la sauvageonne dépucelée

- Par l'auteur HDS Laurent10 -
Récit érotique écrit par Laurent10 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : la sauvageonne dépucelée Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2008 dans la catégorie Pour la première fois
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la sauvageonne dépucelée
<p>Je suis un scientifique de société. J’analyse la vie de mes concitoyens terriens pour des firmes, d’autres scientifiques, pour mes livres, pour des régions ou des pays. Cela m’amène à énormément voyager.
Il y a quelques années je suis allé en Amérique du sud dans une tribu de l’Amazonie profonde. Les langues étrangères et dialecte ne sont que formalités pour moi. Surtout ce secteur.
Mon voyage, accompagné de ma compagne du moment fut très éprouvant. Après l’avion, la voiture, enfin ce qui ressemble à une 2 CV sans toit et dont les amortisseurs ne sont plus existant et plusieurs heures de marche nous arrivions au village.
Je devais y étudier les mœurs, us et coutumes de ces personnes dans le but d’y installer une école/pensionnat par l’administration locale.
Nous fûmes accueillis par le chef de tribu comme il se doit et invités le soir même pour partager son dîner.
Ma compagne en soupira car elle souhaitait se reposer.
Le soir venu nous nous rendions dans sa hutte. Après nous avoir rassasiés il m’indiqua que je devais comme tout nouvel arrivant de plus de 15 ans dans sa tribu me soumettre à une tradition auquel ils tiennent beaucoup.
Pour cela, il prit le conseil tributaire en témoin. Je devais honorer chaque femme célibataire, veuve ou vierge de la tribu.
Ma compagne fut offusquée. Elle arrêta de parler espagnol pour m’interdire de franchir ce pas. En fait, j’étais prévenu de cette soi-disant coutume dans cette tribu mais ne lui en avait pas parlé pour être sûr qu’elle m’accompagne. 6 à 8 mois d’études, c’est toujours très long lorsque l’on est seul.
Je lui promettais que l’on en reparlerait entre nous, dès que nous serions sous notre hutte.
Afin de la soulager, je répondis au chef que sa proposition m’honorait et que je lui confirmerais ma réponse à l’aube du lendemain car je souhaitais me retirer de par le fait que ma compagne était très exténuée.
Après négociation, il accepta ma requête.
Etant scientifique, j’expliquais à ma compagne que ceci était tout un honneur obligatoire si je souhaitais réaliser cette étude. Je lui promettais de lui raconter chaque élément de ces obligations, de mettre un préservatif à chaque fois et pour finir de la convaincre j’ai dû lui inventer un mensonge. Si ce n’était moi qui acceptait ce serait elle qui serait obligée d’être « honorée » mais que elle ce serait par tous les hommes et sur la place publique.
Effrayée, elle se résigna en ajoutant :
« Qu’elle idée de choisir un ethnologue ! »
Elle sait que je n’aime pas ce mot car je n’en suis pas un n’ayant pas ce diplôme et une nouvelle dispute s’en suivi. Une fois ma compagne endormie, je sorti de ma demeure et alla directement voir le chef pour lui confirmer être très flatté par la considération qu’il m’apportait en m’offrant ses sœurs. Il faut toujours être diplomate.
Le lendemain soir, après le repas, une jeune femme vint à l’entrée de notre hutte en me demandant de la suivre. Nous nous dirigeâmes vers une hutte plus grande que les autres qui devait servir de lieu de réunion festive car elle était chatoyante et le feu était disposé afin d’y installer une lumière que l’on pourrait qualifiée chez nous occidentaux de tamisée.
Elle m’entraîna vers un tapis de pétale de fleurs, se déshabilla en ne me disant qu’une seule phrase :
« Je suis à vous ».
A la lumière je reconnus la fille du chef et lui demanda si c’était bien elle car je ne me voyais pas me jeter sur elle et repartir. Non, pour moi cela aurait été un viol. Elle devait avoir entre 17 et 20 ans.
Ainsi, j’engageais la conversation et appris que je serai le premier homme qu’elle connaîtrait. C’était bien ma veine. Je lui promettais d’être doux. Après des caresses sur son corps, j’embrassais ses petits seins et titillait ses tétons qui surplombaient de grosses auréoles. Elle frissonnait et petit à petit se détendait. Ma main se pose sur sa chatte et commença à la caresser. Son corps ondulait. Le plaisir montait et après quelques va et vient avec un doigt vaginal, je sentis sa jouissance exploser. Je venais de lui offrir le point G. Elle me demanda ce qui lui arrivait et je lui expliquais tendrement que tout ceci était du plus naturel. Elle commença à se libérer par mes mots tendres et me demanda de me voir nu à mon tour. Je me déshabillais à mon tour et ses yeux s’ouvrèrent en grand à la vue de mon phallus. Après quelques secondes elle me demanda :
« Je peux y toucher, comment s’en sert-on ? »
Cette dernière question me fit esquisser un très grand sourire et elle en rougit.
« Ne t’inquiète pas » « Je serais ton professeur sexuel si tu le veux ? »
Elle acquiesça d’un signe de tête. Je lui expliquai ainsi pendant une bonne ½ heure, les joies de l’acte sexuel, de la fellation, du cunnilingus réciproque, des différentes positions vaginales et anales ...
Elle me demanda :
« Est-il possible de connaître tout cela ce soir car j’aimerais être une bonne épouse pour mon promis »
De nouveau un grand sourire sur mes lèvres.
A celui-ci, elle répondit en touchant mon sexe. Elle à vraiment envie d’apprendre me dis-je.
Je lui guidai ses mains pour lui montrer comment branler tout en jouant avec les testicules. Elle avait du retenir notre conversation quelques minutes avant car elle approcha non sans crainte ses lèvres de mon gland et l’embrassa.
« Il n’à pas un mauvais goût » me lança-t-elle puis inséra le gland dans sa bouche et resta figée. Elle leva des yeux interrogateurs comme pour me supplier de continuer à la guider.
« Joue avec ta langue, tourne là, titille le creux, monte et descend le long de la verge »
Elle s’exécuta avec toute la sagesse d’une première fois tout en y mettant du cœur à l’ouvrage.
Je pris une de ses mains pour qu’elle caresse mes fesses et palpe mes testicules.
« Pour une première fois, tu ne te débrouilles pas mal du tout ».
A ceci elle s’efforça d’améliorer encore ses mouvements de langue en la tournant, en léchant.
Je me décidai à oser d’aller plus loin.
« Penses-tu pouvoir être obéissante et être dominée ? »
Hésitante mais fière d’elle, elle me lança en me fixant droit dans les yeux : « Oui je le veux »
« Très bien alors tu vas jouir comme une reine le mérite »
Sur ces paroles, je lui prends les cheveux et la force à exécuter une fellation très rapide. Elle manque de s’étouffée mais garde mon dard bien en bouche et j’arrive à mes fins en lui imposant une gorge profonde. Je relâche la pression et elle reprend sa respiration.
« Voici ce qu’est une gorge profonde et il te faut savoir que beaucoup d’hommes en raffolent et certains en jouissent presque immédiatement. »
« Dans la bouche ? » me demanda-t-elle d’une voix tremblante.
« Certaines femmes avalent tout le sperme, d’autres se laissent jouir en bouche et recrachent après et d’autres refusent tout simplement » « C’est au choix de chacune » « Certains hommes respectent ces choix, d’autres non »
« Ta femme avale ? »
« Parfois lorsqu’elle veut me faire un cadeau »
« Alors je veux te faire un cadeau puisque tu m’a fais jouir 2 fois »
Elle m’avoua avoir jouis durant la fellation.
Je lui dis de se calmer et qu’un homme ne peut pas jouir à la demande autant de fois qu’une femme.
Je lui fis un cunni et elle ne pus s’empêcher de re-jouir une troisième fois en gémissant et criant des OHHHHHH, AAAHHHH, OUIIIIIII
« Je veux encore apprendre de toi »
Je plongeais deux doigts dans sa chatte mouillée et les lécha goulûment. Je la voyais aux anges.
A ce moment je lui parlais du fist tout en continuant à la doigter avec mes deux doigts.
Elle me demanda d’essayer et je n’en attendais pas mieux de ma petite sauvageonne.
Trois doigts, quatre puis le poing jusqu’à l’avant bras.
« Encooooorrrreee, OUIIIIIIII, c’est BONNNNNN »
« Tu es dieu »
Ses derniers mots me firent rester planté là comme un homme adultère ayant été surpris par sa femme. Je retirais mon poing qui portait des traces de sa virginité.
« Merci ». « Ma mère m’avais prévenue que je perdrai du sang, tu m’as fais devenir femme ».
« Je n’ai pas fini mon cours petite »
A ce moment là je la mis sur le ventre et la pénétra doucement par de petit va et vient.
« Le diable est dans mon corps » me lança-t-elle.
Je pouvais faire ce que je voulais d’elle.
Après 2 minutes, un de mes doigts vint récolter un peu de sa bonne cyprine et je le présentais devant son petit orifice. Dans ce moment, elle écarta elle-même ses fesses pour me laisser rentrer.
Elle se mit à gémir et crier de plus en plus.
J’allais d’un orifice à l’autre après l’avoir mis en levrette. Elle mangeait son poing. Son corps subissait des spammes de plaisir. Elle devenait folle.
« Je vais bientôt jouir, ou veux-tu que cela soit ? » « Dans ta chatte ou ton cul ?»
« Dans ma bouche, je veux te donner encore plus maintenant ce cadeau »
Elle se retourna et pris d’elle-même mon sexe en bouche en y montant et descendant comme une vraie habituée de la fellation.
Je ne tardais pas à éjaculer. Elle eu un haut le cœur mais je vis qu’elle voulait vraiment aller au bout.
Après m’avoir de nouveau dit mille merci, elle retourna chez elle et moi rejoindre ma hutte.
J’ai du raconter en détail cette aventure à ma compagne, qui avait entendu les cris. Sur le coup je ne pensais plus du tout à tout le village qui entourait cette salle.
8 autres femmes vinrent me chercher en me laissant un jour de repos entre chaque soirée. Je ne revécu cette nuit avec aucune d’entre elles.
2 semaines après le chef et sa femme vinrent à ma rencontre en me remerciant d’avoir honoré la tribu et le sourire de sa femme en disait long sur le remerciement pour sa fille.

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