La sexologue piégée (2)
Récit érotique écrit par PFD [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2025 dans la catégorie Dominants et dominés
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La sexologue piégée (2)
J'aurai certainement dû mettre fin à notre deuxième entretien plus tôt, mais je n'ai pas pu.
D. était allongé sur le divan. J'avais voulu être plus professionnelle en lui posant des questions.
"Combien de temps faut-il pour que vos érections retombent en moyenne ?
- Elles ne retombent pas.
- Même quand vous vous masturbez.
- Je n'arrive pas à aller au bout. Aussi, cela ne fait que prolonger mes érections.
- Vous ne savez pas vous faire jouir. La dernière fois, pourtant, tout semblait opérationnel.
- C'est très rare. Vous avez un don.
- Merci, mais je ne pense pas que ce soit l'explication. Et avec vos compagnes.
- Je peux limer plus d'une heure et elles ont mal.
- Vous utilisez des lubrifiants ?
- Non.
- Vous devriez."
Je ne sais pas pourquoi mais la conversation était plaisante. J'avais envie de constater si c'était vrai.
"Voulez-vous me montrer comment vous procédez ?
- Pour faire l'amour ?
- Non, pour vous masturber."
D. ne se fit pas prier. Il a enlever son pantalon et son caleçon, puis sa chemise. Je ne lui avais pas demander de se mettre nu. Je n'ai rien dit.
Très vite son sexe a repris sa taille de la fois précédente et il a commencé à se masturber. Il avait la bonne technique en faisant coulisser sa peau sur son gland et en le titillant. Au bout de 30 minutes, il était toujours en érection sans avoir éjaculé, le rythme de sa respiration ayant à peine augmenté.
J'étais un peu hypnotisée. Il avait un très beau sexe ou une très belle verge comme je préférai le dire.
"Vous voyez, rien n'y fait.
- Pensez à la dernière fois. Au moment où vous avez joui.
- J'ai heurté votre bouche et je suis parti.
- M'autorisez vous à effectuer un test ?
- Bien sûr."
Et je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis mise à genou et j'ai commencé à couvrir sa verge de bisous. Il s'est assis et à mis ses mains sur mes cheveux et j'ai pris son sexe en bouche. C'était contraire à toute déontologie. Il a commencé des va-et-vient. Il me défonçait la bouche. Et j'aimais cela. Soudain, j'ai senti sa verge se raidir dans ma gorge et pas moins de 9 salves d'un liquide chaud et visqueux s'est répandu dans ma bouche. J'ai failli étouffer. J'avais les cheveux ébouriffé, de la bave aux lèvres, mais j'étais bien. J'ai souri.
" Nous progressons, je crois.
- Je suis gêné, je ne voulais pas vous souiller.
- C'est naturel, ne vous inquiétez pas."
Ce soir là, j'ai eu envie de faire l'amour sauvagement avec mon mari, mais lui voulait dormir.
J'étais frustrée. C'est sûrement ce qui m'a fait franchir un autre point de non-retour.
D. était allongé sur le divan. J'avais voulu être plus professionnelle en lui posant des questions.
"Combien de temps faut-il pour que vos érections retombent en moyenne ?
- Elles ne retombent pas.
- Même quand vous vous masturbez.
- Je n'arrive pas à aller au bout. Aussi, cela ne fait que prolonger mes érections.
- Vous ne savez pas vous faire jouir. La dernière fois, pourtant, tout semblait opérationnel.
- C'est très rare. Vous avez un don.
- Merci, mais je ne pense pas que ce soit l'explication. Et avec vos compagnes.
- Je peux limer plus d'une heure et elles ont mal.
- Vous utilisez des lubrifiants ?
- Non.
- Vous devriez."
Je ne sais pas pourquoi mais la conversation était plaisante. J'avais envie de constater si c'était vrai.
"Voulez-vous me montrer comment vous procédez ?
- Pour faire l'amour ?
- Non, pour vous masturber."
D. ne se fit pas prier. Il a enlever son pantalon et son caleçon, puis sa chemise. Je ne lui avais pas demander de se mettre nu. Je n'ai rien dit.
Très vite son sexe a repris sa taille de la fois précédente et il a commencé à se masturber. Il avait la bonne technique en faisant coulisser sa peau sur son gland et en le titillant. Au bout de 30 minutes, il était toujours en érection sans avoir éjaculé, le rythme de sa respiration ayant à peine augmenté.
J'étais un peu hypnotisée. Il avait un très beau sexe ou une très belle verge comme je préférai le dire.
"Vous voyez, rien n'y fait.
- Pensez à la dernière fois. Au moment où vous avez joui.
- J'ai heurté votre bouche et je suis parti.
- M'autorisez vous à effectuer un test ?
- Bien sûr."
Et je ne sais pas ce qui m'a pris. Je me suis mise à genou et j'ai commencé à couvrir sa verge de bisous. Il s'est assis et à mis ses mains sur mes cheveux et j'ai pris son sexe en bouche. C'était contraire à toute déontologie. Il a commencé des va-et-vient. Il me défonçait la bouche. Et j'aimais cela. Soudain, j'ai senti sa verge se raidir dans ma gorge et pas moins de 9 salves d'un liquide chaud et visqueux s'est répandu dans ma bouche. J'ai failli étouffer. J'avais les cheveux ébouriffé, de la bave aux lèvres, mais j'étais bien. J'ai souri.
" Nous progressons, je crois.
- Je suis gêné, je ne voulais pas vous souiller.
- C'est naturel, ne vous inquiétez pas."
Ce soir là, j'ai eu envie de faire l'amour sauvagement avec mon mari, mais lui voulait dormir.
J'étais frustrée. C'est sûrement ce qui m'a fait franchir un autre point de non-retour.
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