la soirée continue, ma deuxième jouissance extrême
Récit érotique écrit par Bob [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2008 dans la catégorie Plus on est
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la soirée continue, ma deuxième jouissance extrême
Isabelle proposa à mon épouse d’aller se refaire une petite beauté dans la salle de bains, histoire d’être encore plus désirable.
-On revient me dit-elle. Reprends tes esprits et prépare toi à la suite.
Mais plusieurs minutes s’écoulèrent quand je perçus alors des gémissements de plaisir. Je montai alors rapidement à la salle de bains et je vis alors un spectacle très excitant.
Isabelle se trouvait à genoux devant Véronique. Elle avait sa tête entre les deux cuisses de ma femme et elle lui relèchait le sexe. Elle lui avait relevé sa jupe et baissé son top. Ma femme était encore plus belle, elle s’était maquillée à nouveau. Pendant qu’Isabelle enfouissait sa langue dans son sexe, ses deux mains s’affairaient sur son clito. Ses ongles vernis rouge m’excitaient en se frottant sur son sexe.
-On ne s’ennuie pas à ce que je vois, je vous rappelle mesdames que c’est mon anniversaire.
Mon sexe était à nouveau dur. Les filles ne m’entendaient pas. Isabelle était très concentrée sur le plaisir qu’elle donnait à Véronique. Je voulais aussi participer. Je m’approchai alors et caressai les cheveux de ma femme. Elle me regarda et me dit :
-Oh chéri, c’est divin. Je vais bientôt jouir mais toi prends ton pied, occupe toi d’Isabelle. Caresses-là.
Je ne me fis pas prier. Je lui relevai alors les fesses, lui retroussa sa petite robe en strech. Elle se laissait faire approuvant par de petits gémissements. Son string était magnifique : il était en vinyl noir et lui moulait sa petite chatte laissant deviner ses lèvres. Je glissai alors une main sous la ficelle et caressai tendrement sa rondelle. C’était sec. Il fallait lubrifier tout cela. Sans hésiter, je sortis ma langue et lui lècha son anus. J’étais très excité surtout quand ma femme me regardait. Isabelle ondulait ses fesses. Son odeur de cul était forte mais très sexuelle. Elle adorait cela. Isabelle continuait sa besogne sur ma femme, la lèchait mais aussi elle la pénètrait avec ses doigts. Véronique était au bord de la jouissance, je la sentais se contracter et s’activer sur son clito qu’elle caressait vivement. Puis au bout de quelques instants, elle râla intensément. Ses doigts s’immobilisèrent et elle se mit à jouir très fort. Elle inonda de plaisir le visage d’Isabelle. Puis elle s’assit par terre pour reprendre son souffle. Pendant ce temps, je continuais mon exploration anale. Je lui dilatais la rondelle à grand coup de langues et mes doigts lui élargissait le conduit. Isabelle me regardait puis me demanda si on pouvait s’installer un peu mieux. Je l’invitai donc dans la chambre, laissant ma chérie reprendre ses esprits.
Isabelle enleva sa robe et son string en vinyl mais laissa ses bottes à ma demande. Ca m’excite les bottes. Elle se coucha sur le dos et releva ses jambes pour me faciliter l’accès à son petit cul. Je continuai à lui lécher l’anus et à la doigter cette fois-ci j’introduisis deux doigts. Elle était ouverte et l’envie de la prendre avec mon sexe me démangeait. Elle le comprit dans mon regard et me demanda de l’enculer. J’approchai donc mon sexe de cette petite rondelle suintante de salive et enfonça tout doucement mon gland. Je poussai un peu et tout mon gland rentra sans difficulté. Isabelle me regardait et se caressa alors le clitoris. Son vernis rouge m’excitait et je la regardais sans relâche. Je commençai de lents va et vient et la pénétrai encore un peu plus loin. Isabelle s’activait sur son clito et me demanda de la prendre encore plus loin. Ce que je fis immédiatement. Tout mon sexe entra donc dans son anus. Je la pilonnais de plus en plus fort et de plus en plus vite. Son visage se contracta et je sentis alors sa jouissance m’éclaboussai mon bas ventre. C’était fantastique de voir celamais je n’avais pas encore joui. Elle me demanda de me retirer et pris ma queue dans sa bouche. Elle me pompa pendant plusieurs minutes s’appliquant avec sa langue. Puis je jouis intensément au fond de sa gorge. Sans en perdre une seule goutte, elle avala tout mon sperme. Il était presque minuit et j’avais déjà joui deux fois. Cette soirée était incroyable. Tout ce que j’avais fantasmé se réalisait.
-On revient me dit-elle. Reprends tes esprits et prépare toi à la suite.
Mais plusieurs minutes s’écoulèrent quand je perçus alors des gémissements de plaisir. Je montai alors rapidement à la salle de bains et je vis alors un spectacle très excitant.
Isabelle se trouvait à genoux devant Véronique. Elle avait sa tête entre les deux cuisses de ma femme et elle lui relèchait le sexe. Elle lui avait relevé sa jupe et baissé son top. Ma femme était encore plus belle, elle s’était maquillée à nouveau. Pendant qu’Isabelle enfouissait sa langue dans son sexe, ses deux mains s’affairaient sur son clito. Ses ongles vernis rouge m’excitaient en se frottant sur son sexe.
-On ne s’ennuie pas à ce que je vois, je vous rappelle mesdames que c’est mon anniversaire.
Mon sexe était à nouveau dur. Les filles ne m’entendaient pas. Isabelle était très concentrée sur le plaisir qu’elle donnait à Véronique. Je voulais aussi participer. Je m’approchai alors et caressai les cheveux de ma femme. Elle me regarda et me dit :
-Oh chéri, c’est divin. Je vais bientôt jouir mais toi prends ton pied, occupe toi d’Isabelle. Caresses-là.
Je ne me fis pas prier. Je lui relevai alors les fesses, lui retroussa sa petite robe en strech. Elle se laissait faire approuvant par de petits gémissements. Son string était magnifique : il était en vinyl noir et lui moulait sa petite chatte laissant deviner ses lèvres. Je glissai alors une main sous la ficelle et caressai tendrement sa rondelle. C’était sec. Il fallait lubrifier tout cela. Sans hésiter, je sortis ma langue et lui lècha son anus. J’étais très excité surtout quand ma femme me regardait. Isabelle ondulait ses fesses. Son odeur de cul était forte mais très sexuelle. Elle adorait cela. Isabelle continuait sa besogne sur ma femme, la lèchait mais aussi elle la pénètrait avec ses doigts. Véronique était au bord de la jouissance, je la sentais se contracter et s’activer sur son clito qu’elle caressait vivement. Puis au bout de quelques instants, elle râla intensément. Ses doigts s’immobilisèrent et elle se mit à jouir très fort. Elle inonda de plaisir le visage d’Isabelle. Puis elle s’assit par terre pour reprendre son souffle. Pendant ce temps, je continuais mon exploration anale. Je lui dilatais la rondelle à grand coup de langues et mes doigts lui élargissait le conduit. Isabelle me regardait puis me demanda si on pouvait s’installer un peu mieux. Je l’invitai donc dans la chambre, laissant ma chérie reprendre ses esprits.
Isabelle enleva sa robe et son string en vinyl mais laissa ses bottes à ma demande. Ca m’excite les bottes. Elle se coucha sur le dos et releva ses jambes pour me faciliter l’accès à son petit cul. Je continuai à lui lécher l’anus et à la doigter cette fois-ci j’introduisis deux doigts. Elle était ouverte et l’envie de la prendre avec mon sexe me démangeait. Elle le comprit dans mon regard et me demanda de l’enculer. J’approchai donc mon sexe de cette petite rondelle suintante de salive et enfonça tout doucement mon gland. Je poussai un peu et tout mon gland rentra sans difficulté. Isabelle me regardait et se caressa alors le clitoris. Son vernis rouge m’excitait et je la regardais sans relâche. Je commençai de lents va et vient et la pénétrai encore un peu plus loin. Isabelle s’activait sur son clito et me demanda de la prendre encore plus loin. Ce que je fis immédiatement. Tout mon sexe entra donc dans son anus. Je la pilonnais de plus en plus fort et de plus en plus vite. Son visage se contracta et je sentis alors sa jouissance m’éclaboussai mon bas ventre. C’était fantastique de voir celamais je n’avais pas encore joui. Elle me demanda de me retirer et pris ma queue dans sa bouche. Elle me pompa pendant plusieurs minutes s’appliquant avec sa langue. Puis je jouis intensément au fond de sa gorge. Sans en perdre une seule goutte, elle avala tout mon sperme. Il était presque minuit et j’avais déjà joui deux fois. Cette soirée était incroyable. Tout ce que j’avais fantasmé se réalisait.
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