La pipe de l'excellence - histoire érotique

On suce tous de différentes manières, délicates, gourmandes, outrancières, bruyantes... le tout est d'arriver à faire jouir son partenaire, bien sûr.

Mais il y a aussi le mec qui, certes veut faire jouir son partenaire, mais prend son temps et vous amène au plaisir extrême dans une explosion de jouissance avec un sentiment d'avoir été vidé complètement, anéanti et pourtant il suffit que ce mec touche à nouveau votre engin pour qu'il vous donne encore envie.
J'ai rencontré un tel phénomène, Bruno, mec que je qualifierais de quelconque sans son regard de braise qui donne déjà un début d'érection.
C'est sur une aire d'autoroute que j'ai fait sa connaissance.

L'envie de pisser et de me dégourdir les jambes également. Lorsque je me suis arrêté près des toilettes, j'avoue que je n'avais pas la tête à draguer. J'ai bien vu des mecs traîner autour, les mains dans les poches mais je n'ai pas fait attention.
Je suis rentré, j'ai pissé, je me suis passer les mains sous l'eau et, en me retournant j'ai vu ce mec qui me matait, petit sourire aux lèvres et ses yeux qui me fixaient. Un regard de mec qui a envie de baiser, cela m'a fait sourire mais je suis resté sur place comme si j'étais sidéré devant ce mec.

Ses yeux et son regard étaient un appel de baise, il s'est approché de moi sans me quitter des yeux, sa main est venue se poser directement sur ma braguette :
-toi t'as fait beaucoup de route, tu sais qu'une pipe détend pour poursuivre ton voyage ?

J'avoue que j'étais bien estomaqué, et j'ai voulu me reculer mais j'étais bloqué par le lavabo, il a avancé dans le même temps et sa main tripotait ma queue qui commençait à aimer vu qu'elle aurait bien voulu prendre l'air.
-et c'est toi qui fait le service ? j'ai demandé en observant ses lèvres.
-mes lèvres, ma langue, mes mains sont uniquement pour toi et je t'assure une très bonne jouissance! Garanti!
Dans l'instant j'ai eu comme un doute que ce soit un tapin et j'ai demandé ironiquement :
-garanti sur facture ?

Ses yeux lançaient des éclairs et son corps est venu se coller au mien, sa main tripotait, serrait ma queue qui bandait maintenant.
-ta queue est plus reconnaissante que toi monsieur le voyageur, si je te propose ça c'est que tu es blond et des blonds j'en ai pas souvent ici et jeune en plus, t'es comme moi dans les 25 ans.
Sans attendre ma réponse sa main quitte ma queue pour me prendre la mienne et il m'entraîne dans une cabine, la grande cabine pour handicapé!
-maintenant ne me dis pas que tu n'aimes pas une pipe ?
J'ai souri en lui caressant le visage, j'aimais son regard, ses lèvres et j'ai voulu l'embrasser:
-non ça c'est ma récompense si tu trouves que j'ai bien travaillé!

Il s'agenouille devant moi, dégrafe ma ceinture, pantalon qui tombe à mes chevilles, il me regarde, son regard est devenu lubrique, celui d'un mec heureux d'avoir une queue à sa disposition.

Il n'a pas sorti ma queue tout de suite, m'a fait relever ma chemise la roulant et avec une main caressait ma belle tige à travers le tissu, pendant que l'autre main s'occupait de mes couilles.
-tu vois elle est contente... tu commences à mouiller!
C'est vrai que je bandais et que j'avais hâte qu'il la sorte, mais il s'est mis à faire des bisous sur la tige, les couilles, je sentais la chaleur de ses lèvres se répandre. Il a pris ma queue entre ses dents, la mordillant tendrement puis plus fort et cette coquine bandait encore plus comme si elle aimait ça être martyrisée.

Il a baissé doucement mon boxer, laissant apparaître ma toison de blond, qu'il a reniflé en fermant les yeux, ses mains caressaient mon ventre, mon pubis et mon boxer a rejoint mes chevilles. Ma grosse bite était en travers de son visage, il la reniflait et j'ai senti sa langue toucher mes couilles de la pointe, s'enfoncer sous la bite, forcer comme si elle voulait entrer et sa langue est remontée dessous.

Ma queue était en équilibre sur sa langue. La pointe de sa langue est arrivée sur le gland, il a embrassé le frein dénudé, le titillant, je mouillais et ça coulait sur ses lèvres. Il a avalé juste le gland, l'aspirant comme pour me vider de la mouille et sa langue en faisait le tour. Une main a tiré sur mes couilles et ses lèvres sont descendues lentement sur la hampe.
Je sentais mon gland glisser entre la langue et le palais. Tout était doux, chaud et très humide. J'ai senti qu'il entrait dans la gorge, il avait une larme qui coulait des yeux mais ses lèvres sont arrivées dans mes poils et j'ai eu l'impression qu'il voulait aller encore plus loin!

Il est revenu vite fait pour respirer et tout de suite ce fut une bataille entre sa bouche et ma queue. Ses lèvres coulissaient dessus la noyant complètement, il aspirait tout et revenait de plus en plus rapidement, sa main tirait toujours sur mes couilles.
Je bandais bien dur et j'aimais ses lèvres sur ma queue.
Il alternait la vitesse et j'aimais quand ses lèvres serrées essoraient ma queue, aspirant le gland.
Il a senti que ma queue se raidissait et que mes râles devenaient plus importants, alors il a laissé ma queue et a joué avec mes couilles qui n'ont jamais été autant inondées et léchées avant de revenir à ma queue et recommencer, recommencer plusieurs fois.

L'envie de jouir est revenu pour une énième fois et là, il s'est enfoncé ma queue au fond de la gorge, ouvrant bien la bouche, ses yeux de vorace gourmand me fixaient et j'ai joui six longues giclées qui coulaient directement en lui. Je voyais à ses clignements des yeux qu'il avalait tout.

Je râlais, je gémissais le prenant par la tête qu'il avait bien voulu que je tienne, enfin.
Heureusement qu'il y avait le mur derrière moi, j'en avais les jambes qui flageolaient. Mais dès que les giclées ont cessé il a refermé les lèvres et aspiré mon gland, l'asséchant.
Puis le service après-vente était à la hauteur, ma queue avait été rarement aussi cajolée.

Il s'est relevé, m'a regardé :
-alors détendu ? dit il en un grand sourire.
-tellement que je ferais bien la sieste maintenant, mais toi tu ne veux rien ? j'ai demandé en lui caressant l'entre-jambe bien fourni.
-moi j'aime me branler dans mon lit en repensant aux bites que j'ai eu dans la journée, si tu savais comme je jute dit il en me regardant fièrement.
-et c'est tout ce que tu fais avec un mec ?
-mais c'est curieux un blond! j'avais oublié ça... pourquoi tu veux me baiser ?

Je souriais en le regardant.
-oh la la monsieur le voyageur mais c'est drôlement plus cher!
-mais tu passes toute ta journée ici ?
-oui j'habite dans la ville d'à côté et tu sais bien que l'autoroute est gratuite ici, comme moi d'ailleurs.

Là il avait poussé ma curiosité car moi aussi j'étais de la ville d'à côté.
-et tu es de quel quartier ?
-je disais bien que les blonds sont curieux, tu connais la ville ?
-oui dis je, j'y habite aussi et c'est bizarre que je ne t'ai jamais vu.
-je suis discret moi monsieur le voyageur, je ne drague qu'ici car normalement il n'y a personne de la ville d'à côté!

Et il éclate de rire.
-ça m'étonnerait car maintenant je sais que cette aire est connue comme un lieu de drague.
-alors c'est pour ça que tu es venu ?
-non je reviens de Toulouse et si je me suis arrêté c'est parce que j'avais envie de pisser et monsieur le pipeur est arrivé!

Il rigole.
Je caresse sa joue tendrement :
-j'avoue que je ne regrette pas de m'être arrêté, tu pipes vraiment bien, tu mériterais un prix!
-et toi celui de baratineur oui! mais tu me donnerais quoi comme prix ?
-le prix de l'excellence monsieur le pipeur en chef!
Ses yeux se faisaient doux et sa main me caressait la joue également.
-t'es beau le blond, j'ai envie de t'embrasser, je peux ?

Et j'ai eu sa langue qui avait joué avec ma queue et maintenant elle s'amusait avec la mienne. Nos mains caressaient les corps, lui avait accès au mien passant sous ma chemise, et quand j'ai réussi à caresser sa peau, il s'est mis à gémir. Les salives changeaient de bouche et quand il a arrêté, il a posé sa tête sur mon épaule, ses lèvres dans mon cou.
-tu veux que je te suce encore ?

J'ai relevé sa tête pour qu'il me regarde, ses yeux étaient fiévreux, perdus dans le vague.
-toi tu veux autre chose dis je doucement.
-je sais pas dit il timidement.
Mais je sentais son corps se serrer contre le mien, frottant son bassin à ma queue encore raide.
-tu viendrais chez moi ? j'ai demandé doucement.
-pour faire quoi ? demande t-il les yeux encore plus coquins.
-bah on va trouver quelque chose à faire tous les deux! Mais peut-être que monsieur le pipeur en chef est pris ce soir ?

Il me regarde, sourit :
-je crois que oui monsieur le voyageur, par un blond qui ne veut pas me lâcher!
Il s'est remis à genoux, a fait des bisous à ma queue en remontant le boxer :
-on se revoit tout l'heure la belle queue!
J'ai fini de me rhabiller pour le reprendre dans mes bras et l'embrasser.
-moi c'est Bruno dit il en me faisant un bisou sur le nez.
-moi Fabrice et je lui rends son bisou.
-alors tu m'enlèves ?
-enfin si tu me suis oui dis je en riant, car je présume que t'es en voiture.

On est sorti des toilettes et il m'a indiqué son véhicule. Je l'ai regardé aller vers sa voiture et se faire accoster deux fois par des mecs et le voir faire non de la tête avec un grand sourire.

Il m'a suivi jusqu'à la maison. J'ai découvert ce mec des pieds à la tête et je l'ai baisé tendrement pour je pense nos plaisirs.

Mais je n'ai jamais pu garder ce mec, il fallait qu'il aille sur l'autoroute tailler des pipes!
Peut-être qu'il cherche encore à se perfectionner pour avoir un autre prix que celui de l'excellence!