La strip-teaseuse (2)
Récit érotique écrit par Petiteblondie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-10-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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La strip-teaseuse (2)
Il forçait de plus en plus fort la bouche de la blonde en multipliant les insultes.
— Garde-moi bien au fond salope et regarde moi dans les yeux.
Il la récompensa d’une caresse sur les cheveux, comme l’on gratifierait un chien. Ensuite, il tira sur ses cheveux pour se dégager de la bouche de la jeune femme. Il l’embrassa à pleine bouche avant de lui susurrer à l’oreille : « c’est en toi que je veux jouir guapa ». Il la fit se lever alors que lui était assis sur le rebord du lit. Face à lui, nue, elle lui était totalement soumise. Il lui malaxait les seins, les suçaient, les claquaient, les pinçaient, les mordaient…
Elle gémit longuement le prénom de l’homme d’affaire qui sourit malicieusement.
— Je savais que tu en redemanderais.
Il lui claqua doucement la joue avant de lui demander de se mettre à quatre pattes sur le lit.
— Ma belle Natascha, aujourd’hui on prend du plaisir, je te fais jouir comme jamais tu n’as jouis. Mais ce soir tu seras mon bijou, à mon bras à une soirée d’affaire.
Elle hocha la tête. C’était pourquoi elle avait été engagée, accompagner Adrian à cette soirée et au voyage d’affaire durant la semaine. Elle réfléchissait au comportement qu’elle devait avoir durant ces prochains jours lorsqu’elle se cambra violemment alors qu’il entra en elle sans prévenir.
— T’es trempée, une vraie chienne.
Il la tenait par les cheveux en claquant ses fesses. Les gémissements de la blonde s’accentuait au même rythme que les coups de bassins. Adrian n’y allait pas de main morte, il se défoulait en elle. Les fesses de la blonde étaient devenues rouges, elle tremblait face à l’orgasme qui la terrassait alors que le brun ne cessait de la marteler.
— Même si tu perdais connaissance je continuerais guapa.
Il accéléra le rythme de ses coups de butoir alors que Natascha s’était écroulée sur le matelas. Elle sentait le membre dur de l’homme taper tout au fond d’elle. Elle n’avait plus aucune force mais ses gémissements n’avaient pas cesser.
— Bouge ton petit cul salope. Fais-moi jouir.
Il claque ses fesses jusqu’à ce que Natascha se mette à bouger comme il l’avait demander. La vue de cette belle blonde allonger sur le ventre, à ses ordres, bougeant ses fesses l’excita encore plus. Il ralentissait la cadence mais ses allés et venus étaient plus fort en elle. Il l’utilisait pour son plaisir et finit par venir en elle.
— Je t’interdis de te laver avant ce soir. Profite d’être rempli. Je veux pouvoir t’utiliser encore et encore sans avoir peur de te salir avant que nous allions à mon gala de charité. Donc, reste en maillot de bain, et rejoins moi dans une demie heure en bas.
Il se dégagea de cette vulve trempée et pleine de sperme avant de claquer les fesses de la jeune femme pour la remercier. Elle s’allongea sur le dos et resta étendue un moment sur le lit. C’était le seul client qui avait le droit de ne pas mettre de préservatif, mais ça son époux n’en savait rien. Elle se releva, enfila de nouveau ce maillot de bain qui ne cachait presque rien. Elle sentait le sperme de celui à qui elle appartenait pour la semaine, couler entre ses jambes, se mêler à sa propre cyprine.
Elle descendit et retrouva Adrian dans le salon. Il sourit perversement en voyant la jeune femme arriver vers lui. Il lui fit signe de s’asseoir près de lui. Elle découvrit une nouvelle fois le short de l’homme déformé par la bosse d’envie que formait son membre.
— Tu vois l’état dans lequel ton corps me met petite chienne ?
Il l’embrassa le cou de la jeune femme en glissant sa main entre les jambes de cette dernière. Elle était encore humide de leur ébat précédent. Il retira sa main en rigolant.
— J’ai peur de trop te faire plaisir alors que c’est pour mon plaisir que tu es là. Alors tu vas t’asseoir sur mes genoux, frotter ce petit corps contre le mien. Je t’interdis de jouir, de gémir. Je vais te torturer en expliquant ce que tu seras ces soir. Je suis clair salope ?
Natascha s’exécuta. Pendant que ses mouvements faisaient appuyer ses fesses sur le membre d’Adrian, ce dernier glissa sa main sous le haut de maillot de bain de la danseuse et tirait, pinçait, malmenait, les seins fermes de la blonde. De sa main libre, il claquait les fesses rebondies de la danseuse pour l’inviter à accélérer ses mouvements de bassin.
— Ce soir, tu vas mettre la robe qui sera posée sur ton lit quand tu montras. Tu mettras des bas et un porte-jarretelles, je veux que ceux qui nous voient ensemble sachent que tu es à moi. Tu mettras un string et pas de soutien-gorge, je veux voir tes tétons pointés à travers le satin.
Alors qu’il parlait il la bascula sur l’accoudoir du canapé, baissa le maillot de la jeune femme, enleva son propre short et la pénétra violemment.
— Tu vas te maquiller, mettre un rouge à lève rouge, saillant. Je veux que les hommes qui te voient et envie de toi et se disent que tu dois prendre tarif avec moi.
Il claquait ses fesses qui devenaient de plus en plus rouge. Ses coups de reins étaient de plus en plus rapides et surtout de plus en plus violents. Il embrasse suavement le cou de la blonde et tira sur ses cheveux pour la cambrer un peu plus avant de chuchoter à son oreille :
— Et n’oublie pas Natasha, si j’ai envie de toi tu ne peux dire non, c’est où je veux, quand je veux.
Sur ces dernières paroles il éjacula en elle. Natascha avait les jambes tremblantes, elle n’avait pas encore jouis.
— Va te préparer et je t’interdis de jouir guapa.
La blonde fit la moue après avoir secouer ses fesses, comme pour remercier son amant de la semaine.
Il lui fit un clin d’oeil après avoir claquer ses fesses une dernières fois.
La blonde fit un passage à la salle de bain pour se laver. Puis, elle rejoignit la chambre où elle trouva une petite robe qui ressemblait plus à une nuisette qu’à une robe. C’était une pièce courte, rouge, en satin. Assez simple, avec des petites bretelles. Simple, mais elle savait que ses formes allaient être moulées dans cette robe et surtout aller attirer l’oeil. Après s’être maquillée et avoir enfilé ses bas, elle enfila la fameuse robe et ajusta son porte-jarretelle. A ce moment, Adrian entra. Il passa sa langue sur ses lèvres.
— Il va être difficile de tenir toute la soirée sans t’utiliser Natascha.
Il posa une main sur les fesses de la blonde qui sourit.
— Vous n’avez pas à tenir toute la soirée Adrian. Je suis à vous.
Natascha se devait de répondre, devait l’aguicher, c’était son travail. Et cela fonctionnait, il l’embrasse goulument en malaxant ses seins à travers la robe qui dévoilait effectivement les tétons bien durs de la blonde.
— Ce soir, je suis Monsieur Trident pour toi guapa.
— Bien Monsieur.
Il la gratifia d’une tape sur les fesses et lui chuchota « si tu es sage ce soir tu seras récompensée, maintenant, en voiture ! »
Gentleman, Adrian lui ouvrit la porte pour qu’elle monte et s’installa près d’elle. Il posa une main sur la cuisse de la danseuse et lui demanda si elle était mouillée. La blonde ne répondit pas mais écarta les cuisses pour qu’il vérifie par lui-même.
— Tu n’es jamais rassasiée Natascha.
Il rit avant de lécher sur index mouillé de la cyprine de la blonde. Il posa de nouveau sa main sur la cuisse de la jeune femme en caressant doucement l’intérieur. Elle l’excitait monstrueusement.
La réception avait tout d’une réunion entre hommes d’affaires influent et tous en compétition les uns avec les autres. Ils étaient tous accompagnés de leurs épouses, copine, une jolie fille mais les regards se posaient sur la croupe de Natascha, sur ses seins qui pointaient à travers le satin, ses fesses qui étaient, à chaque pas, quasi découverte. La robe remontait, presque à la moitié celles-ci laissant apparaître ses jambes gainées dans des bas à dentelle, et son porte-jaretelles. Nombreux sont ceux qui ont pincé leur entrejambe pendant qu’ils la regardaient.
A chaque fois que quelqu’un venait parler à Adrian, c’est elle qui était toisée, des regards, des sourires qui en disant long. Elle ne quittait pas Adrian. Lui se pavanait avec cette jeune femme à son bras comme un trophée, vantard, excité. Parfois, il passait sa main sur les fesses bombées de la jeune femme. Celle-ci souriait, parlait à celles qui lui adressait la parole. Bref, elle était la vitrine du jeune entrepreneur et elle l’avait bien compris.
— Tu es parfaite ce soir Nat, continues et tu seras récompensée.
Lui lança le jeune Adrian en la déshabillant du regard. Les mains du jeune homme sur le satin qu’elle portait, l’émoustillait, d’autant plus qu’elle n’avait pas pu jouir de l’après-midi. Le jeune homme en profitait, en jouait, en laissant ses doigts fleuré sa poitrine alors qu’il prétextait arranger son collier, ou lorsque son entrejambe se pressait contre ses fesses alors qu’il parlait avec un de ses collègue.
Une claque sèche retentit dans la salle alors qu’un homme haussa le ton sur la femme qui l’accompagnait :
— Tu sais quoi salope, mets toi à genoux maintenant.
Il la regardait moqueur. La scène glaça Natascha qui n’osait même plus respirer. Elle comprit dans quel genre de récéption elle était et cela la tétanisa. Adrian s’en rendit vite compte et caressa le dos de la jeune femme pour la calmer. Il lui sussura à l’oreille de ne pas s’inquiéter : « guapa ne t’en fais pas, même si je devais te punir cela restera entre nous ». Il lui embrasse le cou alors que la jeune femme, soulagée, soupira longuement.
L’homme qui avait ordonnée à celle qui est sa femme, de s’agenouiller à côté de lui cracha sur celle-ci. Adrian toisait les réactions de Nat, il voulait qu’elle comprenne plusieurs choses. Ils en parleraient dans la voiture. En regardant la scène qui s’offrait à eux, une femme violentée et forcée de faire une fellation à son époux, Adrian posa ses mains sur la poitrine de la jeune femme qui l’accompagnait, la pressa longuement en se frottant contre ses fesses.
— On s’en va Natascha.
Elle savait qu’une fois dans la voiture il allait s’occuper d’elle. Elle hocha la tête, en appréhendant tout de même la suite de la soirée. Alors qu’il l’aida à enfiler son manteau, il tira sur la bretelle gauche de sa robe qui craqua. Le jeune homme rit pendant qu’ils avançaient tout deux pour monter dans la voiture. A peine le chauffeur démarra, Adrian lança :
— Martin, prend ton temps, je veux apprécier cette balade nocturne.
Le chauffeur acquiesça et ferma la petite fenêtre qui séparait son siège et les passagers à l’arrière. Adrian retira sa veste et déboutonna les premiers boutons de sa chemise en regardant intensément la blonde face à lui qui attendait patiemment.
— Regarde toi Nat, la robe déchirée, ton rouge à lèvre rouge pétant, tu m’excites, une vraie salope.
En le regardant la jeune femme, qui avait retiré son manteau, jouait avec la bretelle cassée de sa robe. Il lui fit signe d’approcher, avant de l’embrasser presque avec violence. Il voulait la baiser comme une pute, ici dans cette voiture.
— Je vais te rappeler ta place de grosse pute, regarde-toi, tu étais à mon bras comme une princesse et là je vais te sauter comme une vulgaire chienne, à l’arrière de ma voiture de luxe.
Il la prit par le cou et enserra celui-ci légèrement :
— Et je sais que ça te plait ma salope.
Il tapa sur sa cuisse pour que la blonde laisse apparaître son string.
— J’aurais du te demander de l’enlever au milieu de la salle.
Il rit, en passant le bout de son indexe sur le tissu. Il l’insulta de nouveau, et lui notifia qu’elle était trempée. La jeune femme esquissa un sourire timide. Le bel Adrian l’avait excitée toute la nuit, le satin avait réveillée les sens de la jeune femme et elle était tendue par l’excitation. Au plus grand plaisir de son partenaire.
— Tu n’attends que ma bite en toi hein ? Bordel, je le savais que t’étais une chienne mais à ce point ? Je te loue et tu aimes ça ?
Il tira sur la deuxième bretelle de la robe avant de claquer les seins de la jeune femme. Il torturait ses tétons durcis par l’excitation, suçotait la peau tendue de la blonde en l’insultant. Il s’arrêta, regarda la jeune femme. Il retira sa ceinture, la plaça au cou de son amante et la boucla, comme une laisse.
— Allez, suce moi ma salope, et appliques-toi sinon je ne te laisse pas jouir encore ce soir.
Il appuya sur la tête de Natascha qui avait défait le pantalon de l’homme et baissé son caleçon. Elle titilla sa queue du bout de la langue avant qu’il tire sur la ceinture « arrête de me provoquer Nat. Je vais te déchirer, tu ne pourras plus marcher »
Cette phrase eut pour effet de faire sourire la jeune femme qui frissonna. Elle prit le membre d’Adrian entièrement sans bouche, elle faisait des vas et viens rapide en regardant le brun qui souriait satisfait de la soumission de la blonde. Elle faisait claquer le gland du jeune homme au fond de sa gorge. Il était satisfait de la voir s’étouffer sur sa queue, l’entendre étouffer l’excitait. Il voulait la prendre violemment, mais il ne voulait pas lui donner ce plaisir tout de suite.
Il retira sa queue de la bouche de la jeune femme et l’insulta de salope, de bonne pute, de chienne bonne qu’à sucer. Il la pris par la laisse improvisée et l’allongea sur le siège. Elle avait la tête au niveau des jambes de bruns qui se releva pour claquer le visage de la jeune femme avec sa queue durcie
La scène était torride à voir, maintenant il claquait avait entrepris de donner le même sort aux seins de son amante. Avec ses doigts ils frottaient le clitoris de la blonde, toujours à travers son string. Elle gémit bruyamment au plus grand bonheur du brun. Il s’assit au niveau de ses jambes et retira le string de la jeune femme. Elle portait toujours ses bas et son porte jarretelles. Adrian frotta sa queue sur les cuisses gainées de la jeune femme.
— T’es une vraie salope Nat, regarde comme tes jambes tremblent de désir.
Il tapa sur la vitre de son chauffeur pour qu’ils rentrent enfin à la maison.
— Je vais jouir sur tes jambes de salope, ouvre les bien et frotte ta chatte, chauffe moi Natascha.
La blonde, déçue de ne pas être prise par le brun, s’exécuta.
— Ne jouis pas Natascha.
Il la regardait froidement, en branlant son engin avant d'asperger les bas noirs de la blonde, de son foutre chaud. Il tapa la chatte de la jeune femme avec sa queue avant de réajuster sa robe. Ils étaient arrivés. Il l’aida à descendre alors qu’elle tremblait encore.
Et violemment, il la plaqua contre le capot de la voiture alors que son chauffeur était parti. Les fesses relevées, la jeune femme sentait l’excitation monter. Elle soupira d’excitation alors que le jeune Trident lui claquait les fesses, les rendant rouges. Sans qu’elle s’y attende, il la pénétra violemment.
— Sale pute, j’ai même pas besoin de te préparer, t’es trempée de m’avoir satisfaite. Putain ta chatte est serrée ma pute. Regarde-toi, t’attendais que ça salope. Ne t’avises pas de jouir sans mon autorisation c’est clair salope ?
La blonde gémit pour dire.
Il tira sur la ceinture qui était toujours nouée à son cou, ainsi que sur ses cheveux : « réponds sale pute ».
— Oui Monsieur, je ne jouirais pas.
Ses mots étaient soufflés, elle encaissait les coups de butoirs de son tortionnaire, elle se concentrait pour ne pas jouir alors que lui s’appliquait à la faire jouir. Il voulait la punir, et il allait y arriver. Il la cambra en tirant plus.
— T’aime ça salope te faire baiser sur le capot de ma voiture ? T’aimes ça m’appartenir et me servir sale pute. Je t’ai dit que t’allais en redemander, alors t’en redemande salope hein ?
Il s’arrêta net et sorti sa queue qui martelait Natascha. Celle-ci poussa un cri de surprise avant de tourner la tête pour regarder son bourreau. Il pris la blonde par le cou pour la retourner face à lui. Elle était dos sur le capot.
— Réponds-moi, je vais te laisser comme ça. Tu en redemandes salope ?
Presque honteuse, elle hocha la tête et murmura un petit oui. Il lui claqua les seins.
— Assume-le que tu es ma grosse chienne. Toujours excitée et en chaleur pour ma queue. Dis le à ma caméra.
La blonde déglutit et regarda l’objectif du téléphone avant de lancer :
— Oui Monsieur j’en redemande, je veux ta queue au fond de moi Adrian, baise moi je suis ta pute.
Il rit satisfait avant de la prendre violemment :
— Je vais te déchirer Nat.
Il accéléra la cadance en filmant le visage de la jeune femme, déformée par le plaisir. Il coupa la caméra et l’étrangla.
— Je vais envoyer ça à ton cher mari pour lui montrer ce que sa chienne de femme est.
Il cracha sur ses seins : ne jour pas Natascha, lui dit-il encore pour la mettre en garde. T’aime que je t’insulte, il continuait de l’insulter sentant les parois de sa chatte se resserrer autour de sa queue. Elle allait jouir pour lui. Elle sentait ses jambes trembler.
— Adrian pitié, laisse-moi jouir j’en peux plus.
Il la regarda moqueur en faisant non de la tête. Il continuait ses rapides va et viens, il continuait en tirant sur la ceinture et lui claquant les fesses. La jeune femme cria avant de se mettre à trembler, sa chatte coulait, elle jouissait sans même s’en cacher.
— Je t’avais dit de ne pas jouir Nat, fit le jeune homme sur un air malicieux.
Il la pris par le bras, sa robe déchirée laissait apparaître ses fesses et ses seins. Il était en transe de la voir ainsi. Il la conduit dans une pièce qu’elle n’avait encore vu. C’était la chambre du brun. Il la poussa sur le lit, lui retira le reste de robe qui lui restait.
— A quatre pattes salope.
Il la fit crier toute la nuit, longtemps. Elle n'avait jamais autant joui. Elle était partagée entre honte, plaisir et jouissance.
— Garde-moi bien au fond salope et regarde moi dans les yeux.
Il la récompensa d’une caresse sur les cheveux, comme l’on gratifierait un chien. Ensuite, il tira sur ses cheveux pour se dégager de la bouche de la jeune femme. Il l’embrassa à pleine bouche avant de lui susurrer à l’oreille : « c’est en toi que je veux jouir guapa ». Il la fit se lever alors que lui était assis sur le rebord du lit. Face à lui, nue, elle lui était totalement soumise. Il lui malaxait les seins, les suçaient, les claquaient, les pinçaient, les mordaient…
Elle gémit longuement le prénom de l’homme d’affaire qui sourit malicieusement.
— Je savais que tu en redemanderais.
Il lui claqua doucement la joue avant de lui demander de se mettre à quatre pattes sur le lit.
— Ma belle Natascha, aujourd’hui on prend du plaisir, je te fais jouir comme jamais tu n’as jouis. Mais ce soir tu seras mon bijou, à mon bras à une soirée d’affaire.
Elle hocha la tête. C’était pourquoi elle avait été engagée, accompagner Adrian à cette soirée et au voyage d’affaire durant la semaine. Elle réfléchissait au comportement qu’elle devait avoir durant ces prochains jours lorsqu’elle se cambra violemment alors qu’il entra en elle sans prévenir.
— T’es trempée, une vraie chienne.
Il la tenait par les cheveux en claquant ses fesses. Les gémissements de la blonde s’accentuait au même rythme que les coups de bassins. Adrian n’y allait pas de main morte, il se défoulait en elle. Les fesses de la blonde étaient devenues rouges, elle tremblait face à l’orgasme qui la terrassait alors que le brun ne cessait de la marteler.
— Même si tu perdais connaissance je continuerais guapa.
Il accéléra le rythme de ses coups de butoir alors que Natascha s’était écroulée sur le matelas. Elle sentait le membre dur de l’homme taper tout au fond d’elle. Elle n’avait plus aucune force mais ses gémissements n’avaient pas cesser.
— Bouge ton petit cul salope. Fais-moi jouir.
Il claque ses fesses jusqu’à ce que Natascha se mette à bouger comme il l’avait demander. La vue de cette belle blonde allonger sur le ventre, à ses ordres, bougeant ses fesses l’excita encore plus. Il ralentissait la cadence mais ses allés et venus étaient plus fort en elle. Il l’utilisait pour son plaisir et finit par venir en elle.
— Je t’interdis de te laver avant ce soir. Profite d’être rempli. Je veux pouvoir t’utiliser encore et encore sans avoir peur de te salir avant que nous allions à mon gala de charité. Donc, reste en maillot de bain, et rejoins moi dans une demie heure en bas.
Il se dégagea de cette vulve trempée et pleine de sperme avant de claquer les fesses de la jeune femme pour la remercier. Elle s’allongea sur le dos et resta étendue un moment sur le lit. C’était le seul client qui avait le droit de ne pas mettre de préservatif, mais ça son époux n’en savait rien. Elle se releva, enfila de nouveau ce maillot de bain qui ne cachait presque rien. Elle sentait le sperme de celui à qui elle appartenait pour la semaine, couler entre ses jambes, se mêler à sa propre cyprine.
Elle descendit et retrouva Adrian dans le salon. Il sourit perversement en voyant la jeune femme arriver vers lui. Il lui fit signe de s’asseoir près de lui. Elle découvrit une nouvelle fois le short de l’homme déformé par la bosse d’envie que formait son membre.
— Tu vois l’état dans lequel ton corps me met petite chienne ?
Il l’embrassa le cou de la jeune femme en glissant sa main entre les jambes de cette dernière. Elle était encore humide de leur ébat précédent. Il retira sa main en rigolant.
— J’ai peur de trop te faire plaisir alors que c’est pour mon plaisir que tu es là. Alors tu vas t’asseoir sur mes genoux, frotter ce petit corps contre le mien. Je t’interdis de jouir, de gémir. Je vais te torturer en expliquant ce que tu seras ces soir. Je suis clair salope ?
Natascha s’exécuta. Pendant que ses mouvements faisaient appuyer ses fesses sur le membre d’Adrian, ce dernier glissa sa main sous le haut de maillot de bain de la danseuse et tirait, pinçait, malmenait, les seins fermes de la blonde. De sa main libre, il claquait les fesses rebondies de la danseuse pour l’inviter à accélérer ses mouvements de bassin.
— Ce soir, tu vas mettre la robe qui sera posée sur ton lit quand tu montras. Tu mettras des bas et un porte-jarretelles, je veux que ceux qui nous voient ensemble sachent que tu es à moi. Tu mettras un string et pas de soutien-gorge, je veux voir tes tétons pointés à travers le satin.
Alors qu’il parlait il la bascula sur l’accoudoir du canapé, baissa le maillot de la jeune femme, enleva son propre short et la pénétra violemment.
— Tu vas te maquiller, mettre un rouge à lève rouge, saillant. Je veux que les hommes qui te voient et envie de toi et se disent que tu dois prendre tarif avec moi.
Il claquait ses fesses qui devenaient de plus en plus rouge. Ses coups de reins étaient de plus en plus rapides et surtout de plus en plus violents. Il embrasse suavement le cou de la blonde et tira sur ses cheveux pour la cambrer un peu plus avant de chuchoter à son oreille :
— Et n’oublie pas Natasha, si j’ai envie de toi tu ne peux dire non, c’est où je veux, quand je veux.
Sur ces dernières paroles il éjacula en elle. Natascha avait les jambes tremblantes, elle n’avait pas encore jouis.
— Va te préparer et je t’interdis de jouir guapa.
La blonde fit la moue après avoir secouer ses fesses, comme pour remercier son amant de la semaine.
Il lui fit un clin d’oeil après avoir claquer ses fesses une dernières fois.
La blonde fit un passage à la salle de bain pour se laver. Puis, elle rejoignit la chambre où elle trouva une petite robe qui ressemblait plus à une nuisette qu’à une robe. C’était une pièce courte, rouge, en satin. Assez simple, avec des petites bretelles. Simple, mais elle savait que ses formes allaient être moulées dans cette robe et surtout aller attirer l’oeil. Après s’être maquillée et avoir enfilé ses bas, elle enfila la fameuse robe et ajusta son porte-jarretelle. A ce moment, Adrian entra. Il passa sa langue sur ses lèvres.
— Il va être difficile de tenir toute la soirée sans t’utiliser Natascha.
Il posa une main sur les fesses de la blonde qui sourit.
— Vous n’avez pas à tenir toute la soirée Adrian. Je suis à vous.
Natascha se devait de répondre, devait l’aguicher, c’était son travail. Et cela fonctionnait, il l’embrasse goulument en malaxant ses seins à travers la robe qui dévoilait effectivement les tétons bien durs de la blonde.
— Ce soir, je suis Monsieur Trident pour toi guapa.
— Bien Monsieur.
Il la gratifia d’une tape sur les fesses et lui chuchota « si tu es sage ce soir tu seras récompensée, maintenant, en voiture ! »
Gentleman, Adrian lui ouvrit la porte pour qu’elle monte et s’installa près d’elle. Il posa une main sur la cuisse de la danseuse et lui demanda si elle était mouillée. La blonde ne répondit pas mais écarta les cuisses pour qu’il vérifie par lui-même.
— Tu n’es jamais rassasiée Natascha.
Il rit avant de lécher sur index mouillé de la cyprine de la blonde. Il posa de nouveau sa main sur la cuisse de la jeune femme en caressant doucement l’intérieur. Elle l’excitait monstrueusement.
La réception avait tout d’une réunion entre hommes d’affaires influent et tous en compétition les uns avec les autres. Ils étaient tous accompagnés de leurs épouses, copine, une jolie fille mais les regards se posaient sur la croupe de Natascha, sur ses seins qui pointaient à travers le satin, ses fesses qui étaient, à chaque pas, quasi découverte. La robe remontait, presque à la moitié celles-ci laissant apparaître ses jambes gainées dans des bas à dentelle, et son porte-jaretelles. Nombreux sont ceux qui ont pincé leur entrejambe pendant qu’ils la regardaient.
A chaque fois que quelqu’un venait parler à Adrian, c’est elle qui était toisée, des regards, des sourires qui en disant long. Elle ne quittait pas Adrian. Lui se pavanait avec cette jeune femme à son bras comme un trophée, vantard, excité. Parfois, il passait sa main sur les fesses bombées de la jeune femme. Celle-ci souriait, parlait à celles qui lui adressait la parole. Bref, elle était la vitrine du jeune entrepreneur et elle l’avait bien compris.
— Tu es parfaite ce soir Nat, continues et tu seras récompensée.
Lui lança le jeune Adrian en la déshabillant du regard. Les mains du jeune homme sur le satin qu’elle portait, l’émoustillait, d’autant plus qu’elle n’avait pas pu jouir de l’après-midi. Le jeune homme en profitait, en jouait, en laissant ses doigts fleuré sa poitrine alors qu’il prétextait arranger son collier, ou lorsque son entrejambe se pressait contre ses fesses alors qu’il parlait avec un de ses collègue.
Une claque sèche retentit dans la salle alors qu’un homme haussa le ton sur la femme qui l’accompagnait :
— Tu sais quoi salope, mets toi à genoux maintenant.
Il la regardait moqueur. La scène glaça Natascha qui n’osait même plus respirer. Elle comprit dans quel genre de récéption elle était et cela la tétanisa. Adrian s’en rendit vite compte et caressa le dos de la jeune femme pour la calmer. Il lui sussura à l’oreille de ne pas s’inquiéter : « guapa ne t’en fais pas, même si je devais te punir cela restera entre nous ». Il lui embrasse le cou alors que la jeune femme, soulagée, soupira longuement.
L’homme qui avait ordonnée à celle qui est sa femme, de s’agenouiller à côté de lui cracha sur celle-ci. Adrian toisait les réactions de Nat, il voulait qu’elle comprenne plusieurs choses. Ils en parleraient dans la voiture. En regardant la scène qui s’offrait à eux, une femme violentée et forcée de faire une fellation à son époux, Adrian posa ses mains sur la poitrine de la jeune femme qui l’accompagnait, la pressa longuement en se frottant contre ses fesses.
— On s’en va Natascha.
Elle savait qu’une fois dans la voiture il allait s’occuper d’elle. Elle hocha la tête, en appréhendant tout de même la suite de la soirée. Alors qu’il l’aida à enfiler son manteau, il tira sur la bretelle gauche de sa robe qui craqua. Le jeune homme rit pendant qu’ils avançaient tout deux pour monter dans la voiture. A peine le chauffeur démarra, Adrian lança :
— Martin, prend ton temps, je veux apprécier cette balade nocturne.
Le chauffeur acquiesça et ferma la petite fenêtre qui séparait son siège et les passagers à l’arrière. Adrian retira sa veste et déboutonna les premiers boutons de sa chemise en regardant intensément la blonde face à lui qui attendait patiemment.
— Regarde toi Nat, la robe déchirée, ton rouge à lèvre rouge pétant, tu m’excites, une vraie salope.
En le regardant la jeune femme, qui avait retiré son manteau, jouait avec la bretelle cassée de sa robe. Il lui fit signe d’approcher, avant de l’embrasser presque avec violence. Il voulait la baiser comme une pute, ici dans cette voiture.
— Je vais te rappeler ta place de grosse pute, regarde-toi, tu étais à mon bras comme une princesse et là je vais te sauter comme une vulgaire chienne, à l’arrière de ma voiture de luxe.
Il la prit par le cou et enserra celui-ci légèrement :
— Et je sais que ça te plait ma salope.
Il tapa sur sa cuisse pour que la blonde laisse apparaître son string.
— J’aurais du te demander de l’enlever au milieu de la salle.
Il rit, en passant le bout de son indexe sur le tissu. Il l’insulta de nouveau, et lui notifia qu’elle était trempée. La jeune femme esquissa un sourire timide. Le bel Adrian l’avait excitée toute la nuit, le satin avait réveillée les sens de la jeune femme et elle était tendue par l’excitation. Au plus grand plaisir de son partenaire.
— Tu n’attends que ma bite en toi hein ? Bordel, je le savais que t’étais une chienne mais à ce point ? Je te loue et tu aimes ça ?
Il tira sur la deuxième bretelle de la robe avant de claquer les seins de la jeune femme. Il torturait ses tétons durcis par l’excitation, suçotait la peau tendue de la blonde en l’insultant. Il s’arrêta, regarda la jeune femme. Il retira sa ceinture, la plaça au cou de son amante et la boucla, comme une laisse.
— Allez, suce moi ma salope, et appliques-toi sinon je ne te laisse pas jouir encore ce soir.
Il appuya sur la tête de Natascha qui avait défait le pantalon de l’homme et baissé son caleçon. Elle titilla sa queue du bout de la langue avant qu’il tire sur la ceinture « arrête de me provoquer Nat. Je vais te déchirer, tu ne pourras plus marcher »
Cette phrase eut pour effet de faire sourire la jeune femme qui frissonna. Elle prit le membre d’Adrian entièrement sans bouche, elle faisait des vas et viens rapide en regardant le brun qui souriait satisfait de la soumission de la blonde. Elle faisait claquer le gland du jeune homme au fond de sa gorge. Il était satisfait de la voir s’étouffer sur sa queue, l’entendre étouffer l’excitait. Il voulait la prendre violemment, mais il ne voulait pas lui donner ce plaisir tout de suite.
Il retira sa queue de la bouche de la jeune femme et l’insulta de salope, de bonne pute, de chienne bonne qu’à sucer. Il la pris par la laisse improvisée et l’allongea sur le siège. Elle avait la tête au niveau des jambes de bruns qui se releva pour claquer le visage de la jeune femme avec sa queue durcie
La scène était torride à voir, maintenant il claquait avait entrepris de donner le même sort aux seins de son amante. Avec ses doigts ils frottaient le clitoris de la blonde, toujours à travers son string. Elle gémit bruyamment au plus grand bonheur du brun. Il s’assit au niveau de ses jambes et retira le string de la jeune femme. Elle portait toujours ses bas et son porte jarretelles. Adrian frotta sa queue sur les cuisses gainées de la jeune femme.
— T’es une vraie salope Nat, regarde comme tes jambes tremblent de désir.
Il tapa sur la vitre de son chauffeur pour qu’ils rentrent enfin à la maison.
— Je vais jouir sur tes jambes de salope, ouvre les bien et frotte ta chatte, chauffe moi Natascha.
La blonde, déçue de ne pas être prise par le brun, s’exécuta.
— Ne jouis pas Natascha.
Il la regardait froidement, en branlant son engin avant d'asperger les bas noirs de la blonde, de son foutre chaud. Il tapa la chatte de la jeune femme avec sa queue avant de réajuster sa robe. Ils étaient arrivés. Il l’aida à descendre alors qu’elle tremblait encore.
Et violemment, il la plaqua contre le capot de la voiture alors que son chauffeur était parti. Les fesses relevées, la jeune femme sentait l’excitation monter. Elle soupira d’excitation alors que le jeune Trident lui claquait les fesses, les rendant rouges. Sans qu’elle s’y attende, il la pénétra violemment.
— Sale pute, j’ai même pas besoin de te préparer, t’es trempée de m’avoir satisfaite. Putain ta chatte est serrée ma pute. Regarde-toi, t’attendais que ça salope. Ne t’avises pas de jouir sans mon autorisation c’est clair salope ?
La blonde gémit pour dire.
Il tira sur la ceinture qui était toujours nouée à son cou, ainsi que sur ses cheveux : « réponds sale pute ».
— Oui Monsieur, je ne jouirais pas.
Ses mots étaient soufflés, elle encaissait les coups de butoirs de son tortionnaire, elle se concentrait pour ne pas jouir alors que lui s’appliquait à la faire jouir. Il voulait la punir, et il allait y arriver. Il la cambra en tirant plus.
— T’aime ça salope te faire baiser sur le capot de ma voiture ? T’aimes ça m’appartenir et me servir sale pute. Je t’ai dit que t’allais en redemander, alors t’en redemande salope hein ?
Il s’arrêta net et sorti sa queue qui martelait Natascha. Celle-ci poussa un cri de surprise avant de tourner la tête pour regarder son bourreau. Il pris la blonde par le cou pour la retourner face à lui. Elle était dos sur le capot.
— Réponds-moi, je vais te laisser comme ça. Tu en redemandes salope ?
Presque honteuse, elle hocha la tête et murmura un petit oui. Il lui claqua les seins.
— Assume-le que tu es ma grosse chienne. Toujours excitée et en chaleur pour ma queue. Dis le à ma caméra.
La blonde déglutit et regarda l’objectif du téléphone avant de lancer :
— Oui Monsieur j’en redemande, je veux ta queue au fond de moi Adrian, baise moi je suis ta pute.
Il rit satisfait avant de la prendre violemment :
— Je vais te déchirer Nat.
Il accéléra la cadance en filmant le visage de la jeune femme, déformée par le plaisir. Il coupa la caméra et l’étrangla.
— Je vais envoyer ça à ton cher mari pour lui montrer ce que sa chienne de femme est.
Il cracha sur ses seins : ne jour pas Natascha, lui dit-il encore pour la mettre en garde. T’aime que je t’insulte, il continuait de l’insulter sentant les parois de sa chatte se resserrer autour de sa queue. Elle allait jouir pour lui. Elle sentait ses jambes trembler.
— Adrian pitié, laisse-moi jouir j’en peux plus.
Il la regarda moqueur en faisant non de la tête. Il continuait ses rapides va et viens, il continuait en tirant sur la ceinture et lui claquant les fesses. La jeune femme cria avant de se mettre à trembler, sa chatte coulait, elle jouissait sans même s’en cacher.
— Je t’avais dit de ne pas jouir Nat, fit le jeune homme sur un air malicieux.
Il la pris par le bras, sa robe déchirée laissait apparaître ses fesses et ses seins. Il était en transe de la voir ainsi. Il la conduit dans une pièce qu’elle n’avait encore vu. C’était la chambre du brun. Il la poussa sur le lit, lui retira le reste de robe qui lui restait.
— A quatre pattes salope.
Il la fit crier toute la nuit, longtemps. Elle n'avait jamais autant joui. Elle était partagée entre honte, plaisir et jouissance.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bon récit
C’est un récit fictif, joliment écrit. Pas de quoi en faire tout un drame. Belle plume bravo.
C’est un récit, il faut le prendre avec recul. En tout cas très bien écrit et excitant.
HDS cautionne la prostitution bravo.