La plage et la falaise - histoire érotique

En plein été, je me trouve pratiquement, sinon seule sur la plage. C'est vrai qu'il faut savoir comment accéder à la mer. Une falaise empêche les moins téméraires à venir se baigner. A dire vrai je profite de la solitude pour me mettre nue, comme j'aime. Dès que je peux je vais me jeter dans la mer, presque chaude à cet endroit. C'est le soleil qui se charge de me sécher. J'aime sentir son ardeur sur ma peau. J'écarte même les jambes pour lui offrir mon intimité : il en profite le coquin pour me donner une envie de masturbation. Chaque fois c'est pareil. Je cède toujours à ce désir de plaisir solitaire.
Aujourd'hui j'ai envie de me branler comme à chaque fois. Je décide de le faire en haut de la falaise, à un endroit aussi isolé que la baies où je me baigne. Là, j'ai la surprise de voir une fille qui sacrifie comme moi aux dieux du plaisir. Je la vois penchée en avant, la tête seule sur le rocher, ses jambes cassées au genoux et surtout sa main qui chatouille sa chatte. Cette fille me donne encore plus envie de jouir. Je pourrais m’intailler près d'elle pour voir comment elle se donne du plaisir. Je choisis l'autre solution, celle qui sur le moment me parait la plus complète pour ma satisfaction.
Je m'approche le plus possible. Elle ne m'a pas entendu sans doute perdue dans ses sensations. Si elle ne se touche que la chatte, elle laisse en paix son autre entrée personnelle. Je vois clairement les mouvements que le plaisir donne à son anus. Je sens ma cyprine couler à flot. J'ai en envie folle de jouir. Je me propose d'aller lui caresser l'anus pour qu'elle jouisse mieux dans l'espoir qu'elle me masturbe à son tour.
Je ne sais d'où me vient cette idée, moi qui suis une femme normale qui n'aime que les hommes ou ma main ou en plus les godes. Je vais plus près, je peux la toucher. Sa main continue ses vas et vient. Je la regarde bien en pensant que c'est ce que je me fais.
N'ai pas peur, je vais de mettre deux doigts dans le cul.
Elle se retourne un peu affolée, sa main est même sortie de son bas ventre. Tant pis, je continue mon mouvement. Mon premier doigt caresse déjà l'anus. Son premier geste est de recul puis un court, très court instant plus tard elle accepte mon doigt. Elle reprend sa masturbation quand j'entre un deuxième doigt dans son fondement. Elle en gémit fortement. Je ne peux pas dire que je l'encule, c'est presque pareil. Je sens contre mes doigts les spasmes de sa jouissance. Je ne bouge pas quand elle se retourne pour voir qui lui donne ce plaisir qu'elle semblait ne pas connaître.Je ne connaissais pas son visage : je découvre une figure souriante, jolie, ce qui ne gâche rien. Ses longs cheveux débordent de ses épaules. Qu'elle belle fille.
Tu m'as fait du bien, merci.
J'en avais envie. Tu veux m'en donner aussi.
Bien sur.
Je suis contre elle, nos visages se touchent. Nous nous regardons dans les yeux quand nos lèvres sont attirées. Nous nous faisons un très long baiser, pire qu'au cinéma. Je profite du goût un peu salé de sa salive. Nos langues remuent dans la bouche de l'autre.
C'est mon premier baiser avec une fille.
Moi aussi, tu es la première.
Pourquoi tu as mis des doigts dans mon cul ?
Je n'en sais rien, le besoin de participer à ton plaisir.
Nous nous levons, nous embrassons encore, bien serrées avant de descendre sur la plage. Nous sommes nues elle comme moi.
J'aime me branler quand le soleil me sèche.
Comme moi. Tu était belle pendant que tu te touchais.
Viens je vais te donner du plaisir.
Oui. Tu seras ma première amante.
Toi aussi.
Nous nous allongeons maintenant sur le sable, enlacées comme de nouveau amants.
Je mouille et toi ?
Moi aussi.
Baisons alors.
Plus un mot, nos bouchent sont collées, nos langues recommencent à fouiller l'autre bouche. Nos mains entament les caresses sur le corps de l'autre. Elle me semble plus douce que moi. Nous nous caressons partout. Mes doigts jouent avec ses tétons. Ils durcissent comme je le fais quand mon copain me caresse. Mais là c'est bien plus doux. Elle aussi caresse mes seins. Pourtant elle pose une main sur la chatte. J'écarte les cuisses pour qu'elle accède là où je veux. Elle veut heureusement pareil. Sa main ne fouille pas, elle est directement sur le clitoris.
Je me détends totalement en sentant les premiers mouvements sur moi. Elle sait fort bien branler, elle est lente au début et rapide vers la fin. Elle connaît les réactions féminines sur le bout des doigts. Je suis tentée aussi par son sexe. Je le branle avec un certain retard sur elle. Son sexe est très mouillé, comme le mien. Notre besoin, notre désir commun de l'autre nous permets de jouir sans crainte, avec dégustation de ce mets délicat des doigts d'une autre fille.
Je pensais à la sucer, je n'ose pas le lui proposer. Elle ne propose rien, elle agit. Elle se tourne complètement, passe sa tête sur ma chatte. Je sens sa langue sur moi. C'est meilleur que ses doigts. Quand elle me donne sa chatte je me surprends par mon plaisir de la prendre dans ma bouche. J'aspire totalement son bouton pendant qu'elle me le lèche calmement. Ça n'a rien à voir avec la langue de mon copain. Elle me lèche bien, trop bien même. Si nous continuons ainsi nous allons devenir au moins bisexuelles. Pour elle c'est sa langue qui sert de pine. Elle me mouille bien avec sa salive, passe longuement la langue sur le rectum. Je me contente de lui mettre un doigt au même endroit. Je le rentre doucement, comme elle fait avec sa langue. C'est ma première dans dans le cul. J'en oublie de la sucer, de bouger mon doigt. Je jouis simplement.
Nous finissons de jouir pour aller dans l'eau. Nous nous débarrassons du peu de sable pour à nouveau nous enlacer. Elle me tient par la taille pendant que je prend ses fesses.
Oui, mets moi le doigts dans le cul.
Mets moi deux doigts dans le con.
Si un quidam nous entendait, il serait excité comme nous le sommes. Nous sortons de l'eau après une ultime jouissance. Nous nous embrassons en nous donnant rendez-vous pour le lendemain après midi. Nous nous aimerons encore, c'est promis. Quand nous nous séparons, je m'aperçois que je ne connais même pas son prénom.
Je n'en parlerais pas à mon copain qui, comme je le connais voudrait voir et certainement participer.