa copine, et quand elle jouit avec un cri de plaisir, Laura avala tout son jus qui coulait abondamment, et Laura monta sur sa copine s’étala sur son corps, sein contre sein ventre contre ventre et commença a se frotter contre Lydia.
Leurs bouches se collèrent, un long baiser avec les langues qui se cherchaient comme dans un duel.
Ce fut une nuit intense d’amour ou toute deux voulaient donner le maximum de plaisir a la compagne, et ceci jusqu’au moment ou elle s’endormirent dans les bras l’une de l’autre.
Le matin a huit heures el réveil sonna ponctuel, Lydia rapidement se leva et alla se doucher, Laura préparas le petit déjeuner.
Lydia dit a Laura quelle désirait aller vite au travail, et que elle devait faire rapidement la vaisselle avant l’arrivée de la femme de ménage.
Laura pensait a une blague, et lui répondit que la blague avait assez duré, et continuer ce serait ridicule.
Lydia se fâchât, et lui dit que si elle ne voulait pas se rendre utile a la maison et a faire le ménage, alors il fallait quelle aille travailler a la boutique, « tu es trop habituée a ne rien faire, dans la vie il faut avoir des travaux a faire on ne te donne rien pour rien, tu es trop paresseuse et cela ne me plait pas ».
Laura regarda perplexe son amie elle ne plaisantait pas, elle parlait très sérieusement, elle répondit que si elle l’aimait elle aurait bien du l’accepter avec ses défauts, au fond elle lui avait bien démontrer son amour en la faisant son associée, c’était une preuve tangible quelle tenait a elle.
Lydia répondit : tu as promis d’être a moi corps et âme, tu m’appartiens tu es mon esclave, une esclave d’amour et tu dois m’obéir ».
« Je t’obéis quand on joue a l’amour si tu veux me fesser bien, mais pas dans d’autres circonstances, j’ai les moyens de me payer une femme de ménage et alors tans pis pour ce qui ne peuvent pas, je ne puis rien y faire et alors je n’ai pas nécessité de faire la bonne » rétorqua Laura.
« Non tu ne peu plus, dorénavant c’est moi qui décide, tu ne peu plus rien faire ni dépenser je bloquerai tout tes comptes bancaires, tes cartes de crédits, hier chez le notaire tu as signé que vu les problèmes que tu as eu par le passé, tu me laisse la gestion de toutes tes affaires, ton médecin as émis un certificat médical que tu as de sérieux problèmes et je suis devenue ta tutrice, tu dépend totalement de moi, même pour t’acheter des biscuits ».
Laura était complètement choquée, sans paroles, Lydia la fit asseoir et lui expliquât que avec ce qui c’est passé avec son mari, il est très dangereux pour elle-même quelle doit se rendre compte que la meilleure solution pour lui éviter de faire des sottises pour son attitude auto-déstructrice la meilleure chose c’est de ne faire qu’une chose obéir a qui l’aime vraiment et la comprend, qui connaît ses éxigeances mieux d’elle-même pour elle la meilleures solution c’est de se soumettre, car elle est une petite putain masochiste, encore pas complètement consciente de soi, mais c’est sa vraie nature. Tout se discours Laura l’écouta bouche bée.
« Si tu te soumet, tu trouveras ton idéal de vie, ce que tu désire vraiment et moi je te le donnerai ».
Laura était complètement sonnée et n’arrivai pas a réfléchir, une forme d’étourdiment s’était abattu sur elle, et en effet elle lui révélait quelques chose sur les sensations que si souvent elle avait ressenti en certain moment et qui la troublaient énormément.
Même en ce moment, en écoutant ce que Lydia lui disait elle sentait une forme abject de plaisir une pression dans le bas ventre, ces lèvres étaient mouillées, elle sentait une grande chaleur monter partout, oui elle risquait de jouir seulement en se sentant entre les mains de son amie qui la voulait soumise.
C’était de la folie, mai alors pourquoi, elle ne réussissait pas a penser et désirait seulement que Lydia la touche ou lui ordonne de la toucher, elle se sentait éprise d’une anxiété et d’une forme d’excitation perverse.
Mais elle ne voulait pas faire voir a son amie quelle se rendrait aussi facilement, admettre son désir d’être soumise, s’était assez honteux, cette honte lui était aussi fonte d’excitation, elle se dit quelle était malade, comment accepter d’être masochiste ?
Les sensations quelle éprouvait dans son corps, étaient en total contraste avec sa dernière pensée, un plaisir subtil, faisait trembler ses membres.
Lydia voyait que Laura était combattue dans ses sentiments, il fallait l’aider à se connaître.
Lydia la pris dans ses bras, elle lui passa la main dans le dos, descendant lentement le long de sa colonne vertébrale avec une légère pression, jusqu'à ses fesses, e Laura eu un réflexe de pousser en arrière ses fesses, contre la main de son amie sans i réfléchir, elle voulait sentir mieux la caresse.
Lydia la caressait très doucement lentement et avait introduit l’autre main entre les jambes de Laura, les réflexes de Laura répondirent immédiatement elle ouvrit ses cuisse pour permettre a son amie de rejoindre le centre de son plaisir, ou déjà elle coulait abondamment.
Elle plia les genoux, et poussa son ventre à la rencontre des doigts de Lydia, elle fut très vite pliée par l’envie de jouir. Lydia lui chuchota quelle était une petite garce qui aimait la perversion. Lydia entraîna Laura sur le divan où elles tombèrent l’une sur l’autre et les jupes de Lydia se soulevèrent, comme cela Laura pu aller toucher à son tour sa copine pour la faire jouir.
Laura se rendit sur toute la ligne pliée par le plaisir elle confirma a son amie d’être a elle : « je t’appartiens complètement tu feras de moi ce que tu veux » et alla avec sa bouche a la recherche du centre du plaisir de Lydia affondant dans sa feminilité avec sa bouche et léchant avec dévouement.
Elles arrivèrent au bureau ensemble, et trouvèrent la boutique ouverte, les employées toutes à leur place. La secrétaire dit a Lydia qu’une jeune femme l’attendait dans son bureau, une certaine Joséphine qui affirmait avoir un rendez vous avec elle.
Entrées dans le bureau, une splendide jeune femme de moins de trente ans a la peau un peu plus que bronzée ce qui démontrai son origine de couleur. Elle était très belle, les cheveux noirs très lisses, les yeux étaient violets, les traits de son visage, très délicats, d’une régularité impressionnante, haute avec un corps très sensuel que son complets mettait en évidence, une femme splendide.
Lydia se présentât, et lui dit en la tutoyant : « c’est moi qui t’ai contacté, as-tu reçu de Claudia les instructions ? » « Oui madame, elle m’as ordonné de me mettre à votre disposition » répondit la jeune femme.
Lydia lui présenta la secrétaire Sonia, et se retournant vers Laura dit a haute voix « voilà, elle c’est mon esclave Laura, c’est une de celle qu’il faut dresser », Laura en entendent comme elle venait d’être présentée, par Lydia a cette inconnue rougit d’honte et des larmes d’humiliation lui coulèrent sur les joues, mais après l’explication du matin n’osa rien répliquer.
Sonia surprise que même la patronne,l’orgueilleuse et hautaine madame Pampini se retrouvait a être soumise comme elle, l’esclave de Lydia la fit sourire et la fixa longuement, mais Laura tenait la tête basse les yeux rivé au sol, trop humiliée pour oser regarder autour d’elle.
Lydia voulut donner une démonstration et ordonna a Joséphine de se déshabiller, la fit plier sur le bureau, et prise une cravache s’approcha caressa les fesses de Joséphine bien tendue et offertes, lynx dit : « tu as une peau et un cul splendides, je te donnerai six coups c’est pour que nous soyons claires entre nous, je te punirai chaque fois j’en aurai envie, et tu seras une démonstration pour ses esclaves néophytes ».
« Oui madame, c’est vous la maîtresse », répondit Joséphine.
Lydia donna six coups comme annoncé bine fort sur les belles fesses de la Belle mulâtresse, qui broncha a peine supportant sans un cri les coups de cravache.
S’adressant a Laura lui fit remarquer comment Joséphine était bien dressée, elle voulait d’elle le même dévouement.
Elle ordonna à Laura de se mettre nue, et cette dernière avait une grande honte à le faire devant les autres. Sonia toujours présente se réjouissait de voir sa patronne soumise par la nouvelle maîtresse des lieux.
Une fois nue Laura attendait avec les mains protégeant son pubis, Lydia lui donna un petit coup de cravache et lui ordonna de mettre les mains derrière le dos.
Laura s’exécuta, bien que se n’était pas facile de se montrer nue, Lydia dès que Laura fut en position ordonna à Sonia de convoquer Marta et Simona.
Quand les deux employées se trouvèrent devant Laura nue furent surprises, et c’était leur jeune et belle maîtresse qui menait le jeu, la belle madame Pampini et une Mulâtresse très belle étaient nues devant leur dominatrice. Un spectacle exaltant de leur point de vue, jamais elles n’auraient imaginé de voir madame Pampini leur datrice de travail la propriétaire nue dans son même bureau.
Cette situation bouleversait Laura qui voyait désormais sa dignité piétinée, rouge jusqu’au oreilles, sa poitrine se soulevait rapidement sa respiration étant très rapprochée, comme si elle avait fait une course, et elle transpirait une sueur lui descendait dans son dos et dans le creux des seins, ses mains étaient moites, mais entre ses jambes elle sentit l’excitation de al honte qui la gagnait, elle coulait, tous ses muscles tendus, la tête était lourde incapable de se concentrer elle sentait bien dans ses oreilles les battements de son cœur,qui étaient très accélérés.
Quand les deux employées furent a al hauteur de Lydia, elle pris une main de Laura et l’obligea a se mettre de travers de ses genoux, Laura se plia mais elle lança un regard suppliant a sa maîtresse, avec les yeux pleins de larmes pour quelle lui épargne cette humiliation. Mais les traits de Lydia durs lui firent comprendre quelle ne serait pas épargnée, son regard perçant l’obligea a détourner le sien, une fois placée la main de Lydia caressait les fesses de Laura qui frémissait sous sa main en attendant la punition.
Le premier coup s’abattit sur la fesse, laissant une trace rouge de la main imprimée, sur la belle peau blanche de Laura, cette dernière sursauta. Par la suite les coups arrivèrent très forts et avec une cadence régulière, Lydia avait une main ferme et forte, et pendant plusieurs minutes elle maintient la même force, Lydia est impitoyable, les belles fesses di Laura deviennent d’un rouge intense très foncé, Laura pleure et gémit maintenant de douleur elle sent les fesses brûler, et supplie sa maîtresse d’avoir pitié d’elle. Mai Lydia s’arrête seulement quand elle voit que la pauvre est sans forces et ne supplie même plus.
Lydia tient une main posée sur les fesses brûlante de son amie, elle sent très bien que les sanglots la secouent la pauvre petite a très souffert pour sa première punition devant un public mais se ne serait pas la dernière. Avec sa main appuyée sur les fesses de sa petite amie elle démontre sa possession, Laura pourrait même se soulever, mais elle reste immobile attendant des ordres.
Toutes les jeunes femmes présentes sont troublées par le spectacle, et donc plus d’une se frotte les cuisses sans trop se faire remarquer, car elles désirent se soulager d’être excitées par le spectacle.
La patronne qui leur donnait du travail, qui signait les chèques de leurs salaires fessée comme une gamine sur les genoux d’une de ses dernières employées, qui est devenue sa patronne. Au temps de Marco elles n’auraient jamais imaginé une chose pareille.
Lydia expliqua que depuis ce moment, elle était sure d’avoir démontré qui commandait sans qu’il n’y aient aucun doute, et elle n’aurait permis a personne de discuter ses ordres, sous peine de punitions même plus sévère que celle dont elles étaient témoins.
Toutes acquiescèrent.
« Bien du moment que nous sommes toutes bien d’accord je vous informe que Joséphine est la nouvelle directrice, ici elle est al seule après moi à pouvoir commander ».
Marta en resta bouche bée, cette belle mulâtresse aurait pris sa place, elle pâlit, mais n’osa pas répliquer, le regard de Lydia était fixe sur elle et elle ne lui laissait aucune possibilité, cette jeune femme savait commander, et elle n’avait aucunes possibilité, elle devrait se soumettre.
Lydia offrit a Joséphine al cravache quelle avait auparavant employée sur ses fesses, en lui disant « prend connaissance des lieux et du personnel,Marta te mettra au courant depuis longtemps elles on toutes été dressées a obéir, seulement les maîtres on changé ». Joséphine se rhabillât et ordonna à Marta de lui faire connaître les autres filles.
Sonia était restée là, en silence fascinée par les fesses de madame Pampini qui se trouvait encore en travers des genoux de Lydia.
Quand Lydia la congédia, elle disparut se rendant immédiatement dans son bureau, elle se mit au travail en essayant de se concentrer mais les événements avaient été trop piquants.
Simona était encore là, la plus jeune des employées, la première qui était devenue l’amante de la belle dominatrice Lydia.
Quand Lydia decida de faire soulever Laura, cette dérinière n'osat pas bouger consciente que Simona se trouvait dans la même salle et quelle aurait dû la regarder, une honte profonde la bouleversait, et malgrés tout une excitation malsaine l'emparât au bas ventre.
Une belle gifle sur les fesses de la part de Lydia lui firent comprendre quelle s'impatientait. Alors Laura se soulevat lentement, le visage mouillé de ses larmes, et sa chatte mouillée de ses humeurs qui l'excitaient malgrés elle.
Honteuse elle resta debout devant sa maîtresse. Qui l'apostrofa en lui demandant si elle ne voulait pas ouvrir les jambes pour montrer a Sonia combien elle était vache.
Laura se mit a pleurer en suppliant elle s'agenouilla devant Lydia lui demandant de lui épargner cette humiliation.
Lydia Travaillait depuis deux mois, dans la boutique de mode de madame Laura Papini, laquelle avait accepté de la prendre pour une période d’essai de trois mois. Cet accord était très important pour Lydia, les services sociaux lui avaient permis de sortir de prison après deux années d’internement pour bonne conduite.
Elle avait étudié pendent son emprisonnement, en réussissant a prendre son bac. Ce n’avait pas été facile du tout, heureusement elle avait connu Claudia qui l’avait prise sous son aile protectrice, évidemment, elle en était devenue l’esclave, devant toujours la satisfaire sexuellement, mais c’était mieux que de servir de punching Ball et se faire cogner dessus par les autres filles détenues jusqu'à quand elle ne serait devenue leur jouet.
Elle était vraiment belle et donc pour ça chance, Claudia l’avait choisie pour son Caravan sérail, de cette façon comme esclave de Claudia personne n’osait la toucher.
Claudia l’avait prise en grande sympathie et donc la protégeait de toutes, et l’aidait aussi pour ses études.
Lydia dans cette position de privilégiée, avait appris à soumettre les autres filles, sous la guide de sa maîtresse Claudia.
Au moment de sortir Claudia lui donna un certain nombre d’adresses pour le cas ou elle aurait besoin de quelque chose.
Claudia était une Maîtresse, qui avait dirigé avant d’être enfermée, une organisation qui mettait a disposition de clients très riches, des femmes soumises, mais son amant, avait voulu être trop gourmand e l’avait trahie.
Lydia au contraire n’avait rien fait d’illégal, seulement elle aussi devait son emprisonnement à son fiancé, lequel avait caché de la drogue dans son appartement, sans rien lui dire. Elle avait été condamnée, malgré tout, pour complicité.
Encore un mois et elle serait libre, et pourrait peut-être se refaire une nouvelle vie.
Lydia était une jeune femme de vingt et un an, elle était très jolie, une chevelure noire, des yeux verts, des jolis nichons pas trop gros, mais bien plantés sur sa poitrine, des demis pommes qui avaient la forme d’une coupe de champagne, avec des téton plus foncés, des fesses bien rondes qui étaient un spectacle au dessus de ses longues jambes, comme celles d’une danseuse, un cul que Claudia avait bien aimer fesser pendant leurs moments intimes.
Lydia pouvait bien être considérée plus belle de beaucoup d’actrices de cinéma.
Le mari de Laura qui dirigeait leur boutique, avait tout de suite remarqué cette jeune beauté, et pensait de pouvoir en profiter, comme il faisait avec les autres employées.
Mais cette fille était d’une autre trempe, il avait bien des fois essayé de la toucher en faisant semblant que ce soit involontaire. Lydia c’était bien aperçue que cet individu voulait l’avoir inscrite dans son palmarès, comme pour toutes les autres employées, et elle avait remarqué comment il s’appartait avec quelques une des employées de temps a autre dans les cabines d’essayage. Quand il devint un peu plus hardi, elle l’affronta avec un ton dur, en lui disant clairement de ne plus la toucher, et en disant cela elle lui pris les doigts de la main et d’un mouvement rapide les lui tordit en arrière, l’homme surpris fut obligé de s’agenouiller a cause de la douleur, et aussi pour essayer de s’échapper de cette position de faiblesse.
Lydia lui parla a l’oreille, toujours en continuant de le tenir dans cette position humiliante, « petit con, tu n’es rien d’autre qu’un trou du cul, je peut te casser les doigts comme et quand je veux, et si tu me cherche encore, je vais chez ta femme et je lui donne les photos de toi et de tes copines ».
« Comment ? » s’écria t’il. Elle répondit « oui mon petit, j’avais bien remarqué tes petits manèges, et depuis le premier jour, je savais que tôt ou tard tu aurais voulu me faire marcher dans ton petit cirque, alors j’ai pris mes précautions, avec quelques photos qui ni toi ni tes copines étes réussi a me voir pendant que je les faisait, tu me trouve douée non ? ».
« D’accord » répondit Marco « je ne te toucherait plus » et alors la belle Lydia le lâchât.
Marco se défila, et s’en allât dans son bureau, cette garce l’avait humilié il en était hors de lui, il désirait le lui faire payer.
Rentré dans le bureau, se sentant très frustré il regarda la secrétaire avec un sourire de cruauté au coin des lèvres. Il l’interpellât « Sonia, met toi en position, les fesses bien en l’air, et vite » Sonia était habituée a obéir a son patron, elle soupira et se leva, fit tomber la jupe a terre, et se mit penchée sur la table et abaissa ses culottes jusqu'à mi-cuisse, Marco se plaça derrière elle, il avait une petite cravache a la main « ne bouge pas, je te donnerai seulement six coups » il frappa les belle fesses que lui offrait la secrétaire, un coup sec qui claqua et marquant la peau, en traversant les deux globes blancs, un raye rouge apparut immédiatement sur ces fesses splendides, la jeune Sonia poussât un gémissement quelle essayait de suffoquer pour ne pas faire fâcher Marco.
Dés qu’il terminât de battre la jeune secrétaire, il s’approcha sortit son penis qui était devenu si dur qu’il lui faisait mal, et la pénétras dans son vagin qui était bien mouillé.
Il la baisait avec violence, a chaque coup il l’insultait, « tiens garce, petite salope, tiens dans ton con ma bite prend la comme il faut, je te donnerai toute ma crème ».
Sa pensée était adressée a Lydia et a ce qu’il aurait tant désiré lui faire, car elle avait osé le repousser, la salope, c’était bien la première fois qu’une femme osait le repousser et surtout l'humilier.
Il pensait a comment prendre sa revanche, mais il n’avait aucune idée qui puisse fonctionner, il lui faudrait trouver les photos, les détruire, toutes ces pensées pendant qu’il baisait sa secrétaire, le faisaient durer plus longtemps que d’habitude, il la lima pendant une bonne demi heure, en la faisant jouir plusieurs fois, la jeune femme se sentait complètement épuisée.
Il était si distrait dans ces pensées qu’il ne se rendait pas compte des risques qu’il courait en restant dans le bureau si longtemps dans cette situation.
Lydia en ces deux mois avait bien compris tout ce qui se passait dans cette boutique, Marco était simplement un gérant qui avait trouvé le moyen de satisfaire ses fantasques, en profitant de la position acquise avec son mariage, dans le dos de sa femme qui n’ayant jamais vraiment travaillé, car elle avait hérité ce qu’elle possédait et donc avait trouvé très commode laisser son mari s’occuper de tout, du moment qu’il avait été l’employé de son père.
Le seul risque pour Marco s’était venu a créer du moment que sa femme venait au bureau tout les matins, pour signer la correspondance avec les banques, en se donnant l’air d’une femme qui travaille.
Marco avait été le plus proche collaborateur de son père, pendant quatre années, il s’était acquitté de cette tache avec capacité, et son Beau-père lui avait donné une certaine confiance.
Il lui permit de gérer la partie du travail qui comprenait le contact avec la clientèle, qui était de haut niveau.
Pour habiller cette clientèle, ils devaient disposer de matériel de choix, étoffes de grande qualité, ils avaient aussi le rayon pour les chaussures, faites sur commande, mais le point fort c’était la haute couture, pour hommes et pour femmes.
Le rayon de la lingerie était le plus particulier, avec des commandes très spéciales, la clientèle sélectionnée, désirait voir endossée la lingerie, pour cela ils avaient organisés que les leurs jeunes employées, devaient être disponibles a faire les mannequins et ce prêter a défiler avec la lingerie devant les potentiels clients.
Ses employées étaient donc sélectionnées avec attention, et seulement celles qui acceptaient de se soumettre aux exigences des patrons et de la clientèle étaient engagées tout de suite.
Marco et son beau-père, avaient très bien organisé leur petite écurie, de jeunes esclaves qu’ils pouvaient même prostituer avec leurs clients, qui de cette façon devenait une clientèle très fidèle.
Ils faisaient un double travail, les commerçants et les maquereau. Marco était sur d’hériter et de devenir le propriétaire, mais se fut sa femme seule qui héritas le tout.
Et sa femme s’était mise en tête de participer à la gestion. Laura ne savait absolument rien de cette deuxième activité, et ne l’aurait jamais su, car son mari c’était bien gardé de lui en parler.
Lydia qui était une jeune qui avait bien appris à connaître les hommes, avait très vite dévoilé le mystère de la boutique de madame Pampini. Sa Maîtresse en prison lui avait raconté quelle avait un amant, et c’était le père de Laura Pampini, il l’avait éliminée des affaires quand les choses commencèrent à mal tourner entre eux.
Lydia avait découvert tout cela après avoir été engagée, elle avait connu en premier Laura, et donc ce n’était pas Marco qui l’avait engagée, par la suite elle découvrit que Laura était la fille de l’amant, dont lui avait parlé sa maîtresse Claudia en prison.
Madame Laura ne venait au bureau que trois fois par semaine, et seulement le matin de dix heures a midi.
C’est donc aussi a cause de son absence quelle n’aurait jamais pu comprendre ce qui se passait, pratiquement sous son nez.
Marco était bien planté dans la vulve de sa secrétaire, en oubliant toute prudence, a cause de sa rage, quand Laura entra dans le bureau, le spectacle fût pour elle un véritable choc, comment accepter de voir son mari qui baisait avec la secrétaire, elle resta figée a fixer son mari qui s’agitait dans le con de la secrétaire, complètement absorbé par son désir de jouir.
Les larmes emplirent les beaux yeux de Laura, elle se mit a trembler, dans tous ses membres, mes complètement muette due a la honte, et a la déception de se voir trahie.
Les deux amants ne s’aperçurent point de sa présence, Laura toujours en silence continuait de regarder ce spectacle incapable de bouger.
Lydia qui avait bien imaginé se qui se serait passé, quand elle vit Laura rentrer c’était mise en guet, elle s’approcha et la pris par un bras, la retira en arrière. Laura se laissa faire complètement prive de force, ni de volonté. Lydia la fit appuyer au mur, et ferma la porte.
Les deux imprudents ne s’aperçurent de rien, trop occupés par leur accouplement. Elle pris Laura par les bras et lui chuchota a l’oreille : « viens avec moi, il ne faut pas rester ici ». Elles sortirent, Lydia tenant Laura par les épaules, en la réconfortant, elles rencontrèrent une novice, laquelle travaillait seulement depuis une semaine dans la maison, et Lydia avait déjà pris la petite dans sa souricière, en passant deux jours d’amour ensemble. La jeune Simona, était déjà éperdument amoureuse et dépendante de la belle et autoritaire Lydia.
Lydia dit a Simona de ne rien dire a personne quelle s’en allait avec madame, si on lui demande elle doit seulement dire qu’elle c’est absentée pour aller a la pharmacie.
Personne ne s’était aperçu que madame Laura était entrée dans le magasin et en était ressortie, cela lui donnait un bon avantage pour son plan.
Elle se fit donner de Laura les clés de sa voiture, et la raccompagna à la maison. Laura complètement bouleversée parait dans un état de somnambulisme duquel elle ne réussit a se reprendre, et surtout maintenant que quelqu’un s’occupe d’elle, s’abandonner totalement est vraiment la seule chose qui l’intéresse, la seule réaction se note sur son beau visage aux traits délicats, qui est mouillé de larmes, le rimmel de son maquillage coulant sur ses joues, elle est vraiment effondrée, et donc une bonne proye pour la belle Lydia, et Laura lui était si reconnaissante de sa tendresse de lui rester proche dans ce moment difficile, ce qui arrange les plans de Lydia, et qui constitue un pas vers la reddition de Laura.
Sa belle collaboratrice qui sortant de prison avait trouvé chez elle la possibilité de reprendre une vie saine et honnête, avait de la tendresse vers elle, qui se sentait si seule en se moment trahie par son mari auquel elle avait donné tout ce dont elle pouvait, sa tendresse, son amour qui maintenant était bafoué.
Heureusement Lydia était là, elle n’aurait pas su quoi faire si elle était restée seule dans ces terribles instant ou la découverte de la trahison de Marco s’était montrée a elle, jamais elle n’aurait cru possible, cette trahison si quelqu’un lui aurait dit que son mari la trompait, elle ne l’aurait jamais cru, mais elle avait découvert ce terrible fait de ces propres yeux.
Lydia la conduit a son appartement, et la fit déshabiller, elle lui parlai comme on parle a une gamine ou a une malade, dans ces cas il faut prendre un bon bain chaud, se boire un cognac, et comme ça très calmement réfléchir sur les décisions a prendre.
Laura voyait en Lydia sa sauveuse, sa protectrice, en ce moment sa seule amie et son soutien moral, dans la douleur déchirante quelle éprouvait.
Elle se laissait déshabiller et conduire dans la salle de bain, c’était vraiment très agréable de ne pas penser, de se faire guider, dans cet abandon langoureux, oubliant qui elle était, ou elle était, c’était trop bon et comme ça elle ne souffrait plus. Elle ne voulait plus prendre de décisions seulement s’abandonner dans les mains de son amie qui la traitait si bien, Laura se sentait totalement incapable de faire quoi que se soit.
Lydia prépara la baignoire, lui donna un verre de cognac, qui se répandit dans son estomac lui donnant une sensation de chaleur, elle se laissa conduire dans la salle de bain et s’assit dans la baignoire, l’eau était bien chaude, délicieuse.
Elle se sentait mieux, les mains de Lydia sur con corps qui la caresse, et lui donne une sensation de tendresse et de plaisir surtout quand ses doigts passent sur les pointes de ses seins.
Lydia l’avait caressée tendrement comme si c‘était une fillette, le bain lui donna une sensation d’abandon total même quand elle avait senti que les doigts de Lydia avaient pénétré dans les plis de sa petite chatte qui s’état instantanément mouillée, Lydia avait bien remarqué que Laura était troublée par ses caresses, elle continua de la laver en s’approchant du sexe de Laura mais en évitant tout contact direct, après quelques minutes, Laura commença a faire balancer son bassin, s’était un réflexe inconscient mais elle désirait avoir des caresses, pour jouir. Lydia voulait que se soit Laura qui lui demande de la faire jouir, et ses caresses étaient très troublantes, grâce a son expérience. Elle voulait faire perdre à la belle Laura tout complexe, elle continuait à lui masser les seins comme s’il s’agissait d’un massage relaxant. Laura s’était soulevée a genou dans la baignoire en exposant mieux sa poitrine, offerte aux doigts habiles de Lydia.
Elle sentait l’exigence d’avoir quelque chose de plus.
Lydia connaissait bien les femmes, elle savait que cette jeune et belle bourgeoise était certes orgueilleuse, mais son orgueil était dû a sa formation, c’était une femme qui aurait aimé avoir un maître et avec son mari elle était en quelques sorte une soumise mais a moitié.
Marco n’avait pas la capacité de comprendre les nécessités et le coté sombre de l’âme de sa femme, et il n’avait pas le courage d’agir avec elle comme avec les autres femmes, car c’est Laura qui est propriétaire de la société.
Le père de Laura lui avait fait signer un contrat pré-matrimonial, lui il serait seulement le gérant, mais jamais le propriétaire de la boutique.
Lydia attendait patiente en massant le corps de Laura qui s’agitait sous ses doigts, ses fesses se soulevaient en s’offrant a la belle Lydia, mais bien qu’elle souffrait de son désir frustré, et il était évident car, sa respiration était très accélérée, elle n’osait pas demander d’être caressée, d’être touchée entre ses jambes ou elle sentait sa chatte qui coulait son excitation.
Laura n’en pouvait plus, avec un soupir elle se résignât a prononcer des mots : « Lydia, je t’en prie, arrête toi, je veux sortir, sinon termine ce que tu as commencé ».
Lydia : « que dis-tu ? », « fait moi jouir, ou laisse moi sortir » prononça Laura. Lydia sentait bien que la voix de Laura était troublée, mais elle ne voulait pas que cette dernière pense qu’elle lui ferait plaisir de la toucher.
Alors elle lui demanda : « tu veux que je te fasse jouir ? », en rougissant Laura répondit « oui » dans un souffle de voix a peine perceptible.
Lydia sentait quelle avait gagné la partie et insistât : « demande moi de te faire jouir avec plus de gentillesse, et dit surtout s’il vous plait, en me vouvoyant ».
Laura était trop désireuse de jouir : « Je vous en prie faites moi jouir ».
Alors lentement Lydia fit passer ses doigts sur les grandes lèvres, elle sentit comme sa victime était très mouillée, et ceci, elle le considérait comme un bon signe pour ses projets, elle enfila trois doigts dans le vagin de Laura, et celle-ci émit un soupir de satisfaction.
Quelques va et viens dans la chatte inondée de Laura et celle-ci vint sur sa main avec force, s’était un orgasme prolongé, qui fit secouer le corps de Laura, elle était très chaude la belle bourgeoise, et Lydia en fut heureuse, elle aurait sû profiter de son potentiel sexuel, en la modelant selon son propre désir.
Une fois que Laura eût jouit, elle s’effondra dans la baignoire, Lydia commença à la laver et rincer a nouveau.
La pauvre Laura était honteuse maintenant pour avoir du demander a Lydia de la faire jouir, pourquoi se sentait elle comme çela faible, comment ses sens l’avaient subjuguée au point de lui enlever tout sens de retient. Mais la faiblesse la rendait sujette à la jeune employée, et pour le moment bien que ressentant la honte son visage était pourpre en effet, elle décida de s’abandonner, c’était un moment de faiblesse qui peut arriver dans la vie, elle se sentait entre les mains de son employée, et ceci lui donnait un sens d’excitation étrange qu’elle ne comprenait pas, un désir de s’abandonner totalement de ne plus penser a rien.
C’était Lydia qui décida quand la faire sortir de la baignoire, et l’essuya avec un linge qu’elle avait trouvé comme si elle était chez elle.
Une fois sèche, Lydia laissa tomber le linge en la laissant toute nue, et comme ça la conduit à travers l’appartement. Laura avec Lydia à ses cotés toute habillée, se laissait faire, obéissante sans aucune volonté.
Lydia accompagna Laura jusque dans sa chambre et lui fit des câlins comme si elles étaient amantes depuis longtemps. Laura ne résista à aucun moment, sous la caresse de Lydia comme si elle avait nécessité de ses tendresses, comme de l’air qu’elle respire.
Dans le lit, Lydia aussi se déshabilla complètement, et se mit sur le corps de Laura qui n’osait pas bouger, elle avait trop besoin de se sentir aimée et malgré tout cette situation la rendait si réceptive d’un besoin de plaisir, pourquoi y renoncer.
La souffrance pour la tromperie de son mari, était maintenant passée pour laisser la place au désir, elle voulait oublier complètement Marco, seulement ce que Lydia lui faisait comptait pour elle en ce moment. Elle se serait jetée dans les bras de quiconque pour un peu de plaisir et pour oublier la souffrance que son mari lui avait infligée avec son attitude de salaud, la tromper avec la secrétaire,c’était trop.
Lydia savait bien quoi faire pour pousser dans un état de folie de plaisir, et Laura se laissait conduire par elle confiante dans celle qui l’avait soutenue tout de suite en lui empêchant de s’effondrer.
Laura avait jouit mainte fois pendant le traitement de Lydia, elle sentait ses mains et sa langue partout, elle avait bû tout ses jus qui coulaient copieusement. Lydia s’était retenue.
Lydia avait envie de jouir, mais elle voulait maintenir le contrôle de la situation, et son entraînement le lui rendait possible, sa maîtresse Claudia lui avait bien appris comment dominer son corps.
Quand elle vit que Laura s’était relaxée, après les émotions auxquelles elle avait été soumise, elle lui parlât : « écoute, je sais que tu souffre pour avoir vu ton mari avec une autre femme, mais ceci n’est rien, si tu savais qu’il oblige toute ses employées a se donner a lui, il l’as toujours fait. Il a essayé même avec moi, ce matin même, mais il a risqué que je lui casse les doigts ».
Laura était émerveillée, cette jeune femme, avait en elle une force incroyable, elle avait tenu tête a son mari, et elle s’aperçu aussi que Lydia la regardait comme un homme avec le même désir de possession, c’était une proie, sa proie, elle lui racontait d’avoir affronté Marco physiquement e l’avait mis a genoux, et ceci la rendit heureuse, et aussi admirée devant cette jeune femme très belle.
Alors elle voulut savoir si Lydia l’aiderait à se protéger. Que fera son mari se elle lui parle de divorce, Laura n’avait pas le courage d’affronter cette situation.
Même si dans le passé elle avait eu des doutes dur Marco, elle s’était trouvée a se demander souvent si lui la trompait quand il rentrait tard le soir, mais son père avait toujours dissipé ses doutes car il avait dit qu’il travaillait, et depuis lors elle avait toujours eu une confiance aveugle envers son mari.
Elle confia a Lydia quelle n’avait pas le courage d’affronter son mari et de lui dire de l’avoir vu, ni de demander le divorce.
C’est Marco qui sait tout du travail, c’est lui qui tient les contacts avec les fournisseurs, avec la clientèle, les banques et tout le reste. Moi je ne fais que signer les papiers de l’administration extraordinaire, les chèques des salaires, mais pour le reste je ne sais rien du travail.
Lydia la regarda fixement, et lui dit en toute simplicité sur un ton de complicité et de compréhension : « si tu veux je m’occupe de tout, contact avec les fournisseurs, tu devras seulement continuer a faire comme avec lui, rester tranquille, tu me lègue ses fonctions, et moi je m’occupe de toi, et te protégerait de ton mari ».
Laura était effrayée : « comment faire avec le divorce, dire a tous que la secrétaire était avec mon mari et que je les ai surpris ensemble ? Qui me croiras ? On dira que je le fait exprès, pour ne lui donner rien, pour tenir la maison de mode pour moi, il y a un contrats, si on divorce je lui doit une liquidation le 40% de mon patrimoine, et je ne puis prouver qu’il me trompe ».
Lydia chercha a la tranquilliser : « je m’occupe de tout ça, laisse moi faire et te promets de régler toute cette histoire, et tu pourras le liquider avec un bonus minimum sans devoir renoncer au 40% de ta maison ».
Laura lui dit : « si tu m’aide c’est a toi que je donne le 40% de la maison de mode, nous serons associées, toute les deux, se serait merveilleux ».
Lydia posât ses lèvres sur celles de Laura et avec sa langue pénétra dans la bouche de cette jeune femme qui avait besoin d’être aimée, et elle s’abandonna totalement dans les bras de Lydia.
Lydia était douce dans son baiser, sa langue parcourrait toute la bouche de Laura, et cette dernière se sentait fondre entre ses bras.
Laura se sentait faible et son abandon était total, elle ressentait le désir d’être dominée par cette jeune femme qui lui donnait la sensation de sécurité dans ses bras, même plus qu’avec son mari au début de son mariage.
Pour Laura l’idée d’être seule lui était intolérable, appartenir a quelqu’un était dans sa personnalité, cela lui était nécessaire comme de l’air quelle respire.
Elle n’avait pas une claire conscience de tout ce que ses sentiments signifiaient réellement, mais son instinct la guidait a s’abandonner dans les bras de Lydia, pour se sentir protégée.
Lydia forte non seulement de sa personnalité mais aussi de son expérience, compris très bien ce qui se passait dans l’intime des sentiments de Laura, et commença donc a se prendre son pouvoir sur elle, en lui disant : « tu viens chez moi, et donne moi le numéro de ton avocat, comme ça je fixe un rendez vous, nous irons ensemble ».
Laura se laissait guider, cet abandon lui était très agréable, ne prendre aucune décision, et tant que la situation avec son mari ne serait pas réglée, chez Lydia elle serait plus sûre.
Laura habitait déjà depuis une semaine chez Lydia, Marco resta surpris de se retrouver dans cette situation sans bien comprendre comment cela s’était passé, l’avocat avait été très rapide a lui communiquer l’intention de divorcer de sa femme, avec une lettre assurée avec avis de réception.
Il n’avait plus pû communiquer avec sa femme, elle était disparue, l’avocat avait été très clair Laura ne désirait plus avoir aucun contact avec lui.
Il lui fût communiqué que sa femme le matin quelle était venue au bureau l’avait vu avec sa secrétaire, et donc elle divorçait pour juste cause.
Marco du signer les papiers avec quoi il renonçait a toute revendication, a libérer l’appartement, e aussi il devait accepter de laisser le travail auprès de l’entreprise de famille, Laura acconsentait de lui donner une liquidation calculée sur ses salaires pour les années passées a travailler auprès de la maison Pampini.
Lydia avait pris en main la situation, donc, elle fit toutes les démarches nécessaires pour bloquer toute initiative de la part de Marco.
Laura lui avait délégué tout pouvoirs pour s’occuper de la situation, et aussi l’avait nommée gérante de son commerce.
Marco sommé par un arrêt du Tribunal, de ne plus s’approcher de sa femme ni de ses propriétés, se trouva en difficulté.
Marco voulait surtout récupérer ses agendas, pour continuer ses affaires, s’etait au fond son seul souçi car il n’avait jamais éprouver de l’amour pour Laura elle était seulement un moyen pour faire ses intérêts.
Lydia avait pris Sonia de coté, le premier jour ou elle devint gérante, et ayant en main beaucoup de photos et de papiers compromettants envers elle, lui fit un petit discours, ou petit chantage si on préfère, du moment quelle était mariée et avait un fils, si ces photos arrivent a son mari elle perdrait tout, y compris son fils, donc Lydia voulait compter sur sa fidélité professionnelle a la nouvelle direction, mais aussi sa totale obéissance, si elle serait une bonne secrétaire soumise elle resterait a sa place. Sonia accepta trop inquiète des conséquences de l’envoy des photos sur ses relations adultérines.
Le même discours fût fait à toutes les autres employées. Ensuite Lydia se fit ajourner sur tout les fournisseurs et les principaux clients.
Elle voulût connaître aussi où étaient les livres secrets de la comptabilité parallèle, pour les prestations spéciales. Les clients qui demandaient des jeunes femmes soumises, ou qui avaient des préférences particulières.
Sonia rougit devant ces questions, Et Lydia nota son embarras, lui dit : « tu es surprise que je sache que vous exercez un travail parallèle, et que vous vous prostituez ? »Sonia restait silencieuse, car elle ne savait pas trop bien quoi dire, devant cette jeune femme qui était devenue si vite la chef de la boutique.
Lydia se rendit tout de suite compte qu’il était Nécessaire de prendre en main la situation et de se faire obéir sans discuter, elle devait démontrer son autorité.
Avec un ton de voix dur elle donna son ordre a la secrétaire : « déshabille toi, immédiatement et va prendre la cravache », Sonia restât bouleversée de l’ordre de la jeune cheftaine, Lydia la voyant hésitante s’approcha et lui donna deux gifles sur les joues.
Sonia en restât choquée, mais immédiatement ses réflexes réagirent pour elle, inconsciemment son dressage qui la portait a l’obéissance la fit agir sans réfléchir et elle commença a se déshabiller, une foi nue elle alla dans le bureau et prit la cravache qui était dans le tiroir et qui tant de foi avait été employée sur ses fesses.
Quand elle s’approcha de Lydia elle n’eut besoin d’aucun ordre elle se mit en position pour recevoir la punition, pliée en deux, les fesses bien tendue appuyée avec les bras sur la table.
Lydia en fut bien heureuse de voir Sonia si bien dressée, ceci était un avantage pas secondaire, du travail en moins à faire.
Lydia annonça a la secrétaire : « six coups, et maintient la position ou je recommence ».
Le premier coup arriva sur la cible offerte, Sonia était vraiment une esclave soumise, elle eût un sursaut, mais maintint la position bien ferme, les fesses bien tendues, elle se rendît tout de suite compte que la nouvelle patronne savait bien comment on emploie une cravache, ce n’était pas une novice.
Elle sentait de même toute son impuissance, elle qui avait trente ans, mariée avec un fils, elle se trouvait maintenant soumise par une femme bien plus jeune qu’elle, pliées en deux sur la table avec les fesses bien offertes, elle n’avait pratiquement pas opposés de résistance. Et ce qui lui faisait ressentir une sensation de majeur honte fût que tout cela lui faisait sentir une sensation de plaisir, son abandon comme avec son ancien maître même plus, qu’avec son ancien maître, elle sentait qu’elle était mouillée, le plaisir lui coulait sur le cuisses, et Lydia ne pouvait pas ne pas remarquer cette simple vérité.
Quand le sixième coup s’abattit sur son cul, elle se relaxa, elle s’abandonnât sur ses bras, les fesses lui brûlaient, mais elle n’osait pas bouger, sa maîtresse l’appela, et comme une esclave beine dressée, ou un chien elle se précipita vers sa patronne, Lydia la fît mettre a genoux, le buste bien droit, les cuisse écartée, et lui dit de se toucher.
Sonia obéit sans discuter, en commençant a passer ses doigts le long de ses grandes lèvres bien épilées, elle trouva ensuite son bouton qu’elle commença a presser entre ses doigts, et ensuite en faisant un mouvement rotatoire elle aurait vite jouit devant sa nouvelle patronne, et elle vint en s’enfilant trois doigts dans son vagin rempli de jus, elle coulait incroyablement comme depuis longtemps cela ne lui arrivait plus, la honte de se montré devant cette jeune femme la fit jouir. Lydia souriant devant la secrétaire soumise, était bien contente de son pouvoir, alors pour le faire sentir encore plus elle ordonnât a la secrétaire de la remercier pour l’avoir punie et lui avoir permis de jouir devant elle en s’adressant a elle comme a sa nouvelle maîtresse.
Sonia reconnaissait en cette jeune femme celle qui avait les droits sur son corps, comme avant les avaient eût Marco et son beau-père avant lui : « je vous remercie de m’avoir puni, et de m’avoir permis de jouir madame ».
« Bien » dit Lydia « tu me parais plutôt bien dressée, habille toi et remet toi de nouveau au travail allez vite ! ».
Ensuite Lydia commença a contacter toute les employées de la boutique après avoir consulter tous les livres secrets et les fiches personnelles réservées que Sonia s’empressa de fournir a sa nouvelle patronne.
Elle expliquât a chacune que rien ne changeait, seulement ce n’était plus Marco qui commandait mais elle.
Elle leurs fit voir quelle disposait d’une procuration de madame Papini qui la rendait fondée de pouvoirs et entre autre elle disposait de toute la documentation qui démontrait leurs liaisons avec monsieur Marco. Ce n’était pas le cas de nier le fait qu’elles était toutes des putains au service de Marco, mais depuis ce moment elle devraient seulement changer de maître.
Toutes se rangèrent en bon ordre sans oser discuter la nouvelle chef ne paraissait pas plus tendre de Marco et pendant les colloques, elle avaient observé les fesses de Sonia, qui avait du introduire les jeunes en tenant la jupe soulevée pour faire voir comment elle avait été punie, et ce fût surtout sa totale soumission a Lydia qui convaincu les autres jeunes femmes a se soumettre. Il fut évident pour toutes, que la nouvelle gérante était bien plus sévère et dangereuse de Marco.
Lydia se fit rejoindre par Simona, la jeune fille qui était devenue son amante, elle lui plaisait vraiment beaucoup cette petite, et elle promettait bien.
Lydia pris la jeune Simona dans ses bras, et lui dit : « ma petite, on ne se verras pas trop souvent, car j’ai vraiment beaucoup a faire, mais bientôt, tu verras ça ira mieux », et ceci dit elle embrassa la jeune en lui enfilant la langue entre les lèvres, Simone ne résista pas se laissant chatouiller par la langue tendre et mouillée de cette femme autoritaire qui la faisait bander, elle sentit tout de suite ses culottes, se mouiller, elle aurait tellement voulu faire l’amour et quand Lydia la laissa elle se sentit frustrée, avec les larmes aux yeux elle essaya de s’accrocher au cou de Lydia, qui tendre mais décidée se dégagea.
Simona avait été recrutée par Marco, mais il n’avait pas encore eu le temps de s’occuper de cette jeune biche, et Lydia avait compris que la jeune fille avait des numéros pour l’amour et elle était vraiment envieuse de commencer à faire l’amour.
Lydia lui dit quelle aurait dû faire tout ce que Marta lui aurait ordonné, se serait elle qui devrait s’occuper de son éducation.
Simona fit la moue elle n’était pas très contente de devoir être instruite par une autre, elle se sentait plaine d’amour pour Lydia, et c'est pour cela quelle lui obéissait.
Marta était la plus capables des employées, elle savait s’occuper des ventes et connaissait bien tous les clients, elle avait été très amie de Claire quand elle était en activité, et dès quelle avait sû que Lydia était la pupille de sa vieille patronne, ne discuta pas son autorité, et ce changement pour elle était le bienvenu, elle en était très contente.
Entre temps, Lydia avait fait déshabiller Simona, qui était maintenant toute nue et a genoux, et ce fut ainsi que la trouva Marta.
Pour Simona ce fut assez embarrassant, elle adorait se soumettre a Lydia, mais de se faire trouver par d’autres personnes comme ça, elle rougit tenant les yeux a terre et tremblant pleine de honte. Elle ne bougeât pas obeissante aux ordres de Lydia.
Lydia s’entretenait avec Marta faisant semblant de rien, en expliquant quelle devait s’occuper de Simona, l’instruire et lui faire faire de l’expérience, une chose graduelle.
Marta avec un ton de soumission lui répondit d’avoir confiance elle aurait fait selon les désirs de Madame.
Lydia avait voulu attendre au moins un mois, afin que toute les questions soient réglées, avant de passer a la seconde phase de son projet avec Laura. Cette dernière avait démontré pleine confiance en Lydia, elle décida de faire démarrer son plan.
Tout procédait pour le mieux, Laura était confiante en Lydia et pour oublier son chagrin dû a son mari, s’abandonner dans les bras de Lydia c’était la chose quelle désirait par dessus tout.
Son Mari avait été payé avec une petite somme d’argent comme liquidation, et il avait signé une confession de ses activités illégales avec les détournements d’argent de la compagnie, de cette façon toute tentative de chantage avait été éliminée, en tout cas il devrait lui aussi en répondre a la justice.
Lydia était maintenant gagnante sur toute la ligne, et elle était allée signer pour la dernière fois auprès des autorités, elle était définitivement libre, la justice n’avait plus rien à prétendre d’elle.
Elle se présentât chez Laura qui avait repris son habitation, avec ses bagages, en informant cette dernière que depuis ce moment elle était libre et qu’elle aurait pu rester avec elle, Laura accueillit son amie avec une grande joie, ce serait leur maison, leur nid d’amour, sans devoir se cacher comme dans le dernier mois.
Sa solitude était terminée, pensait Laura en aidant Lydia à s’installer dans sa chambre, il restait à définir le divorce, car la seule séparation Légale pouvait être un problème dans les deux années suivantes.
Leur rapport avait progressé, maintenant, Laura se rendait compte qu’elle nécessitait d’avoir une personne auprès d’elle qui la fasse sentir bien et confiante, et aussi qui la protège.
Lydia lui dit quelle devrait venir a la boutique plus souvent, car elle désirait l’avoir toujours a la portée de sa vue autant que possible. Ceci faisait plaisir à Laura qui ne voulait pas contrarier son amie, elle aimait sa façon autoritaire de lui commander, et de se sentir aussi désirée.
Pendant le dernier mois quelles avaient passé ensemble très souvent Lydia avait voulu que Laura reste nue pendant leurs soirées, et de s’occuper de servir a table, et ensuite elle lui donnait des petits ordres comme se faire apporter une boisson pendant qu’elle restait confortablement assise dans un fauteuil a regarder la télé.
Quand Laura s’approchait et lui posait la boisson sur la table devant elle, Lydia en profitait pour lui donner quelque coups pas trop fort sur les fesses, auxquels Laura répondait avec un sursaut et des petits cris, et ensuite riait jouissant de ça comme d’une attention et une appréciation de son corps.
Un matin elles allèrent ensemble à la boutique. Laura pendant la nuit s’était souvent frottée contre Lydia, mais cette dernière avait prétendu quelle reste tranquille, parce quelle était fatiguée, en réalité elle désirait que Laura soit excitée sans pouvoir être satisfaite, elle avait besoin de la savoir très troublée et pleine de désir.
Laura avait passé une nuit terrible, se demandant si Lydia ne s’était pas fatiguée d’elle elle ne la désirait peut-être plus comme auparavant, tout son monde lui parait s’ébranler, mais quand le matin Lydia l’avait embrassée lui annonçant quelles seraient allées ensemble à la boutique tout ses doutes s’étaient dissous comme par enchantement.
Lydia lui dit que sa présence était nécessaire, beaucoup de travail s’était accumulé et il n’était pas convenable qu’elle reste a la maison, une fois faites les enregistrassions des factures, elle aurait du signer les chèques pour régler les fournisseurs, et les salaires, en lui suggèrent que du moment qu’elle n’avait pas de délégation ni étant fondée de pouvoir les payments, elle ne pouvait pas s’occuper de tout ses détails.
Elle la gronda un peu comme une gamine qui avait été paresseuse pendant tout ce temps. Laura reconnaissant quelle avait en effet profité de son amie et quelle n’avait pas été juste de lui abandonner tout le travail se sentait honteuse, ses joues montrèrent sa honte car elle devint rouge, elle baissât la tête, ne sachant que répondre.
Après un long moment embarrassé, elle dit « excuse moi, si tu veux on pourrait fixer un rendez vous chez le notaire, et on fait les papiers pour que tu puisse administrer le tout, tu sais que je t’avais promis le 40%, et je ne l’ai pas oublié, mais tu comprends avec tous ses bouleversements je me sentait toute étourdie et n’avait envie de rien faire, tu me pardonnes ? ».
Lydia la regarda froidement et répondit : « tu sais ce que je pense de ton argent ? Je m’en fout, je veux seulement qu’on puisse travailler tranquillement, tu pense que je sois intéressée a devenir ton associée ? Mets moi simplement dans les conditions de travailler ».
Laura était plutôt étonnée, pourquoi son amie ne voulait pas devenir son associée, elle en était complètement abasourdie, ne comprenant pas.
Elle voulait savoir pourquoi et elle commença a la questionner sur ses raisons, elle eût encore une fois peur de rester seule, son amie peut-être ne voulait pas s’engager ; elle ne voulait surtout pas rester seule et elle eût une petite crise, des larmes mouillait son beau visage, son mari l’avait trompée, et maintenant l’idée que Lydia pouvait ne pas rester avec elle lui était totalement insupportable.
Elle commença à faire une jérémiade à son amie, en la reprochant de ne pas vouloir prendre au sérieux ses sentiments et d’avoir jouer avec elle.
Lydia qui était tranquillement assise dans le fauteuil patronal, regardait le désespoir le Laura debout devant elle.
Elle laissa qu’elle s’essouffle, et sa plainte arrive a sa fin, Laura maintenant sanglotait ne réussissant plus a parler, Lydia se levât, s’approchât, sa proie était maintenant cuite et elle devait simplement la cueillir, lui pris le menton dans ses doigts et souleva son visage, et la fixa dans les yeux. Laura était troublée, les larmes donnaient une couleur intense à ses yeux qui paraissaient encore plus beaux, tandis que ceux de Lydia étaient froids et durs.
Lydia gifla Laura sur les joues, puis lui sourit, et lui dit de ne plus se permettre de hausser la voix avec elle.
Elle poursuivit : «tu es a moi, tu m’appartient et je ne te laisserait jamais, tu dois être un peu plus confiante en moi, et tu ne peux pas m’acheter avec une simple participation sociétaire. C’est clair ? ».
Laura essayât de l’embrasser heureuse de l’entendre parler comme cela, elle lui appartenait, mais Lydia la repoussât en disant « alors c’est clair ? », « oui, oui, bien sur c’est clair ma chérie je ne veux pas t’acheter, je t’appartiens corps et âme, j’ai besoin de toi ».
A la suite de cette séance, dès quelles furent rentrées à la maison, Lydia pris sa copine passant son bras autour de sa ceinture, et lui dit : « maintenant on va au lit, j’ai besoin aussi de jouir », Laura fut rassurée, sa copine avait encore envie d’elle.
Dans la chambre a coucher, Lydia se fit déshabiller par son amie et lui dit : « tu seras mas petite exclave, et tu me déshabilleras, et tu me rhabilleras le matin, tandis que toi tu seras toujours nue chaque fois que nous serons a la maison, je te désire comme ça, soumise comme maintenant ». Elle se tu pour voir la réaction, mais Laura commença a la déshabiller et des que Lydia fut nue, cette dernière lui répéta la question « alors tu as compris ce que je veux de toi ? ».
« Oui, que je sois ton exclave, et je t’aime, je veux être ton exclave ».
Lydia s’assit sur le lit, et elle dit, « viens mets toi a genoux, et lèche moi la chatte, fais moi jouir ma biche ».
Laura obéit volontiers et a genoux s’approcha un peu pour pouvoir arriver bien sur la chatte de sa bon amie, Lydia était déjà mouillée. Impatiente Laura appuya ses lèvres sur la chatte de Lydia e sépara les lèvres et se mit a lécher di bonne haleine elle passa sur la longueur, puis arriva a son clitoris le pris entre ses lèvres e le léchât avec acharnement Lydia était partie pour un orgasme qui la faisait se démêler et agiter sur le matelas.
Elle appréciait particulièrement la caresse de la langue de sa copine, et quand elle jouit avec un cri de plaisir, Laura avala tout son jus qui coulait abondamment, et Laura monta sur sa copine s’étala sur son corps, sein contre sein ventre contre ventre et commença a se frotter contre Lydia.
Leurs bouches se collèrent, un long baiser avec les langues qui se cherchaient comme dans un duel.
Ce fut une nuit intense d’amour ou toute deux voulaient donner le maximum de plaisir a la compagne, et ceci jusqu’au moment ou elle s’endormirent dans les bras l’une de l’autre.
Le matin a huit heures el réveil sonna ponctuel, Lydia rapidement se leva et alla se doucher, Laura préparas le petit déjeuner.
Lydia dit a Laura quelle désirait aller vite au travail, et que elle devait faire rapidement la vaisselle avant l’arrivée de la femme de ménage.
Laura pensait a une blague, et lui répondit que la blague avait assez duré, et continuer ce serait ridicule.
Lydia se fâchât, et lui dit que si elle ne voulait pas se rendre utile a la maison et a faire le ménage, alors il fallait quelle aille travailler a la boutique, « tu es trop habituée a ne rien faire, dans la vie il faut avoir des travaux a faire on ne te donne rien pour rien, tu es trop paresseuse et cela ne me plait pas ».
Laura regarda perplexe son amie elle ne plaisantait pas, elle parlait très sérieusement, elle répondit que si elle l’aimait elle aurait bien du l’accepter avec ses défauts, au fond elle lui avait bien démontrer son amour en la faisant son associée, c’était une preuve tangible quelle tenait a elle.
Lydia répondit : tu as promis d’être a moi corps et âme, tu m’appartiens tu es mon esclave, une esclave d’amour et tu dois m’obéir ».
« Je t’obéis quand on joue a l’amour si tu veux me fesser bien, mais pas dans d’autres circonstances, j’ai les moyens de me payer une femme de ménage et alors tans pis pour ce qui ne peuvent pas, je ne puis rien y faire et alors je n’ai pas nécessité de faire la bonne » rétorqua Laura.
« Non tu ne peu plus, dorénavant c’est moi qui décide, tu ne peu plus rien faire ni dépenser je bloquerai tout tes comptes bancaires, tes cartes de crédits, hier chez le notaire tu as signé que vu les problèmes que tu as eu par le passé, tu me laisse la gestion de toutes tes affaires, ton médecin as émis un certificat médical que tu as de sérieux problèmes et je suis devenue ta tutrice, tu dépend totalement de moi, même pour t’acheter des biscuits ».
Laura était complètement choquée, sans paroles, Lydia la fit asseoir et lui expliquât que avec ce qui c’est passé avec son mari, il est très dangereux pour elle-même quelle doit se rendre compte que la meilleure solution pour lui éviter de faire des sottises pour son attitude auto-déstructrice la meilleure chose c’est de ne faire qu’une chose obéir a qui l’aime vraiment et la comprend, qui connaît ses éxigeances mieux d’elle-même pour elle la meilleures solution c’est de se soumettre, car elle est une petite putain masochiste, encore pas complètement consciente de soi, mais c’est sa vraie nature. Tout se discours Laura l’écouta bouche bée.
« Si tu te soumet, tu trouveras ton idéal de vie, ce que tu désire vraiment et moi je te le donnerai ».
Laura était complètement sonnée et n’arrivai pas a réfléchir, une forme d’étourdiment s’était abattu sur elle, et en effet elle lui révélait quelques chose sur les sensations que si souvent elle avait ressenti en certain moment et qui la troublaient énormément.
Même en ce moment, en écoutant ce que Lydia lui disait elle sentait une forme abject de plaisir une pression dans le bas ventre, ces lèvres étaient mouillées, elle sentait une grande chaleur monter partout, oui elle risquait de jouir seulement en se sentant entre les mains de son amie qui la voulait soumise.
C’était de la folie, mai alors pourquoi, elle ne réussissait pas a penser et désirait seulement que Lydia la touche ou lui ordonne de la toucher, elle se sentait éprise d’une anxiété et d’une forme d’excitation perverse.
Mais elle ne voulait pas faire voir a son amie quelle se rendrait aussi facilement, admettre son désir d’être soumise, s’était assez honteux, cette honte lui était aussi fonte d’excitation, elle se dit quelle était malade, comment accepter d’être masochiste ?
Les sensations quelle éprouvait dans son corps, étaient en total contraste avec sa dernière pensée, un plaisir subtil, faisait trembler ses membres.
Lydia voyait que Laura était combattue dans ses sentiments, il fallait l’aider à se connaître.
Lydia la pris dans ses bras, elle lui passa la main dans le dos, descendant lentement le long de sa colonne vertébrale avec une légère pression, jusqu'à ses fesses, e Laura eu un réflexe de pousser en arrière ses fesses, contre la main de son amie sans i réfléchir, elle voulait sentir mieux la caresse.
Lydia la caressait très doucement lentement et avait introduit l’autre main entre les jambes de Laura, les réflexes de Laura répondirent immédiatement elle ouvrit ses cuisse pour permettre a son amie de rejoindre le centre de son plaisir, ou déjà elle coulait abondamment.
Elle plia les genoux, et poussa son ventre à la rencontre des doigts de Lydia, elle fut très vite pliée par l’envie de jouir. Lydia lui chuchota quelle était une petite garce qui aimait la perversion. Lydia entraîna Laura sur le divan où elles tombèrent l’une sur l’autre et les jupes de Lydia se soulevèrent, comme cela Laura pu aller toucher à son tour sa copine pour la faire jouir.
Laura se rendit sur toute la ligne pliée par le plaisir elle confirma a son amie d’être a elle : « je t’appartiens complètement tu feras de moi ce que tu veux » et alla avec sa bouche a la recherche du centre du plaisir de Lydia affondant dans sa feminilité avec sa bouche et léchant avec dévouement.
Elles arrivèrent au bureau ensemble, et trouvèrent la boutique ouverte, les employées toutes à leur place. La secrétaire dit a Lydia qu’une jeune femme l’attendait dans son bureau, une certaine Joséphine qui affirmait avoir un rendez vous avec elle.
Entrées dans le bureau, une splendide jeune femme de moins de trente ans a la peau un peu plus que bronzée ce qui démontrai son origine de couleur. Elle était très belle, les cheveux noirs très lisses, les yeux étaient violets, les traits de son visage, très délicats, d’une régularité impressionnante, haute avec un corps très sensuel que son complets mettait en évidence, une femme splendide.
Lydia se présentât, et lui dit en la tutoyant : « c’est moi qui t’ai contacté, as-tu reçu de Claudia les instructions ? » « Oui madame, elle m’as ordonné de me mettre à votre disposition » répondit la jeune femme.
Lydia lui présenta la secrétaire Sonia, et se retournant vers Laura dit a haute voix « voilà, elle c’est mon esclave Laura, c’est une de celle qu’il faut dresser », Laura en entendent comme elle venait d’être présentée, par Lydia a cette inconnue rougit d’honte et des larmes d’humiliation lui coulèrent sur les joues, mais après l’explication du matin n’osa rien répliquer.
Sonia surprise que même la patronne,l’orgueilleuse et hautaine madame Pampini se retrouvait a être soumise comme elle, l’esclave de Lydia la fit sourire et la fixa longuement, mais Laura tenait la tête basse les yeux rivé au sol, trop humiliée pour oser regarder autour d’elle.
Lydia voulut donner une démonstration et ordonna a Joséphine de se déshabiller, la fit plier sur le bureau, et prise une cravache s’approcha caressa les fesses de Joséphine bien tendue et offertes, lynx dit : « tu as une peau et un cul splendides, je te donnerai six coups c’est pour que nous soyons claires entre nous, je te punirai chaque fois j’en aurai envie, et tu seras une démonstration pour ses esclaves néophytes ».
« Oui madame, c’est vous la maîtresse », répondit Joséphine.
Lydia donna six coups comme annoncé bine fort sur les belles fesses de la Belle mulâtresse, qui broncha a peine supportant sans un cri les coups de cravache.
S’adressant a Laura lui fit remarquer comment Joséphine était bien dressée, elle voulait d’elle le même dévouement.
Elle ordonna à Laura de se mettre nue, et cette dernière avait une grande honte à le faire devant les autres. Sonia toujours présente se réjouissait de voir sa patronne soumise par la nouvelle maîtresse des lieux.
Une fois nue Laura attendait avec les mains protégeant son pubis, Lydia lui donna un petit coup de cravache et lui ordonna de mettre les mains derrière le dos.
Laura s’exécuta, bien que se n’était pas facile de se montrer nue, Lydia dès que Laura fut en position ordonna à Sonia de convoquer Marta et Simona.
Quand les deux employées se trouvèrent devant Laura nue furent surprises, et c’était leur jeune et belle maîtresse qui menait le jeu, la belle madame Pampini et une Mulâtresse très belle étaient nues devant leur dominatrice. Un spectacle exaltant de leur point de vue, jamais elles n’auraient imaginé de voir madame Pampini leur datrice de travail la propriétaire nue dans son même bureau.
Cette situation bouleversait Laura qui voyait désormais sa dignité piétinée, rouge jusqu’au oreilles, sa poitrine se soulevait rapidement sa respiration étant très rapprochée, comme si elle avait fait une course, et elle transpirait une sueur lui descendait dans son dos et dans le creux des seins, ses mains étaient moites, mais entre ses jambes elle sentit l’excitation de al honte qui la gagnait, elle coulait, tous ses muscles tendus, la tête était lourde incapable de se concentrer elle sentait bien dans ses oreilles les battements de son cœur,qui étaient très accélérés.
Quand les deux employées furent a al hauteur de Lydia, elle pris une main de Laura et l’obligea a se mettre de travers de ses genoux, Laura se plia mais elle lança un regard suppliant a sa maîtresse, avec les yeux pleins de larmes pour quelle lui épargne cette humiliation. Mais les traits de Lydia durs lui firent comprendre quelle ne serait pas épargnée, son regard perçant l’obligea a détourner le sien, une fois placée la main de Lydia caressait les fesses de Laura qui frémissait sous sa main en attendant la punition.
Le premier coup s’abattit sur la fesse, laissant une trace rouge de la main imprimée, sur la belle peau blanche de Laura, cette dernière sursauta. Par la suite les coups arrivèrent très forts et avec une cadence régulière, Lydia avait une main ferme et forte, et pendant plusieurs minutes elle maintient la même force, Lydia est impitoyable, les belles fesses di Laura deviennent d’un rouge intense très foncé, Laura pleure et gémit maintenant de douleur elle sent les fesses brûler, et supplie sa maîtresse d’avoir pitié d’elle. Mai Lydia s’arrête seulement quand elle voit que la pauvre est sans forces et ne supplie même plus.
Lydia tient une main posée sur les fesses brûlante de son amie, elle sent très bien que les sanglots la secouent la pauvre petite a très souffert pour sa première punition devant un public mais se ne serait pas la dernière. Avec sa main appuyée sur les fesses de sa petite amie elle démontre sa possession, Laura pourrait même se soulever, mais elle reste immobile attendant des ordres.
Toutes les jeunes femmes présentes sont troublées par le spectacle, et donc plus d’une se frotte les cuisses sans trop se faire remarquer, car elles désirent se soulager d’être excitées par le spectacle.
La patronne qui leur donnait du travail, qui signait les chèques de leurs salaires fessée comme une gamine sur les genoux d’une de ses dernières employées, qui est devenue sa patronne. Au temps de Marco elles n’auraient jamais imaginé une chose pareille.
Lydia expliqua que depuis ce moment, elle était sure d’avoir démontré qui commandait sans qu’il n’y aient aucun doute, et elle n’aurait permis a personne de discuter ses ordres, sous peine de punitions même plus sévère que celle dont elles étaient témoins.
Toutes acquiescèrent.
« Bien du moment que nous sommes toutes bien d’accord je vous informe que Joséphine est la nouvelle directrice, ici elle est al seule après moi à pouvoir commander ».
Marta en resta bouche bée, cette belle mulâtresse aurait pris sa place, elle pâlit, mais n’osa pas répliquer, le regard de Lydia était fixe sur elle et elle ne lui laissait aucune possibilité, cette jeune femme savait commander, et elle n’avait aucunes possibilité, elle devrait se soumettre.
Lydia offrit a Joséphine al cravache quelle avait auparavant employée sur ses fesses, en lui disant « prend connaissance des lieux et du personnel,Marta te mettra au courant depuis longtemps elles on toutes été dressées a obéir, seulement les maîtres on changé ». Joséphine se rhabillât et ordonna à Marta de lui faire connaître les autres filles.
Sonia était restée là, en silence fascinée par les fesses de madame Pampini qui se trouvait encore en travers des genoux de Lydia.
Quand Lydia la congédia, elle disparut se rendant immédiatement dans son bureau, elle se mit au travail en essayant de se concentrer mais les événements avaient été trop piquants.
Simona était encore là, la plus jeune des employées, la première qui était devenue l’amante de la belle dominatrice Lydia.
Quand Lydia decida de faire soulever Laura, cette dérinière n'osat pas bouger consciente que Simona se trouvait dans la même salle et quelle aurait dû la regarder, une honte profonde la bouleversait, et malgrés tout une excitation malsaine l'emparât au bas ventre.
Une belle gifle sur les fesses de la part de Lydia lui firent comprendre quelle s'impatientait. Alors Laura se soulevat lentement, le visage mouillé de ses larmes, et sa chatte mouillée de ses humeurs qui l'excitaient malgrés elle.
Honteuse elle resta debout devant sa maîtresse. Qui l'apostrofa en lui demandant si elle ne voulait pas ouvrir les jambes pour montrer a Sonia combien elle était vache.
Laura se mit a pleurer en suppliant elle s'agenouilla devant Lydia lui demandant de lui épargner cette humiliation.
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