La vie de Mélanie Episode 3 L’initiation des 5 sens - histoire érotique

La vie de MélanieEpisode 3L’initiation des 5 sens
Les deux femmes étaient nues l’une en face de l’autre dans ce canapé, le dos appuyé sur les accoudoirs.
Mélanie se tenait rouge, avec ce sentiment de honte et de désir incontrôlé. Elle se tenait les jambes fermées, tentant de cacher sa poitrine. Sylviane, la poitrine nue, ses belles jambes gainées de bas noirs étaient croisées. Elle regardait la jeune fille avec douceur, elle lui dit d’une voix douce, « Ma chérie, je ne veux surtout pas de forcer à faire quoi que se soit qui te déplaise ou te choque, je veux juste ton plaisir et te faire découvrir ton corps… »« Eh oui, oui, …mais euh, je, je …d’accord…. » Dit Mélanie dans un souffleSylviane reprit d’une voix calme :« Tous tes sens peuvent participer à ton plaisir, la vue pour commencer… » Et elle débute des caresses sur sa poitrine nue, passant très lentement le bout de ses doigts sur ses tétons érigés ....
« Tu aimes me regarder ? Tu aimes mes seins ? »Dit à mi voix Sylviane« Oh oui, beaucoup, ca me plait…. »Répondit troublée MélanieSylviane demanda à sa jeune amie de lui montrer à son tour sa poitrine, lentement celle-ci ouvrir ses bras, laissant apparaitre des seins lourds à la peau blanche avec de larges aréoles brunes surmontées de gros tétons.
Les deux femmes se regardaient, se caressant les seins très sensuellement, se les offrant, Mélanie sentait le désir monter en elle, elle prenait plaisir à avoir les yeux de Sylviane posés sur sa poitrine.
« Et puis, il y a le toucher » dit Silviane en ouvrant très lentement ses cuisses sous le regard de sa jeune amie dont le cœur s’emballait.
La jeune femme admirait comme fascinée ce sexe de femme qui se dévoilait à ses yeux, elle vit cette fente lisse qui comme un coquillage fermé cachait ses secrets. Sylviane laissait délicatement ses doigts caressés la peau douce de ses lèvres. Mélanie sans s’en apercevoir ouvrait également ses jambes, offrant à sa nouvelle amie son intimité, sa toison épaisse et brune. Son sentiment de gène s’était évaporé avec son désir, c’était la première fois qu’elle se montrait ainsi à qui que se soit.
Elle passa ses doigts dans sa toison, jouant dans ses poils sous le regard rassurant de Sylviane qui regardait sa jeune protégée avec désir. Puis avec deux doigts, elle ouvrit son fruit juteux, se montrant toute, exhibant ses petites lèvres luisantes de liqueur et son clitoris tendu. Mélanie perdue par tant de sensualité fit de même, sans pudeur, elle ouvrit aussi son trésor offrant toute son intimité humide à Sylviane.
« Tu es belle, ma chérie, ma Mélanie »« Toi aussi, Sylviane, j’aime beaucoup ce que nous faisons »Les deux femmes se caressaient, impudiques, jambes ouvertes, se regardant caresser leur bouton, leurs doigts parcourant toute leur féminité, récoltant le miel onctueux de leur désir.
Sylviane porta ses doigts sous ses narines, respirant ses flagrances de femme excitée.
Encourageant la jeune femme à l’imiter, Mélanie respira à son tour son parfum intime.
« Enivre toi de ton odeur ma chérie, apprends à découvrir le parfum de ton plaisir, n’est pas de honte, rien n’est sale » murmura Sylviane en glissant ses doigts dans sa bouche.
La jeune femme reniflait ses doigts, y pris un grand plaisir, son cerveau en ébullition devant tant de plaisir, elle sortit sa langue, goutta la liqueur enrobant ses doigts.
On entendait le clapotis des doigts sur les intimités, une douce odeur de femme envahie l’atmosphère de la pièce.
Les deux femmes avaient perdues tout sens du temps qui passe, elles se regardaient caressant, goutant, reniflant leurs plaisirs, sans pudeur.
Sylviane reprit la parole : « Ma chérie, il y a aussi d’autres choses qui peuvent accroitre ton plaisir, ce sont les mots que tu peux entendre ou prononcer, des mots doux ou des mots crus…. »Et elle poursuit devant le regard interrogatif de la jeune femme.
« J’aime me branler le clito, devant ta fente, tu me fais mouiller, montre moi ta chatte encore ! »A ces mots, Mélanie ressentie encore plus de chaleur dans son ventre.
« Oh oui, regarde moi, j‘ouvre ma chatte, je mouille, je me branle, je me branle, je sens de la chatte, j’ai mon jus plein la bouche »dit la jeune femme excitée.
Les deux femmes se masturbaient de plus en plus vite, obscènes, impudiques, langues sorties, léchant et reniflant leurs propres doigts baveux, la vulve ouverte, s’exhibant en se disant des mots crus et sales…….
Elles continuèrent longtemps jusqu'à ce qu’un orgasme profond et violent les emporte toutes les deux en même temps, elles poussèrent de longs et fiévreux gémissements…Ainsi les portes du plaisir et peut être de la luxure s’ouvrirent pour la première fois devant Mélanie…