La servante du manoir des grands pins
Récit érotique écrit par Motsentiel [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 4 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Motsentiel ont reçu un total de 31 907 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 11 930 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La servante du manoir des grands pins
Madame de Sage était en train de ranger les photos de l'album familial lorsque le téléphone sonna.
• Madame de Sage ?
• Oui, c'est elle même, c'est à quel sujet ?
• Mes hommages Madame. Voilà, je suis le Dr Desmond, directeur de l’hôpital de Châteauroux. Je crois savoir que vous êtes à la recherche d'une personne de confiance pour vous aider.
• En effet, depuis que mon mari est souffrant, je dois m’occuper de tout et aujourd’hui, je suis bien fatiguée. J'ai besoin d'aide et rapidement.
• J'ai devant moi une jeune femme, issue de bonne famille, qui malheureusement aujourd'hui se retrouve seule et à la rue. Elle est âgée de vingt-sept ans , en bonne santé et prête à travailler. Si aujourd'hui elle est venue à notre établissement, c'est parce qu'elle est aussi une jeune maman et elle s’inquiétait de l'état de santé de son bébé. Mais je vous rassure tout de suite, je suis plus inquiet pour elle que pour le bébé...
• Dr Desmond, votre proposition ne me laisse pas indifférente, mais quel age a ce petit bout ?
• Il vient d'avoir trois mois et à part un petit problème de rhume, il est en excellente santé. Et n'ayez pas d’inquiétude pour le couvert, il tète le lait de sa mère.
• Ah, c'est plutôt une bonne chose. Et bien, ne perdons pas de temps, envoyer-moi cette personne.
Madame de Sage ne voyait pas d’inconvénient à employer une jeune mère et elle avait envie de rencontrer cette charmante personne. Son mari, alité depuis un bon mois, souffrait de douleurs articulaires et d'une grande carence alimentaire. Il fallait nécessairement une personne qui puisse être à ses cotés pour l'aider à dépasser sa maladie. Eloïse pourrait peut-être devenir celle-là…On frappa à la porte.
• Entrez vite, sinon votre petite va prendre froid. Alors, dîtes- moi en un peu plus de vous. Le docteur Desmond me dit que vous cherchez du travail mais surtout un toit, c'est cela ?
• Oui madame, je vis seule avec ma fille. Je n'ai aucun endroit où je pourrais m'abriter et être au chaud. Pour l'instant le Dr Desmond accepte de m'héberger quelques jours mais après...
• Vous avez déjà été employée dans une maison ?
• Non mais je peux faire les taches ménagères sans problème, vous savez.
• J'ai appris que vous aviez perdu votre mère l'année dernière, et votre père ?
• Il n'était plus avec maman depuis quatre ans et je n'ai plus de contact avec lui depuis un an et demi. Je pense qu'il est parti à l'étranger.
• Et ce petit bout de chou...
• Elle s'appelle Gina. Je n'ai plus de nouvelles de son papa que j'avais rencontré dans un foyer. C'est pour moi difficile mais je n'ai qu'une envie maintenant, c'est de l'oublier.
• Bon, je ne vous poserais pas d'autres questions à ce sujet, cela ne me regarde pas après tout. Vous êtes une fille apparemment en bonne santé et au teint frais. C'est un bon point. Je vous ai préparé un petit coin pour y déposer votre fille. J'ai besoin de vous voir au petit salon.
Eloïse a prit soin de refermer doucement la porte de la chambre avant de se diriger au bout du couloir dans le petit salon où l'attends Mme de Sage. La porte est restée entrouverte.
• Approchez ma fille, j'ai déjà reçu d'autres prétendantes ici qui malheureusement n'était pas en convenance avec mes attentes, souhaitez-vous que nous précisions davantage les choses ?
• Bien sûr Madame. J'ai très envie de travailler dans votre maison. Que souhaitez-vous que je fasse Madame ?
• J'ai besoin de vous connaître bien sûr mais j’aimerais d’abord que vous soyez mieux habillée car ces vêtements...
• On me les a donner au centre d’hébergement.
• Oui c’est mieux que rien. Bon, vous allez les poser sur l'un des fauteuils derrière vous, si cela n'est pas trop vous demander bien sûr...
Éloïse, bien que surprise par la demande, commence sans tarder à ouvrir son gilet et à déboutonner sa robe. Elle la laisse tomber sur le tapis puis la récupère et la dépose avec le gilet sur le fauteuil. Ensuite, elle se tourne vers Mme de Sage.
• Enlevez aussi votre brassière ! Eloïse hésite quelques secondes mais elle n'a pas vraiment le choix d'autant que cela ressemble fortement à un ordre. Elle passe ses mains derrière son dos, tire sur les petits crochets du soutien-gorge et libèrent de l'étoffe deux seins blancs plutôt volumineux qu'elle essaie maladroitement de cacher. Elle ne porte à présent que sa culotte, un brin sexy sur le devant, par le tulle transparent qui laisse entrevoir le duvet de son mont de Vénus.
• Venez et enlevez vos mains s'il vous plaît ! J’ai besoin de vous voir tel que vous êtes.
Eloïse fait quelques pas. Ses seins lourds, gorgés de lait se balancent harmonieusement sur son torse. Les tétons très épais et saillants entourés de larges aréoles brunes témoignent des tétées répétées qu'ils subissent depuis l'arrivée du bébé. Une petite goutte de lait commence à perler sur l’un d’eux.
• Vous allaitez votre fille, me semble-t-il ?
• Oui madame. c'est bientôt l'heure de la tétée. je pense que c'est ce qu'il y a de mieux pour mon bébé et je n'ai pas les moyens pour lui donner autre chose.
• Mais c'est parfait mademoiselle, ne changez rien surtout. Vous avez là une bien belle paire de seins et il aurait été dommage d'en priver votre enfant. Le lait maternel, c'est ce qu'il y a de mieux. Tournez-vous maintenant.
Eloïse pivote aussitôt sur place, lui exposant ses fesses bien rondes, en parfaite harmonie avec ses hanches larges et sa taille marquée.
• Bien, tout cela me paraît correct. Je vous propose, si cela vous convient, une chambre, la nourriture et bien sûr du travail. Vous devrez vous occupé de temps en temps de mon mari qui est souffrant mais je vous expliquerai tout ça plus tard.
• Oh, merci Madame, je suis vraiment très contente. Est-ce que pour ce soir je peux... ?
• Rester dormir ici ? Mais bien sûr. Vous allez d'abord vous reposer. Avec le bébé, vous en avez bien besoin et demain Je vous montrerais votre travail. Je vous ai préparé quelques vêtements, pour le soutien-gorge, j'ai besoin de connaître vos mensurations.
• Quatre-vingt-quinze et bonnet D, Madame.
• Pour le bonnet, je pense que vous allez encore prendre encore un peu...Je vous apporterais ce qu’il faut demain. Pour le reste je pense que cela devrait aller. Madame de Sage lui avait mis à disposition un chemisier blanc, une jupe noire avec un tablier et une petite culotte blanche faite de dentelle assez coquine sur le devant. Eloïse l’’enfila ainsi que la jupe et le chemisier.
Ce soir-là, Madame de Sage appela le Dr Desmont qui lui a envoyé Eloïse : • Bonsoir Monsieur, ma décision est prise et je tenais à vous informer que la jeune personne qui m'a été envoyé sera logée à mon domicile à partir de ce soir.
• Je suis enchanté d'une telle nouvelle Madame de Sage . Je pense qu'Eloïse est une bonne fille et c'est très certainement pour vous et votre mari, une très bonne opportunité. En la mettant en confiance rapidement, vous pourrez la diriger facilement. En ce qui concerne l'allaitement, mon confrère, le docteur galbion, que vous connaissez bien me semble-t-il, saura très bien vous conseiller. Je lui fait savoir qu'Eloïse est visible chez vous.
Le lendemain, après une nuit clame et reposante, Eloïse vient prendre son petit déjeuner à la cuisine où elle retrouve celle qui est à présent sa patronne.
• Bonjour madame.
• Bonjour Eloïse, bien dormi ?
• Ah oui madame, j'ai passée une bonne nuit et Gina aussi.
• Parfait, ce matin j'ai préparé votre petit déjeuner. Lorsque vous l'aurez pris, je vous ferais découvrir le manoir et je vous expliquerais votre travail. Mais surtout, ne laissez pas de côté votre bébé, il a également besoin de vous ! D’ailleurs, je crois que je l’entends… Elle s'empressa d'aller voir son bébé qui pleurait. C'était la première tétée du matin. Ses seins la tiraillait, tant ils étaient pleins de lait. Elle ouvrit l'un des bonnets du soutien-gorge, libérant un sein volumineux au téton épais où perlait déjà une goutte du précieux liquide. Son bébé affamé, se jeta littéralement dessus. Soudain, la porte s'ouvrit.
• Eloïse, le docteur sera là pour quatorze heures. Il vous recevra dans le petit salon. Soyez prête car il sera ici à l'heure prévue.
• Oui Madame, mais je … ne suis pas malade...ni mon bébé...
• Oh, je sais que vous êtes en parfaite santé. N'ayez crainte, il vous expliquera pourquoi il souhaite vous ausculter. Ce sera juste une petite visite médicale, voilà tout.
• Madame de Sage ?
• Oui, c'est elle même, c'est à quel sujet ?
• Mes hommages Madame. Voilà, je suis le Dr Desmond, directeur de l’hôpital de Châteauroux. Je crois savoir que vous êtes à la recherche d'une personne de confiance pour vous aider.
• En effet, depuis que mon mari est souffrant, je dois m’occuper de tout et aujourd’hui, je suis bien fatiguée. J'ai besoin d'aide et rapidement.
• J'ai devant moi une jeune femme, issue de bonne famille, qui malheureusement aujourd'hui se retrouve seule et à la rue. Elle est âgée de vingt-sept ans , en bonne santé et prête à travailler. Si aujourd'hui elle est venue à notre établissement, c'est parce qu'elle est aussi une jeune maman et elle s’inquiétait de l'état de santé de son bébé. Mais je vous rassure tout de suite, je suis plus inquiet pour elle que pour le bébé...
• Dr Desmond, votre proposition ne me laisse pas indifférente, mais quel age a ce petit bout ?
• Il vient d'avoir trois mois et à part un petit problème de rhume, il est en excellente santé. Et n'ayez pas d’inquiétude pour le couvert, il tète le lait de sa mère.
• Ah, c'est plutôt une bonne chose. Et bien, ne perdons pas de temps, envoyer-moi cette personne.
Madame de Sage ne voyait pas d’inconvénient à employer une jeune mère et elle avait envie de rencontrer cette charmante personne. Son mari, alité depuis un bon mois, souffrait de douleurs articulaires et d'une grande carence alimentaire. Il fallait nécessairement une personne qui puisse être à ses cotés pour l'aider à dépasser sa maladie. Eloïse pourrait peut-être devenir celle-là…On frappa à la porte.
• Entrez vite, sinon votre petite va prendre froid. Alors, dîtes- moi en un peu plus de vous. Le docteur Desmond me dit que vous cherchez du travail mais surtout un toit, c'est cela ?
• Oui madame, je vis seule avec ma fille. Je n'ai aucun endroit où je pourrais m'abriter et être au chaud. Pour l'instant le Dr Desmond accepte de m'héberger quelques jours mais après...
• Vous avez déjà été employée dans une maison ?
• Non mais je peux faire les taches ménagères sans problème, vous savez.
• J'ai appris que vous aviez perdu votre mère l'année dernière, et votre père ?
• Il n'était plus avec maman depuis quatre ans et je n'ai plus de contact avec lui depuis un an et demi. Je pense qu'il est parti à l'étranger.
• Et ce petit bout de chou...
• Elle s'appelle Gina. Je n'ai plus de nouvelles de son papa que j'avais rencontré dans un foyer. C'est pour moi difficile mais je n'ai qu'une envie maintenant, c'est de l'oublier.
• Bon, je ne vous poserais pas d'autres questions à ce sujet, cela ne me regarde pas après tout. Vous êtes une fille apparemment en bonne santé et au teint frais. C'est un bon point. Je vous ai préparé un petit coin pour y déposer votre fille. J'ai besoin de vous voir au petit salon.
Eloïse a prit soin de refermer doucement la porte de la chambre avant de se diriger au bout du couloir dans le petit salon où l'attends Mme de Sage. La porte est restée entrouverte.
• Approchez ma fille, j'ai déjà reçu d'autres prétendantes ici qui malheureusement n'était pas en convenance avec mes attentes, souhaitez-vous que nous précisions davantage les choses ?
• Bien sûr Madame. J'ai très envie de travailler dans votre maison. Que souhaitez-vous que je fasse Madame ?
• J'ai besoin de vous connaître bien sûr mais j’aimerais d’abord que vous soyez mieux habillée car ces vêtements...
• On me les a donner au centre d’hébergement.
• Oui c’est mieux que rien. Bon, vous allez les poser sur l'un des fauteuils derrière vous, si cela n'est pas trop vous demander bien sûr...
Éloïse, bien que surprise par la demande, commence sans tarder à ouvrir son gilet et à déboutonner sa robe. Elle la laisse tomber sur le tapis puis la récupère et la dépose avec le gilet sur le fauteuil. Ensuite, elle se tourne vers Mme de Sage.
• Enlevez aussi votre brassière ! Eloïse hésite quelques secondes mais elle n'a pas vraiment le choix d'autant que cela ressemble fortement à un ordre. Elle passe ses mains derrière son dos, tire sur les petits crochets du soutien-gorge et libèrent de l'étoffe deux seins blancs plutôt volumineux qu'elle essaie maladroitement de cacher. Elle ne porte à présent que sa culotte, un brin sexy sur le devant, par le tulle transparent qui laisse entrevoir le duvet de son mont de Vénus.
• Venez et enlevez vos mains s'il vous plaît ! J’ai besoin de vous voir tel que vous êtes.
Eloïse fait quelques pas. Ses seins lourds, gorgés de lait se balancent harmonieusement sur son torse. Les tétons très épais et saillants entourés de larges aréoles brunes témoignent des tétées répétées qu'ils subissent depuis l'arrivée du bébé. Une petite goutte de lait commence à perler sur l’un d’eux.
• Vous allaitez votre fille, me semble-t-il ?
• Oui madame. c'est bientôt l'heure de la tétée. je pense que c'est ce qu'il y a de mieux pour mon bébé et je n'ai pas les moyens pour lui donner autre chose.
• Mais c'est parfait mademoiselle, ne changez rien surtout. Vous avez là une bien belle paire de seins et il aurait été dommage d'en priver votre enfant. Le lait maternel, c'est ce qu'il y a de mieux. Tournez-vous maintenant.
Eloïse pivote aussitôt sur place, lui exposant ses fesses bien rondes, en parfaite harmonie avec ses hanches larges et sa taille marquée.
• Bien, tout cela me paraît correct. Je vous propose, si cela vous convient, une chambre, la nourriture et bien sûr du travail. Vous devrez vous occupé de temps en temps de mon mari qui est souffrant mais je vous expliquerai tout ça plus tard.
• Oh, merci Madame, je suis vraiment très contente. Est-ce que pour ce soir je peux... ?
• Rester dormir ici ? Mais bien sûr. Vous allez d'abord vous reposer. Avec le bébé, vous en avez bien besoin et demain Je vous montrerais votre travail. Je vous ai préparé quelques vêtements, pour le soutien-gorge, j'ai besoin de connaître vos mensurations.
• Quatre-vingt-quinze et bonnet D, Madame.
• Pour le bonnet, je pense que vous allez encore prendre encore un peu...Je vous apporterais ce qu’il faut demain. Pour le reste je pense que cela devrait aller. Madame de Sage lui avait mis à disposition un chemisier blanc, une jupe noire avec un tablier et une petite culotte blanche faite de dentelle assez coquine sur le devant. Eloïse l’’enfila ainsi que la jupe et le chemisier.
Ce soir-là, Madame de Sage appela le Dr Desmont qui lui a envoyé Eloïse : • Bonsoir Monsieur, ma décision est prise et je tenais à vous informer que la jeune personne qui m'a été envoyé sera logée à mon domicile à partir de ce soir.
• Je suis enchanté d'une telle nouvelle Madame de Sage . Je pense qu'Eloïse est une bonne fille et c'est très certainement pour vous et votre mari, une très bonne opportunité. En la mettant en confiance rapidement, vous pourrez la diriger facilement. En ce qui concerne l'allaitement, mon confrère, le docteur galbion, que vous connaissez bien me semble-t-il, saura très bien vous conseiller. Je lui fait savoir qu'Eloïse est visible chez vous.
Le lendemain, après une nuit clame et reposante, Eloïse vient prendre son petit déjeuner à la cuisine où elle retrouve celle qui est à présent sa patronne.
• Bonjour madame.
• Bonjour Eloïse, bien dormi ?
• Ah oui madame, j'ai passée une bonne nuit et Gina aussi.
• Parfait, ce matin j'ai préparé votre petit déjeuner. Lorsque vous l'aurez pris, je vous ferais découvrir le manoir et je vous expliquerais votre travail. Mais surtout, ne laissez pas de côté votre bébé, il a également besoin de vous ! D’ailleurs, je crois que je l’entends… Elle s'empressa d'aller voir son bébé qui pleurait. C'était la première tétée du matin. Ses seins la tiraillait, tant ils étaient pleins de lait. Elle ouvrit l'un des bonnets du soutien-gorge, libérant un sein volumineux au téton épais où perlait déjà une goutte du précieux liquide. Son bébé affamé, se jeta littéralement dessus. Soudain, la porte s'ouvrit.
• Eloïse, le docteur sera là pour quatorze heures. Il vous recevra dans le petit salon. Soyez prête car il sera ici à l'heure prévue.
• Oui Madame, mais je … ne suis pas malade...ni mon bébé...
• Oh, je sais que vous êtes en parfaite santé. N'ayez crainte, il vous expliquera pourquoi il souhaite vous ausculter. Ce sera juste une petite visite médicale, voilà tout.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Motsentiel
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...