La Renaissance de Catherine, partie 1.
Récit érotique écrit par Cate60 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La Renaissance de Catherine, partie 1.
Catherine reprend goût à la vie grâce au sexe et aux sites de rencontres avec Albert… :
Cette histoire débute il y a quelques années en arrière, juste avant le Covid. Elle perdure depuis..tout ce que j’ai écris est vrai et en deçà de la vérité.
Je me prénomme Catherine, 47 ans, médecin à Paris, une blonde très blonde aux cheveux nordiques fins qui blondit encore plus au soleil, yeux bleus et cheveux courts, divorcée, pas trop mal foutue aux seins fermes et au ventre plat, sportive et ancienne mal baisée.
J’ai été marié durant 20 ans où j’ai eu une fille adorable d’un mari transporteur que j’ai surpris avec sa secrétaire dans son bureau en plein ébats.
Nous nous sommes quittés de façon houleuse puis au fil du temps, pour notre fille, nous avons su être cool.
Je suis restée seule très longtemps en ayant quelques aventures ça et là sans aucune importance avec une sexualité en berne, sans illusions. Ma sexualité a toujours été très soft en réalité, très classique et toujours hétérosexuelle même si parler de sexe ne m’a jamais dérangé, le milieu médical est connu pour savoir évoquer tout de go le sexe et le reste…
Entre les gardes à l’hôpital puis le cabinet- à l’époque j’étais à Compiègne, je ne touchais pas le sol, ce qui m’arrangeait.
Une de mes meilleures amies de l’hôpital, la jolie Claire, infirmière divorcée comme moi en plus jeune, me racontait qu’elle s’était inscrite sur des sites de rencontres, POF, Adopteunmec.com, gratuit pour les dames et qu’elle rencontrait beaucoup de mecs avec lesquels elle s’en donnait à cœur joie.
Après un moment de réflexion, je me faisais un profil discret avec une seule photo qui ne me mettait pas spécialement en valeur mais qui ne m’enlaidissait pas non plus.
Et puis de semaines en semaines, je n’avais pas de messages quand j’en eus un d’un type bizarre puis quelques autres plutôt des petits jeunes cherchant une cougar.
Et au moment où j’allais abandonner en supprimant mon compte, un charmant monsieur brun barbu prénommé Albert, cependant pas du tout mon genre me contactait très aimablement. Les échanges étaient fluides, jamais une faute d’orthographe malgré le fait qu’il fut britannique.
Ne souhaitant ni l’un ni l’autre rester sur le site plus longtemps à échanger, nous passions très vite sur WhatsApp.
Tout aussi vite, il était question de se voir autour d’un repas au restaurant à Paris. Le train pour Paris le samedi d’après, métro et un quart d’heure d’avance, mon rendez-vous arrivait.
Ni beau ni laid, très gentleman Farmer vêtu de tweed, souriant à la barbe très bien taillée, nous déjeunions tranquillement face à face en nous racontant.
Le repas terminé, il se proposait a me raccompagner au métro. Une fois dehors, il me prit le bras et là, j’ai senti en moi comme une onde de chaleur incroyable jusqu’à en avoir des papillons dans le ventre et mouiller ma culotte. J’avais soudain envie des caresses de cet homme que je ne connaissais pas, de sentir ses mains sur moi.
Arrivés au Métro, c’est jusque sur le quai qu’il me raccompagna et au moment de nous quitter, j’avais une terrible envie de l’embrasser mais il me fit une accolade assez tendre tout contre moi à tel point que je sentis son érection contre moi ce qui eut pour résultat de me faire vraiment mouiller. Je montais à bord de la rame et il me regardait en souriant tout en lui rendant son sourire avec un signe de la main. J’avais vraiment envie de le revoir. Et je me sentais très mouillée à tel point que je ne voulais pas aller m’essuyer dans le train, j’appréciais cet état…
En arrivant chez moi, je recevais une série de messages de lui me disant qu’il s’était senti tout chose au moment de me quitter et qu’il aurait voulu m’embrasser. Je lui confirme la réciproque, me surprends à lui écrire que j’ai senti contre moi une bien excitante grosse érection qui m’a trempé.
Étonné apparemment, il me dit regretter de pas être resté avec moi et très vite nos textos se transforment en sextos pour la première fois quant à moi. Il me dit tellement de choses que je me caresse en même temps que lui qui me signifie bander, je lui demande une photo qu’il m’envoie et qui me pousse à vite aller dans mon frigo prendre une courgette pour jouer avec, pour enfin jouir le tout en ne cessant de mater cette splendide queue, très bien proportionnée et surtout tellement large qu’on pouvait la qualifier de XXL.
Une fois ayant pris congés l’un de l’autre, je décide que dorénavant, j’irai franco avec lui et prendrai mon pied!
Le lendemain, rebelote, sextos toute la journée où il me promet de me prendre partout et n’importe où. Il me met au défi que je lui fasse une fellation dans des toilettes publiques. Je relevais le défi pour le samedi suivant avec le gage que si j’y parvenais, ce sera à moi de choisir quelque chose de différent.
En attendant, il me fait presque rêver en me disant qu’il me lècherait, me prendrait, me sodomiserait alors que ça fait maintenant des lustres que rien de tout ça ne m’était pas arrivé!
Pour la sodomie, c’était arrivé une fois avec mon mari qui m’avait fait hyper mal et ce fut la dernière fois. Je n’avalais pas, bref je devais être un peu coincée sauf que là, je voulais totalement être décoincée, que je voulais tout ce cet homme! En attendant, je me commandais pour la toute première fois de ma vie des toys sur Amazon, du gode ventouse au double gode, du vibro au plug anal, la totale quoi!
Je m’endormais trempée et me réveillais encore plus trempée. Le dimanche matin, c’était footing et boulangerie avant d’aller déjeuner chez ma mère. Pour la première fois dans mon legging de sport qui me rendait sans doute plus attirante que d’habitude, même si j’admets qu’à l’époque, mes vêtements amples ne mettaient pas les formes de mon corps en valeur, en pensant à tout ça, ses sextos permanents, toutes perspectives me rendait humide.
Une douche sous laquelle je me caressais où je lisais ses rêves de me faire l’amour voire de me baiser. Il m’envoyait alors des petits films porno qui illustraient ses propos et qui bien évidemment m’excitaient énormément…
J’avais envie de devenir sa chienne, chienne que je n’avais jamais été pour personne, la salope qui devait sommeiller en moi qui ne s’était jamais révélée émergeait tout d’un coup. Et sa queue était tout ce qui m’excitait en plus du reste, son humour, sa culture et j’en passe.
Je profitais de mon dimanche pour appeler Claire et aller boire une tasse de thé en ville pour lui parler de mon rendez-vous.
Belle petite brune, elle s’habillait toujours sexy soft et on se retournait assez facilement sur son passage.
Elle me bombardait de questions et je lui racontais alors toute mon aventure.
- Woooooooo!!! Quelle splendide queue! commentait-elle..j’espère que tu ne vas pas passer à côté de ça?!
- Non justement! J’ai pris la décision de laisser aller et de vivre pleinement mes fantasmes.
- Oui, fais sortir la belle petite salope qui vit en toi!!
- Il y a trop longtemps que je suis en jachère lui répondis je en riant.
- Samedi, laisse toi aller avec ce mec qui a l’air très sympa et surtout super bien monté. S’il sait s’en servir, tu devrais passer des moments inoubliables. Tu sais que je te connais depuis très longtemps et je sais surtout que tu es super bien foutue mais qui ne se met jamais en valeur. Vas chez l’esthéticienne te refaire une beauté, épilation et tout le tintouin, fais toi même quelques séances de bronzage intégral et après ça, je t’assure que samedi tu vas prendre cher !
- J’ai bien l’intention d’en profiter et de m’amuser!
- De toute façon, tu n’es pas amoureuse alors…
- Non pas amoureuse mais même s’il n’est pas du tout mon genre de mec, il m’attire et me fascine..et quelle queue!!! Ça m’a fait immédiatement mouiller!!
- Et pour lui faire une gâterie dans les toilettes, ça ne te gêne pas ?
- Pas du tout! C’est un défi et je l’ai relevé!!
- Tu sais, il faut en profiter! C’est ce que je fais tout le temps! Et je ne raconte pas ce que j’ai fait hier soir et il y a encore quelques heures, j’ai pris mon compte mais je n’en ai jamais assez parfois…
- Tu es vraiment une salope toi !
- Oui je le revendique mais toi tu es une très belle salope qui va devenir une très bonne salope!
- Tu vas rire mais j’ai envie de me sentir chienne tu vois!?
- Je suis certaine que tu feras ça très bien! Il te faut bien sucer cette belle queue déjà, commencer par passer des petits coups de la pointe de la langue sur le gland et plus particulièrement sur le frein tu vois!?
- Il y a longtemps que je n’en ai pas sucé!
- Combien de temps ?
- Hum..plus de trois ans..
- Waooo!! Moi je ne pourrais pas ! J’en suce beaucoup de différentes tu le sais!
- Oui je sais que tu es une grosse chienne Claire !
- Et toi tu vas le devenir bien plus que moi, garanti! En tout cas, si un jour tu veux le partager ou faire un truc à trois, appelle moi de suite ! Une queue comme ça mérite le respect !
- Un truc à trois???? Je suis loin de ça tu le sais!
- Vois ton mec, suce le, fais toi cabosser bien comme il faut et tu me racontes tout…en tout cas ta photo me fait mouiller…et vas t’acheter des toys pour t’entraîner..et essaie de me faire des photos, une vidéo…
- Mais figure toi que j’en ai commandé sur Amazon!
- Fais voir!
- Celui là je l’ai et celui là aussi! Le plug tu l’as pris XL? XXL?
- XXL..
- Mmmmmm ça donne envie..quand je vais rentrer, comme je n’ai pas les enfants, je vais me régaler…
Nous avons continué à discuter en riant quant à l’issu de mon histoire.
Le mardi suivant, je passais chez l’esthéticienne qui avait pour habitude de me faire le maillot mais cette fois-ci, je voulais un micro ticket de métro très ras comme cet Albert semblait apprécier.
Je souligne au passage la dictature de l’épilation toujours pressante, et même si je pense personnellement que la touffe amazonienne, mis à part pour ceux qui aiment l’authentique, je pense que le débroussaillage est nécessaire. Reste à chacun le soin d’apprécier! Mais des lèvres bien lisses semblaient plus particulièrement avides à la dégustation me semble-t-il..
Je me rachetais un jean’s taille basse et quelques strings de sport très fins, des top aussi pour avoir le choix samedi. En tenue de sport, je me trouvais presque canon…
Alors que monsieur Amazon avait fait son œuvre, je testais le matériel. Le gode ventouse avait ma préférence que je collais sur les parois de ma douche, le double gode était super, le vibro aspirateur de clitoris tout simplement génial et le plug lui me faisait peur. J’hésitais même à tenter la double pénétration même avec du gel alors que j’allais probablement y passer samedi. Ça m’étonnerait bien qu’il ne veuille pas balader sa belle queue un peu partout cet Albert.
Après quelques essais, j’avais réussi à me desserrer un peu mais rien ne vaut un vrai sexe en soi, la queue de mon Albert.
Samedi matin, en me levant, un lavement anal me semblait important car j’allais y passer, je le savais!
Alors je démontais le jet d’eau au bout du pommeau pour m’entrer le jet d’eau dans l’anus. Après cette petite toilette nécessaire, je me glissais un peu de gel dans le conduit anal avec un doigt.
Je prenais le train de Compiègne à Paris avec un petit sac au cas où je resterai les nuits du week-end. J’avais passé mon nouveau jean’s taille basse assez moulant, un mini string bleu ciel assortit à ma brassière top sous une chemise blanche ouverte et des bottes beiges assorties à mon rain-coat. Je me sentais bien comme ça, c’est sûr pas la grande classe mais j’étais bien dans ma peau, dans mon string aussi.
Durant le trajet, j’allais aux toilettes deux fois me caresser, je n’en pouvais plus d’attendre..
Rendez-vous pour commencer à prendre un verre au bar d’un grand hôtel de la Porte Maillot, j’arrivais et voyais déjà Albert qui se leva à mon approche. Il m’embrassa et j’ouvris instinctivement la bouche pour laisser passer sa langue qui s’enroulait autour de la mienne. Il me plaquait contre lui en me tenant par les hanches sur mon rain-coat. Je sentais sa queue bandante contre moi et j’avoue que ça m’excitait beaucoup.
Il me demandait si je voulais boire quelque chose mais non la seule chose que je voulais boire, c’était son sperme. Je lui dis et en fait, j’avais l’impression qu’il en fut choqué ce qui me plaisait assez. Je voulais sa queue dans ma bouche tout de suite.
Nous sommes montés ensemble main dans la main par les escaliers jusqu’aux toilettes des dames. Il n’y avait personne. On est donc entré avec l’assurance que les toilettes seraient plus propres.
A peine la porte fermée, il me prit dans ses bras et nous nous sommes encore embrassés. Très vite, ses mains étaient sur ma peau sous ma chemise et moi également sur la sienne. Ses mains descendaient lentement dans mon jean’s devant et derrière. Ses doigts se promenaient dans mon string et sur mes fesses. Je dégrafais mon pantalon pour être plus à l’aise alors qu’il me titillait le clito, puis enfonçait deux de ses doigts dans ma chatte trempée pendant qu’il me caressait les fesses. Justement, cette main là glissait deux doigts sur mon anus également trempé en les enfonçant doucement. Deux doigts crochetés se trouvaient dans mes deux orifices et je ne l’avais même pas encore sucé. Je caressais sa queue à même son pantalon qui tomba peu après pour passer à des caresses sur son boxer.
Ses quatre doigts en moi me faisaient littéralement perdre mes moyens, le rythme de ma respiration avait changé, j’étais au bord de l’orgasme. Il baissa d’un geste mon pantalon et mon string pour mieux continuer son ouvrage. Je commençais à couler de mouille comme jamais cela ne m’était arrivé. Après mon premier orgasme après seulement quelques minutes, il ne me laissait aucun répit. Je n’avais même pas la peau de sa queue sous mes doigts tellement j’étais accaparé par ses caresses expertes. Au second orgasme, je ne savais même pas s’il ne m’avait pas fait jouir en anal. Ses doigts étaient redoutables, ce mec était un expert doublé d’un beau salaud. J’adorai…j’adorai devenir sa chose, sa poupée sexuelle..je me retrouvais totalement soumise alors que ça ne m’était jamais arrivé.
Je sentais derrière moi qu’il avait sorti sa grosse queue, il avait retiré tous ses doigts de moi, me prit la bouche un instant pour m’incliner contre les toilettes et posa son énorme gland sur mes lèvres trempées. Je me laissais totalement faire en écartant même les jambes pour lui permettre de mieux entrer. Il ne tarda pas à s’enfoncer doucement. Sa queue était beaucoup plus large que mes godes et mes doigts mais autant j’étais encore serrée, autant c’était si bon de sentir en moi cette grosse queue.
Il commençait à aller venir et je me cambrais de plus en plus tellement c’était du bonheur. J’étais déjà à moitié nue, il avait relevé ma brassière ce qui me permit de me caresser les seins et plus particulièrement me pincer les tétons. Il sentit mon manège en prenant le téton disponible en me l’écrasant ce qui me fit sortir un cri entre mes gémissements étouffés, il avait trouvé une de mes failles, j’aimais me faire pincer très fort les tétons. Puis ses doigts passèrent de mon petit trou à ma bouche entre deux pincements quand au moment où mon troisième orgasme me terrassait, il sortit de mon ventre pour positionner le gland fatal sur mon petit oeillet entrouvert par ses doigts. Il poussa doucement, entra sans effractions en continuant à pousser jusqu’à la garde. Ma respiration coupée, je sentis ses énormes couilles de taureau archi pleines cogner contre moi et il entreprit de me pilonner copieusement de plus en plus vite.
Je ne contrôlais plus rien, je tremblais comme une feuille, je jouissais à la chaîne sans pouvoir retenir mes cris, j’étais devenue en quelques instants une très grosse chienne qui se faisait baiser dans des chiottes par un bel inconnu qui finissait par m’enculer copieusement alors que le pari était de lui sucer sa grosse queue dans des toilettes.
Après ma énième jouissance, il sortit de mon cul en me demandant de me sucer. Je m’exécutais telle une poupée en m’asseyant sur la lunette fermée à sucer cette queue XXL qui venait de m’éventrer. Elle sentait le sexe de nos sécrétions.
Suivant les conseils de Claire, je suçais du bout de la langue le frein de son gland et délicatement le reste avant de le mettre en bouche difficilement mais jusqu’au bout, il me butait la glotte et me dévastait la bouche mais mon Dieu que c’était bon! Je n’avais jamais sucé un homme et même être baisée en prenant un plaisir aussi intense. Je le fixais la queue dans ma bouche avec mon regard le plus salope qui disait que j’aimais ça et tout ce qu’il m’avait fait.
Je lui malaxais ses grosses couilles que je venais lui gober en le branlant quand je sentis qu’il allait venir. Un jet me gicla au visage et j’ouvrais la bouche pour recevoir le reste. Il déposa sa grosse queue sur ma langue et de très gros jets arrosèrent mon gosier. J’en avais partout. J’avalais pour la seconde fois de ma vie du sperme (la première fois, j’étais allée tout recracher dans un lavabo…) et je continuais à le sucer pour le nettoyer et n’en rien perdre.
Il rangea son engin encore de bonne taille dans son boxer qui moulait son service trois pièces, releva son pantalon. Je me rhabillais et étala le sperme qui était sur mon visage pour hydrater ma peau et en léchant mes doigts. Le temps de m’essuyer la chatte, il me dit tout bas qu’il allait sortir discrètement pour m’attendre dehors.
Je passa un doigt dans ma petite chatte qui était très dilatée et mon petit trou n’était plus un petit trou. Je n’avais pas mal, j’avais particulièrement pris mon pied et j’espérais bien remettre ça rapidement.
Je sortis des toilettes sans que personne ne nous ait pris en défaut, il m’agrippait par le col pour me prendre sauvagement la bouche.
- C’était génial !
- Oui…j’ai pris mon pied comme jamais! Tu m’as fait jouir un nombre de fois considérable..tu es un vrai salaud!! Avec la queue qui va avec!
- Et toi une très belle salope qui sait être chienne!!
C’était sans aucun doute un des plus grand compliment qu’on ait pu me faire.
- Allez, on va déjeuner!
Un Uber et direction chez Lipp boulevard Saint Germain en s’arrêtant peu avant déposer mon sac sur le boulevard qui commençait à devenir encombrant.
Apparement Albert avait ses habitudes dans la légendaire brasserie. Placés cotes à cotes, nous n’arrêtions pas de nous bécoter. Sa main était posée sur ma cuisse et une fois les entrées arrivées, sa main était passée dans mon string à me titiller le clito. Et ce sont des orgasmes étouffés que j’eus tout au long du repas. Avec la nappe longue blanche, personne ne voyait ce qu’il me faisait et je mourrais d’envie de le sucer sans pouvoir le faire. Même quand deux de ses amies s’arrêtèrent à notre table pour papoter en s’asseyant, il retira ses doigts qu’il porta à la bouche sans que personne apparement ne s’aperçoive de rien.
Il me présenta comme une amie intime ce qui m’étonna assez, qui était à Paris pour passer quelques jours avec lui. Hormis que c’était effectivement le cas, j’étais flattée.
À plus d’un titre, déjà parce qu’il m’estimait comme intime et face à de telles femmes qui semblaient si bien mises et tout à fait comme il faut comme on dit dans nos campagnes, je savais qu’elles m’enviaient, j’en ressentais comme du contentement.
Elles prirent congés pour s’installer à une table voisine. En attendant le dessert, je partais aux toilettes où je croisais une des deux femmes qui me demandait:
- Vous baisez?
- Euh..pardon?
- Vous êtes la maîtresse d’Albert ?
- Euh…en quoi ça vous regarde?
- Je ne voulais pas vous offusquer…en tout cas si vous êtes avec Arthur, vous risquez de faire des envieuses…
- Des envieuses?
- Oui car beaucoup aimeraient être à votre place!
- Vous vous trompez!
- Oui alors qu’il vous doigtait sous la table…en tout cas si vous êtes branchés plan à trois ou à plusieurs, pensez à moi!
- Oui c’est ça !
Je revenais à notre table et racontais l’anecdote à mon fabuleux amant qui en sourit de façon coquine, je savais que cela viendrait en son temps.
Il payait et nous remontions le boulevard Saint Germain pour aller chez lui. Il me proposa une tasse de thé et une douche que je pris volontiers avec lui. Mon string était trempé et prendre une douche me ferait du bien mais il allait encore me défoncer comme j’aimais.
Sous les jets d’eau, il me savonnait les seins en me prenant la bouche pendant que je branlais sa grosse queue. Il me souleva et m’empala sans autre forme de procès. Contre le mur, il me démontait toujours en m’embrassant. Je gueulais tout ce que je savais surtout quand il me branlait le petit trou. Je jouissais comme une folle et il me déposa au sol. Je me mis à genoux pour le sucer plus dignement que plus tôt dans les toilettes cette fois-ci comme je le voulais. L’eau dégoulinait sur moi, mes cuisses étaient écartées au sol où j’aurais aimé avoir mon gode ventouse pour me remplir. Il sortit sa queue de ma bouche pour me donner des coups sur le visage pendant que je lui gobais ses grosses couilles encore énormément pleines. Il se branlait et bientôt il laissa aller la sauce se jeter sur mon visage. Encore de très gros jets. Je me relevais en me nettoyant avec le sperme sur le visage et ce salaud bandait encore.
Il sortit avant moi de la douche et s’essuyait. Il bandait encore et en sortant à mon tour, à peine séchée, il m’emmena dans son lit me baiser comme une chienne en chaleur que j’étais en réalité.
Du coup comme je sentais qu’il en avait très envie, je me mis à quatre pattes sur le lit le cul offert et tendu, les fesses bien écartées pour qu’il vienne dans mon cul. Sans préliminaires aucunes, il positionna son gland sur mon oeillet et poussa au fond d’un coup ce qui me fit avoir un petit cri avant de lui sortir des « ah, oh, oui, encore, comme ça, défonce moi bien, encule moi ».
Il me saisit la tête par les cheveux et me pilonnait encore plus fort. Je sentis sa queue se contracter dans le fond de mon cul en se déversant de sperme. Il continuait à me pilonner plus doucement et puis il sortit, par les cheveux il me positionna pour que je nettoie sa grosse queue, ce que je faisais sans me faire prier .
- Tu es formidable !
- Et toi tu as une queue waoooo!! Je suis admirative! Et j’adore te sucer et la sentir bien au fond de moi! Jamais on ne m’avait baisé comme ça !
- Figure toi que tu me plais beaucoup ! On pourrait faire un bout de chemin ensemble…
- Oui ça me dirait bien si tu me baises comme ça et si tu es toujours gentil..
On s’est embrassé et endormi.
Ma copine Claire m’avait envoyé quelques messages pour me demander comment c’était, je lui ai dis génial, et que je n’arrêtais pas de jouir comme une vraie salope…on verrait ça mardi…
Je repris une douche et passa mon legging noir de sport qui me fait un cul d’enfer, mes baskets et direction un balade sur les quais.
Arrivés sous le Pont Neuf, on s’est assis dans un square où il m’a encore doigté pour mon plus grand plaisir sans parler de ses mains sur les fesses tout du long.
A la faveur de l’obscurité, je l’ai à nouveau sucé sur les quais de Seine et il m’a défoncer un petit coup vite fait.
Restaurant de couscous à Montparnasse, retour à pieds en amoureux, un petit cocktail avant de tenter à l’appartement, et au lit pour une nuit de baise intense où il allait m’écarteler une fois encore.
A ma grande surprise, il me dit avoir un cadeau pour moi: un gode en silicone moulé de sa queue en érection. Il en sortit deux au cas où mais il voulait me prendre en double mais uniquement avec lui dans les deux rôles.
Jamais je n’avais fait ça mais j’avais hâte qu’il me prenne en double, deux grosses queues en moi à l’identique.
Il sortit le tube de gel pour enduire le silicone en me l’enfonçant dans ma
Chatte déjà ruisselante car je commençais à être révélée fontaine. Puis presque à genoux, le gode dans le ventre, il m’encula. J’étais pleine de lui, totalement ouverte, je jouissais à répétition, je giclais de cyprine, un week-end mémorable.
Une grâce matinée par rapport à mes horaires de l’aube, Albert préparait le breakfast avec tout ce qu’il fallait attendu qu’il était descendu chez le boulanger chercher de la viennoiserie.
J’avais passé un de ses t-shirt qui me descendait sous les fesses. Je souhaitais faire un petit footing mais je ne connaissais pas assez bien Paris pour me lancer. Et mon bel Albert souhaitait reprendre des forces avant de me donner le compte du matin. Je dois avouer que je le voulais également, c’était tellement agréable de faire l’amour et de prendre son pied.
Le lundi matin, il m’accompagna à la Gare du Nord pour prendre le train dans l’après-midi. Mais avant ça, il m’avait gicler dans l’estomac, la chatte et les reins sans parler de toute la quantité impressionnante séchée sur le visage et les seins. J’adorais l’idée de partir ainsi souillée d’amour de lui…
Rendez-vous était prit le week-end d’après à Compiègne où Albert viendrait chez moi.
Je précise à tous ceux, femmes et hommes, qui oublient de s’entretenir sexuellement par l’abstinence qu’ils font là une très grave erreur.
Baiser est une activité saine, gratuite, qui nous rapproche de notre animalité. Bien sûr, il faut faire attention avec qui et pas n’importe comment mais il faut continuer à prendre son pied. Être une salope, une chienne, un salaud et un chien pilonneur sont loin d’être une mauvaise idée. Je vous encourage à baiser avec qui vous voudrez et être heureux!
Même si je sais que le temps ne se rattrape jamais, je profitais de mon temps perdu pour profiter de ces moments de sexe et de sentiments. Et ce n’était que le début.
La suite si vous trouvez le texte intéressant…
Catherine
Cette histoire débute il y a quelques années en arrière, juste avant le Covid. Elle perdure depuis..tout ce que j’ai écris est vrai et en deçà de la vérité.
Je me prénomme Catherine, 47 ans, médecin à Paris, une blonde très blonde aux cheveux nordiques fins qui blondit encore plus au soleil, yeux bleus et cheveux courts, divorcée, pas trop mal foutue aux seins fermes et au ventre plat, sportive et ancienne mal baisée.
J’ai été marié durant 20 ans où j’ai eu une fille adorable d’un mari transporteur que j’ai surpris avec sa secrétaire dans son bureau en plein ébats.
Nous nous sommes quittés de façon houleuse puis au fil du temps, pour notre fille, nous avons su être cool.
Je suis restée seule très longtemps en ayant quelques aventures ça et là sans aucune importance avec une sexualité en berne, sans illusions. Ma sexualité a toujours été très soft en réalité, très classique et toujours hétérosexuelle même si parler de sexe ne m’a jamais dérangé, le milieu médical est connu pour savoir évoquer tout de go le sexe et le reste…
Entre les gardes à l’hôpital puis le cabinet- à l’époque j’étais à Compiègne, je ne touchais pas le sol, ce qui m’arrangeait.
Une de mes meilleures amies de l’hôpital, la jolie Claire, infirmière divorcée comme moi en plus jeune, me racontait qu’elle s’était inscrite sur des sites de rencontres, POF, Adopteunmec.com, gratuit pour les dames et qu’elle rencontrait beaucoup de mecs avec lesquels elle s’en donnait à cœur joie.
Après un moment de réflexion, je me faisais un profil discret avec une seule photo qui ne me mettait pas spécialement en valeur mais qui ne m’enlaidissait pas non plus.
Et puis de semaines en semaines, je n’avais pas de messages quand j’en eus un d’un type bizarre puis quelques autres plutôt des petits jeunes cherchant une cougar.
Et au moment où j’allais abandonner en supprimant mon compte, un charmant monsieur brun barbu prénommé Albert, cependant pas du tout mon genre me contactait très aimablement. Les échanges étaient fluides, jamais une faute d’orthographe malgré le fait qu’il fut britannique.
Ne souhaitant ni l’un ni l’autre rester sur le site plus longtemps à échanger, nous passions très vite sur WhatsApp.
Tout aussi vite, il était question de se voir autour d’un repas au restaurant à Paris. Le train pour Paris le samedi d’après, métro et un quart d’heure d’avance, mon rendez-vous arrivait.
Ni beau ni laid, très gentleman Farmer vêtu de tweed, souriant à la barbe très bien taillée, nous déjeunions tranquillement face à face en nous racontant.
Le repas terminé, il se proposait a me raccompagner au métro. Une fois dehors, il me prit le bras et là, j’ai senti en moi comme une onde de chaleur incroyable jusqu’à en avoir des papillons dans le ventre et mouiller ma culotte. J’avais soudain envie des caresses de cet homme que je ne connaissais pas, de sentir ses mains sur moi.
Arrivés au Métro, c’est jusque sur le quai qu’il me raccompagna et au moment de nous quitter, j’avais une terrible envie de l’embrasser mais il me fit une accolade assez tendre tout contre moi à tel point que je sentis son érection contre moi ce qui eut pour résultat de me faire vraiment mouiller. Je montais à bord de la rame et il me regardait en souriant tout en lui rendant son sourire avec un signe de la main. J’avais vraiment envie de le revoir. Et je me sentais très mouillée à tel point que je ne voulais pas aller m’essuyer dans le train, j’appréciais cet état…
En arrivant chez moi, je recevais une série de messages de lui me disant qu’il s’était senti tout chose au moment de me quitter et qu’il aurait voulu m’embrasser. Je lui confirme la réciproque, me surprends à lui écrire que j’ai senti contre moi une bien excitante grosse érection qui m’a trempé.
Étonné apparemment, il me dit regretter de pas être resté avec moi et très vite nos textos se transforment en sextos pour la première fois quant à moi. Il me dit tellement de choses que je me caresse en même temps que lui qui me signifie bander, je lui demande une photo qu’il m’envoie et qui me pousse à vite aller dans mon frigo prendre une courgette pour jouer avec, pour enfin jouir le tout en ne cessant de mater cette splendide queue, très bien proportionnée et surtout tellement large qu’on pouvait la qualifier de XXL.
Une fois ayant pris congés l’un de l’autre, je décide que dorénavant, j’irai franco avec lui et prendrai mon pied!
Le lendemain, rebelote, sextos toute la journée où il me promet de me prendre partout et n’importe où. Il me met au défi que je lui fasse une fellation dans des toilettes publiques. Je relevais le défi pour le samedi suivant avec le gage que si j’y parvenais, ce sera à moi de choisir quelque chose de différent.
En attendant, il me fait presque rêver en me disant qu’il me lècherait, me prendrait, me sodomiserait alors que ça fait maintenant des lustres que rien de tout ça ne m’était pas arrivé!
Pour la sodomie, c’était arrivé une fois avec mon mari qui m’avait fait hyper mal et ce fut la dernière fois. Je n’avalais pas, bref je devais être un peu coincée sauf que là, je voulais totalement être décoincée, que je voulais tout ce cet homme! En attendant, je me commandais pour la toute première fois de ma vie des toys sur Amazon, du gode ventouse au double gode, du vibro au plug anal, la totale quoi!
Je m’endormais trempée et me réveillais encore plus trempée. Le dimanche matin, c’était footing et boulangerie avant d’aller déjeuner chez ma mère. Pour la première fois dans mon legging de sport qui me rendait sans doute plus attirante que d’habitude, même si j’admets qu’à l’époque, mes vêtements amples ne mettaient pas les formes de mon corps en valeur, en pensant à tout ça, ses sextos permanents, toutes perspectives me rendait humide.
Une douche sous laquelle je me caressais où je lisais ses rêves de me faire l’amour voire de me baiser. Il m’envoyait alors des petits films porno qui illustraient ses propos et qui bien évidemment m’excitaient énormément…
J’avais envie de devenir sa chienne, chienne que je n’avais jamais été pour personne, la salope qui devait sommeiller en moi qui ne s’était jamais révélée émergeait tout d’un coup. Et sa queue était tout ce qui m’excitait en plus du reste, son humour, sa culture et j’en passe.
Je profitais de mon dimanche pour appeler Claire et aller boire une tasse de thé en ville pour lui parler de mon rendez-vous.
Belle petite brune, elle s’habillait toujours sexy soft et on se retournait assez facilement sur son passage.
Elle me bombardait de questions et je lui racontais alors toute mon aventure.
- Woooooooo!!! Quelle splendide queue! commentait-elle..j’espère que tu ne vas pas passer à côté de ça?!
- Non justement! J’ai pris la décision de laisser aller et de vivre pleinement mes fantasmes.
- Oui, fais sortir la belle petite salope qui vit en toi!!
- Il y a trop longtemps que je suis en jachère lui répondis je en riant.
- Samedi, laisse toi aller avec ce mec qui a l’air très sympa et surtout super bien monté. S’il sait s’en servir, tu devrais passer des moments inoubliables. Tu sais que je te connais depuis très longtemps et je sais surtout que tu es super bien foutue mais qui ne se met jamais en valeur. Vas chez l’esthéticienne te refaire une beauté, épilation et tout le tintouin, fais toi même quelques séances de bronzage intégral et après ça, je t’assure que samedi tu vas prendre cher !
- J’ai bien l’intention d’en profiter et de m’amuser!
- De toute façon, tu n’es pas amoureuse alors…
- Non pas amoureuse mais même s’il n’est pas du tout mon genre de mec, il m’attire et me fascine..et quelle queue!!! Ça m’a fait immédiatement mouiller!!
- Et pour lui faire une gâterie dans les toilettes, ça ne te gêne pas ?
- Pas du tout! C’est un défi et je l’ai relevé!!
- Tu sais, il faut en profiter! C’est ce que je fais tout le temps! Et je ne raconte pas ce que j’ai fait hier soir et il y a encore quelques heures, j’ai pris mon compte mais je n’en ai jamais assez parfois…
- Tu es vraiment une salope toi !
- Oui je le revendique mais toi tu es une très belle salope qui va devenir une très bonne salope!
- Tu vas rire mais j’ai envie de me sentir chienne tu vois!?
- Je suis certaine que tu feras ça très bien! Il te faut bien sucer cette belle queue déjà, commencer par passer des petits coups de la pointe de la langue sur le gland et plus particulièrement sur le frein tu vois!?
- Il y a longtemps que je n’en ai pas sucé!
- Combien de temps ?
- Hum..plus de trois ans..
- Waooo!! Moi je ne pourrais pas ! J’en suce beaucoup de différentes tu le sais!
- Oui je sais que tu es une grosse chienne Claire !
- Et toi tu vas le devenir bien plus que moi, garanti! En tout cas, si un jour tu veux le partager ou faire un truc à trois, appelle moi de suite ! Une queue comme ça mérite le respect !
- Un truc à trois???? Je suis loin de ça tu le sais!
- Vois ton mec, suce le, fais toi cabosser bien comme il faut et tu me racontes tout…en tout cas ta photo me fait mouiller…et vas t’acheter des toys pour t’entraîner..et essaie de me faire des photos, une vidéo…
- Mais figure toi que j’en ai commandé sur Amazon!
- Fais voir!
- Celui là je l’ai et celui là aussi! Le plug tu l’as pris XL? XXL?
- XXL..
- Mmmmmm ça donne envie..quand je vais rentrer, comme je n’ai pas les enfants, je vais me régaler…
Nous avons continué à discuter en riant quant à l’issu de mon histoire.
Le mardi suivant, je passais chez l’esthéticienne qui avait pour habitude de me faire le maillot mais cette fois-ci, je voulais un micro ticket de métro très ras comme cet Albert semblait apprécier.
Je souligne au passage la dictature de l’épilation toujours pressante, et même si je pense personnellement que la touffe amazonienne, mis à part pour ceux qui aiment l’authentique, je pense que le débroussaillage est nécessaire. Reste à chacun le soin d’apprécier! Mais des lèvres bien lisses semblaient plus particulièrement avides à la dégustation me semble-t-il..
Je me rachetais un jean’s taille basse et quelques strings de sport très fins, des top aussi pour avoir le choix samedi. En tenue de sport, je me trouvais presque canon…
Alors que monsieur Amazon avait fait son œuvre, je testais le matériel. Le gode ventouse avait ma préférence que je collais sur les parois de ma douche, le double gode était super, le vibro aspirateur de clitoris tout simplement génial et le plug lui me faisait peur. J’hésitais même à tenter la double pénétration même avec du gel alors que j’allais probablement y passer samedi. Ça m’étonnerait bien qu’il ne veuille pas balader sa belle queue un peu partout cet Albert.
Après quelques essais, j’avais réussi à me desserrer un peu mais rien ne vaut un vrai sexe en soi, la queue de mon Albert.
Samedi matin, en me levant, un lavement anal me semblait important car j’allais y passer, je le savais!
Alors je démontais le jet d’eau au bout du pommeau pour m’entrer le jet d’eau dans l’anus. Après cette petite toilette nécessaire, je me glissais un peu de gel dans le conduit anal avec un doigt.
Je prenais le train de Compiègne à Paris avec un petit sac au cas où je resterai les nuits du week-end. J’avais passé mon nouveau jean’s taille basse assez moulant, un mini string bleu ciel assortit à ma brassière top sous une chemise blanche ouverte et des bottes beiges assorties à mon rain-coat. Je me sentais bien comme ça, c’est sûr pas la grande classe mais j’étais bien dans ma peau, dans mon string aussi.
Durant le trajet, j’allais aux toilettes deux fois me caresser, je n’en pouvais plus d’attendre..
Rendez-vous pour commencer à prendre un verre au bar d’un grand hôtel de la Porte Maillot, j’arrivais et voyais déjà Albert qui se leva à mon approche. Il m’embrassa et j’ouvris instinctivement la bouche pour laisser passer sa langue qui s’enroulait autour de la mienne. Il me plaquait contre lui en me tenant par les hanches sur mon rain-coat. Je sentais sa queue bandante contre moi et j’avoue que ça m’excitait beaucoup.
Il me demandait si je voulais boire quelque chose mais non la seule chose que je voulais boire, c’était son sperme. Je lui dis et en fait, j’avais l’impression qu’il en fut choqué ce qui me plaisait assez. Je voulais sa queue dans ma bouche tout de suite.
Nous sommes montés ensemble main dans la main par les escaliers jusqu’aux toilettes des dames. Il n’y avait personne. On est donc entré avec l’assurance que les toilettes seraient plus propres.
A peine la porte fermée, il me prit dans ses bras et nous nous sommes encore embrassés. Très vite, ses mains étaient sur ma peau sous ma chemise et moi également sur la sienne. Ses mains descendaient lentement dans mon jean’s devant et derrière. Ses doigts se promenaient dans mon string et sur mes fesses. Je dégrafais mon pantalon pour être plus à l’aise alors qu’il me titillait le clito, puis enfonçait deux de ses doigts dans ma chatte trempée pendant qu’il me caressait les fesses. Justement, cette main là glissait deux doigts sur mon anus également trempé en les enfonçant doucement. Deux doigts crochetés se trouvaient dans mes deux orifices et je ne l’avais même pas encore sucé. Je caressais sa queue à même son pantalon qui tomba peu après pour passer à des caresses sur son boxer.
Ses quatre doigts en moi me faisaient littéralement perdre mes moyens, le rythme de ma respiration avait changé, j’étais au bord de l’orgasme. Il baissa d’un geste mon pantalon et mon string pour mieux continuer son ouvrage. Je commençais à couler de mouille comme jamais cela ne m’était arrivé. Après mon premier orgasme après seulement quelques minutes, il ne me laissait aucun répit. Je n’avais même pas la peau de sa queue sous mes doigts tellement j’étais accaparé par ses caresses expertes. Au second orgasme, je ne savais même pas s’il ne m’avait pas fait jouir en anal. Ses doigts étaient redoutables, ce mec était un expert doublé d’un beau salaud. J’adorai…j’adorai devenir sa chose, sa poupée sexuelle..je me retrouvais totalement soumise alors que ça ne m’était jamais arrivé.
Je sentais derrière moi qu’il avait sorti sa grosse queue, il avait retiré tous ses doigts de moi, me prit la bouche un instant pour m’incliner contre les toilettes et posa son énorme gland sur mes lèvres trempées. Je me laissais totalement faire en écartant même les jambes pour lui permettre de mieux entrer. Il ne tarda pas à s’enfoncer doucement. Sa queue était beaucoup plus large que mes godes et mes doigts mais autant j’étais encore serrée, autant c’était si bon de sentir en moi cette grosse queue.
Il commençait à aller venir et je me cambrais de plus en plus tellement c’était du bonheur. J’étais déjà à moitié nue, il avait relevé ma brassière ce qui me permit de me caresser les seins et plus particulièrement me pincer les tétons. Il sentit mon manège en prenant le téton disponible en me l’écrasant ce qui me fit sortir un cri entre mes gémissements étouffés, il avait trouvé une de mes failles, j’aimais me faire pincer très fort les tétons. Puis ses doigts passèrent de mon petit trou à ma bouche entre deux pincements quand au moment où mon troisième orgasme me terrassait, il sortit de mon ventre pour positionner le gland fatal sur mon petit oeillet entrouvert par ses doigts. Il poussa doucement, entra sans effractions en continuant à pousser jusqu’à la garde. Ma respiration coupée, je sentis ses énormes couilles de taureau archi pleines cogner contre moi et il entreprit de me pilonner copieusement de plus en plus vite.
Je ne contrôlais plus rien, je tremblais comme une feuille, je jouissais à la chaîne sans pouvoir retenir mes cris, j’étais devenue en quelques instants une très grosse chienne qui se faisait baiser dans des chiottes par un bel inconnu qui finissait par m’enculer copieusement alors que le pari était de lui sucer sa grosse queue dans des toilettes.
Après ma énième jouissance, il sortit de mon cul en me demandant de me sucer. Je m’exécutais telle une poupée en m’asseyant sur la lunette fermée à sucer cette queue XXL qui venait de m’éventrer. Elle sentait le sexe de nos sécrétions.
Suivant les conseils de Claire, je suçais du bout de la langue le frein de son gland et délicatement le reste avant de le mettre en bouche difficilement mais jusqu’au bout, il me butait la glotte et me dévastait la bouche mais mon Dieu que c’était bon! Je n’avais jamais sucé un homme et même être baisée en prenant un plaisir aussi intense. Je le fixais la queue dans ma bouche avec mon regard le plus salope qui disait que j’aimais ça et tout ce qu’il m’avait fait.
Je lui malaxais ses grosses couilles que je venais lui gober en le branlant quand je sentis qu’il allait venir. Un jet me gicla au visage et j’ouvrais la bouche pour recevoir le reste. Il déposa sa grosse queue sur ma langue et de très gros jets arrosèrent mon gosier. J’en avais partout. J’avalais pour la seconde fois de ma vie du sperme (la première fois, j’étais allée tout recracher dans un lavabo…) et je continuais à le sucer pour le nettoyer et n’en rien perdre.
Il rangea son engin encore de bonne taille dans son boxer qui moulait son service trois pièces, releva son pantalon. Je me rhabillais et étala le sperme qui était sur mon visage pour hydrater ma peau et en léchant mes doigts. Le temps de m’essuyer la chatte, il me dit tout bas qu’il allait sortir discrètement pour m’attendre dehors.
Je passa un doigt dans ma petite chatte qui était très dilatée et mon petit trou n’était plus un petit trou. Je n’avais pas mal, j’avais particulièrement pris mon pied et j’espérais bien remettre ça rapidement.
Je sortis des toilettes sans que personne ne nous ait pris en défaut, il m’agrippait par le col pour me prendre sauvagement la bouche.
- C’était génial !
- Oui…j’ai pris mon pied comme jamais! Tu m’as fait jouir un nombre de fois considérable..tu es un vrai salaud!! Avec la queue qui va avec!
- Et toi une très belle salope qui sait être chienne!!
C’était sans aucun doute un des plus grand compliment qu’on ait pu me faire.
- Allez, on va déjeuner!
Un Uber et direction chez Lipp boulevard Saint Germain en s’arrêtant peu avant déposer mon sac sur le boulevard qui commençait à devenir encombrant.
Apparement Albert avait ses habitudes dans la légendaire brasserie. Placés cotes à cotes, nous n’arrêtions pas de nous bécoter. Sa main était posée sur ma cuisse et une fois les entrées arrivées, sa main était passée dans mon string à me titiller le clito. Et ce sont des orgasmes étouffés que j’eus tout au long du repas. Avec la nappe longue blanche, personne ne voyait ce qu’il me faisait et je mourrais d’envie de le sucer sans pouvoir le faire. Même quand deux de ses amies s’arrêtèrent à notre table pour papoter en s’asseyant, il retira ses doigts qu’il porta à la bouche sans que personne apparement ne s’aperçoive de rien.
Il me présenta comme une amie intime ce qui m’étonna assez, qui était à Paris pour passer quelques jours avec lui. Hormis que c’était effectivement le cas, j’étais flattée.
À plus d’un titre, déjà parce qu’il m’estimait comme intime et face à de telles femmes qui semblaient si bien mises et tout à fait comme il faut comme on dit dans nos campagnes, je savais qu’elles m’enviaient, j’en ressentais comme du contentement.
Elles prirent congés pour s’installer à une table voisine. En attendant le dessert, je partais aux toilettes où je croisais une des deux femmes qui me demandait:
- Vous baisez?
- Euh..pardon?
- Vous êtes la maîtresse d’Albert ?
- Euh…en quoi ça vous regarde?
- Je ne voulais pas vous offusquer…en tout cas si vous êtes avec Arthur, vous risquez de faire des envieuses…
- Des envieuses?
- Oui car beaucoup aimeraient être à votre place!
- Vous vous trompez!
- Oui alors qu’il vous doigtait sous la table…en tout cas si vous êtes branchés plan à trois ou à plusieurs, pensez à moi!
- Oui c’est ça !
Je revenais à notre table et racontais l’anecdote à mon fabuleux amant qui en sourit de façon coquine, je savais que cela viendrait en son temps.
Il payait et nous remontions le boulevard Saint Germain pour aller chez lui. Il me proposa une tasse de thé et une douche que je pris volontiers avec lui. Mon string était trempé et prendre une douche me ferait du bien mais il allait encore me défoncer comme j’aimais.
Sous les jets d’eau, il me savonnait les seins en me prenant la bouche pendant que je branlais sa grosse queue. Il me souleva et m’empala sans autre forme de procès. Contre le mur, il me démontait toujours en m’embrassant. Je gueulais tout ce que je savais surtout quand il me branlait le petit trou. Je jouissais comme une folle et il me déposa au sol. Je me mis à genoux pour le sucer plus dignement que plus tôt dans les toilettes cette fois-ci comme je le voulais. L’eau dégoulinait sur moi, mes cuisses étaient écartées au sol où j’aurais aimé avoir mon gode ventouse pour me remplir. Il sortit sa queue de ma bouche pour me donner des coups sur le visage pendant que je lui gobais ses grosses couilles encore énormément pleines. Il se branlait et bientôt il laissa aller la sauce se jeter sur mon visage. Encore de très gros jets. Je me relevais en me nettoyant avec le sperme sur le visage et ce salaud bandait encore.
Il sortit avant moi de la douche et s’essuyait. Il bandait encore et en sortant à mon tour, à peine séchée, il m’emmena dans son lit me baiser comme une chienne en chaleur que j’étais en réalité.
Du coup comme je sentais qu’il en avait très envie, je me mis à quatre pattes sur le lit le cul offert et tendu, les fesses bien écartées pour qu’il vienne dans mon cul. Sans préliminaires aucunes, il positionna son gland sur mon oeillet et poussa au fond d’un coup ce qui me fit avoir un petit cri avant de lui sortir des « ah, oh, oui, encore, comme ça, défonce moi bien, encule moi ».
Il me saisit la tête par les cheveux et me pilonnait encore plus fort. Je sentis sa queue se contracter dans le fond de mon cul en se déversant de sperme. Il continuait à me pilonner plus doucement et puis il sortit, par les cheveux il me positionna pour que je nettoie sa grosse queue, ce que je faisais sans me faire prier .
- Tu es formidable !
- Et toi tu as une queue waoooo!! Je suis admirative! Et j’adore te sucer et la sentir bien au fond de moi! Jamais on ne m’avait baisé comme ça !
- Figure toi que tu me plais beaucoup ! On pourrait faire un bout de chemin ensemble…
- Oui ça me dirait bien si tu me baises comme ça et si tu es toujours gentil..
On s’est embrassé et endormi.
Ma copine Claire m’avait envoyé quelques messages pour me demander comment c’était, je lui ai dis génial, et que je n’arrêtais pas de jouir comme une vraie salope…on verrait ça mardi…
Je repris une douche et passa mon legging noir de sport qui me fait un cul d’enfer, mes baskets et direction un balade sur les quais.
Arrivés sous le Pont Neuf, on s’est assis dans un square où il m’a encore doigté pour mon plus grand plaisir sans parler de ses mains sur les fesses tout du long.
A la faveur de l’obscurité, je l’ai à nouveau sucé sur les quais de Seine et il m’a défoncer un petit coup vite fait.
Restaurant de couscous à Montparnasse, retour à pieds en amoureux, un petit cocktail avant de tenter à l’appartement, et au lit pour une nuit de baise intense où il allait m’écarteler une fois encore.
A ma grande surprise, il me dit avoir un cadeau pour moi: un gode en silicone moulé de sa queue en érection. Il en sortit deux au cas où mais il voulait me prendre en double mais uniquement avec lui dans les deux rôles.
Jamais je n’avais fait ça mais j’avais hâte qu’il me prenne en double, deux grosses queues en moi à l’identique.
Il sortit le tube de gel pour enduire le silicone en me l’enfonçant dans ma
Chatte déjà ruisselante car je commençais à être révélée fontaine. Puis presque à genoux, le gode dans le ventre, il m’encula. J’étais pleine de lui, totalement ouverte, je jouissais à répétition, je giclais de cyprine, un week-end mémorable.
Une grâce matinée par rapport à mes horaires de l’aube, Albert préparait le breakfast avec tout ce qu’il fallait attendu qu’il était descendu chez le boulanger chercher de la viennoiserie.
J’avais passé un de ses t-shirt qui me descendait sous les fesses. Je souhaitais faire un petit footing mais je ne connaissais pas assez bien Paris pour me lancer. Et mon bel Albert souhaitait reprendre des forces avant de me donner le compte du matin. Je dois avouer que je le voulais également, c’était tellement agréable de faire l’amour et de prendre son pied.
Le lundi matin, il m’accompagna à la Gare du Nord pour prendre le train dans l’après-midi. Mais avant ça, il m’avait gicler dans l’estomac, la chatte et les reins sans parler de toute la quantité impressionnante séchée sur le visage et les seins. J’adorais l’idée de partir ainsi souillée d’amour de lui…
Rendez-vous était prit le week-end d’après à Compiègne où Albert viendrait chez moi.
Je précise à tous ceux, femmes et hommes, qui oublient de s’entretenir sexuellement par l’abstinence qu’ils font là une très grave erreur.
Baiser est une activité saine, gratuite, qui nous rapproche de notre animalité. Bien sûr, il faut faire attention avec qui et pas n’importe comment mais il faut continuer à prendre son pied. Être une salope, une chienne, un salaud et un chien pilonneur sont loin d’être une mauvaise idée. Je vous encourage à baiser avec qui vous voudrez et être heureux!
Même si je sais que le temps ne se rattrape jamais, je profitais de mon temps perdu pour profiter de ces moments de sexe et de sentiments. Et ce n’était que le début.
La suite si vous trouvez le texte intéressant…
Catherine
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Intéressant, bien sûr
Bien écrit, assurément
Envie d'une suite? C'est évident!
Mais est-ce bien raisonnable pour un médecin d'avoir des relations sans protection avec un inconnu???
Bien écrit, assurément
Envie d'une suite? C'est évident!
Mais est-ce bien raisonnable pour un médecin d'avoir des relations sans protection avec un inconnu???
Excellent...la suite!
Intéressant ? Oui
Excitant ? Oui oui oui
Bandant ? Oui oui oui oui
Excitant ? Oui oui oui
Bandant ? Oui oui oui oui