Un shampoing… aux œufs !!!
Récit érotique écrit par Alone [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Un shampoing… aux œufs !!!
Le matin, je me lève, je me prépare et je m’évertue à me coiffer. Mais rien à faire avec de l’eau, du gel et même si je n’ai pas les cheveux longs, j’ai le casque… Le midi, je profite de ma pause pour me rendre chez le coiffeur à côté de mon boulot. La patronne me dit que pour aujourd’hui c’est mort. Je fais mon malheureux. Elle me dit que ce n’est pas elle qui fait la fermeture et appelle sa coiffeuse Laura. Une jeune femme plantureuse, proche de la trentaine, apparaît par l’autre partie du salon « côté soin esthétique ». Elle est grande au moins 1m70 des hanches larges, une taille resserrée et des seins impressionnants. Sa patronne lui explique, je fais mon « Caliméro ». A son tour, elle appelle l’apprentie coiffeuse pour faire « genre est-ce qu’on le prend ce soir ou pas ? ». La fille qui apparaît, est aux antipodes de « Laura ». Tiphaine a une vingtaine d’années, elle est petite, fluette, deux petites fesses rebondies, des petits seins très hauts en forme de pommes. Bien sûr, les deux ont des coupes qui n’existent pas. Elles gloussent et finissent par accepter mais pas plus tard que 19h00… Mon après-midi est pourrie, j’arrive à 18h59 tendu comme un slip. Il était temps ! me disent-elles en cœur. Je m’excuse et leur explique brièvement ma fin de journée… Elles ont pitié de moi une nouvelle fois. La jeune demoiselle récupère mon manteau et elle m’invite à passer au bac. L’architecture du salon est particulière. Il est en « U ». D’un côté le salon de coiffure, de l’autre le coin esthétique et au milieu les bacs, sans fenêtre et sans vis-à-vis.
La jeune me laisse et me dit en récupérant son balai « Je nous enferme, ça vous dérange pas ? »… Je lui réponds que non sans comprendre le sens de cette remarque. La coiffeuse revient et en les voyant toutes les deux elles me font penser à Laurel et Hardy… Je souris, elle me rend mon sourire. Puis j’ai l’impression qu’un bouton du corsage de Laura s’est détaché mais en m’asseyant je me dis que c’est la fatigue et mon côté vicieux qui parlent… Je me mets en position toujours aussi crispé et énervé. Elle me mouille les cheveux et les lave une première fois. Elle me dit ensuite qu’elle me sent tendu et qu’elle va me faire un petit massage du cuir chevelu pour me détendre. Je la remercie, et j’ouvre les yeux. Sa grande taille et ses talons la rendent immense. Elle est penchée sur moi et ma tête est limite entre seins deux seins. Effectivement, un bouton de son chemisier a bien sauté, sûrement par le poids de ses deux énormes obus. Enfin, je pense. Ses dessous sont en dentelle, à mon avis, très fins et transparents.
Je referme les yeux, Laura commence son massage pendant que l’apprentie balaie le salon. Elle a des doigts de fée, je sens mon corps se détendre et lâcher prise. Je lui dis qu’effectivement c’était très efficace et que je la remercie. A ma grande surprise, elle remet un peu d’eau chaude et de nouveau du shampoing et continue à œuvrer. Ses massages commencent à avoir un effet inattendu je sens ma bite se gonfler dans mon pantalon sans pour rien y faire. J’essaie de rester stoïque. Malgré le bruit des doigts dans mes cheveux, j’entends pouffer. J’ouvre discrètement un œil et je vois Tiphaine qui montre du doigt la bosse de mon pantalon. Nos regards se croisent.
Tiphaine s’exclame « Eh bien ! On n’est pas détendu de partout … ».
Je bégaie que je suis désolé mais que je ne fais pas exprès. J’ai les joues qui chauffent et je suis extrêmement gêné.
« Vous êtes naïf » me dit la belle plante, « on ne vous a pas enfermé pour rien… ».
Et de Tiphaine de renchérir « Vous voulez un shampoing aux œufs monsieur ? ».
Je n’ai pas le temps de me redresser que Laura me plaque la tête dans « l’appui tête du bac » prétextant que si je me dresse je vais avoir de la mousse dans les cheveux. Tiphaine, s’approche de moi, ouvre mon pantalon, le fait glisser jusqu’à mes chaussures, saisit un peu de shampoing, me lave la verge avec application et me rince délicatement. Je sens l’eau couler, entre mes jambes et sur le côté. Tiphaine s’applique à me sécher et commence à me lécher le gland. Laura a relâché ma tête et a repris son massage. Cette jeune demoiselle est déjà la reine de la pipe. Elle officie sans les mains. Elle descend jusqu’à mes boules, les happe l’une après l’autre puis avec sa langue elle remonte le long de ma tige turgescente. Ses mains s’agrippent à mes cuisses et glissent le long de celles-ci. Simultanément elle aspire ma verge puis l’engloutit. Je distingue les bruits de succions malgré le massage. Laura commence à mouiller son chemisier blanc et apparaissent alors, deux magnifiques tétons longs et épais. Je lève les mains et attrape cette majestueuse poitrine. Laura se penche en avant et j’enfouis ma tête dedans. Puis je l’embrasse à pleine bouche pendant que mes mains s’occupent de ses seins. Tiphaine me pompe divinement bien et je sens que la jouissance est proche. Mon sexe se durcit encore, Tiphaine le sent, elle sert les lèvres et aspire davantage. J’éjacule dans sa bouche mais pas une goutte ne sort. Je sens mon sperme chaud enduire ma bite. Tiphaine se lève pendant que Laura fait le tour. Elle s’agenouille et la frêle demoiselle lui déverse ma semence dans la bouche. J’assiste à cette scène surréaliste stoïque mais ma bite reste raide comme la justice. Laura ouvre la bouche et laisse couler mon sperme. Il descend le long de son menton et tombe entre ses seins. Elle a quitté son chemisier et je ne peux qu’être estomaqué par ses deux obus qui se dressent devant moi. « Viens récupérer ton jus mon cochon et après tu t’occuperas de ma chatte » me dit Laura. Elle joint le geste à la parole en me saisissant la tête et l’enfonce dans sa poitrine. Je sors la langue. Le goût est bizarre un peu âpre et salé. Je m’écarte pour lui sucer le téton mais Tiphaine me dit de bien la nettoyer avent de m’amuser. Elle se déshabille et c’est vraiment l’opposé de sa collègue. Elle a une petite poitrine mais tellement ferme qu’elle ne portait aucun sous vêtement. Elle s’accroupit à mes côtés et m’aide dans ma besogne puis nous nous roulons un patin pendant que Laura prend place sur le siège du bac. Elle soulève l’appui tête, s’assoit et écarte ses jambes en les posant sur les accoudoirs. Elle a une chatte entièrement rasée, un magnifique bouton rose et deux grandes lèvres à l’image de Laura : épaisses et larges. Avec les lumières du salon, elles luisent déjà tellement qu’elle mouille. Je m’approche et commence à lui lécher le minou à grands coups de langue, Sa cyprine est abondante et j’aime son goût. J’enfouis ma langue dans son antre, puis remonte sur son bouton que je lèche comme un chat lape son lait. Puis je le lui aspire. Pendant ce temps, Tiphaine s’est positionnée sur le siège à côté et elle s’occupe de sa poitrine et de sa bouche. Les voir ainsi, ce qui est une première pour moi me met dans tous mes états. Je redouble d’application pour faire jouir Laura. Elle me caresse la tête et m’encourage dans mon cuni. La frêle demoiselle en a assez de faire plaisir aux autres et elle monte sur les accoudoirs et avance sa chatte face à la figure de Laura, qui malgré les spasmes qui commencent à venir, ouvre la bouche pour brouter le minou de sa collègue. Je crois être dans un rêve tant la scène me semble surréaliste. Les dix minutes qui suivent se passent dans des gémissements de plaisir de ces deux femmes loin du bruit agressif des sèches cheveux. Je propose à mes deux coquines de venir s’empaler sur mon dard. Je prends place sur le fauteuil. Tiphaine saisit un préservatif, me l’enfile. Elle pose ses deux pieds de part et d’autre de mes hanches. Laura prend ma bite et la dirige vers l’entrée du minou de sa partenaire. La jeune fille est souple et s’enfonce sur toute la longueur de mon membre. Je profite un peu de ses petits seins. Je n’ai jamais touché des seins aussi fermes auparavant. Ses tétons sont roses et extrêmement doux. Je suis aux anges. Elle aussi apparemment. Elle monte et descend. S’arrêtant juste avant de sortir de ma bite et s’enfonce ensuite jusqu’à mon bas ventre, elle ondule son corps pour frotter son clitoris sur moi puis remonte et recommence son manège. Sa chatte est serrée et même si le préservatif n’est pas ce que je préfère sur ce coup là il m’évite de venir trop vite. Laura s’impatiente et se positionne de la même manière que Tiphaine. Je lui bouffe littéralement la chatte, Tiphaine jouit sur mon pieu, elle gémit et s’agrippe aux cuisses de Laura. Elle me tient la tête dans son minou et m’encourage à lui bouffer le clito. Mes deux coiffeuses « jouissent de concert »… Tiphaine se retire et s’affale sur le siège d’à côté. Je passe sous les jambes de Laura, elle se met à genou sur le siège pendant je me place derrière elle. Je la pénètre jusqu’à la garde. Je commence des va-et-vient doux en me plaquant contre Laura pour pouvoir lui peloter les seins. Mes mains ne suffisent pas pour contenir ses deux Roberts mais j’adore ça, Elle ondule ses hanches larges et moi je bouge délicatement mon bassin. Ce moment de douceur et de sensualité est sublime. L’apprentie coiffeuse est toujours vautrée mais elle se caresse les seins et la vulve encore rougie par la pénétration. Je me redresse et je commence à accélérer le rythme. Je la pénètre à fond et je vois mes coups de rein faire onduler ses fesses.
Laura se déchaîne alors : « Vas-y plus vite mon cochon ! Fourres la moi profond !!! Continues, continues !!! Ah oui c’est bon je jouis » crie Laura.
Je sens moi aussi que le point de non retour n’est pas loin.
« Prends mon jus dans ta bouche ma cochonne ». Laura se retourne me retire la capote mais le premier jet vient sur son visage du menton jusqu’au front. Elle happe mon sexe pour les prochaines giclées. Elle continue à me titiller le bout du gland encore quelques minutes pour que je puisse encore rester au paradis. Tiphaine s’est relevée et nettoie sa partenaire avec sa petite langue délicate. Puis elle baisse la grille du magasin.
« On va peut-être te couper les cheveux maintenant… » dirent-elles d’une seule voix.
Je m’installe sur le siège, Laura nue, commence à me raser les cheveux. Je ne quitte pas des yeux sa poitrine. Chaque mouvement provoque un balancement de ses deux nibs. Petit à petit mon oiseau retrouve de la vigueur…
« Eh ben dis donc !!! Cette fois, on a choppé un infatigable. Regardes moi ça » dit Laura à son amie.
« Cette fois ???» dis-je dubitatif.
« Oui, tu crois quand même pas qu’on reste si tard pour 18 € ? Viens te faire plaisir Titi, mais tu m’en laisseras un peu !!! »
Tiphaine réapparaît toujours nue comme un ver. Elle m’équipe et vient s’asseoir sur moi. Je vois la jeune fille qui se fait plaisir sur mon chibre pendant que Laura me coupe les cheveux. J’essaie de bouger le moins possible le haut du corps, je ne veux pas non plus être complètement raté. Mais dans le miroir voir les yeux mi-clos de Tiphaine, ses seins parfaits et la poitrine de Laura qui m’effleure et bouge dans tous les sens, c’est merveilleux !!! Je demande à Laura de stopper la coupe quelques instants pour profiter de la poitrine de sa copine. Elle s’arrête, se place à côté sur un siège et s’enfile le manche d’une brosse dans la chatte. Tiphaine ne tarde pas à jouir de nouveau.
Je propose à Tiphaine de monter sur la tablette et à Laura de la prendre par derrière pendant qu’elle léchera sa chatte.
« Et en plus il prend des initiatives. Bien sûr mon coquin !!! » dit Titi.
Aussitôt dit aussitôt fait. Me voici face au miroir du salon debout, en train de fourrer Laura, de voir ou apercevoir ses seins se balancer sous mes coups de bite et pouvoir admirer une fille en lécher une autre. Je fais durer le plaisir jusqu’aux premiers cris de Laura puis nous jouissons tous les trois une dernière fois. Je me remets en place Tiphaine finit la coupe et je repars avec les couilles vidées, et porte-monnaie plein. Les filles ont refusé de me faire payer en disant que je les avais payées en nature… Le paradis existe sur Terre…
La jeune me laisse et me dit en récupérant son balai « Je nous enferme, ça vous dérange pas ? »… Je lui réponds que non sans comprendre le sens de cette remarque. La coiffeuse revient et en les voyant toutes les deux elles me font penser à Laurel et Hardy… Je souris, elle me rend mon sourire. Puis j’ai l’impression qu’un bouton du corsage de Laura s’est détaché mais en m’asseyant je me dis que c’est la fatigue et mon côté vicieux qui parlent… Je me mets en position toujours aussi crispé et énervé. Elle me mouille les cheveux et les lave une première fois. Elle me dit ensuite qu’elle me sent tendu et qu’elle va me faire un petit massage du cuir chevelu pour me détendre. Je la remercie, et j’ouvre les yeux. Sa grande taille et ses talons la rendent immense. Elle est penchée sur moi et ma tête est limite entre seins deux seins. Effectivement, un bouton de son chemisier a bien sauté, sûrement par le poids de ses deux énormes obus. Enfin, je pense. Ses dessous sont en dentelle, à mon avis, très fins et transparents.
Je referme les yeux, Laura commence son massage pendant que l’apprentie balaie le salon. Elle a des doigts de fée, je sens mon corps se détendre et lâcher prise. Je lui dis qu’effectivement c’était très efficace et que je la remercie. A ma grande surprise, elle remet un peu d’eau chaude et de nouveau du shampoing et continue à œuvrer. Ses massages commencent à avoir un effet inattendu je sens ma bite se gonfler dans mon pantalon sans pour rien y faire. J’essaie de rester stoïque. Malgré le bruit des doigts dans mes cheveux, j’entends pouffer. J’ouvre discrètement un œil et je vois Tiphaine qui montre du doigt la bosse de mon pantalon. Nos regards se croisent.
Tiphaine s’exclame « Eh bien ! On n’est pas détendu de partout … ».
Je bégaie que je suis désolé mais que je ne fais pas exprès. J’ai les joues qui chauffent et je suis extrêmement gêné.
« Vous êtes naïf » me dit la belle plante, « on ne vous a pas enfermé pour rien… ».
Et de Tiphaine de renchérir « Vous voulez un shampoing aux œufs monsieur ? ».
Je n’ai pas le temps de me redresser que Laura me plaque la tête dans « l’appui tête du bac » prétextant que si je me dresse je vais avoir de la mousse dans les cheveux. Tiphaine, s’approche de moi, ouvre mon pantalon, le fait glisser jusqu’à mes chaussures, saisit un peu de shampoing, me lave la verge avec application et me rince délicatement. Je sens l’eau couler, entre mes jambes et sur le côté. Tiphaine s’applique à me sécher et commence à me lécher le gland. Laura a relâché ma tête et a repris son massage. Cette jeune demoiselle est déjà la reine de la pipe. Elle officie sans les mains. Elle descend jusqu’à mes boules, les happe l’une après l’autre puis avec sa langue elle remonte le long de ma tige turgescente. Ses mains s’agrippent à mes cuisses et glissent le long de celles-ci. Simultanément elle aspire ma verge puis l’engloutit. Je distingue les bruits de succions malgré le massage. Laura commence à mouiller son chemisier blanc et apparaissent alors, deux magnifiques tétons longs et épais. Je lève les mains et attrape cette majestueuse poitrine. Laura se penche en avant et j’enfouis ma tête dedans. Puis je l’embrasse à pleine bouche pendant que mes mains s’occupent de ses seins. Tiphaine me pompe divinement bien et je sens que la jouissance est proche. Mon sexe se durcit encore, Tiphaine le sent, elle sert les lèvres et aspire davantage. J’éjacule dans sa bouche mais pas une goutte ne sort. Je sens mon sperme chaud enduire ma bite. Tiphaine se lève pendant que Laura fait le tour. Elle s’agenouille et la frêle demoiselle lui déverse ma semence dans la bouche. J’assiste à cette scène surréaliste stoïque mais ma bite reste raide comme la justice. Laura ouvre la bouche et laisse couler mon sperme. Il descend le long de son menton et tombe entre ses seins. Elle a quitté son chemisier et je ne peux qu’être estomaqué par ses deux obus qui se dressent devant moi. « Viens récupérer ton jus mon cochon et après tu t’occuperas de ma chatte » me dit Laura. Elle joint le geste à la parole en me saisissant la tête et l’enfonce dans sa poitrine. Je sors la langue. Le goût est bizarre un peu âpre et salé. Je m’écarte pour lui sucer le téton mais Tiphaine me dit de bien la nettoyer avent de m’amuser. Elle se déshabille et c’est vraiment l’opposé de sa collègue. Elle a une petite poitrine mais tellement ferme qu’elle ne portait aucun sous vêtement. Elle s’accroupit à mes côtés et m’aide dans ma besogne puis nous nous roulons un patin pendant que Laura prend place sur le siège du bac. Elle soulève l’appui tête, s’assoit et écarte ses jambes en les posant sur les accoudoirs. Elle a une chatte entièrement rasée, un magnifique bouton rose et deux grandes lèvres à l’image de Laura : épaisses et larges. Avec les lumières du salon, elles luisent déjà tellement qu’elle mouille. Je m’approche et commence à lui lécher le minou à grands coups de langue, Sa cyprine est abondante et j’aime son goût. J’enfouis ma langue dans son antre, puis remonte sur son bouton que je lèche comme un chat lape son lait. Puis je le lui aspire. Pendant ce temps, Tiphaine s’est positionnée sur le siège à côté et elle s’occupe de sa poitrine et de sa bouche. Les voir ainsi, ce qui est une première pour moi me met dans tous mes états. Je redouble d’application pour faire jouir Laura. Elle me caresse la tête et m’encourage dans mon cuni. La frêle demoiselle en a assez de faire plaisir aux autres et elle monte sur les accoudoirs et avance sa chatte face à la figure de Laura, qui malgré les spasmes qui commencent à venir, ouvre la bouche pour brouter le minou de sa collègue. Je crois être dans un rêve tant la scène me semble surréaliste. Les dix minutes qui suivent se passent dans des gémissements de plaisir de ces deux femmes loin du bruit agressif des sèches cheveux. Je propose à mes deux coquines de venir s’empaler sur mon dard. Je prends place sur le fauteuil. Tiphaine saisit un préservatif, me l’enfile. Elle pose ses deux pieds de part et d’autre de mes hanches. Laura prend ma bite et la dirige vers l’entrée du minou de sa partenaire. La jeune fille est souple et s’enfonce sur toute la longueur de mon membre. Je profite un peu de ses petits seins. Je n’ai jamais touché des seins aussi fermes auparavant. Ses tétons sont roses et extrêmement doux. Je suis aux anges. Elle aussi apparemment. Elle monte et descend. S’arrêtant juste avant de sortir de ma bite et s’enfonce ensuite jusqu’à mon bas ventre, elle ondule son corps pour frotter son clitoris sur moi puis remonte et recommence son manège. Sa chatte est serrée et même si le préservatif n’est pas ce que je préfère sur ce coup là il m’évite de venir trop vite. Laura s’impatiente et se positionne de la même manière que Tiphaine. Je lui bouffe littéralement la chatte, Tiphaine jouit sur mon pieu, elle gémit et s’agrippe aux cuisses de Laura. Elle me tient la tête dans son minou et m’encourage à lui bouffer le clito. Mes deux coiffeuses « jouissent de concert »… Tiphaine se retire et s’affale sur le siège d’à côté. Je passe sous les jambes de Laura, elle se met à genou sur le siège pendant je me place derrière elle. Je la pénètre jusqu’à la garde. Je commence des va-et-vient doux en me plaquant contre Laura pour pouvoir lui peloter les seins. Mes mains ne suffisent pas pour contenir ses deux Roberts mais j’adore ça, Elle ondule ses hanches larges et moi je bouge délicatement mon bassin. Ce moment de douceur et de sensualité est sublime. L’apprentie coiffeuse est toujours vautrée mais elle se caresse les seins et la vulve encore rougie par la pénétration. Je me redresse et je commence à accélérer le rythme. Je la pénètre à fond et je vois mes coups de rein faire onduler ses fesses.
Laura se déchaîne alors : « Vas-y plus vite mon cochon ! Fourres la moi profond !!! Continues, continues !!! Ah oui c’est bon je jouis » crie Laura.
Je sens moi aussi que le point de non retour n’est pas loin.
« Prends mon jus dans ta bouche ma cochonne ». Laura se retourne me retire la capote mais le premier jet vient sur son visage du menton jusqu’au front. Elle happe mon sexe pour les prochaines giclées. Elle continue à me titiller le bout du gland encore quelques minutes pour que je puisse encore rester au paradis. Tiphaine s’est relevée et nettoie sa partenaire avec sa petite langue délicate. Puis elle baisse la grille du magasin.
« On va peut-être te couper les cheveux maintenant… » dirent-elles d’une seule voix.
Je m’installe sur le siège, Laura nue, commence à me raser les cheveux. Je ne quitte pas des yeux sa poitrine. Chaque mouvement provoque un balancement de ses deux nibs. Petit à petit mon oiseau retrouve de la vigueur…
« Eh ben dis donc !!! Cette fois, on a choppé un infatigable. Regardes moi ça » dit Laura à son amie.
« Cette fois ???» dis-je dubitatif.
« Oui, tu crois quand même pas qu’on reste si tard pour 18 € ? Viens te faire plaisir Titi, mais tu m’en laisseras un peu !!! »
Tiphaine réapparaît toujours nue comme un ver. Elle m’équipe et vient s’asseoir sur moi. Je vois la jeune fille qui se fait plaisir sur mon chibre pendant que Laura me coupe les cheveux. J’essaie de bouger le moins possible le haut du corps, je ne veux pas non plus être complètement raté. Mais dans le miroir voir les yeux mi-clos de Tiphaine, ses seins parfaits et la poitrine de Laura qui m’effleure et bouge dans tous les sens, c’est merveilleux !!! Je demande à Laura de stopper la coupe quelques instants pour profiter de la poitrine de sa copine. Elle s’arrête, se place à côté sur un siège et s’enfile le manche d’une brosse dans la chatte. Tiphaine ne tarde pas à jouir de nouveau.
Je propose à Tiphaine de monter sur la tablette et à Laura de la prendre par derrière pendant qu’elle léchera sa chatte.
« Et en plus il prend des initiatives. Bien sûr mon coquin !!! » dit Titi.
Aussitôt dit aussitôt fait. Me voici face au miroir du salon debout, en train de fourrer Laura, de voir ou apercevoir ses seins se balancer sous mes coups de bite et pouvoir admirer une fille en lécher une autre. Je fais durer le plaisir jusqu’aux premiers cris de Laura puis nous jouissons tous les trois une dernière fois. Je me remets en place Tiphaine finit la coupe et je repars avec les couilles vidées, et porte-monnaie plein. Les filles ont refusé de me faire payer en disant que je les avais payées en nature… Le paradis existe sur Terre…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai été coiffeuse et j'ai eu deux aventures avec des clients, cela ne s'est pas passé comme dans votre histoire mais j'ai des souvenirs qui ont resurgis.