LA TENTATION INTERDITE Sarah et sa maman Ines Partie 3 - histoire érotique

La nuit est presque silencieuse. Seule la respiration de Sarah contre mon torse rythme les secondes. Mais dans ma tête, les images tournent en boucle : ce regard à peine visible dans l’ombre de la porte. Inès. Était-elle vraiment là ? Ou était-ce simplement mon imagination, poussée par le désir, l’interdit, le trouble ?

Je me lève discrètement. Pieds nus sur le parquet, je traverse le couloir jusqu’à la salle de bain, l’esprit encore brumeux. La lumière tamisée éclaire faiblement le miroir. En me regardant, je vois mon propre trouble reflété. Je suis juste en caleçon, je le descends le laisse par terre comme quelqu’un qui rentre Bourré de soirée .
Je me mets dans la baignoire et j’allume l’eau, je la laisse remplir avec moi dedans.

Et là, derrière moi, un léger bruit. Je me retourne doucement.

Inès est là.

Elle se tient dans l’encadrement de la porte, vêtue d’un long kimono en soie bleu nuit. Ses cheveux sont lâchés, sa silhouette à peine devinée sous le tissu. Son regard plonge dans le mien, calme, mais chargé de quelque chose de plus profond. De plus lourd. Un secret, peut-être. Un aveu silencieux.

— Tu ne dors pas ? murmure-t-elle.

Je hoche la tête, incapable de prononcer un mot. Elle entre lentement dans la pièce, refermant la porte derrière elle.

— Moi non plus, dit-elle en s’approchant. Je pense que cette soirée a remué bien plus que prévu.
Son parfum flotte dans l’air. Il est subtil, floral, presque enveloppant. Elle s’assoit sur le rebord de la baignoire, les jambes croisées, son regard toujours ancré au mien ou presque car elle peut pas s’empêcher de baisser les yeux sur notre jambe, je bande comme un cheval, elle relève la tête, elle me regarde avec un sourire.

— Tu as vu… tout à l’heure, dis-je enfin, hésitant.

Un long silence.

— Oui, répond-elle. Et je ne suis pas venue m’excuser.

Je frissonne.

— donc tu étais vraiment là… Je n’ai pas rêvé, ce n’était pas mon imagination. Il fallait rentrer tu aurais eu une plus belle vue.

Elle se lève lentement, franchit la distance qui nous sépare, et effleure ma joue du bout des doigts. Son regard ne tremble pas. C’est moi qui chancelle.

Elle approche encore, et sans un mot, dépose un baiser, lent, délicat, juste au coin de mes lèvres. Puis elle recule, prudente. Comme pour me laisser choisir.

Je ne dis rien. Je tends la main, et elle la prend et là je sens le feu vert, je me lève, je l’embrasse à pleine bouche. Elle est encore assise sur la baignoire.
Elle prend ma grosse bite d’une poignée demain en même tant nos bave on s’en mêle.

Je la prends par les cheveux et me redresse pour que son visage soit en face de mon sexe. Elle n’hésite pas une seconde, elle la prend à pleine bouche, elle me suce tellement fort. De la bave qui a blanchi avec les au fond de sa gorge, sort de côté, elle s’arrête, elle me dit:

— je te préviens, je vais te bouffer la bite jusqu’à Sortir tout le sperme qu’il y a dans tes couilles mais ce soir on ira pas plus loin, je veux une vraie occasion ça fait tellement longtemps que je veut une situation comme une prem..

Je la coupe en plein milieu et lui dit:

— FERME TA GUELE ET GOBE MOI TOUT SA .

Elle continue à me bouffer, je sens l’excitation qui ment, je lui mets des grosses gifles dans sa gueule, elle a un visage magnifique avec ma bite dans sa bouche, ses yeux qui pleurent.
Je m’assois sur le bord de la baignoire et je la mets à quatre pattes en face de moi, lève les jambes et lui dit bouffe-moi le cul sale, elle s’exécute et je me branle en même temps, je ne peux pas m’empêcher d’me retenir le sperme est on train d’arriver.

Je la prends par les cheveux lui fait ouvrir la bouche, et au moment où mon sperme arrive j’enfonce ma bite au fond de sa gorge et crache tout au fond. Elle ne s’arrête pas malgré que j’entends qu’elle s’étouffe, elle continue jusqu’à toute ma vie.
Sans dire un mot elle se lève se rince mais une serviette autour d’elle, elle s’en va.
Je n’ai même pas eu encore le temps de me lever et de me remettre de mes émotions.

Je me remets dans le bain le fait couler, je reste une petite heure et je vais rejoindre ma petite femme dans son lit et je m’endors comme un petit bébé.

Le lendemain matin, la lumière douce du soleil filtre à travers les rideaux. Sarah se réveille la première. Elle me regarde, me sourit.

— Tu as bien dormi ?

— Un peu agité, je murmure.

Elle me fixe un instant, puis fronce légèrement les sourcils.

— Je crois… que je sais. Pour ma mère.

Je reste figé.

— Je t’ai entendu te lever. Et j’ai vu la lumière sous la porte de la salle de bain.

Elle se redresse, enroule le drap autour d’elle.

— Je ne suis pas en colère, dit-elle après un long silence. C’est étrange à dire… mais je l’ai sentie, cette tension entre vous. Depuis hier soir. Et au fond de moi… j’ai eu peur. Peur qu’elle me vole ce qu’elle n’a jamais su garder pour elle-même. Mais en vous voyant… j’ai compris que ce n’était pas de la jalousie. C’était… une reconnaissance. Vous vous êtes trouvés. Et bizarrement, ça ne me fait pas mal.

Je la regarde, bouleversé.

— Tu es sûre ? Tu n’a pas de la haine envers moi ?

Elle s’approche de moi, passe ses bras autour de mon cou.

— Non. J’ai envie de comprendre. Et de voir jusqu’où tout cela peut aller… ensemble.

Je sens son cœur battre contre moi. Et dans ce moment suspendu, je comprends que l’histoire ne fait que commencer.

Les jours passent, mais quelque chose a changé. Entre Sarah et moi, une nouvelle complicité s’est installée, étrange et sincère. Comme si ce qu’elle avait compris cette nuit-là l’avait libérée de quelque chose. Elle ne pose pas de questions. Elle observe. Elle imagine.

Un soir, alors qu’on rentre d’un dîner tranquille, Sarah me parle de cette idée qui la travaille depuis quelque temps.

— Tu sais, j’ai lu un article sur un hôtel un peu spécial, dit-elle en enlevant ses chaussures. Ils appellent ça une Love Room. Y en a une avec un miroir sans tain. Enfin… c’est plus qu’un miroir. C’est une pièce cachée derrière une vitre teintée. On peut observer, sans être vu. T’en penses quoi ?

Je la regarde, intrigué.

— T’as envie de jouer à ce jeu-là ? Être la spectatrice ?

Elle sourit, mystérieuse.

— Peut-être. J’ai envie d’explorer… de voir jusqu’où on peut aller. Mais ce que j’imagine, c’est encore plus fou.

Elle s’approche, glisse ses mains sous mon t-shirt.

— Et si on y allait… avec Inès ?

Mon cœur rate un battement. Je fronce les sourcils.

— Tu veux que ta mère… ?

— Pas comme tu crois. Juste toi et elle. Mais dans cette pièce, je serai là. Sans qu’elle le sache. Je veux tout voir. Sentir. Comprendre ce qui se passe entre vous deux. C’est un fantasme, ou peut-être plus… Je ne sais pas. Je veux juste… être là.

Je reste silencieux un instant. L’idée est déroutante, audacieuse, mais étrangement excitante.

— Et tu crois qu’elle accepterait ?

— Maman est curieuse. Elle ne dira peut-être pas oui tout de suite, mais si tu l’invites dans un endroit classe, élégant, si tu la fais se sentir unique, spéciale… Elle viendra...