La punition du Proviseur adjoint
Récit érotique écrit par Marialicious [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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La punition du Proviseur adjoint
Bonjour, je me présente, je m'appelle Carole, j'ai 21 ans, plutôt jolie ma mère étant vietnamienne et mon père néo calédonien, j'ai de grands cheveux bruns tombant sur mes fesses, des yeux noirs en amande et une peau toujours halée. Je peux dire que j'ai été assez gâtée, j'ai des seins assez gros (85E) et des fesses musclées et rebondies.
Cette histoire s'est passée il y a deux ans, lorsque j'étais en classe préparatoire pour Sciences Po. J'étais dans un lycée en plein centre de Paris. Le proviseur adjoint avait l'air de m’apprécier, il me saluait souvent et j'avais l'habitude de le côtoyer puisque j'étais déléguée. Pourtant je ne pensais pas que cet homme était si pervers.
Un jour je dû amener quelques élèves dans son bureau car ils n'avaient pas fait leur travail, ce qui est peu recommandé en prépa. Le lendemain je reçu un mot me demandant de venir le plus vite possible dans son bureau. Je couru le rejoindre, il n'y avait personne à l'accueil et je frappais directement à la porte. Il me dit d'entrer. Il était assis derrière son bureau spacieux et m'invita à m'asseoir, ce que je fis tout de suite.
- Mademoiselle, j'ai apprécié le travail que vous avez fait pour moi hier. Mais en fouillant un peu dans votre dossier, j'ai lu que vous n'étiez pas si sage que cela...
- Que voulez vous dire ?
-Hé bien je crois que je vais devoir vous le remettre en mémoire.
Sur ce il ouvrit mon dossier et me montra des photos de moi et d'un professeur d'histoire dans les toilettes du lycée.
- Je pense que cela suffit... Je suis prêt à passer là dessus et à faire disparaître les traces, cela serait dommage que ça paraisse dans votre dossier pour Sciences Po n'est-ce pas ?
J'étais toute gênée, je ne savais pas où me mettre ni quoi dire. Les photos étaient des plus coquines, on me voyait en train de me faire sodomiser. Enfin il rompit le silence.
- J'accepte de me taire si vous vous laissez prendre à mon jeu.
Là une multitude de choses me passaient par la tête, enfin je me décidais, me disant que je n'étais pas arrivé là pour rien et que je ne pouvais pas accepter qu'une telle incartade pourrisse mon dossier.
-Très bien monsieur, j'accepte, mais il faut que cela reste entre nous.
-Alors petite pute, tu vas te déshabiller et rester en sous vêtements. Allez plus vite !
Je m'exécutais le plus vite possible, avec un mal de ventre comme jamais, je ne savais pas ce qu'il attendait de moi. Puis il dit:
- Regardes moi comment tu es une grosse cochonne, je vois tes tétons pointer à travers ton soutien gorge. Maintenant viens t'allonger sur mes genoux pour recevoir la bonne fessée que tu mérites ! Regarde tes fesses comme elles attendent que ça de se faire fesser !
C'est ainsi que de sa main droite il commença à me claquer les fesses, je ne portais qu'un petit string noir en dentelle ce qui ne couvrait rien. Mes fesses prirent vite une couleur rouge vif et j'étais de plus en plus excitée, je me sentais mouiller et ça coulait sur mes cuisses. Alors qu'il me demanda de me mettre à genoux et de le sucer. Je descendit sa braguette doucement et sortit sa grosse bite pour l'engouffrer dans ma bouche en prenant soin de tout lécher et de faire des vas et viens très appuyés. Il me tenait les cheveux en me disant "tu vas voir ce que tu vas prendre grosse salope, tu vas en manger de la bite et dans tous tes trous, je vais te prendre ton cul de pute". Et plus il me disait ces insanités plus je me sentais au bord de l'orgasme ! Enfin il me releva et me demanda de m'appuyer sur son bureau en écartant bien les cuisses. Je le vis fouiller dans l'un de ses tiroirs et en sortir un martinet. Il me dit de ne pas bouger sinon je recevrai 20 coups de plus. Il me dit de me cambrer pour qu'il puisse voir ma raie et mon anus. J'avais peur et mes jambes flanchaient.
- Tu vas voir ce qu'il va subir ton anus de pute, depuis le temps que j'en rêvais ! Je vais enfin pourvoir fouetter ton anus!
Et là le premier coup retentit, je me sentais en feu, mon anus palpitait mais je mouillais de plus en plus, comme une grosse chienne. Vingt autres suivirent et je les pris sans broncher. Je ne bougeais plus. Une main vint se poser sur mes fesses, enleva mon string et je sentis un doigt traverser ma raie et s'arrêter sur ma jolie pastille dorée. Il inséra un doigt puis m'enfonça un objet. Je me retournais avec un air interrogateur.
-T'en fais pas salope c'est juste pour lubrifier l'intérieur de ton anus.
Je savais ce qui m’attendait. Il me mis à quatre pattes par terre et m'écarta les fesses. Je sentais un liquide chaud couler de mon anus. D'un coup il m'empala. Aucun son ne sortit de ma bouche. Il me lima en me fessant. Mon anus palpitait, je le sentais tout chaud et distendu. Il allait de plus en plus vite et claquait mes fesses de plus en plus fort. Enfin il jouit. Par grandes saccades je le sentais me remplir. Il sortit et me força à lui lécher la bite, ce que je fis avec ferveur. Il me dit de ne pas bouger.
- Tiens petite pute, maintenant que tu as le cul bien rempli je vais te le fermer.
Et là il m'enfonça un plug d'une taille encore inconnue. Puis il ajouta:
- Demain tu reviens ici à la même heure et tu recevras pendant une semaine entière la même punition qu'aujourd'hui. Tu n'as pas intérêt à l'enlever pendant la nuit, je le saurai de toute façon.
Il fit bouger le plug dans mon anus pour voir s'il était bien placé.
- Je garde aussi ton string, tu n'en n’as pas besoin. Allez ma pute, file maintenant.
Et en disant ces mots il me donna une dernière claque sur mes fesses avec le martinet qui était posé sur son bureau....
(Suite au prochain épisode)
Cette histoire s'est passée il y a deux ans, lorsque j'étais en classe préparatoire pour Sciences Po. J'étais dans un lycée en plein centre de Paris. Le proviseur adjoint avait l'air de m’apprécier, il me saluait souvent et j'avais l'habitude de le côtoyer puisque j'étais déléguée. Pourtant je ne pensais pas que cet homme était si pervers.
Un jour je dû amener quelques élèves dans son bureau car ils n'avaient pas fait leur travail, ce qui est peu recommandé en prépa. Le lendemain je reçu un mot me demandant de venir le plus vite possible dans son bureau. Je couru le rejoindre, il n'y avait personne à l'accueil et je frappais directement à la porte. Il me dit d'entrer. Il était assis derrière son bureau spacieux et m'invita à m'asseoir, ce que je fis tout de suite.
- Mademoiselle, j'ai apprécié le travail que vous avez fait pour moi hier. Mais en fouillant un peu dans votre dossier, j'ai lu que vous n'étiez pas si sage que cela...
- Que voulez vous dire ?
-Hé bien je crois que je vais devoir vous le remettre en mémoire.
Sur ce il ouvrit mon dossier et me montra des photos de moi et d'un professeur d'histoire dans les toilettes du lycée.
- Je pense que cela suffit... Je suis prêt à passer là dessus et à faire disparaître les traces, cela serait dommage que ça paraisse dans votre dossier pour Sciences Po n'est-ce pas ?
J'étais toute gênée, je ne savais pas où me mettre ni quoi dire. Les photos étaient des plus coquines, on me voyait en train de me faire sodomiser. Enfin il rompit le silence.
- J'accepte de me taire si vous vous laissez prendre à mon jeu.
Là une multitude de choses me passaient par la tête, enfin je me décidais, me disant que je n'étais pas arrivé là pour rien et que je ne pouvais pas accepter qu'une telle incartade pourrisse mon dossier.
-Très bien monsieur, j'accepte, mais il faut que cela reste entre nous.
-Alors petite pute, tu vas te déshabiller et rester en sous vêtements. Allez plus vite !
Je m'exécutais le plus vite possible, avec un mal de ventre comme jamais, je ne savais pas ce qu'il attendait de moi. Puis il dit:
- Regardes moi comment tu es une grosse cochonne, je vois tes tétons pointer à travers ton soutien gorge. Maintenant viens t'allonger sur mes genoux pour recevoir la bonne fessée que tu mérites ! Regarde tes fesses comme elles attendent que ça de se faire fesser !
C'est ainsi que de sa main droite il commença à me claquer les fesses, je ne portais qu'un petit string noir en dentelle ce qui ne couvrait rien. Mes fesses prirent vite une couleur rouge vif et j'étais de plus en plus excitée, je me sentais mouiller et ça coulait sur mes cuisses. Alors qu'il me demanda de me mettre à genoux et de le sucer. Je descendit sa braguette doucement et sortit sa grosse bite pour l'engouffrer dans ma bouche en prenant soin de tout lécher et de faire des vas et viens très appuyés. Il me tenait les cheveux en me disant "tu vas voir ce que tu vas prendre grosse salope, tu vas en manger de la bite et dans tous tes trous, je vais te prendre ton cul de pute". Et plus il me disait ces insanités plus je me sentais au bord de l'orgasme ! Enfin il me releva et me demanda de m'appuyer sur son bureau en écartant bien les cuisses. Je le vis fouiller dans l'un de ses tiroirs et en sortir un martinet. Il me dit de ne pas bouger sinon je recevrai 20 coups de plus. Il me dit de me cambrer pour qu'il puisse voir ma raie et mon anus. J'avais peur et mes jambes flanchaient.
- Tu vas voir ce qu'il va subir ton anus de pute, depuis le temps que j'en rêvais ! Je vais enfin pourvoir fouetter ton anus!
Et là le premier coup retentit, je me sentais en feu, mon anus palpitait mais je mouillais de plus en plus, comme une grosse chienne. Vingt autres suivirent et je les pris sans broncher. Je ne bougeais plus. Une main vint se poser sur mes fesses, enleva mon string et je sentis un doigt traverser ma raie et s'arrêter sur ma jolie pastille dorée. Il inséra un doigt puis m'enfonça un objet. Je me retournais avec un air interrogateur.
-T'en fais pas salope c'est juste pour lubrifier l'intérieur de ton anus.
Je savais ce qui m’attendait. Il me mis à quatre pattes par terre et m'écarta les fesses. Je sentais un liquide chaud couler de mon anus. D'un coup il m'empala. Aucun son ne sortit de ma bouche. Il me lima en me fessant. Mon anus palpitait, je le sentais tout chaud et distendu. Il allait de plus en plus vite et claquait mes fesses de plus en plus fort. Enfin il jouit. Par grandes saccades je le sentais me remplir. Il sortit et me força à lui lécher la bite, ce que je fis avec ferveur. Il me dit de ne pas bouger.
- Tiens petite pute, maintenant que tu as le cul bien rempli je vais te le fermer.
Et là il m'enfonça un plug d'une taille encore inconnue. Puis il ajouta:
- Demain tu reviens ici à la même heure et tu recevras pendant une semaine entière la même punition qu'aujourd'hui. Tu n'as pas intérêt à l'enlever pendant la nuit, je le saurai de toute façon.
Il fit bouger le plug dans mon anus pour voir s'il était bien placé.
- Je garde aussi ton string, tu n'en n’as pas besoin. Allez ma pute, file maintenant.
Et en disant ces mots il me donna une dernière claque sur mes fesses avec le martinet qui était posé sur son bureau....
(Suite au prochain épisode)
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