La shampouineuse
Récit érotique écrit par Jeu2mots75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La shampouineuse
En cette fin de journée de juin, Clément se résolut à quitter son travail plus tôt que d'habitude pour se rendre chez Anselme, le coiffeur de son quartier où il avait l'habitude de se faire couper les cheveux. Dans le métro qui le conduisait jusqu'à l'Hôtel de ville, il jeta plusieurs fois nerveusement un coup d'œil à sa montre, se demandant s'il n'aurait pas préalablement dû prendre contact avec le salon de coiffure pour s'assurer qu'il serait encore ouvert vers 19H30 …
Accélérant le pas dans les couloirs et les esc aliers, Clément réussit à arriver à 19H25 et eu la bonne surprise de constater que le rideau métallique du salon n'avait pas encore été baissé. Il reconnut aussitôt l'employée qui était en train de balayer le carrelage des différentes chutes de cheveux qui jonchaient le sol. L'ouverture de la porte du magasin provoqua comme d'habitude, le tintement du chapelet de grelots métalliques fixé au-dessus de l'embrasure. La jeune femme, stoppa son travail, releva la tête, jeta un coup d'œil sur la pendule du comptoir et toisa Clément avec la ferme détermination de lui signifier qu'il arrivait trop tard ; Clément ne lui laissa pas le temps d'exprimer son opposition et lui expliqua en la suppliant du regard, qu'il était un habitué, qu'il avait réalisé un effort spécifique pour arriver à cette heure, qu'il partait le lendemain pour un déplacement professionnel de dix jours à Varsovie et qu'il se voyait difficilement conserver plus longtemps l'épaisse tignasse qu'il arborait actuellement… L'argumentaire, la bonne tête et le sourire charmeur de Clément eurent raison de la jeune femme qui rangea son balai, alla fermer la porte du salon à clé et tirer les stores de la devanture afin de manifester clairement à la clientèle que le salon de coiffure était cette fois, définitivement fermé.
Clément se détendit aussitôt, il savourait désormais la récompense de son effort et le fait de se retrouver en tête-à-tête avec la jeune coiffeuse qu'il connaissait déjà puisqu'elle était habituellement préposée aux shampoings. Il était déjà passé entre ses mains et se souvenait que cette belle plante avait des doigts de fée : elle excellait dans l'art de masser le cuir chevelu ! Bien qu'ayant souvent entendu Emile Anselme, le patron du salon, s'adresser à la jeune femme en l'appelant par son prénom, Clément ne s'en souvenait pas. Décidé à engager la conversation avec cette coiffeuse attirante, Clément lui demanda son prénom non sans avoir préalablement dévoilé le sien. Elle se prénommait Mathilde. "Qu'est-ce que je vous fais ce soir Clément ?" lui demanda la coiffeuse. Surpris par cette familiarité, le jeune homme répondit du tac au tac : " Comme d'habitude Mathilde, une coupe au ciseau après un bon shampoing comme vous seule savez les faire !"
Souriant à ce compliment, Mathilde installa et attacha l'inévitable blouse protectrice en nylon bleu marine autour du cou de Clément et conduisit ce dernier vers le fauteuil des shampoings. Là, d'un coup de pédale, Clément se sentit basculer doucement en arrière , dans une position confortable, quasi horizontale, jusqu'au contact de sa nuque avec le rebord glacé du lavabo. Mathilde actionna d'abord la douchette attendant que l'eau atteigne une température tiède agréable et commença à lui rincer délicatement les cheveux. Elle versa ensuite une dose abondante du shampoing favori de Clément à l'extrait d'amandes douces qui lui rappelait la saveur du sirop d'orgeat de son enfance et entama son travail de massage du bout de ses longs doigts : elle avait l'art de masser longuement et doucement le cuir chevelu en s'attardant plus particulièrement sur les tempes et la nuque mais en ne négligeant jamais un seul endroit de la tête. Clément se sentit immédiatement bien, ferma les yeux et s'abandonna à une torpeur apaisante en se laissant bercer par le mouvement rotatif de ces doigts sur sa tête ; curieusement, Mathilde n'économisait pas son temps et redoublait d'une ardeur lente et déterminée dans son massage ; Clément adorait ces moments qui provoquaient chez lui des frissons de plaisir successifs. Sa surprise était sans cesse renouvelée puisqu'il ne savait jamais à quel endroit précis les doigts de Mathilde allaient s'attarder ni à quel rythme la jeune femme allait s'employer ; étonnamment, ces massages éveillaient la sensualité de Clément qui sentait son anatomie de mâle se raidir en même temps que Mathilde massait son cuir chevelu. Il ne pouvait s'empêcher de penser que le massage sensuel dont il était l'objet était d'un érotisme très abouti ! Clément alla même jusqu'à imaginer l'extase à laquelle Mathilde pourrait le conduire si celle-ci déployait un talent identique pour éveiller et détendre son sexe avec ses mains, ses doigts, sa bouche, ses lèvres et sa langue… Heureusement, Clément était protégé de la visibilité de son émoi physique par la blouse de nylon qui recouvrait ses cuisses sans laquelle le renflement de son jean ne serait guère passé inaperçu auprès de Mathilde… Clément ressentait un puissant sentiment de désir renforcé par le jeu d'observation dans les miroirs du salon du corps envoûtant de Mathilde, de son propre corps et surtout par la prise de conscience de ses propres sensations physiques du moment.
Mathilde était bras nus, vêtue d'une jupe longue en lin couleur lavande et portait un tee-shirt moulant en coton blanc sous lequel Clément pouvait distinguer une poitrine relativement généreuse soutenue par un wonderbras noir dont on apercevait assez bien les contours . La shampouineuse rinça une première fois les cheveux du jeune homme et attaqua à son plus grand plaisir le dernier shampoing. Clément ferma délicieusement les yeux et s'abandonna une nouvelle fois aux doigts experts de Mathilde, tous ses sens en éveil…La phase shampoing terminée, Clément rejoignit l'un des fauteuils devant le grand miroir et entrepris de discuter avec Mathilde tandis que cette dernière commençait à lui couper les cheveux. Mathilde a 27 ans et travaille dans le métier depuis six ans déjà, elle a un copain légionnaire qui part souvent en manœuvre sur des terrains d'opérations à l'étranger et habite un petit studio dans le quartier de Ménilmontant. Clément, après lui avoir parlé de son métier de consultant en stratégie et de sa mission pour un grand groupe automobile français qui devait le conduire demain en Pologne lui avoua à quel point il avait apprécié ses massages du cuir chevelu en lui expliquant retrouver dans cette pratique un plaisir qui n'avait rien à envier aux massages thaïlandais ! Mathilde se mit à rire du compliment et lui dit d'un sourire malicieux : "vraiment Clément ?"
A cet instant, le jeune homme saisit le bras de Mathilde sans mot dire, s'empara de la paire de ciseaux qu'elle tenait dans sa main droite, la laissa tomber au sol dans un bruit métallique et pressa la main de la jeune femme sur sa blouse au niveau de son pantalon. Mathilde ne fut en rien gênée par l'initiative de Clément et toujours en silence, se mit à le regarder droit dans les yeux avec sérieux tout en faisant remonter la blouse au-dessus de sa ceinture de cuir noir. Elle entreprit alors très mécaniquement de défaire un à un les boutons de sa braguette et introduisit rapidement sa main et ses longs doigts sous l'étoffe du pantalon à la recherche de la fente de son caleçon et d'un premier contact charnel avec le membre en pleine érection du jeune homme ; après quelques tâtonnements, elle arriva rapidement à ses fins et palpa sous ses doigts le volume et les formes de la verge descendant doucement jusqu'aux testicules de Clément. Elle se mit alors à les manipuler avec douceur et dextérité en les faisant rouler délicatement à l'intérieur des bourses dans toutes les directions. Clément fermait déjà les yeux et se laissait faire dans ce balais infernal. Mathilde actionna ensuite la commande du fauteuil qui lui permit de le monter à la hauteur maximale et de rompre le silence dans lequel ces deux êtres étaient toujours plongés. Elle entreprit alors de libérer complètement le sexe de Clément à l'air libre….Après un coup d'œil prudent, par sécurité, à la devanture du salon de coiffure, elle s'assura que personne ne pouvait les observer de l'extérieur. Rassurée, elle acheva de débarrasser Clément de son pantalon, lui ôta son caleçon et se contenta de lui laisser sa chemise dont elle avait défait les boutons. Mathilde admirait le torse brun et viril de son client et le caressa longuement... Mathilde regarda alors Clément dans les yeux, lui sourit et lui chuchota : "J'ai envie de toi…"
Du fait de la position du siège, elle pencha sans peine son visage vers l'objet de son désir et commença à l'enduire de salive, lui donna quelques coups de langue avant de le mettre avec délectation dans sa bouche et de contracter ses joues sur l'organe déjà tout dur. Elle commença ensuite à exercer quelques sucions et à aspirer les premiers centimètres de chair dans sa bouche gourmande; en même temps, elle décalottait le gland en tirant vers le bas la peau beige du prépuce jusqu'à tirer modérément sur le chanfrein. Le gland couleur cerise de Clément tout enduit de salive était devenu étincelant sous le feu des spots du plafond. Mathilde allait et venait doucement avec sa bouche sur le sexe de Clément l'enfournant toujours un peu plus dans la profondeur de son palais et de sa gorge. Le jeune homme pouvait aisément observer les grands yeux noirs de la shampouineuse qui savourait ces instants avec délectation. Mathilde s'était désormais positionnée devant lui entre ses jambes, il pouvait admirer le contact de ses lèvres sensuelles masser son membre toujours dur comme du bois. La respiration de Mathilde devenait plus audible au fur et à mesure que celle-ci accélérait ses vas et viens et l'excitation de Clément était maintenant renforcée par la perception des premiers gémissements de Mathilde.
Encouragé par ces fougueux ébats buccaux, Clément attrapa le tee-shirt de la jeune femme et replia sa jambe droite afin de l'attirer à côté de lui ; glissant sa main droite sous la jupe il caressa son entrecuisse en remontant jusqu'à son pubis et l'incita par ces caresses à écarter les cuisses. Clément faisait glisser ses doigts dans les poils de Mathilde et immobilisait de temps à autre sa main chaude sur le sexe de Mathilde comme pour le couver sous sa paume. Puis, lentement, il commença à exciter le sexe de la jeune femme en effleurant ses grandes lèvres. Mathilde ne tarda pas à manifester un désir croissant par des gémissements plus expressifs et par la libération de ces sécrétions lubrifiantes qui encourageait Clément à redoubler de sensualité. En même temps que Clément s'occupait de Mathilde, celle-ci saisit le sexe de ce dernier dans sa main droite et commença à le masturber consciencieusement ; dans cet exercice elle s'approcha du jeune homme en frottant sa poitrine sur le visage de Clément qui léchait et mordillait son sein gauche à travers le tissus de coton ; il sentait son téton qui s'était durci et qui saillait à travers le tee-shirt. Empli d'un désir toujours plus puissant, Clément ne résista pas à l'envie de soulever le tee-shirt de Mathilde et de lui ôter son wonderbras afin de jouir d'un contact direct entre ses seins, sa main et sa bouche ; il faisait maintenant tournoyer sa langue sur le téton et aspirait à la fois avec douceur et avidité l'ensemble du mamelon et de son téton dans sa bouche gourmande. Mathilde accélérait le mouvement de masturbation pour les synchroniser avec les gémissements de plus en plus courts de Clément : le salon de coiffure était à la surprise générale des deux acteurs devenu une salle de concert érotique où chaque compositeur était parfaitement au diapason des désirs de l'autre. Les plaintes de l'un et de l'autre étaient de plus en plus vives ; Clément indiqua à Mathilde qu'il était proche de l'extase ; cet aveu renforça le désir de jouissance de Mathilde, nul besoin de mots pour comprendre qu'elle était également au bord de l'orgasme. Clément pénétrait Mathilde avec son pouce et excitait de plus en plus vivement son clitoris avant de la fouiller plus loin dans des gestes alternativement droits et circulaires. Il sentit tout d'un coup une contraction de son vagin plus forte que les autres qui s'accompagna d'un cri doux et aigu de jouissance ; la vision de la gravité de son visage, la perception de cette plainte suppliante et plus longue que les autres conduisant au paroxysme mêlée aux spasmes maintenant bien réels de la shampouineuse furent les éléments déclencheurs de la jouissance de Clément qui s'abandonna dans un long râle, libérant plusieurs jets de sperme chaud dont les derniers coulèrent sur la main qui l'avait ainsi conduit au plaisir. Les deux êtres après un long baiser pendant lequel leurs langues s'aspiraient et s'enroulaient l'une autour de l'autre finirent de se déshabiller, éteignirent les lumières du salon et désireux de continuer sur cette belle lancée trouvèrent une position qui leur permit de s'emboîter l'un dans l'autre tout en restant assis sur le fauteuil du salon de coiffure. Ils passèrent encore du temps à faire l'amour ; leurs sensualités se complétaient à merveille.
Passée l'heure où Paris s'éveille, Mathilde prévint Clément qu'il leur faudrait quitter le salon au risque de se faire surprendre par la femme de ménage du salon de coiffure qui arrivait généralement vers six heures. Les deux jeunes amants se tutoyaient ; ils s'embrassèrent encore longuement et se séparèrent à contrecoeur…. Mathilde chuchota en souriant à Clément de revenir le plus vite possible se faire couper les cheveux tard le soir ! Clément était heureux, il savait qu'ils se reverraient très vite ….
Accélérant le pas dans les couloirs et les esc aliers, Clément réussit à arriver à 19H25 et eu la bonne surprise de constater que le rideau métallique du salon n'avait pas encore été baissé. Il reconnut aussitôt l'employée qui était en train de balayer le carrelage des différentes chutes de cheveux qui jonchaient le sol. L'ouverture de la porte du magasin provoqua comme d'habitude, le tintement du chapelet de grelots métalliques fixé au-dessus de l'embrasure. La jeune femme, stoppa son travail, releva la tête, jeta un coup d'œil sur la pendule du comptoir et toisa Clément avec la ferme détermination de lui signifier qu'il arrivait trop tard ; Clément ne lui laissa pas le temps d'exprimer son opposition et lui expliqua en la suppliant du regard, qu'il était un habitué, qu'il avait réalisé un effort spécifique pour arriver à cette heure, qu'il partait le lendemain pour un déplacement professionnel de dix jours à Varsovie et qu'il se voyait difficilement conserver plus longtemps l'épaisse tignasse qu'il arborait actuellement… L'argumentaire, la bonne tête et le sourire charmeur de Clément eurent raison de la jeune femme qui rangea son balai, alla fermer la porte du salon à clé et tirer les stores de la devanture afin de manifester clairement à la clientèle que le salon de coiffure était cette fois, définitivement fermé.
Clément se détendit aussitôt, il savourait désormais la récompense de son effort et le fait de se retrouver en tête-à-tête avec la jeune coiffeuse qu'il connaissait déjà puisqu'elle était habituellement préposée aux shampoings. Il était déjà passé entre ses mains et se souvenait que cette belle plante avait des doigts de fée : elle excellait dans l'art de masser le cuir chevelu ! Bien qu'ayant souvent entendu Emile Anselme, le patron du salon, s'adresser à la jeune femme en l'appelant par son prénom, Clément ne s'en souvenait pas. Décidé à engager la conversation avec cette coiffeuse attirante, Clément lui demanda son prénom non sans avoir préalablement dévoilé le sien. Elle se prénommait Mathilde. "Qu'est-ce que je vous fais ce soir Clément ?" lui demanda la coiffeuse. Surpris par cette familiarité, le jeune homme répondit du tac au tac : " Comme d'habitude Mathilde, une coupe au ciseau après un bon shampoing comme vous seule savez les faire !"
Souriant à ce compliment, Mathilde installa et attacha l'inévitable blouse protectrice en nylon bleu marine autour du cou de Clément et conduisit ce dernier vers le fauteuil des shampoings. Là, d'un coup de pédale, Clément se sentit basculer doucement en arrière , dans une position confortable, quasi horizontale, jusqu'au contact de sa nuque avec le rebord glacé du lavabo. Mathilde actionna d'abord la douchette attendant que l'eau atteigne une température tiède agréable et commença à lui rincer délicatement les cheveux. Elle versa ensuite une dose abondante du shampoing favori de Clément à l'extrait d'amandes douces qui lui rappelait la saveur du sirop d'orgeat de son enfance et entama son travail de massage du bout de ses longs doigts : elle avait l'art de masser longuement et doucement le cuir chevelu en s'attardant plus particulièrement sur les tempes et la nuque mais en ne négligeant jamais un seul endroit de la tête. Clément se sentit immédiatement bien, ferma les yeux et s'abandonna à une torpeur apaisante en se laissant bercer par le mouvement rotatif de ces doigts sur sa tête ; curieusement, Mathilde n'économisait pas son temps et redoublait d'une ardeur lente et déterminée dans son massage ; Clément adorait ces moments qui provoquaient chez lui des frissons de plaisir successifs. Sa surprise était sans cesse renouvelée puisqu'il ne savait jamais à quel endroit précis les doigts de Mathilde allaient s'attarder ni à quel rythme la jeune femme allait s'employer ; étonnamment, ces massages éveillaient la sensualité de Clément qui sentait son anatomie de mâle se raidir en même temps que Mathilde massait son cuir chevelu. Il ne pouvait s'empêcher de penser que le massage sensuel dont il était l'objet était d'un érotisme très abouti ! Clément alla même jusqu'à imaginer l'extase à laquelle Mathilde pourrait le conduire si celle-ci déployait un talent identique pour éveiller et détendre son sexe avec ses mains, ses doigts, sa bouche, ses lèvres et sa langue… Heureusement, Clément était protégé de la visibilité de son émoi physique par la blouse de nylon qui recouvrait ses cuisses sans laquelle le renflement de son jean ne serait guère passé inaperçu auprès de Mathilde… Clément ressentait un puissant sentiment de désir renforcé par le jeu d'observation dans les miroirs du salon du corps envoûtant de Mathilde, de son propre corps et surtout par la prise de conscience de ses propres sensations physiques du moment.
Mathilde était bras nus, vêtue d'une jupe longue en lin couleur lavande et portait un tee-shirt moulant en coton blanc sous lequel Clément pouvait distinguer une poitrine relativement généreuse soutenue par un wonderbras noir dont on apercevait assez bien les contours . La shampouineuse rinça une première fois les cheveux du jeune homme et attaqua à son plus grand plaisir le dernier shampoing. Clément ferma délicieusement les yeux et s'abandonna une nouvelle fois aux doigts experts de Mathilde, tous ses sens en éveil…La phase shampoing terminée, Clément rejoignit l'un des fauteuils devant le grand miroir et entrepris de discuter avec Mathilde tandis que cette dernière commençait à lui couper les cheveux. Mathilde a 27 ans et travaille dans le métier depuis six ans déjà, elle a un copain légionnaire qui part souvent en manœuvre sur des terrains d'opérations à l'étranger et habite un petit studio dans le quartier de Ménilmontant. Clément, après lui avoir parlé de son métier de consultant en stratégie et de sa mission pour un grand groupe automobile français qui devait le conduire demain en Pologne lui avoua à quel point il avait apprécié ses massages du cuir chevelu en lui expliquant retrouver dans cette pratique un plaisir qui n'avait rien à envier aux massages thaïlandais ! Mathilde se mit à rire du compliment et lui dit d'un sourire malicieux : "vraiment Clément ?"
A cet instant, le jeune homme saisit le bras de Mathilde sans mot dire, s'empara de la paire de ciseaux qu'elle tenait dans sa main droite, la laissa tomber au sol dans un bruit métallique et pressa la main de la jeune femme sur sa blouse au niveau de son pantalon. Mathilde ne fut en rien gênée par l'initiative de Clément et toujours en silence, se mit à le regarder droit dans les yeux avec sérieux tout en faisant remonter la blouse au-dessus de sa ceinture de cuir noir. Elle entreprit alors très mécaniquement de défaire un à un les boutons de sa braguette et introduisit rapidement sa main et ses longs doigts sous l'étoffe du pantalon à la recherche de la fente de son caleçon et d'un premier contact charnel avec le membre en pleine érection du jeune homme ; après quelques tâtonnements, elle arriva rapidement à ses fins et palpa sous ses doigts le volume et les formes de la verge descendant doucement jusqu'aux testicules de Clément. Elle se mit alors à les manipuler avec douceur et dextérité en les faisant rouler délicatement à l'intérieur des bourses dans toutes les directions. Clément fermait déjà les yeux et se laissait faire dans ce balais infernal. Mathilde actionna ensuite la commande du fauteuil qui lui permit de le monter à la hauteur maximale et de rompre le silence dans lequel ces deux êtres étaient toujours plongés. Elle entreprit alors de libérer complètement le sexe de Clément à l'air libre….Après un coup d'œil prudent, par sécurité, à la devanture du salon de coiffure, elle s'assura que personne ne pouvait les observer de l'extérieur. Rassurée, elle acheva de débarrasser Clément de son pantalon, lui ôta son caleçon et se contenta de lui laisser sa chemise dont elle avait défait les boutons. Mathilde admirait le torse brun et viril de son client et le caressa longuement... Mathilde regarda alors Clément dans les yeux, lui sourit et lui chuchota : "J'ai envie de toi…"
Du fait de la position du siège, elle pencha sans peine son visage vers l'objet de son désir et commença à l'enduire de salive, lui donna quelques coups de langue avant de le mettre avec délectation dans sa bouche et de contracter ses joues sur l'organe déjà tout dur. Elle commença ensuite à exercer quelques sucions et à aspirer les premiers centimètres de chair dans sa bouche gourmande; en même temps, elle décalottait le gland en tirant vers le bas la peau beige du prépuce jusqu'à tirer modérément sur le chanfrein. Le gland couleur cerise de Clément tout enduit de salive était devenu étincelant sous le feu des spots du plafond. Mathilde allait et venait doucement avec sa bouche sur le sexe de Clément l'enfournant toujours un peu plus dans la profondeur de son palais et de sa gorge. Le jeune homme pouvait aisément observer les grands yeux noirs de la shampouineuse qui savourait ces instants avec délectation. Mathilde s'était désormais positionnée devant lui entre ses jambes, il pouvait admirer le contact de ses lèvres sensuelles masser son membre toujours dur comme du bois. La respiration de Mathilde devenait plus audible au fur et à mesure que celle-ci accélérait ses vas et viens et l'excitation de Clément était maintenant renforcée par la perception des premiers gémissements de Mathilde.
Encouragé par ces fougueux ébats buccaux, Clément attrapa le tee-shirt de la jeune femme et replia sa jambe droite afin de l'attirer à côté de lui ; glissant sa main droite sous la jupe il caressa son entrecuisse en remontant jusqu'à son pubis et l'incita par ces caresses à écarter les cuisses. Clément faisait glisser ses doigts dans les poils de Mathilde et immobilisait de temps à autre sa main chaude sur le sexe de Mathilde comme pour le couver sous sa paume. Puis, lentement, il commença à exciter le sexe de la jeune femme en effleurant ses grandes lèvres. Mathilde ne tarda pas à manifester un désir croissant par des gémissements plus expressifs et par la libération de ces sécrétions lubrifiantes qui encourageait Clément à redoubler de sensualité. En même temps que Clément s'occupait de Mathilde, celle-ci saisit le sexe de ce dernier dans sa main droite et commença à le masturber consciencieusement ; dans cet exercice elle s'approcha du jeune homme en frottant sa poitrine sur le visage de Clément qui léchait et mordillait son sein gauche à travers le tissus de coton ; il sentait son téton qui s'était durci et qui saillait à travers le tee-shirt. Empli d'un désir toujours plus puissant, Clément ne résista pas à l'envie de soulever le tee-shirt de Mathilde et de lui ôter son wonderbras afin de jouir d'un contact direct entre ses seins, sa main et sa bouche ; il faisait maintenant tournoyer sa langue sur le téton et aspirait à la fois avec douceur et avidité l'ensemble du mamelon et de son téton dans sa bouche gourmande. Mathilde accélérait le mouvement de masturbation pour les synchroniser avec les gémissements de plus en plus courts de Clément : le salon de coiffure était à la surprise générale des deux acteurs devenu une salle de concert érotique où chaque compositeur était parfaitement au diapason des désirs de l'autre. Les plaintes de l'un et de l'autre étaient de plus en plus vives ; Clément indiqua à Mathilde qu'il était proche de l'extase ; cet aveu renforça le désir de jouissance de Mathilde, nul besoin de mots pour comprendre qu'elle était également au bord de l'orgasme. Clément pénétrait Mathilde avec son pouce et excitait de plus en plus vivement son clitoris avant de la fouiller plus loin dans des gestes alternativement droits et circulaires. Il sentit tout d'un coup une contraction de son vagin plus forte que les autres qui s'accompagna d'un cri doux et aigu de jouissance ; la vision de la gravité de son visage, la perception de cette plainte suppliante et plus longue que les autres conduisant au paroxysme mêlée aux spasmes maintenant bien réels de la shampouineuse furent les éléments déclencheurs de la jouissance de Clément qui s'abandonna dans un long râle, libérant plusieurs jets de sperme chaud dont les derniers coulèrent sur la main qui l'avait ainsi conduit au plaisir. Les deux êtres après un long baiser pendant lequel leurs langues s'aspiraient et s'enroulaient l'une autour de l'autre finirent de se déshabiller, éteignirent les lumières du salon et désireux de continuer sur cette belle lancée trouvèrent une position qui leur permit de s'emboîter l'un dans l'autre tout en restant assis sur le fauteuil du salon de coiffure. Ils passèrent encore du temps à faire l'amour ; leurs sensualités se complétaient à merveille.
Passée l'heure où Paris s'éveille, Mathilde prévint Clément qu'il leur faudrait quitter le salon au risque de se faire surprendre par la femme de ménage du salon de coiffure qui arrivait généralement vers six heures. Les deux jeunes amants se tutoyaient ; ils s'embrassèrent encore longuement et se séparèrent à contrecoeur…. Mathilde chuchota en souriant à Clément de revenir le plus vite possible se faire couper les cheveux tard le soir ! Clément était heureux, il savait qu'ils se reverraient très vite ….
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