La pompe funèbre
Récit érotique écrit par CrazyAlice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-05-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La pompe funèbre
Cela faisait 2 semaines que je voyais Yann. Il m'avait abordé, et dieu sait que cela est fortement déconseillé dans ces moments la,alors que j'étais profondemment plongée dans l'un de mes romans historiques.Paisiblement assise sur l'un des bancs de ce square
dans lequel j'adore passer mon temps à me changer les idées. Plongée dans une de mes histoires d'amour interdite entre une servante et un chatelain...
Il me salua, je le saluais en retour, je le sentais crispé, hésitant, et sans doute rempli de tout les doutes de ce monde en lui. C'est cette fragilité qui m'a plu d'entrée.
Nous fîmes alors connaissance, lui rouge et begayant régulièrement, moi plus calme, détendue. Mais j'aimais son côté incertain,doutant de chaque mots. Mais je sais que ce genre de garçon se libèrent souvent dans d'autres circonstances.
Depuis cette rencontre, Nous nous contentâmes de boire quelques verres en fins de journées, une fois liberés de nos journées de travail respectifs.
Son poste m'étant toujours inconnu, ne répondant à mes questions sur ce sujet que par des vagues "rien de bien interessant". Cela éveilla souvent en moi l'envie d'en savoir plus.
Mais je renoncais à le questionner davantage, ayant toujours adoré les mystères. Quel est plus grand ennui que de tout connaître, savoir, comprendre.
Le vendredi soir enfin atteint, je decide de faire le plein de kérozene chez mon buraliste habituel. Je pense à Yann et au néant que je ressens pour lui,
mais après tout, l'amour n'est pas la spécialité de l'être humain. C'est alors que mon téléphone portable se met à méchamment vibrer à l'arrière de mon jean.
Ce maudit jouet n'a donc aucune pitié de ma liberté, même une fois le week end à portée de main. Mais à ma surprise c'est Yann, qui ne devait me rappeler que dans l'après midi de samedi,
pour me donner rendez-vous à une adresse qui m'est totalement inconnue. Il m'explique avec précision ou me rendre, sans me dire de quoi il s'agit. Etant trop
suprise pour lui demander plus d'explications je raccroche et me mets en route selon ses indications.
Intriguée, je prends soin de ne respecter aucune réglementation de vitesse et ma nissan 100nx me fait comprendre par ses grognements que ma conduite des plus nerveuse
ne puis plais guère.
Me voila donc dans la bonne rue, ne reste plus qu'à me garer devant le bon numéro...m'y voila oui mais...
...Je dois forcément m'être trompée, me voila devant une vitrine sur laquelle est inscrit : POMPES FUNEBRES R.E
J'hésite alors à retourner dans mon véhicule quand la silhouette de yann se dessine derrière les reflets de lumière de la vitrine.
Il m'ouvre la porte d'entrée, me sourie, s'excuse rapidement de ne pas m'avoir prévenue quant à l'activité de son magasin, et me tend la main. Je la prends, hésitante, étant toujours sous le choc de la surprise et me serre fort les doigts en me tirant légèrement à l'interieur.
Il me prend par la taille et et pose ses lèvres sur les miennes. La sensation de son corps pressé contre le mien me fait rejeter l'idée de le repousser
Il libère l'une de ses mains pour la glisser dans la poche de son pantalon, il en sort une clé. Et la tout en s'embrassant j'entends le cliquetis de la serrure de la porte vitrée.
Voila une situation à laquelle je ne m'attendais pas de vivre cet après-midi, voire dans ma vie..enfermée avec un quasi inconnu dans un magasin voué au culte du funéraire.
Il repose sa main sur moi, mais cette fois un peu plus bas, sur mes fesses, tout en me serrant plus fort contre lui. je sents sa langue s'insérer entre mes levres.
J'ouvre alors plus grande la bouche pour l'accueillir comme il se doit avec la mienne. Je sents peu à peu une chaleur enivrante naître au fond de moi, pour se repartir lentement un peu partout.
Il passe derriere moi, et m'invite à avancer, sans doute pour matter mes
fesses pendant que je marche. Je suis entourée de plaques en granit sur lesquelles quelques anges de pierre et autres personnages,m'observent. de grands arrangements floraux en tergal règne sur les murs. Tout ça est si morbide, mais si excitant, car j'ai
une idée très précise de ce qui aillait m'arriver ici.
Je traverse le rideau qui sépare le magasin du bureau, la c'est plus délabré, une multitude de dossiers et de feuilles diverses étaient éparpillés sur sur bureau. Il y a également une urne en albâtre vert emeraude qui est fièrement posé au milieu de tout ce capharnaüm.
Il me prend alors par la taille et me bloque contre le bureau. Il plaque alors la paume de ses mains
contre mes seins et baisse le tissu de mon haut de sorte à les faire sortir. Il passe le dos de la main sur mes tetons, tendrement, ce qui me fait frémir.
- Ca fait 2 semaines que tu me fais attendre...j'en peux plus, je te veux.
- Fais toi plaisir..
- ça oui, avec ta bouche et ton beau cul...en parlant de bouche met la donc à contribution.
Tout en le fixant des yeux, je me baisse avec une lenteur exagérée, puis regarde son pantalon déjà prêt à exploser. Avec un sourire en coin
j'ouvre un à un les boutons de son jean, et sorts son sexe. Je m'apprete à léchouiller son gland gonflé par l'excitation quand soudain il me prends par les cheveux et enfonce sa queue en pleine bouche.
J'ai un mouvement de recul mais sa main me bloque la tête et il ne se gène pas
pour me donner des coups de bite profonds et secs. Après quelque coups je cherche déjà mon air et laisse tomber quelques filets de salive qui coule le long de mon menton pour les sentir tomber sur mes seins dénudés.
j'entends à l'arrière l'urne vaciller à chaque coup de reins. Je sents alors qu'il ne se controle plus et ne me laisse plus du tout de temps
pour respirer. Mes yeux s'humidifient rapidement et mon rimmel se met à couler le long de mon visage laissant des sillons noirs sur son passage.
Il sort sa queue au moment ou je pensais ne plus pouvoir retenir ma nausée causée par les coups. Je vois son sexe degouilant de bave. Il prend sa queue dans les mains
et l'essui contre mes joues. Etalant mon rimmel un peu partout sur mon visage grâce à ma salive.
- Toi je vais faire en sorte que tout le monde sache que tu t'es faites baiser en partant de mon magasin...viens
Il me prend par la main et m'entraine vers un autre rideau situé dans le coin de son bureau. Je vois devant moi un escalier en colimaçon, lui aussi assez
lugubre. Il y a peu de lumière et je dois faire porter attention à chacun de mes pas pour ne pas trébucher. Arrivée en bas, je ne vois qu'une salle toute noire
mes yeux n'ayant pas eus le temps de s'adapter à l'obscurité.
Tout en appuyant sur un interrupteur il me dit
- chérie je te présente mon petit palais
Les néons s'allumère péniblement et finirent pas emettre une lumière blanche et forte qui m'éblouie
A ma gauche je pouvais voir une rangée de six cercueils, sur le mur une pancarte indique : Catégorie Pin. A ma droite j'ai droit au chêne massif.
Et au milieu un cercueil ouvert, posé au sol
- Pour toi ma chérie, le plus beau,il est en acajou, avec les poignées chromées. Enlève tes vêtements et installe toi y confortablement, comme tu sais.
Je commence donc à enlever mon haut, que j'accroche à l'une des branches de la grande croix en bois clair qui est posé contre l'un des cercueil chêne, et qui fait
maintenant office de parfait porte-manteau. Mon pantalon tombe, lui, à mes pieds. je l'envoi valser plus loin d'un geste du pied. Puis je baisse
mon string que je pose lui aussi sur notre porte manteau improvisé.
- Garde tes talons, ça fait plus pute.
Je lève mes pieds pour rentrer dans le cercueil, puis pose mes genoux et mes mains contre le capitonnage couleur champagne. il se pose derriere moi et
prend appui sur mes epaules en présentant son gland contre mon anus. J'essai d'ecarter mes jambes au mieux mais les pans du cercueil sont trop étroit.
Je vais devoir me contenter de n'ecarter qu'un minimum les jambes et je sais que je vais souffrir un bon moment.
yann se met à pousser, forçant le passage. La douleur était terriblement intense et je ne retiens pas mes cris
ce qui a le mérite de l'exciter encore d'avantage.
Il m'encula alors sévèrement, me traita de salope et de chienne, je me sentais d'ailleurs dans la peau des deux, durant ce qui me sembla être une éternité. Entre la douleur et le plaisir
mes cris ne se calmèrent pas, bien au contraire. Il me tira violemment les cheveux à plusieurs reprise. Je lui appartenais
Cela dura une bonne demi-heure et j'eu plusieurs orgasmes. ce cercueil me mena au 7eme ciel comme rarement ça avait été le cas.
Au moment d'exploser il se retira et éjaculera sur mon visage; Il fit plusieurs lignes de sperme chaud dessus, j'en avais même dans les cheveux.
je le sucais alors pour essuyer le reste de sperme qui se trouvais sur son gland. Il pressa également sur son sexe pour se vider totalement, jusqu'a ce que son sexe se ramolisse peu à peu. J'attrapais la seule chose que j'avais à portée de main pour m'essuyer.
Mon haut noir qui blanchit au fur et a mesure que je me nettoyais la peau. Yann me regarda me rhabiller mais decida de garder mon string en souvenir.
Il me reconduisit avec attention à la porte d'entrée. Croisant à nouveau tout ce beau monde enfermé dans le granit une dernière fois.
je pris place dans ma voiture et je regardais mon haut était souillé de sperme et de rimmel humide. Dans mon retroviseur je pouvais voir
des traces de maquillages noir sur le blanc de ma peau ainsi que mes cheveux totalement défaits.
Avant de démarrer Laura Palmer je jetais un dernier coup d'oeil dans la vitrine, Yann n'étais deja plus la...il devait sans doute déjà être
retourné dans son palais.
dans lequel j'adore passer mon temps à me changer les idées. Plongée dans une de mes histoires d'amour interdite entre une servante et un chatelain...
Il me salua, je le saluais en retour, je le sentais crispé, hésitant, et sans doute rempli de tout les doutes de ce monde en lui. C'est cette fragilité qui m'a plu d'entrée.
Nous fîmes alors connaissance, lui rouge et begayant régulièrement, moi plus calme, détendue. Mais j'aimais son côté incertain,doutant de chaque mots. Mais je sais que ce genre de garçon se libèrent souvent dans d'autres circonstances.
Depuis cette rencontre, Nous nous contentâmes de boire quelques verres en fins de journées, une fois liberés de nos journées de travail respectifs.
Son poste m'étant toujours inconnu, ne répondant à mes questions sur ce sujet que par des vagues "rien de bien interessant". Cela éveilla souvent en moi l'envie d'en savoir plus.
Mais je renoncais à le questionner davantage, ayant toujours adoré les mystères. Quel est plus grand ennui que de tout connaître, savoir, comprendre.
Le vendredi soir enfin atteint, je decide de faire le plein de kérozene chez mon buraliste habituel. Je pense à Yann et au néant que je ressens pour lui,
mais après tout, l'amour n'est pas la spécialité de l'être humain. C'est alors que mon téléphone portable se met à méchamment vibrer à l'arrière de mon jean.
Ce maudit jouet n'a donc aucune pitié de ma liberté, même une fois le week end à portée de main. Mais à ma surprise c'est Yann, qui ne devait me rappeler que dans l'après midi de samedi,
pour me donner rendez-vous à une adresse qui m'est totalement inconnue. Il m'explique avec précision ou me rendre, sans me dire de quoi il s'agit. Etant trop
suprise pour lui demander plus d'explications je raccroche et me mets en route selon ses indications.
Intriguée, je prends soin de ne respecter aucune réglementation de vitesse et ma nissan 100nx me fait comprendre par ses grognements que ma conduite des plus nerveuse
ne puis plais guère.
Me voila donc dans la bonne rue, ne reste plus qu'à me garer devant le bon numéro...m'y voila oui mais...
...Je dois forcément m'être trompée, me voila devant une vitrine sur laquelle est inscrit : POMPES FUNEBRES R.E
J'hésite alors à retourner dans mon véhicule quand la silhouette de yann se dessine derrière les reflets de lumière de la vitrine.
Il m'ouvre la porte d'entrée, me sourie, s'excuse rapidement de ne pas m'avoir prévenue quant à l'activité de son magasin, et me tend la main. Je la prends, hésitante, étant toujours sous le choc de la surprise et me serre fort les doigts en me tirant légèrement à l'interieur.
Il me prend par la taille et et pose ses lèvres sur les miennes. La sensation de son corps pressé contre le mien me fait rejeter l'idée de le repousser
Il libère l'une de ses mains pour la glisser dans la poche de son pantalon, il en sort une clé. Et la tout en s'embrassant j'entends le cliquetis de la serrure de la porte vitrée.
Voila une situation à laquelle je ne m'attendais pas de vivre cet après-midi, voire dans ma vie..enfermée avec un quasi inconnu dans un magasin voué au culte du funéraire.
Il repose sa main sur moi, mais cette fois un peu plus bas, sur mes fesses, tout en me serrant plus fort contre lui. je sents sa langue s'insérer entre mes levres.
J'ouvre alors plus grande la bouche pour l'accueillir comme il se doit avec la mienne. Je sents peu à peu une chaleur enivrante naître au fond de moi, pour se repartir lentement un peu partout.
Il passe derriere moi, et m'invite à avancer, sans doute pour matter mes
fesses pendant que je marche. Je suis entourée de plaques en granit sur lesquelles quelques anges de pierre et autres personnages,m'observent. de grands arrangements floraux en tergal règne sur les murs. Tout ça est si morbide, mais si excitant, car j'ai
une idée très précise de ce qui aillait m'arriver ici.
Je traverse le rideau qui sépare le magasin du bureau, la c'est plus délabré, une multitude de dossiers et de feuilles diverses étaient éparpillés sur sur bureau. Il y a également une urne en albâtre vert emeraude qui est fièrement posé au milieu de tout ce capharnaüm.
Il me prend alors par la taille et me bloque contre le bureau. Il plaque alors la paume de ses mains
contre mes seins et baisse le tissu de mon haut de sorte à les faire sortir. Il passe le dos de la main sur mes tetons, tendrement, ce qui me fait frémir.
- Ca fait 2 semaines que tu me fais attendre...j'en peux plus, je te veux.
- Fais toi plaisir..
- ça oui, avec ta bouche et ton beau cul...en parlant de bouche met la donc à contribution.
Tout en le fixant des yeux, je me baisse avec une lenteur exagérée, puis regarde son pantalon déjà prêt à exploser. Avec un sourire en coin
j'ouvre un à un les boutons de son jean, et sorts son sexe. Je m'apprete à léchouiller son gland gonflé par l'excitation quand soudain il me prends par les cheveux et enfonce sa queue en pleine bouche.
J'ai un mouvement de recul mais sa main me bloque la tête et il ne se gène pas
pour me donner des coups de bite profonds et secs. Après quelque coups je cherche déjà mon air et laisse tomber quelques filets de salive qui coule le long de mon menton pour les sentir tomber sur mes seins dénudés.
j'entends à l'arrière l'urne vaciller à chaque coup de reins. Je sents alors qu'il ne se controle plus et ne me laisse plus du tout de temps
pour respirer. Mes yeux s'humidifient rapidement et mon rimmel se met à couler le long de mon visage laissant des sillons noirs sur son passage.
Il sort sa queue au moment ou je pensais ne plus pouvoir retenir ma nausée causée par les coups. Je vois son sexe degouilant de bave. Il prend sa queue dans les mains
et l'essui contre mes joues. Etalant mon rimmel un peu partout sur mon visage grâce à ma salive.
- Toi je vais faire en sorte que tout le monde sache que tu t'es faites baiser en partant de mon magasin...viens
Il me prend par la main et m'entraine vers un autre rideau situé dans le coin de son bureau. Je vois devant moi un escalier en colimaçon, lui aussi assez
lugubre. Il y a peu de lumière et je dois faire porter attention à chacun de mes pas pour ne pas trébucher. Arrivée en bas, je ne vois qu'une salle toute noire
mes yeux n'ayant pas eus le temps de s'adapter à l'obscurité.
Tout en appuyant sur un interrupteur il me dit
- chérie je te présente mon petit palais
Les néons s'allumère péniblement et finirent pas emettre une lumière blanche et forte qui m'éblouie
A ma gauche je pouvais voir une rangée de six cercueils, sur le mur une pancarte indique : Catégorie Pin. A ma droite j'ai droit au chêne massif.
Et au milieu un cercueil ouvert, posé au sol
- Pour toi ma chérie, le plus beau,il est en acajou, avec les poignées chromées. Enlève tes vêtements et installe toi y confortablement, comme tu sais.
Je commence donc à enlever mon haut, que j'accroche à l'une des branches de la grande croix en bois clair qui est posé contre l'un des cercueil chêne, et qui fait
maintenant office de parfait porte-manteau. Mon pantalon tombe, lui, à mes pieds. je l'envoi valser plus loin d'un geste du pied. Puis je baisse
mon string que je pose lui aussi sur notre porte manteau improvisé.
- Garde tes talons, ça fait plus pute.
Je lève mes pieds pour rentrer dans le cercueil, puis pose mes genoux et mes mains contre le capitonnage couleur champagne. il se pose derriere moi et
prend appui sur mes epaules en présentant son gland contre mon anus. J'essai d'ecarter mes jambes au mieux mais les pans du cercueil sont trop étroit.
Je vais devoir me contenter de n'ecarter qu'un minimum les jambes et je sais que je vais souffrir un bon moment.
yann se met à pousser, forçant le passage. La douleur était terriblement intense et je ne retiens pas mes cris
ce qui a le mérite de l'exciter encore d'avantage.
Il m'encula alors sévèrement, me traita de salope et de chienne, je me sentais d'ailleurs dans la peau des deux, durant ce qui me sembla être une éternité. Entre la douleur et le plaisir
mes cris ne se calmèrent pas, bien au contraire. Il me tira violemment les cheveux à plusieurs reprise. Je lui appartenais
Cela dura une bonne demi-heure et j'eu plusieurs orgasmes. ce cercueil me mena au 7eme ciel comme rarement ça avait été le cas.
Au moment d'exploser il se retira et éjaculera sur mon visage; Il fit plusieurs lignes de sperme chaud dessus, j'en avais même dans les cheveux.
je le sucais alors pour essuyer le reste de sperme qui se trouvais sur son gland. Il pressa également sur son sexe pour se vider totalement, jusqu'a ce que son sexe se ramolisse peu à peu. J'attrapais la seule chose que j'avais à portée de main pour m'essuyer.
Mon haut noir qui blanchit au fur et a mesure que je me nettoyais la peau. Yann me regarda me rhabiller mais decida de garder mon string en souvenir.
Il me reconduisit avec attention à la porte d'entrée. Croisant à nouveau tout ce beau monde enfermé dans le granit une dernière fois.
je pris place dans ma voiture et je regardais mon haut était souillé de sperme et de rimmel humide. Dans mon retroviseur je pouvais voir
des traces de maquillages noir sur le blanc de ma peau ainsi que mes cheveux totalement défaits.
Avant de démarrer Laura Palmer je jetais un dernier coup d'oeil dans la vitrine, Yann n'étais deja plus la...il devait sans doute déjà être
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Vos récits sont très excitants, j'espère que vous en écrirez d'autres.
Vous n'écrivez plus ?
Un peu surprenante au prime abord, certes, mais a sa relecture elle est excellente. Un
peu de langage cru, juste ce qu'il faut pour "émoustiller"... bravo a l'auteur.
peu de langage cru, juste ce qu'il faut pour "émoustiller"... bravo a l'auteur.
Très bien, un peu vulgaire, juste ce qu'il faut pour faire montre l'exitation... voos
devez aimer la jouissance. Bravo faites nous profiter de vos recits....
devez aimer la jouissance. Bravo faites nous profiter de vos recits....
trop brutal, ici la femme n'a le droit qu'a la souffrance, rien de jouissif !!
Pourquoi n'a t-elle pas eu droit à un petit cuni ????(par exemple).
pourquoi n'a t-elle était que sodomisé? pas cool.
très, très direct, pas de place à l'imagination.
je n'ai pas aimé. désolé.
Pourquoi n'a t-elle pas eu droit à un petit cuni ????(par exemple).
pourquoi n'a t-elle était que sodomisé? pas cool.
très, très direct, pas de place à l'imagination.
je n'ai pas aimé. désolé.
Bof bof.
vraiment sans plus, le sujet est simple cependant il faut le développer dans ces moindre
détails ...
détails ...