La surprise de Cody - histoire érotique

C'est une vraie histoire qui s'est passée il y a peu de temps et qui est arrivée à un ami qui habite bien loin au pays des kangourous, l'Australie.

On ne s'appelle pas souvent, mais cela arrive quand même et les conversations sont toujours assez longues. Il a toujours quelque chose à dire ce beau mec que j'ai connu lorsqu'on avait 19 ans à la fac. Un vrai surfer australien, blond aux cheveux longs, yeux bleus et un corps, un cul les mecs... Une gentillesse également mais un gourmand de la bite.

Les années ont passé mais il est toujours aussi beau, bandant malgré l'absence de ses cheveux longs qu'il a fini par couper mais son regard étincelant d'envies est toujours là. Et c'est lui qui m'a raconté son aventure en me demandant de la partager. Alors laissons le raconter ce brave Cody, 34 ans maintenant.


En ce samedi soir j'étais allé en soirée dans une petite commune à côté de Melbourne. C'est un coin assez désert mais le samedi soir dans la boîte il y a toujours du monde pour draguer ou se faire draguer.
La communauté gay est très bien acceptée dans la vie australienne et en fait cela permet de draguer un mec qui peut être avec une nana sans qu'il s'offusque. C'est comme partout il y a des exceptions, mais dans cette boîte ce n'est pas le cas.
J'avais dragouillé toute la soirée, mais je m'étais fait griller surtout par des nanas qui tombaient comme la pluie sur les beaux mecs qui se laissaient tenter.
J'avais bien tâter quelques belles bites, embrasser quelques mecs... mais je n'avais pu aller plus loin.

A 3 heures je décide de rentrer car quand ça veut pas... faut pas insister.
Je prends ma voiture (je ne bois pas, je ne me drogue pas, je n'ai que le sexe comme vice!) et en rentrant chez moi à Melbourne l'envie de pisser se fait sentir.
Juste à l'entrée d'un patelin il y a une sorte d'arrêt et je vais soulager ma belle queue qui n'avait été tripotée qu'à travers le pantalon.
En remontant dans la voiture, je regarde mon téléphone et j'ai envie de voir s'il y a des mecs sur l'application locale.

Bon dans ce coin perdu il n'y a pas grand monde, juste un mec qui a mis son torse en photo. Un vrai torse de mâle les mecs, poilu, bien dessiné, des tétons qui pointent, des abdos apparents, tout ça donne envie de les caresser, de les respirer, de les lécher.
Moi comme photo j'ai le bas de ma tête, juste le menton et la poitrine bronzée du beau mec que je suis.

Le mec est à 200 mètres. Je rigole tout seul en le contactant. Il répond dans l'instant.
-tu cherches quoi ? me demande t-il.
C'est pas l'heure de faire dans la dentelle...
-une belle queue pour mon cul affamé.
-t'as quel âge ?
-34 et toi ?
-40, mais je suis au boulot!
-ah et tu fais la nuit ?
-oui mais si tu veux tu peux venir, t'es à 200 mètres.
-t'es tout seul ?
-oui.
-j'peux voir ta tête ?

Il m'envoie la photo d'un mâle putain, moustachu, brun aux petits yeux vicieux et coquins, de belles lèvres... je sens déjà mon petit cul qui mouille.
J'envoie ma photo.
-tu fais 200 mètres, t'as un panneau éclairé, et devant il y a un parking, je t'attends!
On coupe et je me maudis de ne pas avoir pensé à cette appli avant!

J'aborde le virage et effectivement pas loin je vois une enseigne éclairée et en avançant je n'en crois pas mes yeux, bon c'est écrit en anglais, mais la traduction est COMMISSARIAT.
Je réfléchis 10 secondes entre envie et inquiétude, mais l'envie remporte.

J'avoue que c'est le cœur battant que je vais sonner à la porte vitrée de l'établissement.
Et là les mecs, j'en serais bien tombé sur le cul, je devais avoir l'air con, de voir arriver le mec que j'avais vu en photo, mais en tenue de flic, menottes sur le côté, le bâton de l'autre, pas d'arme et le voir arriver de sa démarche féline ben ça me fait bander et mouiller encore plus du cul.
Tout sourire il ouvre la porte, me tend la main :
-salut, moi c'est Watson.
-moi c'est Cody dis je en reprenant légèrement mes esprits.
-suis moi, mes collègues sont en patrouille jusqu'à 5 heures, on a une heure et demie devant nous.

C'est un petit commissariat, il a son bureau au fond du couloir juste à côté de la cellule avec de grands barreaux, exactement comme l'on peut voir dans les films de cul américains qui se passent dans les prisons.

On est entré dans son bureau, il s'est retourné dégrafant sa chemisette, l'ouvrant et je le vois se passer une main sur la poitrine, faisant durcir ses tétons. Il me fixe.
-approche mec!
Tel un aimant j'arrive près de lui, sa main me prend le cou et me la colle sur sa poitrine, juste ce que j'avais envie.

Il m'a enlevé mon tee-shirt et j'ai bouffé sa poitrine, sucé les tétons, léché, sniffé et putain les mecs ça sentait la testostérone, le mâle dans toute sa splendeur et j'ai attendu les ordres.
Avec ses mains il passait ma tête, ma langue partout où il en avait envie. Quel pied j'ai pris avec ce torse poilu musclé. Il a appuyé sur mes épaules et je me suis retrouvé à genoux entre ses jambes, d'un côté les menottes et de l'autre un long bâton genre tonfa et au milieu un mystère qui paraissait bien gros vu la bosse que cela faisait.
J'ai voulu défaire le ceinturon, il m'a dit non, ouvre la braguette et sort ma queue!

J'ai peiné à faire sortir le gros bâton qui se trouvait là mais quand je l'ai eu devant les yeux, j'ai su que j'allais gueuler comme une belle salope.
J'ai sorti les couilles et j'ai commencé par lui bouffer, les avaler car je suis un vorace et la belle et grosse queue je la tenais en main, circoncise au gland énorme par rapport à la hampe qui l'était déjà.

J'en avais mal à la mâchoire de l'avaler et de la sucer. Il mouillait le mec, incroyable, sa queue durcissait. Il m'a relevé pour me prendre dans ses bras, et m'embrasser! Se faire embrasser par un moustachu, moi ça me fait de l'électricité dans le corps, ça m'excite encore plus.
-j'ai envie de te baiser Cody!
Bah pas la peine de demander j'suis prêt j'ai pensé en finissant de me déshabiller et de me retrouver à poils devant mon flic toujours habillé en tenue, la chemisette ouvert et la queue raide qui prenait l'air entourée de ses menottes et du tonfa!
Je n'en revenais pas.

Il me regarde et je vois dans son regard que cela lui plait, je me tourne pour qu'il voit mon cul et aussitôt sa main vient le caresser, passe dans la raie, doigt fouineur qui trouve ce qu'il cherche, je m'offre et ça rentre facilement.
Il me colle à lui, me tenant sur le torse, sa bouche à mon oreille :
-j'ai envie de te baiser mais dans la cellule comme si tu étais mon prisonnier!
J'ai pensé que je devais rêver les mecs!

Il m'a sorti du bureau et tout de suite à droite c'est la geôle ouverte, il me pousse dedans et avance vers moi en sortant son tonfa, la queue toujours raide, je voyais la mouille qui tombait...
Il pointe le tonfa sur ma poitrine.
-tourne toi et mets les mains dans le dos... dit il de sa voix de mâle rauque qui me fait frissonner.
J'obéis et je sens sa queue venir sur mes mains, je veux la toucher mais il est vraiment dans son trip :
-qui t'a dit de me toucher la queue ? t'es qu'un petit pédé qui veut se faire niquer! Tu fais le con pour avoir la queue du flic!

Il recule et je sens les menottes se serrer autour de mes poignets.
-met toi à genoux sur le banc et montre moi ton cul que je fasse une fouille.
Des bites qui entrent dans mon cul... bon y'en a eu et pas mal, mais une fouille à corps complète c'est la première fois. Il ne fait pas dans la dentelle, un doigt s'enfonce au plus profond et comme je sais faire la salope, je tends mon cul, deux doigts et je commence à gueuler quand je sens quelque chose de dur et je comprends que c'est le tonfa qu'il enfonce dans mon petit cul.
-là j'vais savoir si tu caches quelque chose petit pédé!

Il fait quelques allers retours et quand il ressort le tonfa je sens bien que mon cul reste ouvert, oh pas longtemps car c'est son gros gland chaud qui le remplace, ses mains qui me prennent aux hanches. Il force, mon cul élastique s'ouvre, s'ouvre encore, est écartelé et le gland avance. J'ai chaud, je suis en sueur, une douleur se fait sentir, ben oui avec ce gros mandrin!

Mais les mecs quand le gland est passé j'ai remplacé la sirène des flics, pour gueuler j'ai gueulé! Tout le temps des gueulantes sa grosse queue est entrée en moi et rapidement il s'est mis à me baiser.

Il ne devait pas avoir eu de salope au bout de sa queue depuis un moment, car si moi je gueulais, râlais lui également et je l'ai senti passer sa queue, mais putain quels plaisirs j'ai pu avoir. Ma queue était raide de chez raide, elle coulait et j'étais secoué comme un prunier un jour de récolte!

On a gueulé ensemble quand il a juté en moi, bien au fond un jus brûlant que j'ai senti se répandre partout dans le conduit. Il n'arrêtait pas de gueuler et les giclées se succédaient.
Il m'a redressé contre lui, me plaquant bien fort et une main est venue se saisir de ma queue qui n'attendait que ça. Il n'a pas eu besoin de me branler longtemps pour que j'offre le meilleur de moi au banc et au mur de la geôle.
Il est sorti délicatement de moi, m'a retourné toujours menotté. J'ai trouvé qu'il avait les yeux tendres et m'a embrassé comme une midinette en me caressant le corps, jouant avec ma langue.

Il m'a ramené dans son bureau, m'a enlevé les menottes.
Il était toujours dans la même tenue, le sexe sorti qui bandait encore.
Il s'est assis sur une chaise et m'a fait signe de venir m'asseoir sur ses genoux.

Je suis venu face à lui, on était bite contre bite, ses bras m'ont entouré et on s'est embrassé comme des amoureux, comme si on n'était pas dans un commissariat!
Il m'a relevé la tête en me tenant le menton.
-il est bientôt 5 heures, faut que te rhabilles, mes collègues vont arriver, mais avant j'aimerais bien te revoir me dit il en me fixant.

Sa voix de mâle était douce, caressante.
-j'aimerais bien te déguster mec, goûter à ta queue! Tu peux me recevoir ?
-bah oui j'ai dit, mais j'ai pas de cellule à la maison!
Il rigole.
-mais t'as un lit ?
-oui, je veux bien mais à une condition.
-laquelle ? il demande étonné.
-tu viens avec tes menottes et ton tonfa dis je sérieusement.

Il rigole.
-si tu aimes, je peux même amener une tenue.
-oui mais cette fois j'te mets à poils, j'ai pas vu grand chose de toi!
-promis.
Encore un roulage de pelle, de langues qui n'avaient pas envie de se quitter et c'est lui qui a été le plus raisonnable.
-rhabille toi Cody.

J'ai obéi à ce beau flic et comme des amoureux il m'a raccompagné à la porte dans une tenue décente tous les deux, après avoir échangé nos numéros de téléphone.
Au moment de se quitter, il me prend dans ses bras :
-tu sais ce que je fais, mais toi tu fais quoi comme boulot ?
-moi dis je avec un petit sourire, je suis avocat au barreau de Libourne.

Il est resté la bouche ouverte avant d'éclater de rire.

Je suis parti à regret et je n'avais pas fait 10 mètres sur la route que je croise la voiture de patrouille qui rentrait au poste...
Ouf!
J'ai hâte de le voir arriver chez moi le flic dragueur!