la premiere fessée de mon apprentie
Récit érotique écrit par Salmon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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la premiere fessée de mon apprentie
dans une autre vie,(j'ai depuis changer de boulot), j'avais un petit commerce de pret à porter dans lequel je travaillais avec ma femme et une apprentie. J'avais à l'epoque une trentaine d'année et étant nouveau papa, j'avais pris cette apprentie pour soulager le travail de ma femme.Je l'appellerai Pauline, pour la petite histoire. Elle avait tout juste 18 ans et passais un cap de vente.Boulotte mais sans plus, un très jolis visage, avec des levres....pas très grande, 1m65, un joli petit cul bien bombé. et des seins qui me paraissais lourd et imposant.
En fait je l'avait embauchée, non par besoin, mais lors de sa démarche de recherche de maitre d'apprentissage, elle m'avait donner un cv sans aucune référence, mais me l'avait commenter en venant près de moi, et tout en me montrant son document , Pauline me touchait avec ses seins.
Pauline n'etait pas blonde, mais me parraissais pas très futée, juste une pauvre fille sans papa, et qui devais assuré ses fins de mois car la maman ne pouvais subvenir.
J'en parle avec ma femme, et pour la soulagée de trop d'heures de boulot on prend Pauline comme apprentie, et puis le contact de ses seins lourds sur mon bras lors de l'entretien m'avait un peu emoustillé.
L'affaire est faite, Pauline commence lundi.
Donc Pauline arrive le lundi matin, et se met à disposition.Ne connaissant pas le métier, je lui fait faire le ménage et la poussière.Tout a mon travail, je ne m'enpéche de la regarder et de voir son joli cul bouger en faisant sa tache. Les jours passent, ma femme l'informe de son boulot, et sans etre très douée elle y met beaucoup de coeur.Connaissant maintenant les travaux de mise en place pour l'ouverture, et sachant que le matin était très calme, ma femme décide de ne plus travailler le matin, ce qui me laisse plus de liberté pour épié PAULINE.
Comme je l'ai dit Pauline est volontaire mais pas très futée, et les petites bétises s'accumulent, alors un jour je lui dit que si ca continue je vais la punir et lui donnée une bonne fessée.
Un peu de rouge arrive sur ses joues, et la journée se passe. Le fait d' avoir dit ca à une presque étrangère m'a quelque peu exité, et le soir à la maison ma femme sans le savoir a eu droit à une partie de jambes en l'air hors du commun. Mais le cul de ma femme n'est pas le sujet de l'histoire.( pour info ma femme mesure 1m78, 90 c et bonne comme du bon pain. pourq'oi pas dans une autre révélation???).
2 jour se passent, et la Pauline vient me voir et me dit avoir fait tomber un portique , et qu'une jupe avait été souillée.
Je rouspéte et vais voir la "catastrophe".Rien de bien grave, une jupe est tombée dans dans un peu d'eau et avait une auréole. La je me retourne et je vois Pauline me dire
-Non pas la féssée!!!
Vous dire ce que cela m'a fait n'est pas descriptible, mais ce dont je suis sur, c'est que comme un automate j'ai dit à Pauline que je réparai sa connerie et que je lui donnerai sa féssée.
Tout affairé à secher le vétement je voyai Pauline au garde à vous, attendre sa punition et la mon plaisir a commencé.Pauline, les mains dans le dos n'osait me regarder, je prenais mon temps. Ensuite ayant reposé la jupe, j'ai tourné autour de PAULINE et une première claque est partie sur son joli petit cul.Dans le mouvement elle a fait un demi pas en avant et de rose ses joues sont passées a cramoisi, j' ai su dés lors que j'avais le dessus.J'ai joins la parole aux actes et je lui ai dit
-salope
sa tête est rentrée dans ses épaules et toujour pas de réaction
-salope, tu as fait exprès
et la je lui ai matraqué le cul de claques bien appuyées et je lui ploté son cul tout en la fessant. Ses seins tressaillaient à chaque claque , et bien vite je me suis mis à lui ploter ses gros nichons qui me faisaient fantasmer. Combien ca à duré, je ne sais plus, mais je peux vous dire que j'ai eu une trique d'enfer, et que je lui ai fait remarquer.
Donner cette fessée à cette fille a été pour moi une révélation, et vous dire ce que de la trique d'enfer que j'avais fera peu etre l'objet d'une autre révélation.Cette histoire m'es réellement arrivée, et me sert encore aujourd'hui, les matins de solitude à de copieuses branlettes.
ceci est ma premiere confidence, je compte sur vous, surtout vous mesdames, pour m'encourager à vous en faire plus.
En fait je l'avait embauchée, non par besoin, mais lors de sa démarche de recherche de maitre d'apprentissage, elle m'avait donner un cv sans aucune référence, mais me l'avait commenter en venant près de moi, et tout en me montrant son document , Pauline me touchait avec ses seins.
Pauline n'etait pas blonde, mais me parraissais pas très futée, juste une pauvre fille sans papa, et qui devais assuré ses fins de mois car la maman ne pouvais subvenir.
J'en parle avec ma femme, et pour la soulagée de trop d'heures de boulot on prend Pauline comme apprentie, et puis le contact de ses seins lourds sur mon bras lors de l'entretien m'avait un peu emoustillé.
L'affaire est faite, Pauline commence lundi.
Donc Pauline arrive le lundi matin, et se met à disposition.Ne connaissant pas le métier, je lui fait faire le ménage et la poussière.Tout a mon travail, je ne m'enpéche de la regarder et de voir son joli cul bouger en faisant sa tache. Les jours passent, ma femme l'informe de son boulot, et sans etre très douée elle y met beaucoup de coeur.Connaissant maintenant les travaux de mise en place pour l'ouverture, et sachant que le matin était très calme, ma femme décide de ne plus travailler le matin, ce qui me laisse plus de liberté pour épié PAULINE.
Comme je l'ai dit Pauline est volontaire mais pas très futée, et les petites bétises s'accumulent, alors un jour je lui dit que si ca continue je vais la punir et lui donnée une bonne fessée.
Un peu de rouge arrive sur ses joues, et la journée se passe. Le fait d' avoir dit ca à une presque étrangère m'a quelque peu exité, et le soir à la maison ma femme sans le savoir a eu droit à une partie de jambes en l'air hors du commun. Mais le cul de ma femme n'est pas le sujet de l'histoire.( pour info ma femme mesure 1m78, 90 c et bonne comme du bon pain. pourq'oi pas dans une autre révélation???).
2 jour se passent, et la Pauline vient me voir et me dit avoir fait tomber un portique , et qu'une jupe avait été souillée.
Je rouspéte et vais voir la "catastrophe".Rien de bien grave, une jupe est tombée dans dans un peu d'eau et avait une auréole. La je me retourne et je vois Pauline me dire
-Non pas la féssée!!!
Vous dire ce que cela m'a fait n'est pas descriptible, mais ce dont je suis sur, c'est que comme un automate j'ai dit à Pauline que je réparai sa connerie et que je lui donnerai sa féssée.
Tout affairé à secher le vétement je voyai Pauline au garde à vous, attendre sa punition et la mon plaisir a commencé.Pauline, les mains dans le dos n'osait me regarder, je prenais mon temps. Ensuite ayant reposé la jupe, j'ai tourné autour de PAULINE et une première claque est partie sur son joli petit cul.Dans le mouvement elle a fait un demi pas en avant et de rose ses joues sont passées a cramoisi, j' ai su dés lors que j'avais le dessus.J'ai joins la parole aux actes et je lui ai dit
-salope
sa tête est rentrée dans ses épaules et toujour pas de réaction
-salope, tu as fait exprès
et la je lui ai matraqué le cul de claques bien appuyées et je lui ploté son cul tout en la fessant. Ses seins tressaillaient à chaque claque , et bien vite je me suis mis à lui ploter ses gros nichons qui me faisaient fantasmer. Combien ca à duré, je ne sais plus, mais je peux vous dire que j'ai eu une trique d'enfer, et que je lui ai fait remarquer.
Donner cette fessée à cette fille a été pour moi une révélation, et vous dire ce que de la trique d'enfer que j'avais fera peu etre l'objet d'une autre révélation.Cette histoire m'es réellement arrivée, et me sert encore aujourd'hui, les matins de solitude à de copieuses branlettes.
ceci est ma premiere confidence, je compte sur vous, surtout vous mesdames, pour m'encourager à vous en faire plus.
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