La salle d'attente
Récit érotique écrit par Alone [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La salle d'attente
En rentrant du travail le jeudi soir d’hiver, je rate le trottoir et me tord la
cheville. Pouvant à peine poser le pied, je prends rendez-vous chez mon médecin.
Le lendemain, j’arrive dans la salle d’attente vers 11h30, deux autres personnes sont
là. A gauche, Une grand-mère plongée dans ses mots fléchées ou croisées et à droite un
vieux papi qui tousse et tient à peine debout. Je m’assois en face de la porte. Je
prends mon sac à dos sors mon portable et feuillette, les pages d’actu. Une voix
féminine nous salue, je lève la tête et tombe sur une femme avec un ravissant visage
un chemisier blanc qui laisse apparaître des dessous en dentelle et à cause du froid
ou grâce au froid, les tétons qui pointent, une taille fine et une paire de fesses
généreuses serrées par un juppe moulante noire. Elle transporte une petite valisette
avec un ordi portable au dessus. Voyant que je reste un peu scotché sur sa poitrine,
elle me décroche un beau sourire et vient s’asseoir deux sièges à ma gauche. Je
replonge dans mes lectures, ma voisine allume son portable… Quelques minutes plus
tard, je l’entends râler je lève la tête et la regarde. Elle me demande qi je m’y
connais en connexion 3G. J’ai à peine le temps de lui répondre qu’elle se place sur le
siège à côté du mien. En s’asseyant elle se penche et je constate que son chemisier
est dégrafé par rapport à son entrée dans la salle, je ne peux qu’admirer son soutien-
gorge et ses auréoles qui ne sont pas cachés par la dentelle. La réaction dans mon
pantalon ne se fait pas attendre. Elle pose son portable sur mes genoux et pendant que
je tente de lui expliquer je sens son regard sur la bosse de mon pantalon. J’ai du mal
à me concentrer, je lui demande de taper son code. Pendant que sa main gauche tape le
code sa main droite glisse du pad à mon pantalon. Elle commence à me caresser par-
dessus le jean. Je lève la tête pour m’assurer que les deux autres patients n’aient
rien remarqué. Le vieux est tellement mal qu’il ferme les yeux et la vieille toujours
plongée dans son jeu. On entend la porte du cabinet s’ouvrir, l’un des deux médecins
apparaitre et appeler le pépé, il a du mal à se redresser et ma voisine se lève et
l’accompagne jusqu’à l’entrée. La porte se referme ma voisine ne revient pas tout de
suite, moi j’essaie de retrouver mes esprits. Puis elle réapparait et là ; le
chemisier est davantage dégrafé et surtout je ne vois plus le soutif, je bande de plus
belle, elle se rassoit fait semblant de me questionner et en profite pour descendre ma
braguette. Moi, j’aperçois cette poitrine généreuse et ses tétons dressés. Elle me
saisit la bite en la sortant délicatement de mon boxer et commence à me masturber. Je
regarde la cruciverbiste et la voyant toujours autant concentré je mets ma main gauche
dans le chemiser et lui titille le téton. Ce qui suit me semble improbable la tête de
ma voisine disparait derrière l’écran et m’aspire littéralement la bite j’ai jamais
ressenti une aspiration pareille. Jamais une personne ne m’a pompé de la sorte et
c’est tellement bon que je sens venir la jouissance je le lui chuchote à l’oreille ne
voulant pas la surprendre mais une fois de plus, c’est elle qui me surprend en me
suçant de plus belle. J’éjacule dans sa bouche, elle garde ma bite jusqu’au dernier
jet, se redresse ouvre légèrement ses lèvres pour laisser voir ma semence et avale mon
jus chaud. Juste un léger filet coule à la commissure de ses lèvres. Elle l’essuie du
revers de son doigt l’étale sur ses lèvres et m’embrasse pour que je sente et goute
mon propre sperme. La vieille semble ne rien avoir vu. Elle se relève se mets face à
moi et fait semblant de me poser une nouvelle question sur son PC en se penchant pour
me laisser voir ses seins. Elle me chuchote à l’oreille de bien s’en occuper tout en
écartant son chemisier. Elle reste devant moi debout et me met les deux mains sur ses
seins. Je les caresse, lui titille les tétons, les lui lèche sans que la vieille ne
semble voir notre manège. La porte du cabinet s’ouvre de nouveau ma voisine agrafe
juste un bouton se remet à mes côtés bien droite pour tendre le chemisier. Mon médecin
apparait appelle la vieille en parlant fort. Elle sort de son jeu. Mon médecin
m’adresse la parole en m’indiquant que ça risque d’être un peu long mais qu’il compte
sur Véronique pour s’occuper de moi. Et il ne pense pas si bien dire …
A peine la porte fermée, elle referme le portable, ouvre son chemisier dégrafe le
bouton de son pantalon saisit mon sexe encore collant et elle sort de sa valise une
huile lubrifiant la met entre ses seins puis m’avance sur mon siège et happe ma bite
qui disparait au cœur de cette poitrine si généreuse. Je l’embrasse à pleine bouche
lui caresse les cheveux et profite de ce plaisir immense. Je sens que je vais de
nouveau jouir et je lui jute sur la poitrine. Véronique se redresse, soulève sa jupe.
Non seulement elle avait retiré son soutif mais aussi sa culotte. Elle me plonge la
tête dans son minou moite, et me dit que c’est à mon tour de lui faire plaisir. Je la
lèche lui aspire le clitoris. Elle me demande de lui étaler mon foutre sur les seins
pendant que je la lèche. Mes deux mains se saisissent de sa poitrine et, tout en
continuant mes léchouilleries je lui malaxe les seins avec mon sperme. Elle prend une
de mes mains et la lèche. Je sens monter en elle la jouissance je lui aspire le
clitoris en continuant de lui caresser sa poitrine démente elle m’appuie la tête un
peu plus fort sur son pubis, gémit et me dit que je la fais jouir et qu’elle adore ma
la langue.
Elle se redresse et me dit : « maintenant fais moi jouir avec ta bite ». Elle saisit
un préservatif dans sa valisette me le mets avec la bouche, se retourne soulève de
nouveau sa jupe et vient s’empaler sur moi, elle a de bonnes fesses mais elles sont
fermes et ses cuisses musclée elle se penche en avant et fait des va et vient, ma bite
est littéralement aspirée par sa chatte. Toujours à la limite de sortir de son sexe
mais à chaque fois elle vient se planter jusqu’à la garde. Puis elle se penche sur moi
et me demande de lui saisir sa poitrine fermement, je m’exécute. A cet instant,
j’imagine le spectacle qui attendrait un nouveau patient s’il entrait dans la salle.
Moi le pantalon baissé jusqu’au genou et Véronique les seins poisseux à l’air, empalée
et votrée sur moi, cette imagine augmente encore mon excitation, Ma partenaire me
demande de continuer encore plus fort mes caresses, qu’elle va bientôt jouir puis
elle se met à onduler son bassin et à serrer son vagin. Cette combinaison est gagnante
car nous jouissons ensemble une fois de plus. Véronique se redresse prend le
préservatif, le vide sur ses mamelon l’étale et me demande de les lui lécher. Pris
par l’excitation je lèche mon sperme en même temps que je lui lèche les tétons. Elle
me saisit le membre qui est lui aussi plein de foutre et elle commence à me masturber.
Petit à petit je bande de nouveau, elle accélère le mouvement pendant que lui suce les
bouts. Je sens la sève montée et je jouis sur ses doigts. Véronique se les lèche et
m’embrasse à pleine bouche. Puis elle prend des lingettes dans sa valisette me
nettoie, se frotte les seins juste devant mon visage sort son soutif le remet et se
rassoit à côté de moi. Elle me dit qu’elle a vraiment pris son pied je la félicite
pour ses multiples qualités. Puis nous entendons les deux portes des cabinets
s’ouvrir. C’est mon tour !!!
cheville. Pouvant à peine poser le pied, je prends rendez-vous chez mon médecin.
Le lendemain, j’arrive dans la salle d’attente vers 11h30, deux autres personnes sont
là. A gauche, Une grand-mère plongée dans ses mots fléchées ou croisées et à droite un
vieux papi qui tousse et tient à peine debout. Je m’assois en face de la porte. Je
prends mon sac à dos sors mon portable et feuillette, les pages d’actu. Une voix
féminine nous salue, je lève la tête et tombe sur une femme avec un ravissant visage
un chemisier blanc qui laisse apparaître des dessous en dentelle et à cause du froid
ou grâce au froid, les tétons qui pointent, une taille fine et une paire de fesses
généreuses serrées par un juppe moulante noire. Elle transporte une petite valisette
avec un ordi portable au dessus. Voyant que je reste un peu scotché sur sa poitrine,
elle me décroche un beau sourire et vient s’asseoir deux sièges à ma gauche. Je
replonge dans mes lectures, ma voisine allume son portable… Quelques minutes plus
tard, je l’entends râler je lève la tête et la regarde. Elle me demande qi je m’y
connais en connexion 3G. J’ai à peine le temps de lui répondre qu’elle se place sur le
siège à côté du mien. En s’asseyant elle se penche et je constate que son chemisier
est dégrafé par rapport à son entrée dans la salle, je ne peux qu’admirer son soutien-
gorge et ses auréoles qui ne sont pas cachés par la dentelle. La réaction dans mon
pantalon ne se fait pas attendre. Elle pose son portable sur mes genoux et pendant que
je tente de lui expliquer je sens son regard sur la bosse de mon pantalon. J’ai du mal
à me concentrer, je lui demande de taper son code. Pendant que sa main gauche tape le
code sa main droite glisse du pad à mon pantalon. Elle commence à me caresser par-
dessus le jean. Je lève la tête pour m’assurer que les deux autres patients n’aient
rien remarqué. Le vieux est tellement mal qu’il ferme les yeux et la vieille toujours
plongée dans son jeu. On entend la porte du cabinet s’ouvrir, l’un des deux médecins
apparaitre et appeler le pépé, il a du mal à se redresser et ma voisine se lève et
l’accompagne jusqu’à l’entrée. La porte se referme ma voisine ne revient pas tout de
suite, moi j’essaie de retrouver mes esprits. Puis elle réapparait et là ; le
chemisier est davantage dégrafé et surtout je ne vois plus le soutif, je bande de plus
belle, elle se rassoit fait semblant de me questionner et en profite pour descendre ma
braguette. Moi, j’aperçois cette poitrine généreuse et ses tétons dressés. Elle me
saisit la bite en la sortant délicatement de mon boxer et commence à me masturber. Je
regarde la cruciverbiste et la voyant toujours autant concentré je mets ma main gauche
dans le chemiser et lui titille le téton. Ce qui suit me semble improbable la tête de
ma voisine disparait derrière l’écran et m’aspire littéralement la bite j’ai jamais
ressenti une aspiration pareille. Jamais une personne ne m’a pompé de la sorte et
c’est tellement bon que je sens venir la jouissance je le lui chuchote à l’oreille ne
voulant pas la surprendre mais une fois de plus, c’est elle qui me surprend en me
suçant de plus belle. J’éjacule dans sa bouche, elle garde ma bite jusqu’au dernier
jet, se redresse ouvre légèrement ses lèvres pour laisser voir ma semence et avale mon
jus chaud. Juste un léger filet coule à la commissure de ses lèvres. Elle l’essuie du
revers de son doigt l’étale sur ses lèvres et m’embrasse pour que je sente et goute
mon propre sperme. La vieille semble ne rien avoir vu. Elle se relève se mets face à
moi et fait semblant de me poser une nouvelle question sur son PC en se penchant pour
me laisser voir ses seins. Elle me chuchote à l’oreille de bien s’en occuper tout en
écartant son chemisier. Elle reste devant moi debout et me met les deux mains sur ses
seins. Je les caresse, lui titille les tétons, les lui lèche sans que la vieille ne
semble voir notre manège. La porte du cabinet s’ouvre de nouveau ma voisine agrafe
juste un bouton se remet à mes côtés bien droite pour tendre le chemisier. Mon médecin
apparait appelle la vieille en parlant fort. Elle sort de son jeu. Mon médecin
m’adresse la parole en m’indiquant que ça risque d’être un peu long mais qu’il compte
sur Véronique pour s’occuper de moi. Et il ne pense pas si bien dire …
A peine la porte fermée, elle referme le portable, ouvre son chemisier dégrafe le
bouton de son pantalon saisit mon sexe encore collant et elle sort de sa valise une
huile lubrifiant la met entre ses seins puis m’avance sur mon siège et happe ma bite
qui disparait au cœur de cette poitrine si généreuse. Je l’embrasse à pleine bouche
lui caresse les cheveux et profite de ce plaisir immense. Je sens que je vais de
nouveau jouir et je lui jute sur la poitrine. Véronique se redresse, soulève sa jupe.
Non seulement elle avait retiré son soutif mais aussi sa culotte. Elle me plonge la
tête dans son minou moite, et me dit que c’est à mon tour de lui faire plaisir. Je la
lèche lui aspire le clitoris. Elle me demande de lui étaler mon foutre sur les seins
pendant que je la lèche. Mes deux mains se saisissent de sa poitrine et, tout en
continuant mes léchouilleries je lui malaxe les seins avec mon sperme. Elle prend une
de mes mains et la lèche. Je sens monter en elle la jouissance je lui aspire le
clitoris en continuant de lui caresser sa poitrine démente elle m’appuie la tête un
peu plus fort sur son pubis, gémit et me dit que je la fais jouir et qu’elle adore ma
la langue.
Elle se redresse et me dit : « maintenant fais moi jouir avec ta bite ». Elle saisit
un préservatif dans sa valisette me le mets avec la bouche, se retourne soulève de
nouveau sa jupe et vient s’empaler sur moi, elle a de bonnes fesses mais elles sont
fermes et ses cuisses musclée elle se penche en avant et fait des va et vient, ma bite
est littéralement aspirée par sa chatte. Toujours à la limite de sortir de son sexe
mais à chaque fois elle vient se planter jusqu’à la garde. Puis elle se penche sur moi
et me demande de lui saisir sa poitrine fermement, je m’exécute. A cet instant,
j’imagine le spectacle qui attendrait un nouveau patient s’il entrait dans la salle.
Moi le pantalon baissé jusqu’au genou et Véronique les seins poisseux à l’air, empalée
et votrée sur moi, cette imagine augmente encore mon excitation, Ma partenaire me
demande de continuer encore plus fort mes caresses, qu’elle va bientôt jouir puis
elle se met à onduler son bassin et à serrer son vagin. Cette combinaison est gagnante
car nous jouissons ensemble une fois de plus. Véronique se redresse prend le
préservatif, le vide sur ses mamelon l’étale et me demande de les lui lécher. Pris
par l’excitation je lèche mon sperme en même temps que je lui lèche les tétons. Elle
me saisit le membre qui est lui aussi plein de foutre et elle commence à me masturber.
Petit à petit je bande de nouveau, elle accélère le mouvement pendant que lui suce les
bouts. Je sens la sève montée et je jouis sur ses doigts. Véronique se les lèche et
m’embrasse à pleine bouche. Puis elle prend des lingettes dans sa valisette me
nettoie, se frotte les seins juste devant mon visage sort son soutif le remet et se
rassoit à côté de moi. Elle me dit qu’elle a vraiment pris son pied je la félicite
pour ses multiples qualités. Puis nous entendons les deux portes des cabinets
s’ouvrir. C’est mon tour !!!
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