La Secrétaire 2
Récit érotique écrit par MAITRE602010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-09-2010 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Secrétaire 2
Catherine vient me faire signer le courrier puis repart. Pas un regard ne se croise.
Je l’appelle au téléphone.
-Chienne vient dans le bureau.
Elle entre.
-Vous pouvez m’expliquer ce document ?
Elle s’approche du bureau, se positionne debout à côtés de moi et commence à expliquer. Je profite de cet instant pour poser une main sur ces mollets, puis remonter le long des cuisses, pour enfin venir palper son fessier à travers sa culotte. Elle ne dit rien, si ce n’est que je la sens troublé. Ma main commence à caresser son entrejambe délicatement, puis sentant sa culotte s’humidifier, j’accentue mes caresses. Sa respiration devient plus rapide, mais elle continue à m’expliquer le courrier. J’introduis alors un doigt dans le sexe de ma secrétaire. Le conduit est très humide, mon doigt se pose sur le clitoris de ma chienne et en quelques
Mouvement, Catherine lâche un râle de plaisir tout en criant, puis s’affale sur le bureau.
Très vite, elle se relève.
-Alors tu as aimé chiennasse.
-Oh oui, j’en avais tellement envie.
-Bon maintenant à genoux et suce.
Joignant le geste à la parole, je sors mon sexe. Elle gobe et avale mon membre. Elle suce bien avec sa grande bouche, elle s’applique à réaliser une bonne pipe.
-Tu aimes sucer une bonne queue ?
-Oui
-Je comprends pourquoi les mecs cours après ton cul, tu es une belle chienne à pipe, maintenant, voyons voir si tu as une bonne chatte, allez déshabille toi.
Catherine se met nue. Je découvre une femme avec un corps plutôt pal mal pour son âge après avoir enfanté à deux reprise. Ses seins sont bien garnie et légèrement tombant et son sexe à une pilosité naturelle.
Je la plaque sur la table de réunion, visage face à la table. Je me munis d’un préservatif et l’enfile d’un coup, comme il se doit pour une chienne. Son conduit est toujours aussi lubrifié, voir même encore plus, à croire que cette situation lui convient. Je la prends profondément et violement.
-Tu aimes te faire prendre comme ça ?
-Ouuuiii, encore.
-T’aimes te faire sauter violemment, comme une sauvage ?
En même temps je lui claque les fesses.
-Oh oui encore, frappe, oui, oui je vais jouir, encore…….
Je claque le cul encore plus fort, en en rien de temps, ma secrétaire de chienne éclate sa jouissance.
Je ne lui laisse même pas le temps de reprendre ses esprits, je la fait descendre de la table, à genoux, retire ma protection, engouffre ma queue dans sa bouche et y verse tout mon jus. Une fois mon sexe bien nettoyé, j’ordonne à ma secrétaire de rentrer chez elle.
Avant de quitter le bureau et rejoindre une bande d’amis, je téléphone chez ma secrétaire.
-Chienne, comme tu as aimé cette soirée, et bien demain tu viens au bureau, je sais que nous sommes samedi, mais j’ai besoin de toi. Et je raccroche. Le lendemain sera-t-elle présente ou pas.
Le lendemain matin j’arrive un peu plus tard que d’habitude au bureau, c’est le week-end. Catherine est déjà et bien là, à m’attendre devant la porte.
-Bonjour chiennasse, je vois que tu as bien compris le message.
-Oui monsieur, puisque vous avez besoin de moi.
Je lui donne une tonne de dossiers à vérifier et classer. Durant la matinée, Nathalie me téléphone pour finaliser la lettre de licenciement de ma secrétaire. En colère quand elle apprend que finalement je compte la conserver, je lui explique les faits et elle décide de me rejoindre au bureau.
A son arrivée, ma secrétaire est dans mon bureau pour classer des dossiers.
-Bonjour Jérémy, bonjour sale chienne.
Catherine se retourne et lance un regard noir à Nathalie. Nous faisons comme si de rien n’était et commençons à discuter de quelques points à voir dés lundi. Puis vient le sujet du licenciement.
-Bon, maintenant, il faut voir le licenciement de ta secrétaire.
Elle est toujours présente dans le bureau.
-Comme je te l’ai déjà dit, puisque pour l’instant c’est une bonne chienne, je vais la garder.
-Ah oui, tu dis que c’est une bonne chienne, mais moi je n’en sais rien.
-Bon ok, tu vas découvrir.
Catherine, toujours dans le bureau se retourne et nous regarde.
-Quoi ! Pas devant elle, c’est une connasse, elle me pourrie la vie.
Nathalie est furieuse d’entendre cela. Elle s’approche de ma secrétaire, lui attrape la longue tignasse ondulée.
-C’est qui la conasse pour l’instant ? Ce n’est pas plutôt toi ? Je crois que tu vas payer cet excès de langage.
Elle tire Catherine par les cheveux et la pousse contre le mur tout en la bloquant. Sa main commence à caresser le visage, puis le cou. Lentement, elle descend lentement pour bien décrire le contour des seins. Ma secrétaire se débat, essaye de se libérer, en vain. La main continue de dessiner les deux seins, insistant principalement sur les tétons qu’elle sent à travers le pull. Elle descend le long du corps, des hanches puis des fesses.
Moi, j’observe la scène.
La main caresse longuement les fesses, remonte la jupe de Catherine, laissant entrevoir une petite culotte blanche. Ma secrétaire, tente de temps en temps de se libérer, mais rien à faire, Nathalie l’a complètement bloquée.
Cette main vient maintenant caresser l’entrejambe. Catherine est immobile, comme tétanisé.
Elle reprend la chevelure de ma secrétaire et l’oblige à se placer au milieu de la pièce.
-A poil que je puisse voir à quoi tu ressembles.
-Non, certainement pas.
-Ah oui tu crois ça.
Nathalie me demande de l’aider. Je prends ma secrétaire par les bras, les ramènes en arrières et la bloque. Nathalie prend une paire de ciseau et commence à entailler le pull. Imaginer la scène, une qui se débat pour fuir, l’autre qui se débat pour mettre à poil. Rapidement le pull tombe, puis le soutien gorge.
-Oh, elle à des seins qui tombent avec de grosse mamelles.
Ma secrétaire ne dit rien, elle est tellement surprise de ce qui se passe, même si par moment elle prononce des mots d’oiseaux à l’encontre de la femme qui la déshabille de force.
La jupe est maintenant ouverte et elle descend le long des jambes. Le ciseau réalise une dernière entaille, la petite culotte blanche tombe à moitié, retenue par l’entrejambe de Catherine. Nathalie tire dessus et constate…..
-Mais dit dont, la petite chienne mouille comme une garce, regarde moi ça. Elle mouille tellement que la petite culotte ne veux pas descendre, et cette pouffe à une chatte poilue, même bien poilue.
Elle me montre la culotte abondamment mouillée, puis goûte le jus de ma secrétaire.
-Bof, elle n’a même pas de goût, c’est fade, tout juste bon à lubrifier le conduit pendant qu’elle sert de vidange.
Catherine ne bouge plus, un doigt est toujours dans son sexe humide. Il va et viens lentement, Nath s’amuse. Ma secrétaire apprécie, sa respiration est à la fois lente, à la fois rapide.
-Bon, maintenant tu vas goûter le jus d’une vraie femme dit Nath.
Elle fait mettre la secrétaire à genoux, face à elle, retire son pantalon, son string en dentelle noire et s’assoie jambes écartées face à Catherine.
Catherine reste béante face à cet entrejambe ouvert, laissant apparaître un sexe semi épilé avec de grosses lèvres.
Elle prend la tête de Catherine et la plonge entre ses cuisses.
-Aller lèche.
Elle maintient bien cette tête de façon à ce que ma secrétaire ne puisse rien dire, ni s’échapper. Je profite, moi de ce moment pour présenter ma queue à Nathalie qui l’avale et me suce divinement.
De temps en temps Catherine essai de ce retirer, mais immédiatement elle est rattrapé par les cheveux, Nath la maîtrise parfaitement.
-Oui lèche moi bien, humm, tu commences à comprendre comment on bouffe une bonne chatte.
Elle retire la tête de son entrejambe, installe ma secrétaire sur le sol. Elle passe sa main dans l’entrejambe de cette dernière.
-Oh, mais ce n’est pas vrai, elle est inondée celle là. A quatre pattes chienne.
Installée, Catherine reçois une première claque sur le cul, puis une deuxième. Je prends la relève pendant que Nath se met à titiller puis pincer les seins. Je frappe le cul sans grande retenu, les fesses rougissent, ma secrétaire commence à ressentir une certaine souffrance, elle demande que nous arrêtions.
-Quoi arrêter, qui décide ici ?
Et nous continuons de plus belle.
-Aie !aie ! Non arrêtez, j’ai maaalllll.
-Maintenant tu vas avoir le plaisir de voir ton patron me baiser.
Nathalie s’installe sur le canapé du bureau et je la prends. Cette une femme qui jouit très vite, on aime ou on n’aime pas. Je la prends lentement par de long va et vient histoire de faire durer de plaisir. En quelques minutes Nathalie est libérée.
Le temps de reprendre ces esprits et elle se jette sur ma secrétaire.
-Ton patron a le droit de jouir.
Elle fait mettre Catherine à quatre pattes, prend mon membre et l’introduit dans cette chatte toujours aussi humide. Pendant que mes vas et vient laboure le sexe, le regard de Nathalie ne quitte pas cette scène. Je me retire et présente ma queue à la bouche de ma secrétaire. Elle me lèche le bout, juste avant que Nathalie me prenne le sexe et me branle.
-Allez ouvre ta bouche, plus grande, avec la bouche que tu as pourtant……..
Les vas et vient de Nath étant insistant, je ne tarde pas à vider tout mon jus dans la bouche et sur le visage de cette chienne.
Sans perdre de temps, c’est ce que j’aime chez Nathalie, elle met la chienne sur le dos et enfourne un doigt dans cette chatte toujours humide et béante. Deux puis trois s’introduisent.
Durant les vas et vient des doigts, nous entendons le clapotis dû au jus de Catherine. Quatre doigts sont maintenant en train de chahuter cette chienne qui subit avec plaisir.
Je vois Nath essayer de rentrer la ma in. Pendant ce temps, je malaxe, tire et étire les mamelons.
-Et bien voilà, elle à vraiment un gros con, cette garce.
La main de Nathalie pénètre entièrement ma secrétaire. Cette dernière, après un petit cri, dû au passage de la main, commence à gémir de plus en plus, moi toujours à lui travailler les mamelles.
-Tiens prend ça salope.
Nath accélère, accélère les mouvements de sa main. La mouille coule sur les cuisses.
-Oh oui, encore…
-Tu vas jouir sale chienne, tu vas jouir comme une garce.
-Oui, je vais jo……….
Et là, Catherine explose. Des cris de plaisir retentissent dans le bureau.
-Bon, tu as raison Jérémy, nous allons la garder cette chienne.
A SUIVRE
Je l’appelle au téléphone.
-Chienne vient dans le bureau.
Elle entre.
-Vous pouvez m’expliquer ce document ?
Elle s’approche du bureau, se positionne debout à côtés de moi et commence à expliquer. Je profite de cet instant pour poser une main sur ces mollets, puis remonter le long des cuisses, pour enfin venir palper son fessier à travers sa culotte. Elle ne dit rien, si ce n’est que je la sens troublé. Ma main commence à caresser son entrejambe délicatement, puis sentant sa culotte s’humidifier, j’accentue mes caresses. Sa respiration devient plus rapide, mais elle continue à m’expliquer le courrier. J’introduis alors un doigt dans le sexe de ma secrétaire. Le conduit est très humide, mon doigt se pose sur le clitoris de ma chienne et en quelques
Mouvement, Catherine lâche un râle de plaisir tout en criant, puis s’affale sur le bureau.
Très vite, elle se relève.
-Alors tu as aimé chiennasse.
-Oh oui, j’en avais tellement envie.
-Bon maintenant à genoux et suce.
Joignant le geste à la parole, je sors mon sexe. Elle gobe et avale mon membre. Elle suce bien avec sa grande bouche, elle s’applique à réaliser une bonne pipe.
-Tu aimes sucer une bonne queue ?
-Oui
-Je comprends pourquoi les mecs cours après ton cul, tu es une belle chienne à pipe, maintenant, voyons voir si tu as une bonne chatte, allez déshabille toi.
Catherine se met nue. Je découvre une femme avec un corps plutôt pal mal pour son âge après avoir enfanté à deux reprise. Ses seins sont bien garnie et légèrement tombant et son sexe à une pilosité naturelle.
Je la plaque sur la table de réunion, visage face à la table. Je me munis d’un préservatif et l’enfile d’un coup, comme il se doit pour une chienne. Son conduit est toujours aussi lubrifié, voir même encore plus, à croire que cette situation lui convient. Je la prends profondément et violement.
-Tu aimes te faire prendre comme ça ?
-Ouuuiii, encore.
-T’aimes te faire sauter violemment, comme une sauvage ?
En même temps je lui claque les fesses.
-Oh oui encore, frappe, oui, oui je vais jouir, encore…….
Je claque le cul encore plus fort, en en rien de temps, ma secrétaire de chienne éclate sa jouissance.
Je ne lui laisse même pas le temps de reprendre ses esprits, je la fait descendre de la table, à genoux, retire ma protection, engouffre ma queue dans sa bouche et y verse tout mon jus. Une fois mon sexe bien nettoyé, j’ordonne à ma secrétaire de rentrer chez elle.
Avant de quitter le bureau et rejoindre une bande d’amis, je téléphone chez ma secrétaire.
-Chienne, comme tu as aimé cette soirée, et bien demain tu viens au bureau, je sais que nous sommes samedi, mais j’ai besoin de toi. Et je raccroche. Le lendemain sera-t-elle présente ou pas.
Le lendemain matin j’arrive un peu plus tard que d’habitude au bureau, c’est le week-end. Catherine est déjà et bien là, à m’attendre devant la porte.
-Bonjour chiennasse, je vois que tu as bien compris le message.
-Oui monsieur, puisque vous avez besoin de moi.
Je lui donne une tonne de dossiers à vérifier et classer. Durant la matinée, Nathalie me téléphone pour finaliser la lettre de licenciement de ma secrétaire. En colère quand elle apprend que finalement je compte la conserver, je lui explique les faits et elle décide de me rejoindre au bureau.
A son arrivée, ma secrétaire est dans mon bureau pour classer des dossiers.
-Bonjour Jérémy, bonjour sale chienne.
Catherine se retourne et lance un regard noir à Nathalie. Nous faisons comme si de rien n’était et commençons à discuter de quelques points à voir dés lundi. Puis vient le sujet du licenciement.
-Bon, maintenant, il faut voir le licenciement de ta secrétaire.
Elle est toujours présente dans le bureau.
-Comme je te l’ai déjà dit, puisque pour l’instant c’est une bonne chienne, je vais la garder.
-Ah oui, tu dis que c’est une bonne chienne, mais moi je n’en sais rien.
-Bon ok, tu vas découvrir.
Catherine, toujours dans le bureau se retourne et nous regarde.
-Quoi ! Pas devant elle, c’est une connasse, elle me pourrie la vie.
Nathalie est furieuse d’entendre cela. Elle s’approche de ma secrétaire, lui attrape la longue tignasse ondulée.
-C’est qui la conasse pour l’instant ? Ce n’est pas plutôt toi ? Je crois que tu vas payer cet excès de langage.
Elle tire Catherine par les cheveux et la pousse contre le mur tout en la bloquant. Sa main commence à caresser le visage, puis le cou. Lentement, elle descend lentement pour bien décrire le contour des seins. Ma secrétaire se débat, essaye de se libérer, en vain. La main continue de dessiner les deux seins, insistant principalement sur les tétons qu’elle sent à travers le pull. Elle descend le long du corps, des hanches puis des fesses.
Moi, j’observe la scène.
La main caresse longuement les fesses, remonte la jupe de Catherine, laissant entrevoir une petite culotte blanche. Ma secrétaire, tente de temps en temps de se libérer, mais rien à faire, Nathalie l’a complètement bloquée.
Cette main vient maintenant caresser l’entrejambe. Catherine est immobile, comme tétanisé.
Elle reprend la chevelure de ma secrétaire et l’oblige à se placer au milieu de la pièce.
-A poil que je puisse voir à quoi tu ressembles.
-Non, certainement pas.
-Ah oui tu crois ça.
Nathalie me demande de l’aider. Je prends ma secrétaire par les bras, les ramènes en arrières et la bloque. Nathalie prend une paire de ciseau et commence à entailler le pull. Imaginer la scène, une qui se débat pour fuir, l’autre qui se débat pour mettre à poil. Rapidement le pull tombe, puis le soutien gorge.
-Oh, elle à des seins qui tombent avec de grosse mamelles.
Ma secrétaire ne dit rien, elle est tellement surprise de ce qui se passe, même si par moment elle prononce des mots d’oiseaux à l’encontre de la femme qui la déshabille de force.
La jupe est maintenant ouverte et elle descend le long des jambes. Le ciseau réalise une dernière entaille, la petite culotte blanche tombe à moitié, retenue par l’entrejambe de Catherine. Nathalie tire dessus et constate…..
-Mais dit dont, la petite chienne mouille comme une garce, regarde moi ça. Elle mouille tellement que la petite culotte ne veux pas descendre, et cette pouffe à une chatte poilue, même bien poilue.
Elle me montre la culotte abondamment mouillée, puis goûte le jus de ma secrétaire.
-Bof, elle n’a même pas de goût, c’est fade, tout juste bon à lubrifier le conduit pendant qu’elle sert de vidange.
Catherine ne bouge plus, un doigt est toujours dans son sexe humide. Il va et viens lentement, Nath s’amuse. Ma secrétaire apprécie, sa respiration est à la fois lente, à la fois rapide.
-Bon, maintenant tu vas goûter le jus d’une vraie femme dit Nath.
Elle fait mettre la secrétaire à genoux, face à elle, retire son pantalon, son string en dentelle noire et s’assoie jambes écartées face à Catherine.
Catherine reste béante face à cet entrejambe ouvert, laissant apparaître un sexe semi épilé avec de grosses lèvres.
Elle prend la tête de Catherine et la plonge entre ses cuisses.
-Aller lèche.
Elle maintient bien cette tête de façon à ce que ma secrétaire ne puisse rien dire, ni s’échapper. Je profite, moi de ce moment pour présenter ma queue à Nathalie qui l’avale et me suce divinement.
De temps en temps Catherine essai de ce retirer, mais immédiatement elle est rattrapé par les cheveux, Nath la maîtrise parfaitement.
-Oui lèche moi bien, humm, tu commences à comprendre comment on bouffe une bonne chatte.
Elle retire la tête de son entrejambe, installe ma secrétaire sur le sol. Elle passe sa main dans l’entrejambe de cette dernière.
-Oh, mais ce n’est pas vrai, elle est inondée celle là. A quatre pattes chienne.
Installée, Catherine reçois une première claque sur le cul, puis une deuxième. Je prends la relève pendant que Nath se met à titiller puis pincer les seins. Je frappe le cul sans grande retenu, les fesses rougissent, ma secrétaire commence à ressentir une certaine souffrance, elle demande que nous arrêtions.
-Quoi arrêter, qui décide ici ?
Et nous continuons de plus belle.
-Aie !aie ! Non arrêtez, j’ai maaalllll.
-Maintenant tu vas avoir le plaisir de voir ton patron me baiser.
Nathalie s’installe sur le canapé du bureau et je la prends. Cette une femme qui jouit très vite, on aime ou on n’aime pas. Je la prends lentement par de long va et vient histoire de faire durer de plaisir. En quelques minutes Nathalie est libérée.
Le temps de reprendre ces esprits et elle se jette sur ma secrétaire.
-Ton patron a le droit de jouir.
Elle fait mettre Catherine à quatre pattes, prend mon membre et l’introduit dans cette chatte toujours aussi humide. Pendant que mes vas et vient laboure le sexe, le regard de Nathalie ne quitte pas cette scène. Je me retire et présente ma queue à la bouche de ma secrétaire. Elle me lèche le bout, juste avant que Nathalie me prenne le sexe et me branle.
-Allez ouvre ta bouche, plus grande, avec la bouche que tu as pourtant……..
Les vas et vient de Nath étant insistant, je ne tarde pas à vider tout mon jus dans la bouche et sur le visage de cette chienne.
Sans perdre de temps, c’est ce que j’aime chez Nathalie, elle met la chienne sur le dos et enfourne un doigt dans cette chatte toujours humide et béante. Deux puis trois s’introduisent.
Durant les vas et vient des doigts, nous entendons le clapotis dû au jus de Catherine. Quatre doigts sont maintenant en train de chahuter cette chienne qui subit avec plaisir.
Je vois Nath essayer de rentrer la ma in. Pendant ce temps, je malaxe, tire et étire les mamelons.
-Et bien voilà, elle à vraiment un gros con, cette garce.
La main de Nathalie pénètre entièrement ma secrétaire. Cette dernière, après un petit cri, dû au passage de la main, commence à gémir de plus en plus, moi toujours à lui travailler les mamelles.
-Tiens prend ça salope.
Nath accélère, accélère les mouvements de sa main. La mouille coule sur les cuisses.
-Oh oui, encore…
-Tu vas jouir sale chienne, tu vas jouir comme une garce.
-Oui, je vais jo……….
Et là, Catherine explose. Des cris de plaisir retentissent dans le bureau.
-Bon, tu as raison Jérémy, nous allons la garder cette chienne.
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11 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai toujours la même réticence au rasage, où, ici une coupe de cheveux trop rase.
J'aime de belles tignasse, c'est plus pratique pour la tirer, voir même la suspendre
J'aime de belles tignasse, c'est plus pratique pour la tirer, voir même la suspendre
moi j'adore, je voudrais être à la place de Catherine
très excitant vraiment. Merci pour ce moment de plaisir.
Hâte de connaitre les autres histoires de cette chienne
Hâte de connaitre les autres histoires de cette chienne
trop bon
une soumission sans teneur
J'adore votre récit!! continuez c'est trop excitant!!!
Vite la suite. Je me suis branlée
Bof, les mots sont trop crus, rien d'excitant. ca fait pas trop d'effet. c'est porno pas éro.
J’ai beaucoup apprécié les deux histoires, j’espère qu’il y aura une suite
Bisou Mireille
Bisou Mireille
trop bien je suis trempée
vivement la suite, la pauvre petite, si elle veut garder son boulot il va falloir
qu'elle assure sur d'autre domaine ;-)
qu'elle assure sur d'autre domaine ;-)