LA PREMIERE EXPERIENCE PARTICULIERE DE MARION - PARTIE 2 - histoire érotique

SUITE DE LA PARTIE 1 (lire la partie 1 ayant le même titre, pour ceux qui ne l'ont pas lu) :
Chapitre 5La rendre folle de plaisir
Marion resta allongée sur le lit avec son mari quelques instants, tandis que les hommes dans le living trinquèrent ensemble, depuis la chambre elle entendait au lointain quelques commentaires des mecs, chacun exprimant ses impressions. En tout cas, du peu de ce qu’elle entendait ça ne lui déplaisait pas, au contraire ça la flattait. Puis elle se leva, demanda à Maxime une serviette afin de s’essuyer l’entrejambe dégoulinant de cyprine, il lui proposa d’enlever son bandeau, mais elle préféra le garder, être dans le noir décuplait les sensations, de plus derrière ce bandeau elle se sentait plus libre, ne voyant pas le regard des hommes sur elle, elle osait agir ou dire des choses sans se sentir gêner.
Maxime l’amena au milieu de ses complices, et lui donna une coupe de champagne, mais Marion voulut une vodka-violette avec de la glace pilée pour se remettre de ses émotions. Elle entendait les complices de son mari discuter et se demandait quels regards ils portaient sur elle.
Ismaël s’approcha d’elle et lui dit à l’oreille : - J’espère que je ne t’ai pas fait mal en te pénétrant tout à l’heure, j’avoue avoir été un peu violent, mais tu m’excitais tellement que j’ai laissé parler mon instinct… - Ben j’avoue que ton sexe est énorme, vraiment énorme, c’est une première pour moi, d’ailleurs tout est une première pour moi aujourd’hui… Je ne vais pas mentir mais j’ai été surprise de sentir ce sexe géant en moi, sans pour autant en éprouver une quelconque douleur, c’était même tout l’inverse, sans doute la forte excitation dans laquelle je me trouvais. Mais dès que tu as commencé à me pénétrer j’ai ressenti une sensation incroyable, je n’ai jamais connu ça de toute ma vie, c’était gigantesque, en plus l’autre qui me caressait là où il fallait exactement comme j’aime, ajouter à cela toutes ces heures où on m’a fait languir, c’était véritablement impossible pour moi de retenir quelques secondes de plus mon premier orgasme ! Après lorsque tu t’es agité en moi bien fort un deuxième orgasme m’a pulvérisée de partout, ce sont les deux plus forts orgasmes que j’ai eu de toute ma vie, c’était d’une telle puissance et d’une telle durée, que je ne pouvais même pas imaginer que ça puisse exister ! Donc non tu ne m’as pas fait mal bien au contraire et pour être franche j’ai vraiment apprécié ton sexe en moi, dit-elle en souriant.
- Alors tant mieux, je suis ravi que mon sexe te plaise autant, et pour te faire moi aussi une confidence, ta petite chatte est exceptionnelle, sérieusement, c’est un délice, elle est si étroite et bouillante que lorsque je suis rentré j’aurai pu éjaculer presque aussitôt, tellement c’était fort, j’ai dû véritablement me concentrer pour ne pas jouir…Marion sourit, elle fût très étonnée de parler aussi ouvertement avec un inconnu et tenir de tels propos, mais l’ambiance était tellement unique et puis ce bandeau sur les yeux l’aidait fortement.
Après un long moment et quelques verres plus tard, après avoir mangé quelques toasts et verrines, tout en discutant dans une ambiance très décontractée, Maxime dit : - Peut-être pourrions-nous nous occuper à nouveau de notre petite soumise ? Quand dites-vous messieurs ?
Marion appela Maxime, il s’approcha, elle lui avoua qu’elle aurait aimé prendre une petite douche, histoire de se rafraichir un peu. Maxime l’amena au bout d’un long couloir dans une des salles de bain. Elle enleva son bandeau et se jeta au cou de son mari, en lui disant merci pour cette incroyable journée et elle l’embrassa fougueusement, Maxime banda d’un coup, elle le repoussa, et lui prenant la queue en main elle dit avec un sourire : - Tu veux que je te fasse jouir mon chéri, tu dois avoir tellement envie et je vois bien que tu n’en peux plus, ton gland en est presque violacé ! Je parie même que ta queue je la fais gicler en même pas dix secondes ! Normal avec tout ce que tu as vu, voir tous ces hommes s’occuper de moi a dû bien t’exciter, c’est pas vrai ? Regarde même tes testicules sont gonflés à bloc … - J’avoue que te voir jouir aussi fort avec d’autres mecs ça m’a procuré une forte jalousie mais surtout une énorme excitation, répondit Maxime, ma queue bandait si fort que ça me faisait mal par moment, et pour être franc te voir dans cet état du sperme coulait tout seul de ma queue !! Mais je préfère attendre encore un peu pour jouir. En tout cas c’est gentil mon amour de te préoccuper de la santé de mon sexe, ajouta t-il avec un sourire.
- Comme tu veux lui répondit-elle, tout en se mettant à genoux, puis d’un coup sec elle lui engloba la queue toute entière et commença à le sucer avec frénésie ! Il est clair que cette queue n’avait rien à voir avec celles des autres, beaucoup plus dans une taille moyenne, Marion n’avait guère de peine à la prendre entièrement en bouche. A peine quelques secondes plus tard Maxime se retira d’un coup pour ne pas jouir, en la priant d’arrêter, ce qu’elle fit, et elle vint se coller tout contre lui, frottant son ventre contre cette queue dressée et embrassa son mari avec fougue. Sentir cette petite chatte tout contre son sexe, Maxime n’en pouvait plus, il lui leva une jambe pour entrer d’un coup sa bite dans cette fente toute bouillante, malgré les assauts de la grosse queue d’Ismaël sa chatte était toujours aussi incroyablement serrée ! Les douces et humides parois de son vagin étaient véritablement brûlantes décuplant les sensations pour Maxime, il remua un peu, mais c’était trop fort, il sentait l’éjaculation prête à exploser, du coup il voulut la prendre en levrette, elle se mit à quatre pattes. Il ne savait pas si c’était l’excitation de toute la situation mais voir les fesses de sa femme augmenta son envie de la posséder avec force, il l’attrapa par les hanches et la baisa violemment, mais à peine quelques allers-retours plus tard, à nouveau, il sentit qu’il allait éjaculer, il stoppa net. Sa femme comprit qu’il n’en pouvait vraiment plus, cela lui donna une idée de vengeance… Elle se détacha de sa queue et dit à Maxime :- Mon pauvre petit chéri, tu es trop excité tu n’arrives même plus à te retenir, attends je vais arranger ça, allonge-toi sur le dos au sol.
Maxime s’exécuta, elle prit sa queue en main et tout doucement, véritablement doucement elle lui caressa le sexe de différentes manières, la queue de Maxime perlée d’envie, cela amusait sa femme. De temps en temps elle plongeait la bouche d’un coup pour le sucer vigoureusement quelques secondes, provoquant un râle de satisfaction chez son mari, puis elle se mettait à effleurer de ses deux mains sa bite et ses couilles, Maxime se tendait vers ses mains pour qu’elle le soulage de cette envie de jouir, mais sa femme reprit le jeu que Maxime lui avait fait subir, en lui disant : - Laisse-toi faire, je t’interdis de bouger, sinon tu ne jouiras pas !
Maxime ne put s’empêcher de sourire, finalement c’était de bonne guerre, Marion avait dégusté avant de jouir, il ne bougea plus. Elle reprit ses caresses du bout de la langue, lui caressant doucement des deux mains ses testicules, la queue de Maxime avait des mouvements de réflexes incontrôlés, la faisant bouger de haut en bas, puis d’un coup elle le branlait très vite tout en serrant bien sa main, pour arrêter aussitôt, pour voracement lui gober la queue entière dans une succion digne d’elle -même ! Ses couilles étaient tellement remontés d’envie, que ça lui donnait mal au ventre. C’est alors que Marion se mit à califourchon sur lui, frottant sa chatte gluante d’excitation sur sa queue, Maxime sentait bien le sillon de sa petite fente toute douce et n’avait qu’une envie maintenant, celle de rentrer à nouveau à l’intérieur. C’est alors que sa femme plaça sa queue au bord de son vagin et doucement, rentra juste le bout du gland de son mari, pour l’en ressortir aussi sec, suivi d’un grand empalement englobant entièrement cette bite au bord de l’explosion, pour la ressortir aussi vite… Cette situation excitait Marion et une forte envie de jouir monta en elle à nouveau, mais elle eut pitié de son mari et décida de le faire ejaculer mais à sa convenance, s’approchant elle lui dit à l’oreille :- Tu veux jouir comment mon amour, avec ma bouche, mes mains ou en moi ?
- Je veux jouir en toi ma chérie, dans ta petite chatte !
- D’accord mais je ne veux pas que tu bouges du tout, c’est moi qui vais te faire jouir, au rythme que j’aurais choisi, tu es d’accord ?
- Oui oui ok.
Marion prit la queue de son mari et la plaça dans son vagin, mais ne bougea pas, afin qu’il ressente bien la chaleur, puis lentement, très très lentement, elle commença à bouger, Maxime sentait ce vagin bouillant et trempé lui masser la bite dans un effet spongieux, mais les mouvements s’arrêta pour reprendre plus vigoureusement, pour s’arrêter à nouveau, Maxime était au bord de la jouissance, elle aurait bien fait durer encore et encore ce petit jeu, mais eut pitié de lui et décida de l’amener à l’orgasme. Elle reprit ses mouvements langoureux, et embrassa son mari passionnément, ça en était trop, Maxime n’était plus à même de se retenir, c’était devenu littéralement impossible, les mouvements de Marion se précisèrent encore plus, ça y est il allait lui envoyer toute la sauce, des contractions de ses muscles arrivèrent, et au moment où il allait tout envoyer, sa femme s’arrêta net, comme une image figée, mais sa queue lâcha quelques coulées de sperme.
Maxime émis un son, montrant sa déception, elle lui dit :- Alors ça fait quoi de ne pas pouvoir jouir comme on veut ? Tu imagines mieux maintenant ce que j’ai enduré pendant des heures avec toi et tes potes ? dit-elle sur un ton moqueur.
Puis au bout de quelques instants, elle l’embrassa à nouveau de tout son être, et se mit à bouger violemment quelques secondes, pour reprendre un mouvement très très lent, et elle lui dit :- C’est maintenant que je vais te faire jouir mon chéri, tu vas voir ça va être très fort je pense.
Il sentit que Marion contractait son vagin ce qui amena des sensations encore plus fortes pour Maxime, puis très doucement elle glissa sur sa queue, au bout de quatre allers-retours, il lui cracha une énorme giclée de foutre au fond de son vagin tout en lui lâchant des mots comme : - Putain tu me fais jouir, je vais te noyer de sperme ma p’tite salope… De puissantes contactions de jouissance envoyaient par saccade de longs jets de sperme, au point que ça débordait du vagin de sa femme, elle continuait à bouger tout en douceur, essayant de faire durer le plus possible l’orgasme de son mari, ce qui fut réussi. Puis Maxime la bascula sur le côté et la défonça à toute vitesse, son sexe restait dur malgré l’éjaculation, il voulait se venger d’elle, il se retira d’un coup la mettant à quatre patte, son magnifique petit cul bien rond il voulait le défoncer aussi, il l’attrapa par les hanches et d’un coup il rentra entièrement sa bite trempée de mouille et de sperme dans ses fesses, il lui déglingua littéralement l’anus avec rage, il ne voyait plus sa femme mais juste une bonne salope à baiser, et il se mit à la traiter de tous les noms. Marion sentait un orgasme anal prêt à exploser et elle dit à son mari : - Vas-y baise moi fort, n’arrête pas je vais jouir ! Du coup Maxime s’arrêta net, lui disant : - Cette fois-ci c’est moi qui décide quand tu vas jouir !
- C’est pourri ce que tu fais ! Répondit Marion- Ben oui, mais c’est le jeu mon pauvre petit amour !
Quelques instants après s’être remis de ses émotions, Maxime prit sa femme dans ses bras en la serrant très fort. Elle lui dit : - Alors c‘était fort ?
- Oh oui trop fort même, mais tu sais, j’avais tellement en tête toutes ces images de toi entrain de te faire baiser et jouir que c’était impossible pour moi de me retenir. En tout cas tu as voulu faire ta maligne, et bien je te promets que tu vas re-déguster, ça t’apprendra à vouloir jouer les maîtresses femmes avec moi qui suis dominateur ! Dit-il en souriant.
- Ah mais dis donc c’est plutôt une bonne nouvelle alors, vivement que je re-déguste! Dit-elle en riantCette petite séance avec son mari lui avait donné à nouveau l’envie de rejouir aussi fort que la première fois. Puis regardant autour d’elle, elle dit : - Mais au fait, on est où exactement ici ? La salle de bain est gigantesque en plus d’être magnifique!
- Dans une immense villa de luxe répondit Maxime tout en se douchant, elle appartient à un riche homme d’affaire qui s’en sert pour organiser des soirées spéciales un peu comme celle-ci, si tu vois ce que je veux dire… Il y a un énorme salon avec une magnifique cheminée, un très grand living avec une cuisine digne des plus grands restaurants, il y a environ une douzaine de chambres toutes équipées différemment… Du coup tout le monde peut dormir ici, et il y a même une piscine au sous-sol avec jacuzzi et hammam on ira si tu veux ? De toute manière on a la villa tout le week-end !
- Pourquoi tu penses qu’on va dormir, s’exclama Marion avec un regard complice.
- Je pense qu’à un moment on va tous tomber de fatigue !
- Aaaah ça c’est sûr répliqua t-elle.
- Bon je te laisse te rincer ma chérie, je vais rejoindre les autres qui doivent s’impatienter je pense…Maxime la laissa, et rejoignit les autres au salon. Ils parlaient tous de Marion… En le voyant arriver ils eurent ce regard inquisiteur accompagné d’un sourire.
- Désolé les mecs pour ce petit moment de délaissement, mais Marion et moi avions une conversation importante sur les lois de la gravité et de son implication dans nos vies de tous les jours dit-il en riant.
- Pas de souci c’est important aussi la gravité répondit Stephen avec un sourire tout en faisant un clin d’œil, puis prenant Maxime à témoin il ajouta : - En tout cas, ta femme est vraiment trop trop belle, incroyablement belle, pour nous c’est un vrai plaisir et un honneur d’être là !
- Oui c’est vrai, d’ailleurs c’est ce qu’on se disait avant que tu n’arrives, franchement elle n’a rien à envier aux mannequins, en plus elle a une de ces classes, dit Néo.
- Elle est très belle et tellement excitante, elle a des seins aussi magnifiques que ses fesses, elle est d’une attirance irrésistible !! dit Ismaël avec un petit sourire.
- J’avoue enchaina Paul, en plus ta femme malgré son très beau physique reste simple, et on voit qu’elle aime vraiment le sexe et profiter de l’instant ! De plus, elle est exceptionnelle quand elle jouit, elle est grave excitante, car on voit qu’elle se lâche littéralement se laissant aller complètement à ses orgasmes, comme si elle était seule !
- C’est vrai, j’ai la femme la plus unique au monde, je suis tellement fier d’elle et surtout qu’elle m’ait choisi, mais c’est notre Amour qui a fait que nous nous sommes trouvés !! Mais sur un plan purement physique il est clair qu’elle a pratiquement toujours envie, surtout pour jouir, répondit Maxime tout en se servant un whisky. En tout cas merci pour elle pour tous vos compliments, mais c’est à Marion qu’il faut dire ça… Puis il questionna ses complices sur leurs expériences passées dans ce genre de soirées, chacun racontant leurs anecdotes.
Au bout de quelques minutes, Maxime se rendit compte qu’il manquait Raphaël et Joachim, discrètement il alla voir dans la salle de bain, mais arrivé à mi-hauteur du couloir, il entendit comme des gémissements, une violente montée de jalousie s’empara de lui et c’est le cœur battant qu’il ouvrit délicatement la porte de la salle de bain, là, il tomba sur une scène qu’il était loin d’imaginer : Marion prise entre deux complices dans cette immense douche à l’italienne se faisant savonner, enfin savonner, c’était un bien grand mot. En réalité Raphaël placé derrière elle lui mettait des doigts dans son vagin, alors que Joachim la tenait serrée tout contre lui, l’embrassant en pleine bouche tout en lui caressant le clitoris. Maxime face à cette vision sa jalousie fut étouffée par l’excitation, il observait sa femme prise en main par ces deux mâles sans qu’elle devine sa présence ! Il avait l’impression que le fait que Marion soit sans lui ça la mettait dans un état de surexcitation, comme si elle était totalement libre de tout, sans contrainte.
Puis d’un coup Marion dans un mélange de mots et de gémissement cria : - Aaaarrêtez je vais jouir, mais je vais vraiment jouir je vous dis si vous n’arrêtez pas, mais les bougres n’avaient aucune envie d’arrêter et cinq secondes plus tard Marion hurla : - Aaaaaaaaah je jouiiiiiiis, vous me faites jouiiiir bande de salauds !! En quelques secondes Marion avait eu un troisième orgasme, poussant un gros gémissement de plaisir ! Joachim fit un clin d’œil à Raphaël, alors qu’elle était encore transpercée de soubresauts, Joachim pris les épaules de Marion l’obligeant à se plier en deux, se retrouvant la bouche devant sa bite bien noire qu’elle chopa direct ! Cette position présentait ses fesses à Raphaël qui profita de l’aubaine, pour rentrer sans ménagement son sexe dans sa chatte trempée, Marion eu un cri de surprise suivi très vite de gémissements, elle suçait Joachim comme une folle, lui pelotant les couilles, s’arrêtant pour le branler pour mieux le re-sucer ensuite.
D’un coup Raphaël stoppa net ses mouvements disant :- Aaah ta chatte est vraiment trop bonne, elle est si serrée et bouillante que j’ai trop de mal à me retenir, c’est vraiment une chatte à faire jouir les queues que tu as ! Puis il reprit doucement ses va-et vient… Joachim ne tenait plus, et il la stoppa, lui disant qu’elle allait le faire jouir, mais cette petite excitée s’adonna de plus belle s’appliquant deux fois plus encore, Joachim ne put se retenir, au moment où Marion releva la tête pour voir ses réactions, il envoya des flots de sperme partout sur le visage, dans les cheveux sur les seins, tout en lui lâchant des bribes de phrases telles que : - Raaah putain, vas-y, branle-moi encore ma bonne suceuse !!
Maxime fut stupéfait de la quantité de sperme que Joachim pouvait cracher, c’était interminable, Marion en avait partout jusque dans le dos et le début des fesses !
Voyant ça, Raphaël n’avait que l’envie de jouir lui aussi, il accéléra ses mouvements quelques secondes et sentant la jouissance proche il se retira, enleva la capote et cracha de puissants jets de sperme sur les fesses et le dos de Marion jusqu’à lui toucher la nuque. En se retournant Maxime vit que les 4 autres avaient eux aussi assistés à la scène dans un silence complet et discret.
Marion ayant repris ses esprits, s’aperçut de la présence des spectateurs, et bredouilla un genre d’excuses à Maxime, disant qu’elle n’avait rien pu faire qu’ils étaient entrés de force dans la douche alors qu’elle se lavait.
- En attendant tu ne t’es pas vraiment opposée à leurs assauts à priori ! Lui répliqua Maxime avec un sourire- C’est de ta faute aussi, répondit Marion, tout en se rinçant le visage maculé de sperme, le fait de m’occuper de toi tout à l’heure ça m’a trop donné envie de rejouir mais tu m’as laissée sur ma faim et sans orgasme ! Eux ils sont arrivés dans la douche, je les ai repoussés un peu, mais ils se sont serrés tout contre moi me touchant là où il faut et puis voilà quoi, ma forte envie a fait que je me suis finalement laissée faire!
- Ouais bon, ce genre de situation ce n’est pas ce que l’on avait convenue tous les deux, rien ne devait se faire sans l’autre ou sans l’accord de l’autre tu te souviens quand même ? Dit-il à sa femme- Oui oui tu as entièrement raison, désolée mon amour vraiment désolée… Puis s’adressant à Raphaël et Joachim il dit : - Quant à vous deux, vous me manquez de respect en agissant de la sorte, c’est pas cool…Comme deux gamins ils baissèrent la tête et s’excusèrent, ce qui fit sourire Maxime.
- Bon j‘avoue quand même que de voir ma femme avec vous deux sans qu’elle sache que je sois là, ça m’a trop excité, donc finalement ça en valait le coup d’œil ! Finit par dire Maxime avec un large sourire.
Tous voyaient enfin le magnifique visage de Marion sans bandeau dévoilant ses très beaux yeux verts pailletés d’or.
Marion dévisagea l’ensemble des hommes, puisqu’ elle les voyait pour la première fois sans son bandeau. Elle fût surprise de voir qu’ils étaient vraiment à son goût tous sans exception, de beaux visages, avec des corps parfaits à la musculature saillante, en baissant les yeux elle vit leurs queues, toutes dressées, gorgées d’envie, mais lorsque son regard se posa sur celle d’Ismaël, elle n’en revenait pas de cet énorme sexe, et ne put détacher ses yeux de cette bite incroyable, à tel point que tout ce petit monde s’en rendit compte, et Maxime lui dit : - Et ouais cette grosse queue t’a baisée ma chérie et t’a fait jouir! C’est plus impressionnant sans bandeau hein… - Oui j’avoue, répondit Marion tout en restant hypnotisée par cet engin.
Quelques-uns poussèrent de petits rires moqueurs.
- Bon on va laisser Marion se laver tranquillement, je pense qu’elle en a plus que besoin, dit Maxime avec un sourire.
Une fois de retour dans le salon, les hommes reprirent un verre entre eux, tout en commentant la scène à laquelle ils venaient d’assister…Raphaël et Joachim réitérèrent leurs excuses auprès de Maxime, qui les rassura en leur disant qu’il ne leur en voulait pas, que finalement c’était une expérience de plus pour sa femme et donc que ça ne changeait rien sur la suite des évènements, ni sur l’ambiance.


CHAPITRE 6Devines qui ?

Au bout d’une vingtaine de minutes Marion apparue, habillée juste de ses escarpins, le bandeau à la main, elle s’avança vers Maxime d’une allure féline, tout le monde s’arrêta de parler et la suivirent des yeux, admirant son déhanchement naturel et si sensuel. Discrètement elle s’adressa à Maxime- Au fait, je suis obligée de remettre tout de suite le bandeau ?
-Bien sûr que non ma chérie, tu fais comme tu en as envie.
Marion ne tenait pas à redevenir aveugle de suite, afin de scruter en détail chaque mec, pour qu’une fois le bandeau sur les yeux, elle puisse essayer de deviner qui lui faisait quoi.
- Au fait lui dit Maxime, je vais te présenter nos partenaires de jeux, ils se sont présentés à toi tout à l’heure mais tu avais le bandeau, et tu n’as pas pu voir qui était qui finalement.
Maxime fit les présentations, Marion pu mettre un visage sur chaque nom, mais pas que le visage car Maxime en observant le comportement de sa femme, il remarqua comment elle matait à fond les mecs, il se demanda même si elle ne faisait pas des comparaisons entre les queues au repos. Maxime ne put s’empêcher de lui poser la question, et sa réponse fut sans équivoque, elle matait bien toutes ces queues la petite cochonne, il faut dire que c’était la première fois qu’elle en avait autant à sa disposition et de plus des sacrés calibres. Elle précisa à son mari, qu’elle allait essayer de deviner une fois le bandeau sur les yeux à quel visage appartiendrait la queue qui serait entrain de la pénétrer. Maxime ne savait pas si elle plaisantait, mais l’idée lui plaisait assez bien.
- Sinon t’as encore envie ?
- Touche ma fente et tu verras, bien sûr que j’ai encore envie, avec tout ce que j’ai subi depuis cet après midi, je ne suis pas prête d’être calmée !
- Tu as quand même joui trois fois, je pense qu’il te sera difficile d’obtenir d’autres orgasmes dit Maxime en souriant.
- Tu te trompes complètement mon chéri, franchement j’ai tellement été excitée durant toutes ces heures, que j’ai encore trop besoin de jouir pour faire retomber mon excitation !
- Tant mieux, je dirai même géniaaal mon bébé.
Marion voulu aller dans le living jusqu’au buffet, car toutes ces émotions lui avaient ouvert l’appétit, mais son mari lui dit : - Reste avec nos complices pour discuter un peu, je vais t’amener un petit plateau composé de tout ce que tu aimes ma chérie.
- Oh c’est gentil, merci mon amour à moi, prend-moi un grand verre d’eau s’il te plait…Alors que Maxime se dirigeait vers le living, trois des complices entourèrent Marion et la questionnèrent sur cette première expérience de pluralité masculine, sur ses impressions comment cela se passait et si ça lui convenait vraiment.
Marion leur expliqua que son mari et elle en avait discuté très longuement avant de réaliser son fantasme, qu’ils avaient abordé l’ensemble de la situation en évoquant les possibilités de jalousie, de stress, de peur, de gêne mais aussi les possibilités que l’un ou l’autre pouvait mal le vivre et comment agir si ça arrivait, mais également du regard de son mari sur elle après cette expérience, etc… Puis elle ajouta qu’elle avait décrit à Maxime dans les moindres détails ce qu’elle imaginait lorsqu’elle fantasmait sur ce genre d’expérience et comment elle voulait que ça se passe tout au moins dans les grandes lignes, sans vouloir connaître le déroulement ni les détails afin de garder la surprise. Donc oui jusqu’à présent elle le vivait très bien, même si au départ elle était plutôt en stress, avec la peur au ventre face à l’inconnu.
- J’ai une question, dit Néo, tu es une magnifique femme avec énormément de classe, le fait qu’on te dise certaines choses pendant qu’on s’occupe de toi, quand on te traite de salope par exemple, est-ce que ça te choque ? Peut-être que tu n’aimes pas, dis-le nous si c’est ça ?
- En fait, à la base je trouve ça très vulgaire, me faire traiter de salope ou de pute dans un contexte ordinaire je ne supporte pas ce genre de vocabulaire, je préfère très largement un langage châtié, mais dans ce style de situation j’avoue que c’est excitant, en tout cas moi ça m’excite, c’est bizarre mais bon, mais ça aussi ça a fait partie de mes désirs lorsque j’en ai parlé avec Maxime ! Donc ne changeait rien dans vos mots crus ! Finit par dire Marion.
- J’ai trois petites questions un peu plus intime, je peux te les poser ? demanda Paul- Oui bien sûr dit-elle avec un sourire- D’habitude tu mouilles toujours aussi abondamment, tu jouis toujours aussi fort et autant de fois ?
- C’est un peu personnel comme questions mais bon, je vais te répondre, alors oui mon minou à une grande lubrification naturelle et plus je suis excitée plus c’est abondant, et je peux mouiller énormément tout au long de mon excitation, comme tu l’as certainement remarqué ! C’est vrai que depuis mon adolescence je jouis très facilement, mais depuis quelques années je peux jouir beaucoup de fois en suivant, tout dépend si je suis fort excitée ou non, j’avoue qu’aujourd’hui je suis au summum de l’excitation dit-elle avec un sourire, et pour ce qui est de la puissance de l’orgasme très honnêtement c’est la première fois que j’ai joui aussi fort de toute ma vie, mais bon l’ambiance y est pour beaucoup aussi, du coup là j’ai encore envie, dit-elle avec son petit rire bien à elle.
- Ah bon à ce point ? s’exclama Raphaël tout en s’approchant de Marion pour lui effleurer la fente, du coup les deux autres se rapprochèrent également tout près, encore plus près jusqu’à qu’ils soient tous les trois serrés tout contre elle. La chaleur de son corps avait un effet sur leurs sexes car de la position repos ils commencèrent tous à se mettre à grossir, il n’en fallait pas plus pour redémarrer l’excitation chez Marion ! Elle se laissa totalement aller à leurs étreintes, ondulant contre ces corps, dont les queues devenaient de plus en plus grosses et dures. Néo lui glissa à l’oreille tout en frottant son sexe contre son ventre : - J’ai une de ces envies de te baiser tu n’imagines même pas… Quand elle vit arriver Maxime avec son plateau elle se trémoussa de plus belle sur les mecs.
La situation donna une idée à son mari pour plus tard…Marion avec un sourire se sortit du groupe, les laissant avec leurs queues au garde à vous et alla s’installer dans le canapé avec Maxime pour se ruer sur le plateau.
Environ une demi-heure plus tard, Maxime proposa de faire un petit jeu, histoire de remettre une ambiance érotique.
- Je propose que ma femme remette le bandeau sur les yeux, et vous messieurs vous vous mettrez autour d’elle, elle va devoir reconnaître le sexe de l’un de vous, elle n’aura qu’une minute par personne et dès qu’elle reconnaîtra le sexe d’un des complices, l’élu pourra emmener Marion seule dans une des chambres qu’il pourra fermer à clé et la baiser de la manière dont il le voudra et ce pendant 30 mn- Tu es d’accord pour jouer à ce jeu ma chérie ?
- Ben pas vraiment non, je n’ai pas envie de me retrouver seule avec quelqu’un, ce n’est pas ce qui était convenu il me semble.
Maxime s’approchant de l’oreille de sa femme lui murmura : - Bah tu l’as fait dans la douche non ?
- Ce n’est pas pareil, ce sont eux qui sont venus !
- Oui mais tu t’es laissée faire en attendant jusqu’à en jouir !
- Oui c’est vrai, mais de là à me retrouver seule livrée aux mains d’un mec enfermée dans une chambre…- Je t’ai vue sous la douche, j’ai vu comment tu te comportais, alors ne me dis pas que tu ne te sentais pas plus libre et donc encore plus excitée de te retrouver seule avec ses deux mecs ! Mais là ça sera encore mieux puisque tu n’auras aucun sentiment de culpabilité puisque c’est en accord entre nous, être juste avec un mec en sachant que je ne suis pas là, je suis certain que tu vas te lâcher à fond et ça risque d’être fort ! Dans tous les cas si ça ne te plaît pas il te suffira de dire STOP et le gars arrêtera de suite ma chérie, tu le sais bien, c’est la base ! Mais bon, c’est vraiment comme tu veux, tu n’es obligée en rien et heureusement.
Maintenant que les limites fixées au départ avaient été dépassées depuis l’épisode de la douche, Maxime voulait pousser sa femme au plus loin dans cette expérience, il souhaitait lui faire vivre le plus fort des moments de toute sa vie sexuelle, le plus excitant, le plus jouissif.
- Allez, ok je veux bien essayer, ça fera partie de l’expérience, finit par dire Marion- Bon ok dit Maxime et s’adressant à ses complices il dit : - Et vous, vous êtes partant ?
Evidemment qu’ils l’étaient et même plutôt deux fois qu’une !
- Néo posa tout de même une question : - Si j’ai bien compris c’est presque comme à la courte paille, dès que Marion à trouver, le jeu s’arrête c’est ça ? Et donc il n’y aura qu’un gagnant…- Oui c’est ça répondit Maxime, mais ce n’est même pas dit qu’il y aura un vainqueur, car elle peut ne pas trouver du tout !!
Marion les yeux bandés, se mit à genoux, les hommes faisant une ronde autour d’elle. Maxime lança un top départ pour le premier candidat, elle avança les mains et toucha le sexe de Néo, elle fit glisser ses mains de chaque côté tout au long de la verge, puis la soupesa, pelota les testicules, puis revint sur la queue, forcément à force d’être touchée cette queue commençait à rentrer en érection ! Au bout d’une minute…- Stop dit Maxime, tu dois nous dire à qui appartient ce sexe… - Heu, ce n’est pas facile, je ne sais pas du tout, au hasard je vais dire Paul- Non perdu, prête pour le suivant, attention Top !
Elle avança les mains, rencontra la queue de Stephen, elle la caressa, puis très vite la masturba, histoire de la rendre dure, peut-être qu’elle reconnaitrait plus facilement à qui elle appartenait, car finalement elle les avait toutes branlées tout à l’heure.
Le top fatidique tomba, alors dit Maxime une idée ?
- Je pense que c’est celle de… de… Hum, allez au hasard Stephen !
- Ouiiii cria Maxime, tu as gagné ma chérie, bravo, tu vas passer un moment avec lui maintenant ! Tu veux quelle chambre Stephen ?
- Bah tu sais très bien Maxime celle que je veux, on dirait qu’elle a été spécialement aménagée pour moi !
- Ok ça marche dit Maxime, emmène Marion dans la chambre en question tu as 30 mn pour jouer avec elle et tu peux fermer la porte à clés pour ne pas être dérangé !
Marion se sentait mal, très mal même, son cœur battait, se retrouver seule avec ce mec qu’elle ne connaissait pas ou presque, dans une chambre fermée à clé ça ne l’enchantait guère ! De plus Stephen lui avait dit qu’il était très dominateur, ça ne la rassurait pas du tout.
Il lui prit la main, traversa ce long couloir, ouvrit une porte, la fit entrer et ferma la porte à clé derrière eux.
Marion ne bougeait pas, son cœur battait encore plus fort, elle se demandait pourquoi Stephen voulait cette chambre en particulier, qu’avait-elle de si spéciale, elle aurait bien enlevé son bandeau, mais bon…- Viens un peu par ici ma petite salope et lui attrapant le menton il ajouta :- Tu m’as bien excité tout à l’heure, quand j’ai vu ta petite chatte qui ne cessait de mouiller et Ismaël te la défoncer comme un sauvage… De plus, te voir jouir aussi fort à trois reprises, je n’ai qu’une envie, d’abord te punir comme une sale petite soumise que tu es, ensuite te faire jouir mais à ma façon ! T’es vraiment qu’une sacrée petite salope trop bonne à baiser et en disant cela, il lui mit une bonne claque sur les fesses ! En tout cas, poursuivit Stephen, ce qui est certain c’est que j’ai très envie de jouir en toi mais je ne sais pas si ça sera dans ta bouche, dans ta chatte ou dans ton cul, mais avant je vais jouer avec toi et tu vas déguster petite garce, je vais te montrer ce qu’est un vrai Maître !!
Marion ne se sentait pas du tout en sécurité, une peur l’envahissait, elle regrettait finalement d’avoir accepté ce jeu.
Elle entendit un bruit un peu bizarre, comme si on déplaçait un meuble, il lui prit les deux poignets et les plaça écartés sur des espèces de montants de bois, puis il lui fit pencher la tête en avant, et une espèce de deuxième partie vint se fermer sur son cou et ses poignets, en fait elle était prise dans un carcan, impossible de bouger. Debout, pliée en deux, les fesses offertes, le cœur battant elle s’attendait au pire, à la limite de crier : STOP.
Puis Stephen vint lui placer une boule dans la bouche fixée par une sangle derrière la nuque, il lui plaça des pinces sur les seins qui lui serraient très forts les tétons, Marion ne put s’empêcher de pousser un gémissement de douleur, puis elle sentit qu’il lui touchait les grandes lèvres et d’un coup une deuxième douleur secoua Marion quand il serra les pinces sur son petit sexe rose.
– Alors la petite soumise du dimanche, ça fait quoi d’être à la merci d’un vrai Maître, dit Stephen faisant tournoyer les lanières de cuir d’un martinet sur ses fesses, Marion malgré son bâillon-boule poussait de petits cris, essayant de parler mais sans succès, il faut dire que Stephen était un spécialiste des jeux BDSM, mais il savait aussi qu’il devait rester soft, il pouvait aller juste à la limite de la douleur mais sans la franchir, Maxime ayant précisé que ses jeux devaient rester soft et sans blessure pour sa femme.
Après lui avoir mis plusieurs claques sur les fesses, il prit sa mouille de son sexe et enduisit son anus qu’il pénétra d’un coup sec de son membre tendu, Marion poussa un long gémissement, Stephen lui démontait maintenant le cul avec une certaine sauvagerie, Marion malgré une certaine douleur, ressentait un plaisir monter doucement, il s’accrochait à elle par les hanches pour mieux la pénétrer encore, puis au bout de quelques minutes il se retira en disant : - Alors petite pute t’en veux encore ? Marion poussant un iiii que Stephen traduisit par un oui. Il la libéra du carcan, lui enleva les pinces sans ménagement, la choppa par les cheveux, et l’installa debout sur une croix de St André, Marion se retrouvait à nouveau jambes et bras écartés, ligotée à cette croix. Puis la croix bascula vers l’arrière l’amenant à l’horizontale, Stephen, voyant son entrejambe, ne put s’empêcher de dire : - Mais tu n’arrêtes pas de mouiller, je vois que tu apprécies cette petite séance ! Mais c’est fou quand même ce que tu envoies ma salope ! Je vais te punir pour ça ! Stephen du plat de la main claqua à plusieurs reprises et de plus en plus fort la chatte de Marion, et plus il la martyrisait, plus elle sentait que sa fente coulait, le bruit des claques ressemblait à une main qui taperait à plat une surface d’eau tellement elle mouillait. Puis après quelques secondes de se traitement, il s’avança entre les cuisses de Marion, souffla un peu sur cette fente rougit par les coups, écarta ses grandes lèvres inondées de cyprine, et se rua bouche première pour lui lécher toute sa mouille, s’attardant sur son clitoris. Marion gémissait avec un mouvement de bassin, sentant un quatrième orgasme monter, mais Stephen arrêta, vint l’embrasser avec fougue, puis elle sentit des brûlures à différents endroits sur son corps, Stephen lui faisant couler de la cire chaude sur ses seins, son ventre, et le haut de sa vulve, Marion ne pût s’empêcher de crier, chaque goutte de cire était vive mais heureusement la douleur était très supportable et ne durait pas. Puis elle sentit quelque chose de très glacé sur sa chatte, elle devina que c’était un glaçon, mais rapidement l’instant d’après elle sentait la langue de Stephen hyper chaude la lécher, pour quelques secondes plus tard ressentir le froid du glaçon à nouveau, pour retrouver encore une fois la langue bouillante de Stephen, et ainsi de suite. Elle devina que Stephen devait boire une boisson très chaude avant de la lécher. Cette alternance de glacé et de très chaud, procurait à Marion un plaisir exquis, Stephen continuait sur son rythme glaçon-langue bouillante ponctué régulièrement de bonnes claques à plat sur sa vulve. Marion se sentait cette fois-ci au bord de la jouissance, c’est alors que Stephen lui écarta bien les grandes lèvres et d’un coup sec la pénétra sans ménagement de sa queue bien dure, suivi d’un mouvement de va et vient agressif.
- Mais t’es vraiment trop bonne de partout ma salope, ta petite cramouille est un appel au viol, elle est si étroite que je ressens trop de sensations, j’ai trop envie de la défoncer à fond !! Et joignant le geste à la parole il lui éclata littéralement la chatte à grand coup de boutoir. Alors qu’il la baisait dans une violence endiablée, tout en lui caressant le clitoris et la traitant de tous les noms. Marion s’aperçut qu’elle appréciait finalement ce moment seule avec Stephen, elle se sentait totalement libre de ses émotions, elle aimait ce contact un peu bestial, l’amenant à pousser des gémissements très forts, malgré cette boule dans la bouche qui la faisait suffoquer par moment.
Tout en la baisant Stephen lui attrapa brutalement le haut de sa chatte en pleine main la tirant très fort vers le haut, tout en lui caressant le clitoris de la main gauche, Marion sentit ses grandes lèvres se distendre, lui procurant une sensation nouvelle et c’est là qu’un quatrième orgasme lui explosa la vulve toute entière, Marion fût à nouveau animée de soubresauts incontrôlables, elle hurlait totalement de plaisir, de puissants jets de cyprine vinrent éclabousser le ventre de Stephen, qui d’un coup cria : - Sale petite pute tu m’asperges le torse de ta mouille, putain les jets que t’envoies ça m’excite trop ! Ne pouvant plus se retenir il cria : - Tiens prend ça dans ta chatte de petite pute à bites ! Ses mouvements devinrent saccadés envoyant de grosses giclées de sperme dans le préservatif, Marion jouissait en même temps que lui, cette jouissance différente des autres l’amena à s’arc-bouter sur cette croix, comme si sa chatte ne voulait pas que ça s’arrête, c’était vraiment encore extrêmement fort pour elle, sans doute que le côté BDSM et l’absence de son mari avaient décuplé les sensations et donc son orgasme. Puis Stephen se remis à la défoncer dans des mouvements super rapides pendant quelques instants pour s’écrouler sur elle, la serrant dans ses bras.
Ils étaient à peine remis de leurs émotions que l’on frappa à la porte.
- Ah déjà dit Stephen, dommage ! Il libéra Marion de ses liens et de son bâillon-boule il la remit debout, et s’essuya le torse maculé de mouille avant d’aller ouvrir.
- Alors dit Maxime, comment s’est passé cette demi-heure avec ma femme ? A l’écoute de ses cris ça a dû bien se passer !
- Trop courte, bien trop courte répondit Stephen avec un sourire et il ajouta avec un clin d’œil complice je n’ai pas pu tout exploiter !
- Et toi ma chérie ça va, dit Maxime en la prenant par la taille, on dirait que tu as des gouttes de cire partout.
- Un peu secouée, mais ça va, à part que j’ai le sexe légèrement endoloris ! Oui la cire c’est de la bougie que Stephen a fait couler sur moi…
Stephen les laissa seuls, rejoignant les autres dans le salon.