La secrétaire vide couille - histoire érotique

IL entra dans le bureau furibond et immédiatement passa devant son bureau sans lui
dire bonjour.

Elle était arrivée une heure plus tôt. Elle s'était préparée : tailleur ceintré
aux genoux, porte-jaretelle et bas noir, esparpins vernis rouges, un chemisier
translucide blanc qui laissait voir son soutien-gorge noire transparent. en y
regardant bien on décelait ses gros tétons. Elle ne portait pas de culotte. Et elle ne
s'était pas lavée le sexe depuis le veille au soir. Ses cheveux était rassemblés en
chignon, et son nez portait sa monture noire.

Elle eut peur, ses mains devinrent moites. Que se passait-il ? Avait-elle mal fait
quelque chose ?

- "Mademoiselle, dans mon bureau ! IMMEDIATEMENT !" cria-t-IL d'un ton ne laissant
aucune alternative.

Précipitement, elle rammassa un crayon à papier et son bloc note. Tremblante, elle
entra dans le bureau en trottant à cause de ses genoux serrés par la jupe.
IL la dévisagea de haut en bas, et fit une moue déconcertante. Que pensait-IL ? se
demanda-t-elle.

Elle n'eut pas le temps d'approfondir son interrogation.

- "Fermez cette porte !" dit-IL fermement. Le ton était moins dur.

- "Oui, monsieur." répondit-elle timidement.

- "Met tes mains sur le bureau et cambre tes reins !" lui annonça-t-IL.

Soulagée, elle posait ses affaires sur le fauteuil, et pris position. Les deux
mains parralèles, les jambes écartées au maximum, les reins cambrés pour faire
ressortir sa croupe. Elle s'excita immédiatement Elle senti sa chatte s'humidifier,
elle coulait, et elle aimait ça. Elle sentit la chaleur lui monter aux joues. Quelle
honte d'être une chienne un rut qui mouille au moindre de ses ordres à LUI ! Elle se
dandina le croupion pour marquer son impatience.

- "Tu remues du cul, tu as le feu aux fesses ma parole ! Qui te dit que je ne vais
pas te corriger !".

Elle arrêta de se tortiller, pour le regarder dans les yeux mais ne parvint pas à
capter SON regard. IL faisait le tour du bureau, lentement. Elle sentit une de ses
mains sur ses fesses. Elle lâcha un soupir d'aise. La main quitta sa fesse. Elle
sentit la claque puis la brûlure quand sa main s'abattit avec force sur sa croupe.

- "Hein salope ? ... Qui te dit que je vais pas te fesser ?"

- "Mais ... ". Une deuxième fessée vint immédiatement ponctuer son intervention.

- "Je n'ai rien fait ...". Une troisième vint lui cuire le gras.

Il se recula un peu.

- "Retrousse ta jupe petite pute, je suis sûr que tu est sans culotte, et que tu
mouille déjà !".

Elle se trémoussa en relevant sa jupe bien haut, elle fit bondir ses fesses.
Effectivement elle n'avait pas de culotte. Effectivement, elle mouillait abandomment.

- "Ecarte-toi, montre-moi ta moule et ton cul de chienne !".

Elle écarta son cul avec ses mains pour d'abord lui montrer son trou plissé. Puis
sa moule bailla émettant un bruit de succion en s'ouvrant. Elle adorait se montrer
comme çà. Elle était comme une catin montrant ses charmes, une poissonnière en
châleur. Elle s'écarta lentement de plus en plus. Elle se sentait chienne, elle aimait
çà. Elle espérait qu'il bande comme un taureau. Elle fermait les yeux, des images
obscènes lui passait par la tête. Catin dans un bordel de la révolution se montrant à
une ribambelle de client avide. Petite fille vicieuse montrant son con à un jeune
puceau dans les toilettes de l'école. Secrétaire se donnant corps et cul à son patron
pour une promotion. Elle sentit SA queue l'envahir, l'investir, la combler en un seul
coup brutal. elle remis ses mains sur le bureau. IL lui asséna un deuxième coup encore
plus brutal. Le bureau bougea de quelques millimètres. Elle failla s'étendre tout du
long. Le troisième fut tout aussi violent, ses jambes s'écartèrent d'elles-même, ses
escarpins auraient glissé s'il n'y avait pas eut le tapis.

Elle sentit SES mains prendre ses hanches. IL la ramona, la bourra, la pilonna
pendant plusieurs minutes de bonheur. Elle gicla, jouissant comme une damnée. Elle
geulait, gémissait des "Oh oui", "Oh encore", "Remplis-moi", "Bourre ta sale pute".
Elle délirait. Ses jus lui avait trempés les jambes. Il lui gicla son foutre sur les
fesses dans un râle animal et obscène.

- "Grosse salope, tu en as prit pour ton grade hein ?"

IL s'affala dans son fauteuil, cuisse écarté, son membre encore raide plein de
sperme et de cyprine. Son pantalon était trempé, on eut crut qu'il s'était uriner
dessus.

- "Suce-la".

Elle s'approcha, sans remettre sa jupe, elle s'agenouilla à ses pieds. Elle prit
amoureusement la verge gluante entre ses lèvre et nettoya SA queue. Elle lapa, suça,
pompa, lécha tendrement ce membre qui lui avait donné tant de plaisir. Elle se surprit
à désirer qu'il lui pisse au visage ou dans la bouche...