La situation m'échappe

- Par l'auteur HDS Florence coiffeuse -
Auteur femme.
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Récit libertin : La situation m'échappe Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
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La situation m'échappe
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --


Je suis toujours Florence, une jolie femme de 46 ans, 1m68 pour 57 kg, cheveux châtains méchés en blonds yeux marron. Mariée, Sage, sans histoire, je possède deux salons de coiffure. Plutôt BCBG je suis fière de moi et de ma réussite et je vous dois la suite de mes aventures pour faire venir des clients homme dans mon salon exclusivement spécialisé en cliente BCBG de 20 à 77 ans.
J'avais appâtée un jeune client avec mes formes, mais cela semblait sans suite.
Quelle ne fut pas ma surprise de le voir arriver en fin de matinée au salon, avec un autre homme.
Il vient droit sur moi et demande si une coupe pour lui et son ami son possible .
Je me maudis de ne pas m'être mieux préparée à cette venue. Des bottes hautes, des dims up, une jupe à mi-cuisses sans vrai charme, un chemisier blanc en coton assez épais sur un simple soutiens-gorge à balconnet ... je me serai faite plus sexy … il le devine dans mon regard et insiste – nous venons à l'improviste mais nous savons que nous ne serons pas déçu-
Je décide de les installer sur deux postes voisins et je confie le deuxième à Gaëlle qui sera obligée de s’occuper de lui et aussi des arrivées et d'une autre cliente. Je me ménage ainsi des moments seuls avec eux ... on ne sait jamais …

Nous échangeons les banalités d'usage et je vois que mon client regarde sans cesse vers mes seins et je vois la déception dans son visage. Mais je m'en moque, je ne suis pas d'humeur. L'autre fois je lui ai laissé deviner mes seins par l'ouverture de ma chemise, mais j’étais aux abois à l'époque. Aujourd'hui c'est différent, les fêtes arrivent, le salon est toujours plein, les affaires reprennent. Et puis je ne suis pas une écervelée, une fille facile ! Donc non, ils ne verront rien !
Dès que Gaëlle s'absente il attaque -il est évident que vous n'êtes pas dans les mêmes dispositions que l'autre jour, dommage, mon ami et moi étions venue spécialement pour vous-
Franchement vexée je me lâche- eh oui, après l'heure c'est plus l'heure et puis je ne suis pas à vendre -
Gaëlle arrive, mais ces deux coquins échangent un regard et le deuxième enchaîne tout haut – c'est intéressant ce que vous dites là, car moi je pense que tout dépend du prix proposé, car il ne s'agit pas d'un achat mais d’une mise à disposition, qu'en dire votre madame ? -
D'un seul coup j'ai peur, je sens que la situation m'échappe, Gaëlle ne me sera d'aucune aide et toutes les clientes présentes sont de véritable commère qui tendent l’oriel qui ne me lâcheront jamais si je fais un scandale en remettant ce gamin à sa place. Autant l'autre fois j'avais trouvée le jeu amusant et même sexy de montrer mes formes autant aujourd'hui je n'ai pas envie et je sens pourtant que je vais être contrainte de le faire. Ils poursuivent tout haut – moi je pense que 100 euros c'est un bon pris ? Non ? - .
Je ne rêve pas, il vient de proposer de m’acheter ! Comme une simple marchandise !
Le malaise s’installe, Gaëlle me regarde avec de gros yeux tout rond, le silence se fait sans le salon, tous les yeux sont sur moi … je n'ai pas d'autre choix que jouer à la coiffeuse trouvant ses clients ADORABLE – mais oui vous avez tout à fait raison, tout dépend de la somme proposée, mais 100 me semble faible, enfin c'est mon avis -
C'est gagné, mon ton enjoué et jovial a détendu l’atmosphère et le salon vit de nouveau. Gaëlle s’absente – que voulez-vous ? Le grand dit menaçant : - tout d'abord vous êtes Ok pour les 100 euros ? -
Je suis rouge de honte et de colère mais je veux que tout cela se termine vite – oui d’accord, que dois-je faire ? -
-c'est simple vous enlevez ce soutif, vous ouvrez des boutons et on regarde vos seins pendant que vous nous coiffez, vous et uniquement vous, voilà pour commencer -
Je dois reprendre la situation en main et vite me débarrasser de ces gamins. Je vois Gaëlle qui nous laissera tranquilles, je file à mon bureau, j'enlève mon soutiens-gorge, remet ma chemise, vérifie dans la glace ce qu'ils vont voir. J'essaye de me convaincre que ce n'est pas grand-chose, mais je suis bien obligée de reconnaître que ces gamins de 22 ou 25 ans vont me contraindre à faire une chose que je n'avais pas envie de faire mais ils ont tellement bien choisi leur moment où je suis coincée.
C'est décidé je le fais ! mais plus vite se sera finis mieux ce sera.
Revenue vers eux je m'occupe d'eux en prenant soin de leur offrir des vues sur mes seins sans que personne d'autres puissent les voir. Ils semblent satisfaits, un instant j'espère que cela touche à sa fin, mais je me trompe. Tout bas l'un d'eux ajoute : -la vue c'est bien, mais le toucher serait mieux, et pour 100 cela semble un minimum, exécution! -
Ce mot exécution, dis doucement mais avec force est comme un électrochoc pour moi. Je ne maîtrise plus rien, je me sens seule et en dangers à la merci de ces deux individus. J'aurai dû couper court dès le début, maintenant c'est foutu. Ce qui m'avait tant plu à faire la première fois en montrant ma poitrine parce que j'avais décidé de le faire, me dégoutte aujourd'hui car je le fais sous leur autorité. Leurs yeux qui fouillent ma poitrine me mettent mal à l'aise, je sent que mes tétons pointés et cela me fait honte. Et maintenant je me débrouille pour qu'avec un maximum de discrétion mes seins se posent sur leurs épaules, touchent leurs dos, je me penche en avant, attrapent des objets en faisant exprès de les frôler, de les toucher avec mes seins, des fois à travers le tissu de ma chemise, des fois je m'y prends si bien que je sens le contact de leur peau sur mes nichons... je m'occupe de chacun d'eux ... cela dur 5 minutes... cela dur une éternité … j'ai l'impression que toutes les clientes ont remarquées mon manège... mais non, tout est calme, chacune papote et mes deux assistantes virevoltent de cliente en cliente … heureusement que j'avais installée ces deux salopards dans un coin calme du salon …

-Voilà messieurs c'est finis !! je vous laisse passer à l 'accueil-
-Merci ce fut un plaisir et c'est donc à la caisse que vous nous donnerez notre cadeau-
-..... -
le plus grand rajoute tout bas – et oui la vielle, t'a rien vu mais ont a filmé ton show avec nos portables, une dame aussi respectable que toi qui coiffe ses clients seins nue .. c'est pas bien !!
donc tu dis adieu aux 100 euros et maintenant tu va nous proposer de te suivre dans ton bureau, exécution-

Comme une automate, j'obéis, ils me suivent à mon bureau, je croise Leila, l'autre assistante qui me demande si ça va. Dans un total brouillard je sourie et la rassure puis je rentre avec les deux hommes dans mon bureau.
Tremblante de peur je dis – je vous préviens, si vous me faite mal je crie, tant pis pour vous-
-t’inquiète la vielle, tu va pas crier car tu es trop engagée et puis de toute façon ont veux juste s'amuser alors tu va obéir rapidement et tout ira bien. Mets toi bien à la lumière que les image de la vidéo soit bien nette. Maintenant tu va tout simplement remettre ton soutif en restant bien face à l'objectif de nos portables. Allez dépêche ! -
C'est l’horreur, je suis comme une automate, j’enlève ma chemise, torse nue devant eux je vais à mon bureau chercher mon haut que j'avais mis dans un tiroir, je reviens au milieu de la pièce et me rhabille. Je fait vite car si une assistante prend idée de rentrer, c'est la catastrophe.
-et maintenant c'est finis?-
-juste un dernier détail, répond à la question, tu porte un string ou une culotte ? »
-un string -
-dommage pour toi ! mauvaise réponse, tu ne peut pas le garder-
-pourquoi???-
-réfléchie pas, enlève le vite!-
d'accord mais vous ne filmez pas-
-ok, dépêches-toi et pose le sur ton bureau-
J’enlève mon String devant eux ...
Le temps de le faire et Gaëlle passe la tête par la porte – tout va bien Madame? -oui Gaëlle, j'arrive, je finis juste avec ces messieurs-
Le grand regarde mon string blanc posé sur le bureau et tout naturellement ajoute
-c'est parfait comme support, écrivez votre numéro et signez dessus ce sera parfait-
Gaëlle est restée à la porte, elle ne voit pas le dessus du bureau, j’étale mon string et avec un marqueur je note mon portable et en mettant rapidement mon dessous dans la main du grand j'ajoute- Gaëlle soyez gentille raccompagnée ces messieurs-
C'est fini, je suis seule dans mon bureau, je suis dévastée, humiliée, je me sens sale et rabaissée... je viens d'être soumise pour la première fois de ma vie... et je me dégoûte … n'aie-je pas aimée cela finalement ????

Les avis des lecteurs

bien sur que si tu aimes cela, je suis sur que tu n'a jamais autant mouillée que dans ces moments la. tu es faite pour te distraire dans l'abandon de toi. continue

Histoire Erotique
je suis sur que ca t a fait mouiller de exhiber en sachant que des yeux pouvaient te vois ; tu vas surement recommancer avec ces deux salopards :)



Texte coquin : La situation m'échappe
Histoire sexe : Une rose rouge
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