LA PROF D ALLEMAND - histoire érotique

Bonjour,
c'est assez sympa de pouvoir faire part de quelques frasques sexuelles, j'espère que chacune et chacun y trouve quelques plaisirs et je vous le souhaite. Cette histoire comme les précédentes est réelle.
J'avais décidé de tester un site d'annonces libertines, cela fait maintenant plus 5 ans, sans grande illusion. mais la seule façon de savoir si cela fonctionnait était de tenté. Me voilà inscrit sur site visiblement bien connu. Je commence donc par ciblé quelques femmes seules et des couples affirmant recherché un ou des partenaires.
Pendant quelques mois, aucun résultats !!! Je commence à me lasser et au lieu de continuer sur des profils avec photos et forces propositions alléchantes, je me dis que je devrais peut être tenter sur une annonce de femme seule, passant une annonce pas forcément très explicite, sans photos et dans une zone géographique peu fréquentée. Habitant à l'époque dans le Rhône, je tente sur l’Ardèche.
La description fait part d'un petit bout de femme, la quarantaine souhaitant un peu d'exotisme dans son quotidien. Rien de plus. Celle ci ou une autre, je tente celle ci. Surprise, une réponse arrivem'engageant à échanger sur ce que j'attends et ce que je propose. Simple, honorer Bacchus et voir si pendant ce repas, Eros pourrait à son tour être de la partie. La dame me réponds OK pour un restaurant, me donne RDV dans un bar bien sous tout rapport à 18 heure, après ses cours, un jour de semaine.
Me voilà donc à Aubenas, dans ce petit bar très simple à attendre une dame en tailleur marron cheveux mi long, petite, environ 1.60.
A 18h00 pile, je vois rentrer une personne correspondant à la description qui se dirige vers moi lui ayant indiqué ma tenue précise, qui interpelle ! C'est vous Eric ? oui c'est moi, bonjour.
Nous prenons donc une collation et commençons à échanger. Elle me raconte que sa dernière conquête était un suisse, visiblement presser, rencontrer de la même façon, qu'elle était aller voir à Genève, histoire de passer un moment dans cette ville. Conclusion, la ville sympa, le garçon beaucoup moins.
Nous continuons à faire connaissance et arrive l'heure du dîner. Nous voilà au restaurant et nous continuons d'échanger. Dans tout ses propos, je sens que c'est une personne volontaire, qui sait ce qu'elle veut, ce qui est engageant. Elle n'est pas belle au sens déesse du terme, mais c'est un joli bout de femme, avec une petite poitrine, une taille bien marquée et un petit cul, petit 38, bien haut perché et dont devine que les fesses ne sont pas compressée l'une contre l'autre. Je lui fait remarqué que je trouve son cul particulièrement incitatif à la débauche, pour tester si elle est joueuse et c'est le cas. elle me remercie et me dit qu'il y longtemps que personne ne lui à rendu hommage.
Nous sommes après le dessert, le café arrive et je lui propose d’aller le boire sur la terrasse extérieur pour pouvoir fumer, puisqu'elle aussi fume. Nous voici donc dehors. Je l'entraîne vers un endroit de la terrasse ou sans être totalement à l'écart, nous ne sommes pas non plus très visible.
Une rue est à côté, juste séparée par un muret d'1 mètre de haut. Je pose mon café et ma cigarette et commence à l’attirer à moi pour l'embrasser, ce qu'elle accepte et je découvre de suite à sa façon de me rouler une pelle que c'est une gourmande. Je me dis qu'elle doit bien sucer vu la ferveur avec laquelle elle me mange la bouche. De plus, en l'embrassant je lui soulève sont tailleur et je découvre au toucher un porte jarretelles et un string tout mini. Vu sa taille et vu la mienne (182) mes bras n'ont aucune difficulté à mettre sa chatte à porté de mes doigts et je commence à m'occuper de lui rentrer un puis deux doigts dans sa chatte qui est trempée. Vu sa respiration qui s'accélère, elle apprécie. Je lui demande alors si elle suce aussi bien qu'elle embrasse, instantanément elle se met à genoux, libère ma queue et gobe le gland qu'elle se met à aspirer goulument. Elle lève la tête et me dit qu'elle à envie que je la traite comme la dernière des chiennes !!!! Jamais je n'aurais pensé que cette prof d'allemand, semblant si classique et sérieuse puisse se révélé être une véritable chienne en chaleur.
La voila me pompant sérieusement la queue, à genoux devant moi, me vient l'envie de lui enfiler ma queue jusqu'au fond de la gorge. Je la relève et lui intime l'ordre de me sucer en se penchant pour que je puisse lui baiser la bouche jusqu'au fond de la gorge. Surprise, elle s’exécute.
Je lui dit d'ouvrir grand sa bouche et d'avancer sa langue le plus loin possible pour dégager le passage. Ce qu'elle fait. Je rentre donc dans sa bouche et pousse jusqu’à sentir sa glotte, je continue à pousser et voilà que ma queue viens en buter contre sa bouche, bien plantée au fond de sa gorge.
Cela lui provoque un haut le coeur, elle tousse, je me retire, elle bave et dès qu'elle a repris sa respiration je lui force la gorge, fait 3 ou 4 aller retours, lui demande de me chatouiller les couilles avec le bout de sa langue, la voilà qui se retire d'un coup, se retourne et rends tout son repas dans la végétation !!! première gorge profonde et visiblement elle a la glotte sensible, mais une fois remis de cet intermède, elle me dit qu'elle a aimé être forcée et qu'elle souhaite recommencé. Je la retourne, la fait se pencher sur le muret et commence par lui prendre la chatte sans ménagement, elle se met à gémir, me dit qu'elle veut être ma pute, ma chienne et qu'elle veut "démonter" comme une bonne salope. J'y vais de bon coeur et dans cette position malgré un éclairage un peu faiblard, je prends conscience de la forme de son cul. Absolument magnifique, les fesses naturellement bien écartées et son petit trou du cul bien visible !!! Je lui introduit un doigt en l'ayant préparé et voilà que ses gémissements augmentent. Deux doigts et au bout de 2 à 3 minutes de ce traitement, sur un ton explicite elle me demande : "Encule moi " "défonce moi" !!
Alors je lui prends le cul sans ménagement là aussi et nous continuons notre découverte encore quelques minutes. des gens se faisant entendre, nous reprenons nos esprits et retournons dans la salle de restaurant, la voisine de table, en couple avec son homme fait un clin d'oeil à ma prof d'allemand bien cochonne.
J'avais réservé un hôtel vu la distance vis a vis de mon domicile. Je lui propose donc de continuer à l’hôtel, ravie, elle me demande quand est ce que on y va. je lui réponds de suite. C'est un hôtel en zone commerciale, à l'extérieur de la ville. comme elle m'avait dit vouloir être ma pute, une fois dans la voiture, je le lui rappelle. Elle me réponds que c'est toujours le cas ce à quoi je lui réponds que j'exige qu'elle se soumette sans discuter à tout ce que je vais lui ordonner de faire. Quelques secondes de silence, elle finit par me dire qu'elle ne s'est jamais soumise, mais qu'elle est prêt à le faire.
Sur la route de l’hôtel, nous passons à côté d'un pkg de routier, il est 23h et il y a un chauffeur qui s'affaire autour de son camion, je me gare, lui dit de soulever son tailleur et de se caresser, juste à côté du camion. Immanquablement le routier s'approche et observe ma prof d'allemand avec gourmandise, sors sa queue, courte mais très épaisse bien plus que la mienne et je dirais qu'elle ne faisait pas moins de 5 cm de diamètre, un monstre d'épaisseur !! et commence à se branler.
Au bout de 5 mn de ce petit jeu, je lui dit de sortir et de le sucer, ce qu'elle fait au grand plaisir de ce chauffeur qui me décoche un grand sourire. Il n'est pas Français, visiblement espagnol costaud mais pas gras et vu le gabarit de ma prof d'allemand, je décide de la prendre en sandwich.
J’interpelle Patricia, me positionne derrière elle, la soulève face au routier qui ni une ni deux présente sa queue difforme devant sa chatte et doucement, très doucement, il doit avoir l'habitude, pénètre Patricia qui couine un peu, avec une larme qui coule sur sa joue sous l'effet de la douleur.
Très vite pourtant, elle se met à coulisser sur ce monstre. Alors je point ma queue sur son petit trou du cul et l'encule doucement. Une fois à fond, je sens la présence du routier au fond de sa chatte et nous commençons, sans difficulté, vu le poids de Patricia, à l’enfiler des deux côtés, gentiment puis beaucoup plus sauvagement.
Elle ne gémit plus mais elle hurle sous l'effet de la douleur et du plaisir conjuguée. Après l'avoir copieusement inondée des deux côtés, elle nous suce l'un après l'autre, prenant plaisir à nous nettoyer la bite et puis le chauffeur nous offre un café. Dans la voiture en direction de l’hôtel, je me rends compte que sa chatte est tellement dilatée que je pourrais y passer la main.15 mn de route et nous voilà à l’hôtel. Un grand black fait le gardien et bien sur, ayant commencé avec le chauffeur je me dis que peut être cela peut continuer. Je fais un clin d’œil à ce garçon, lui demande si il aimerait qu'elle le suce, pendant que je prends la chambre. Oui effectivement, alors j'ordonne à Patrica d'aller lui vider les couilles. Elle passe derrière la banque, docilement se met à genoux sort le sexe de bonne dimension du black et se met à le pomper généreusement.
Je ne sais pas si c'est l'excitation, le fantasme ou la situation, toujours est il que lorsque je reviens après avoir poser mes affaires, il est en train de lui remplir la bouche mais sa jouissance est tellement important en terme de quantité de sperme, qu'il lui arrose le visage copieusement.
Voici Patricia dans la chambre se faisant un petit nettoyage et qui loin d'être rassasiée, vient dans le lit et se met en position de levrette, très cambrée et me me demande l'enculée à nouveau. Je finis par avoir un deuxième orgasme, la satisfaisant, il est tard et nous décidons donc de nous reposer.
J'ai revu Patricia deux ou trois fois puis voulant que nous développions une relation de couple, je lui ai dit que je ne le voulais pas, d'abord parce que marié et plus du tout envie de recommencer et ensuite parce que ce genre de moment me plait et que je veux pouvoir le refaire tant que ce sera possible.