La première séance

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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La première séance
J'ai un vieil ami Gilles qui commence à prendre de l'âge mais qui a toujours sa lucidité et un air coquin quand il nous raconte des anecdotes de sa jeunesse. Depuis qu'il sait que j'écris des histoires, je crois bien que la mémoire lui revient de plus en plus et que cela l'amuse énormément. (voir La dernière séance)
Il y avait dans les années 70/90 à Barbès Rochechouart, à l'angle du boulevard Magenta et de la Chapelle sur le 10ème arrondissement de Paris un cinéma qui s'appelait le Louxor. Cinéma sur 3 étages avec au sous-sol une salle de fumeurs et les toilettes.
-tu vois dit Gilles je ne sais pas par où commencer, certes le spectacle était sur l'écran, mais d'autres spectacles étaient dans la salle surtout aux étages, et bien sûr dans les toilettes et la salle fumeur.
C'était un cinéma peut cher et toujours plein de monde, le rez-de-chaussée était souvent complet et il fallait monter dans les étages.
C'est sûr quand tu ne connaissais pas, tu étais très surpris. C'est ce qui m'est arrivé la première fois où j'y ai mis les pieds pour revenir le plus souvent possible.
Je devais avoir dans les 30 ans quand un ami m'a parlé de ce cinéma en disant qu'on draguait et baisait sur place. Le début du self-service quoi...
Lorsque j'ai pris ma place ce jour là, j'ai bien vu qu'il y avait énormément de monde, pas de la première jeunesse mais des mâles et surtout des arabes. Je n'avais rien contre car j'adorais me faire baiser par ces mecs!
J'ai voulu aller aux toilettes d'abord. Au fond de l'entrée à gauche il y avait un escalier qui descendait au sous-sol et en arrivant sur la droite il y avait la salle fumeurs. Imagine une grande pièce avec un nuage de fumée qui stagne enveloppant tous les mecs qui tirent sur leurs clopes comme des malades. Tu ne distinguais à peine les visages dans le brouillard juste le point rouge de la cigarette. Par contre tu voyais assez bien les mecs se tripoter en se rapprochant, se collant.
Deux mecs baisaient dans un coin, le pantalon baissé un arabe niquait un mec à grands coups de reins.
Il fallait que j'aille pisser et je suis entré dans les pissotières. Imagine une rangée de pissotières qui fait le tour d'une pièce, je ne me souviens plus combien il pouvait y en avoir mais pour trouver une place c'était la galère et dès que tu t'installais pour pisser on te laissait à peine le temps de sortir ta bite que tu avais déjà une main pour venir t'aider.
Ce premier jour je me suis retrouvé à côté d'un jeune arabe de mon âge qui lui ne m'a pas touché, mais m'a regardé et s'est reculé juste pour que je vois son sgeg raide comme la Justice et si t'avais vu cet engin. A cette époque je bandais instantanément, maintenant je crois que ma queue a besoin de réfléchir!
Ma queue est devenue raide, se décalottant sous le regard de l'arabe, il a passé sa main devant moi, j'ai reculé un peu, pensant qu'il voulait me toucher, mais il a pris ma main et l'a amené sur son sexe.
Oh n'y avait aucune peur d'être surpris par quelqu'un, c'est ce qui se passait pratiquement à chaque urinoir.
Il souriait l'arabe pendant que je le branlais lentement, serrant bien sa queue dans ma main chaude et douce. Il s'était légèrement tourné vers moi pour me faciliter le travail!
Il s'est penché vers moi :
-j'te nique ? m'a t-il dit.
-ici ? j'ai demandé.
-non derrière dans les chiottes!
Et sans attendre ma réponse il remballe sa queue et me fait signe de le suivre.
On sort de la salle des urinoirs et je n'avais pas remarqué l'autre porte qu'il pousse sur un long couloir où se trouvent plusieurs cabines. Mais il y a la queue et c'est marrant de voir qu'il n'y a que des couples, ça s'embrassent, ça se caressent et quand une porte s'ouvre libérant un couple voir trois mecs, les suivants entrent. Donc faut patienter alors comme je n'étais pas farouche j'ai recommencé à tripoter mon rebeu qui bandait toujours en me collant à lui. Il m'a entouré de son bras me serrant, s'appuyant sur le mur, écarte les jambes pour que je puisse le branler en passant ma main dans sa braguette.
Sa main descend sur mon dos, passe sur mes petites fesses fermes et insiste montrant que c'est bien ça qu'il veut. Il avait réussi à passer sa main sous mon slip et son doigt me fouillait sans ménagement me faisant gémir.
Car il a fallu attendre un moment avant qu'on ait une place.
Quand on est entré, j'étais devant, il a refermé la porte derrière lui, s'est retourné m'a fait asseoir sur le chiotte, a sorti son gros zob.
-suce m'a t-il dit.
Tu parles que j'étais gourmand et que je me suis fait plaisir aussi. Elle était bonne sa queue et bien dure surtout comme j'aimais. Il grognait le rebeu et la pipe n'a pas duré bien longtemps car il m'a fait relever, me retourner.
-montre ton cul !
Deux doigts sont entrés en moi rapidement, penché en avant il me ramonait vite fait le conduit avec ses doigts avant de les remplacer par son zob.
Bon ce n'était pas le premier qui entrait et j'étais vraiment une belle salope à l'époque, mais j'ai apprécié ses mains chaudes se poser sur mes hanches et sentir sa queue prendre possession des lieux. Il devait être pressé le rebeu car en deux coups de reins j'étais envahi et comblé. Je me suis fait ramoner comme un chef, ses mains caressaient mes fesses, il me mettait de petites claques, remontait sur mon torse pour venir pincer mes tétons en me faisant reculer encore plus sur sa queue. Et les coups de reins secs reprenaient, ça claquait sur mon petit cul et le rebeu s'est vidé. Putain de giclées qu'il avait ce rebeu, ça bouillonnait dans le conduit, je sentais la chaleur se répandre et quand il est sorti son jus coulait de mon cul.
Je me suis retourné vite fait car il commençait déjà à remballer la marchandise pour le sucer une dernière fois. il m'a laissé faire, mais j'ai bien vu qu'il était étonné et j'ai réussi à le faire jouir encore une fois.
Il avait un petit sourire narquois, ironique en me regardant et quand j'ai voulu le prendre dans mes bras pour l'embrasser, il m'a retenu en me faisant non de la tête.
On s'est rhabillé et on est sorti, mais je n'avais pas juté et je bandais comme un fou.
-j'vais voir le film m'a t-il dit, j'suis au premier.
Il est parti avant que je puisse dire quelque chose. Je ne l'ai pas revu.
Mais j'ai continué mon exploration, il fallait que je connaisse tout de ce cinéma.
Ce qui m'a étonné dans les chiottes, dans la salle fumeur, c'était le silence qu'il régnait, les mecs chuchotaient... par contre de temps en temps on entendait des petits cris ou des râles.
Les urinoirs étaient encore bien occupés. Mais j'ai voulu aller au premier.
Dans le hall du monde, je trouve l'escalier qui mène à l'étage pour arriver sur un palier avec deux couloirs qui menaient à la salle. Une porte battante bloquait l'accès, enfin ce qui bloquait c'était surtout plusieurs mecs et je n'en ai pas cru mes yeux.
Il y avait comme des hublots sur les portes qui donnaient accès à la salle et devant chaque hublot un mec regardait à travers la vitre fumée pendant qu'un mec le suçait et qu'à l'autre un mec le baisait à grands coups de reins.
Si tu voulais entrer fallait attendre!
Un battant s'est vite libéré, mais le mec qui avait enculé l'autre restait là, la queue à la main et il me regarde d'un air de dire "c'est ton tour".
Alors je me suis approché en baissant mon pantalon pour regarder par le hublot à la vitre fumée et l'on pouvait voir le film!
J'ai surtout senti une bouche s'emparer de ma queue, des doigts entrer en moi et la voix du mec, un mec d'une quarantaine d'années moustachu me dire :
-toi tu viens de te faire niquer!
Il s'en foutait de la réponse, il m'a embroché comme la salope que j'étais pour aussitôt reprendre ses coups de reins comme s'il n'avait pas changé de cul. Je me retrouvais la joue collée sur le hublot regardant un mec de mon âge, juste à côté de moi s'en prendre autant.
Mon baiseur avait un sacré coup de reins et comme il devait avoir joui il y a peu j'ai été ramoné longtemps. Mais ce que j'ai surtout apprécié ce sont les talents de suceur du mec accroupi entre mes jambes. Il était obligé de prendre ma queue entièrement dans sa gorge car à chaque coup de reins de l'autre mec je m'enfonçais en lui écrasant mes poils sur son nez!
C'est moi qui ai juté le premier et le gourmand qui me suçait a tout avalé. L'autre en a profité pour lancer ses giclées que j'ai trouvé moins abondantes que celles du rebeu, moins puissantes, mais il s'est collé à moi et est venu m'embrasser avec ses grosses moustaches, me donnant sa langue à essorer.
Il est sorti de moi et le mec qui m'avait sucé s'est redressé et j'ai vu que c'était un mec plus jeune que moi, le regard triste, j'ai voulu m'accroupir pour le sucer, lui rendre la pareille, mais le moustachu m'a retenu :
-laisse c'est une salope, il ne vient que pour sucer!
Les mecs sont partis ensemble et j'ai pu entrer dans la salle.
Il faut attendre quelques instants pour que tes yeux s'habituent au noir de la salle, alors je suis resté sur le côté pour voir qu'il n'y avait pas beaucoup de places libres, mais sur mon côté gauche, il y avait un renfoncement et à la faveur de la lumière de l'écran j'ai aperçu un amas de mecs, les uns sur les autres et ça baisait!
J'en suis resté scotché et mes yeux s'habituant je percevais bien les situations.
Il y avait un mec le cul à l'air qui s'offrait à tous ceux qui le voulait. C'est tout juste s'ils ne se battaient pas pour avoir ce cul. Ils grognaient, ils râlaient mais le mec se prenait sans arrêt deux queues, pris des deux côtés. J'ai aperçu un mec couché entre les rangées qui suçait le mec.
Quand les mecs avaient joui, ils changeaient de place et le cul libre se retrouvait occupé.
Je matais en me caressant car bien sûr je bandais encore, mieux que les films pornos de l'époque!
J'ai senti une main sur mon cul cherchant à entrer dans mon pantalon, je laissais faire pendant que le corps se collait au mien et qu'une voix d'arabe me dit :
-tu veux faire la salope comme l'autre ?
Son doigt venait d'entrer dans mon cul et en guise de réponse j'ai gémi.
-ouvre ton pantalon!
Je n'avais pas touché le sgeg qui cherchait déjà à entrer en moi, cramponné au siège devant moi je me suis fait pilonné comme un malade en matant un bon film de cul.
L'arabe a joui rapidement, me donnant une claque sur le cul. J'allais me rhabiller mais il a dit:
-reste comme ça, ils attendent!
J'ai regardé derrière moi et trois mecs étaient là qui se rapprochaient. Les mains ont caressé mon cul, des doigts sont entrés en moi.
La première queue est arrivée et m'a rempli rapidement, tu parles que ça glissait bien avec tout ce que j'avais pris avant. Un mec est venu m'empêcher de continuer de voir mon film porno en direct car il m'a donné sa queue à sucer.
Et je me suis retrouvé pour la première fois à faire la salope dans ce cinéma.
J'ai voulu compter au départ le nombre de queues que j'avais soit sucée ou prise dans le cul, mais j'ai renoncé, mais je suis sûr plus de 10 pour cette première fois!
Il rigole en nous regardant.
-oh j'ai fait pire tu sais Fabrice, quand j'arrivais à 14 heures et que je repartais au dernier métro... des kilomètres de queues que j'ai sucé et pris dans mon cul!
-mais il n'y avait pas d'ouvreuses ? personne ne venait gueuler ?
-si des fois quand ça faisait trop de bruit, car certains venaient quand même pour voir le film...
Je rigole.
-mais il y avait encore un étage, mais il n'était pas ouvert tout le temps et dès qu'il était ouvert c'étaient tous les pervers qui s'y précipitaient et je peux te dire que c'était la partouze sur tout le balcon!
-t'as fait ça aussi ? j'ai demandé.
-bien sûr, j'y allais pour ça tu sais.
-et maintenant ce n'est plus un cinéma ?
-c'est devenu une boîte de nuit après, dans les années 90 mais depuis je ne sais pas ce qu'il y a !
-là tu nous a raconté ce qui se passait dans l'ensemble, mais tu dois bien avoir quelques anecdotes croustillantes, enfin encore plus croustillantes ?
-qu'est ce que t'es gourmand quand même, mais comme j't'aime bien, faut que je réfléchisse et j'te raconterais!
à suivre... sûrement!
Il y avait dans les années 70/90 à Barbès Rochechouart, à l'angle du boulevard Magenta et de la Chapelle sur le 10ème arrondissement de Paris un cinéma qui s'appelait le Louxor. Cinéma sur 3 étages avec au sous-sol une salle de fumeurs et les toilettes.
-tu vois dit Gilles je ne sais pas par où commencer, certes le spectacle était sur l'écran, mais d'autres spectacles étaient dans la salle surtout aux étages, et bien sûr dans les toilettes et la salle fumeur.
C'était un cinéma peut cher et toujours plein de monde, le rez-de-chaussée était souvent complet et il fallait monter dans les étages.
C'est sûr quand tu ne connaissais pas, tu étais très surpris. C'est ce qui m'est arrivé la première fois où j'y ai mis les pieds pour revenir le plus souvent possible.
Je devais avoir dans les 30 ans quand un ami m'a parlé de ce cinéma en disant qu'on draguait et baisait sur place. Le début du self-service quoi...
Lorsque j'ai pris ma place ce jour là, j'ai bien vu qu'il y avait énormément de monde, pas de la première jeunesse mais des mâles et surtout des arabes. Je n'avais rien contre car j'adorais me faire baiser par ces mecs!
J'ai voulu aller aux toilettes d'abord. Au fond de l'entrée à gauche il y avait un escalier qui descendait au sous-sol et en arrivant sur la droite il y avait la salle fumeurs. Imagine une grande pièce avec un nuage de fumée qui stagne enveloppant tous les mecs qui tirent sur leurs clopes comme des malades. Tu ne distinguais à peine les visages dans le brouillard juste le point rouge de la cigarette. Par contre tu voyais assez bien les mecs se tripoter en se rapprochant, se collant.
Deux mecs baisaient dans un coin, le pantalon baissé un arabe niquait un mec à grands coups de reins.
Il fallait que j'aille pisser et je suis entré dans les pissotières. Imagine une rangée de pissotières qui fait le tour d'une pièce, je ne me souviens plus combien il pouvait y en avoir mais pour trouver une place c'était la galère et dès que tu t'installais pour pisser on te laissait à peine le temps de sortir ta bite que tu avais déjà une main pour venir t'aider.
Ce premier jour je me suis retrouvé à côté d'un jeune arabe de mon âge qui lui ne m'a pas touché, mais m'a regardé et s'est reculé juste pour que je vois son sgeg raide comme la Justice et si t'avais vu cet engin. A cette époque je bandais instantanément, maintenant je crois que ma queue a besoin de réfléchir!
Ma queue est devenue raide, se décalottant sous le regard de l'arabe, il a passé sa main devant moi, j'ai reculé un peu, pensant qu'il voulait me toucher, mais il a pris ma main et l'a amené sur son sexe.
Oh n'y avait aucune peur d'être surpris par quelqu'un, c'est ce qui se passait pratiquement à chaque urinoir.
Il souriait l'arabe pendant que je le branlais lentement, serrant bien sa queue dans ma main chaude et douce. Il s'était légèrement tourné vers moi pour me faciliter le travail!
Il s'est penché vers moi :
-j'te nique ? m'a t-il dit.
-ici ? j'ai demandé.
-non derrière dans les chiottes!
Et sans attendre ma réponse il remballe sa queue et me fait signe de le suivre.
On sort de la salle des urinoirs et je n'avais pas remarqué l'autre porte qu'il pousse sur un long couloir où se trouvent plusieurs cabines. Mais il y a la queue et c'est marrant de voir qu'il n'y a que des couples, ça s'embrassent, ça se caressent et quand une porte s'ouvre libérant un couple voir trois mecs, les suivants entrent. Donc faut patienter alors comme je n'étais pas farouche j'ai recommencé à tripoter mon rebeu qui bandait toujours en me collant à lui. Il m'a entouré de son bras me serrant, s'appuyant sur le mur, écarte les jambes pour que je puisse le branler en passant ma main dans sa braguette.
Sa main descend sur mon dos, passe sur mes petites fesses fermes et insiste montrant que c'est bien ça qu'il veut. Il avait réussi à passer sa main sous mon slip et son doigt me fouillait sans ménagement me faisant gémir.
Car il a fallu attendre un moment avant qu'on ait une place.
Quand on est entré, j'étais devant, il a refermé la porte derrière lui, s'est retourné m'a fait asseoir sur le chiotte, a sorti son gros zob.
-suce m'a t-il dit.
Tu parles que j'étais gourmand et que je me suis fait plaisir aussi. Elle était bonne sa queue et bien dure surtout comme j'aimais. Il grognait le rebeu et la pipe n'a pas duré bien longtemps car il m'a fait relever, me retourner.
-montre ton cul !
Deux doigts sont entrés en moi rapidement, penché en avant il me ramonait vite fait le conduit avec ses doigts avant de les remplacer par son zob.
Bon ce n'était pas le premier qui entrait et j'étais vraiment une belle salope à l'époque, mais j'ai apprécié ses mains chaudes se poser sur mes hanches et sentir sa queue prendre possession des lieux. Il devait être pressé le rebeu car en deux coups de reins j'étais envahi et comblé. Je me suis fait ramoner comme un chef, ses mains caressaient mes fesses, il me mettait de petites claques, remontait sur mon torse pour venir pincer mes tétons en me faisant reculer encore plus sur sa queue. Et les coups de reins secs reprenaient, ça claquait sur mon petit cul et le rebeu s'est vidé. Putain de giclées qu'il avait ce rebeu, ça bouillonnait dans le conduit, je sentais la chaleur se répandre et quand il est sorti son jus coulait de mon cul.
Je me suis retourné vite fait car il commençait déjà à remballer la marchandise pour le sucer une dernière fois. il m'a laissé faire, mais j'ai bien vu qu'il était étonné et j'ai réussi à le faire jouir encore une fois.
Il avait un petit sourire narquois, ironique en me regardant et quand j'ai voulu le prendre dans mes bras pour l'embrasser, il m'a retenu en me faisant non de la tête.
On s'est rhabillé et on est sorti, mais je n'avais pas juté et je bandais comme un fou.
-j'vais voir le film m'a t-il dit, j'suis au premier.
Il est parti avant que je puisse dire quelque chose. Je ne l'ai pas revu.
Mais j'ai continué mon exploration, il fallait que je connaisse tout de ce cinéma.
Ce qui m'a étonné dans les chiottes, dans la salle fumeur, c'était le silence qu'il régnait, les mecs chuchotaient... par contre de temps en temps on entendait des petits cris ou des râles.
Les urinoirs étaient encore bien occupés. Mais j'ai voulu aller au premier.
Dans le hall du monde, je trouve l'escalier qui mène à l'étage pour arriver sur un palier avec deux couloirs qui menaient à la salle. Une porte battante bloquait l'accès, enfin ce qui bloquait c'était surtout plusieurs mecs et je n'en ai pas cru mes yeux.
Il y avait comme des hublots sur les portes qui donnaient accès à la salle et devant chaque hublot un mec regardait à travers la vitre fumée pendant qu'un mec le suçait et qu'à l'autre un mec le baisait à grands coups de reins.
Si tu voulais entrer fallait attendre!
Un battant s'est vite libéré, mais le mec qui avait enculé l'autre restait là, la queue à la main et il me regarde d'un air de dire "c'est ton tour".
Alors je me suis approché en baissant mon pantalon pour regarder par le hublot à la vitre fumée et l'on pouvait voir le film!
J'ai surtout senti une bouche s'emparer de ma queue, des doigts entrer en moi et la voix du mec, un mec d'une quarantaine d'années moustachu me dire :
-toi tu viens de te faire niquer!
Il s'en foutait de la réponse, il m'a embroché comme la salope que j'étais pour aussitôt reprendre ses coups de reins comme s'il n'avait pas changé de cul. Je me retrouvais la joue collée sur le hublot regardant un mec de mon âge, juste à côté de moi s'en prendre autant.
Mon baiseur avait un sacré coup de reins et comme il devait avoir joui il y a peu j'ai été ramoné longtemps. Mais ce que j'ai surtout apprécié ce sont les talents de suceur du mec accroupi entre mes jambes. Il était obligé de prendre ma queue entièrement dans sa gorge car à chaque coup de reins de l'autre mec je m'enfonçais en lui écrasant mes poils sur son nez!
C'est moi qui ai juté le premier et le gourmand qui me suçait a tout avalé. L'autre en a profité pour lancer ses giclées que j'ai trouvé moins abondantes que celles du rebeu, moins puissantes, mais il s'est collé à moi et est venu m'embrasser avec ses grosses moustaches, me donnant sa langue à essorer.
Il est sorti de moi et le mec qui m'avait sucé s'est redressé et j'ai vu que c'était un mec plus jeune que moi, le regard triste, j'ai voulu m'accroupir pour le sucer, lui rendre la pareille, mais le moustachu m'a retenu :
-laisse c'est une salope, il ne vient que pour sucer!
Les mecs sont partis ensemble et j'ai pu entrer dans la salle.
Il faut attendre quelques instants pour que tes yeux s'habituent au noir de la salle, alors je suis resté sur le côté pour voir qu'il n'y avait pas beaucoup de places libres, mais sur mon côté gauche, il y avait un renfoncement et à la faveur de la lumière de l'écran j'ai aperçu un amas de mecs, les uns sur les autres et ça baisait!
J'en suis resté scotché et mes yeux s'habituant je percevais bien les situations.
Il y avait un mec le cul à l'air qui s'offrait à tous ceux qui le voulait. C'est tout juste s'ils ne se battaient pas pour avoir ce cul. Ils grognaient, ils râlaient mais le mec se prenait sans arrêt deux queues, pris des deux côtés. J'ai aperçu un mec couché entre les rangées qui suçait le mec.
Quand les mecs avaient joui, ils changeaient de place et le cul libre se retrouvait occupé.
Je matais en me caressant car bien sûr je bandais encore, mieux que les films pornos de l'époque!
J'ai senti une main sur mon cul cherchant à entrer dans mon pantalon, je laissais faire pendant que le corps se collait au mien et qu'une voix d'arabe me dit :
-tu veux faire la salope comme l'autre ?
Son doigt venait d'entrer dans mon cul et en guise de réponse j'ai gémi.
-ouvre ton pantalon!
Je n'avais pas touché le sgeg qui cherchait déjà à entrer en moi, cramponné au siège devant moi je me suis fait pilonné comme un malade en matant un bon film de cul.
L'arabe a joui rapidement, me donnant une claque sur le cul. J'allais me rhabiller mais il a dit:
-reste comme ça, ils attendent!
J'ai regardé derrière moi et trois mecs étaient là qui se rapprochaient. Les mains ont caressé mon cul, des doigts sont entrés en moi.
La première queue est arrivée et m'a rempli rapidement, tu parles que ça glissait bien avec tout ce que j'avais pris avant. Un mec est venu m'empêcher de continuer de voir mon film porno en direct car il m'a donné sa queue à sucer.
Et je me suis retrouvé pour la première fois à faire la salope dans ce cinéma.
J'ai voulu compter au départ le nombre de queues que j'avais soit sucée ou prise dans le cul, mais j'ai renoncé, mais je suis sûr plus de 10 pour cette première fois!
Il rigole en nous regardant.
-oh j'ai fait pire tu sais Fabrice, quand j'arrivais à 14 heures et que je repartais au dernier métro... des kilomètres de queues que j'ai sucé et pris dans mon cul!
-mais il n'y avait pas d'ouvreuses ? personne ne venait gueuler ?
-si des fois quand ça faisait trop de bruit, car certains venaient quand même pour voir le film...
Je rigole.
-mais il y avait encore un étage, mais il n'était pas ouvert tout le temps et dès qu'il était ouvert c'étaient tous les pervers qui s'y précipitaient et je peux te dire que c'était la partouze sur tout le balcon!
-t'as fait ça aussi ? j'ai demandé.
-bien sûr, j'y allais pour ça tu sais.
-et maintenant ce n'est plus un cinéma ?
-c'est devenu une boîte de nuit après, dans les années 90 mais depuis je ne sais pas ce qu'il y a !
-là tu nous a raconté ce qui se passait dans l'ensemble, mais tu dois bien avoir quelques anecdotes croustillantes, enfin encore plus croustillantes ?
-qu'est ce que t'es gourmand quand même, mais comme j't'aime bien, faut que je réfléchisse et j'te raconterais!
à suivre... sûrement!
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