La voisine d'en face (suite et fin)

- Par l'auteur HDS Alian -
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La voisine d'en face (suite et fin) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La voisine d'en face (suite et fin)
Plusieurs jours ont passé, j’ai croisé souvent Natacha. Une bise sur la joue, plus appuyée peut-être qu’avec mes autres voisines, plus près de la bouche aussi, mais impossible de faire plus. Et pourtant on en a envie tous les 2. La petite séance de l’autre jour a éveillé un appétit l’un pour l’autre.
Je rêve de son corps toutes les nuits, j’ai envie d’elle, de la baiser encore, de la sodomiser….
Elle aussi, lors d’une bise anodine, elle m’a glissé à l’oreille :
- Tu n’as pas un autre colis à m’apporter ? J’ai envie de mon livreur….

Comment faire pour aller la niquer sans éveiller l’attention de ma femme et des parents de Natacha qui sont maintenant rentrés de vacances ? Et puis il y sa fille…
Les jours passent sans que je ne puisse rien tenter avec ma si jolie voisine.

Hier enfin, l’école a repris, donc déjà plus l’obstacle de la fille. Les parents de Nat sont partis la journée à Paris, ma femme travaille…. Reste à éviter les voisins.
Nat à tout prévu. Elle vient sonner à ma porte, l’air affolé.
-Vite Alian, j’ai une grosse fuite dans la salle de bain !

Je suis sûr que le vieux flic en retraite d’à côté qui passe sa vie derrière sa fenêtre a entendu. Je prends donc ma caisse à outils pour donner le change et fonce chez Nat.

Sitôt la porte fermée, elle se jette à mon cou et me roule une pelle d’experte. Pas de temps à perdre, pendant que nos langues s’enroulent, je déshabille ma belle. C’est vite fait car la cochonne n’a ni soutif ni culotte !

Mes vêtements rejoignent vite les siens sur le carrelage. Je veux l’emmener à l’étage comme l’autre fois.

- Non mon chéri, prends-moi ici dans la salle de bain. Mais avant il faut que tu me rases le minou. Tu me l’as dit l’autre fois, mes poils dépassent du string !

Je n’en reviens pas, Nat a tout préparé : ciseaux, mousse à raser et rasoir sont là, prêts à l’emploi.

On s’embrasse goulûment, on se caresse, elle me suce divinement pendant quelques minutes.

- Vite mon amour, occupes-toi de ma petite chatte, il faut qu’elle soit toute belle pour recevoir ton chibre !

Nat s’assoie sur le bord de la baignoire et écarte largement les cuisses ; La vue de cette magnifique vulve me fait bander. Son minou poilu me plait bien, mais à l’idée que dans quelques minutes il sera tout glabre m’excite comme un fou. Je commence à couper aux ciseaux les poils les plus longs sur le pubis, puis le long des grandes lèvres charnues de ma maîtresse. Une fois fait, je ne résiste pas à l’envie de la fouiller un peu, avec 2 doigts d’abord, puis avec la langue. Natacha halète et gémit doucement. Elle mouille déjà abondamment et je lèche sa cyprine on goût légèrement épicé. Nat a un léger orgasme tandis que ma queue est raide comme un gourdin. Pour me soulager, elle vient me prendre en bouche. Ses lèvres avalent ma queue jusqu’aux couilles puis ressort totalement. Elle me lèche alors la hampe de la base jusqu’au gland qu’elle agace de la pointe de sa langue, tandis que d’une main elle me pétrit les burnes.
Je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps. Nat s’en aperçoit et me dit :
- Vas-y mon chéri, vides-toi les couilles dans la bouche, envoies-moi ta purée.
Elle me reprend la queue dans la bouche. Il était temps car aussitôt je lâche 3 longs jets de foutre bien épais. Nat ouvre la bouche pour me montrer ma semence étalée sur sa langue et d’un coup elle avale tout et enfourne à nouveau ma bite pour la nettoyer. Je suis fou d’amour pour cette jeune femme et mes lèvres viennent chercher les siennes, ma langue vient s’enrouler autour de la sienne.

C’est ma chérie la première qui me rappelle que je n’ai pas encore rasé sa touffe brune.
Je me détache de sa bouche si sensuelle pour reprendre ma besogne. J’étale soigneusement la mousse à raser sur son pubis, de chaque côté de ses grandes lèvres, sur le périnée. Je m’occuperai de son cul après. Je masse doucement chaque partie que j’enduis de mousse ce qui plait beaucoup à Natacha qui soupir de plaisir. Enfin, je commence à ôter méticuleusement les vilains poils noirs qui recouvrent le pubis de ma belle. J’entreprends maintenant la délicate tâche de raser les grandes lèvres. J’ai peur de la couper aussi j’y vais très prudemment. Petit à petit la vulve de cette jeune femme se transforme en jeune abricot de jeune gamine nubile. Plus un seul poil sur ce joli minou. Plus rien qui cache cette magnifique chatte bien dodue avec sa belle fente qui renferme son intimité. Ce spectacle me fait bander à mort à nouveau. J’ai envie de visiter tout de suite ce petit con tout nu. Nat me rappelle à l’ordre.
- Il reste les poils de mon cul. Quand tu vas me le défoncer je veux qu’il soit tout net lui aussi.

Alors, je reprends ma si agréable mission, et j’étale à de la mousse sur le pourtour de son anus. J’en profite pour bien masser sa rondelle. Nat se trémousse comme une folle tandis que son sphincter se détend et s’ouvre un peu. Hummm, comme je vais me régaler quand je vais pouvoir l’enculer !

Nat est maintenant complètement nettoyée, elle a retrouvé une petite chatte de jeune gamine. Moi je n’en peux plus de voir cette jolie chatte et je bande comme un cerf.

- Viens, baise la petite fille qui s’offre à toi maintenant. Vite, prends-moi, fais-moi jouir.

Pas besoin de me le redire, j’enfonce mon pieu dans son con d’un coup sec. Ma queue s’enfonce comme dans du beurre, arrachant au passage un cri de bonheur à ma jeune pute. Je la pilonne pendant un bon quart d’heure, tantôt violemment, tantôt avec douceur, je retire ma queue complètement de son vagin pour mieux la pistonner à nouveau. Chaque coup de boutoir occasionne un râle de jouissance à Natacha.
Je la retourne et la fais s’appuyer sur les bords de la baignoire. J’ai une vue splendide sur ses fesses et sur son fion lui aussi imberbe. Je plante à nouveau mon braquemart dans la moule de ma petite salope de voisine. Je m’enfonce jusqu’à la garde et je la bloque ainsi, en la tenant par ses petits nibards que je malaxe et étire en roulant les tétons entre les doigts. Natacha gueule sans retenue.

- Oui, que c’est bon, prends-moi comme une vieille pute que je suis, vas-y niques-moi encore.

Je vais bientôt décharger, mais j’ai son fion sous les yeux et j’ai envie de l’enculer, de lui défoncer son petit trou du cul tout net. Nat a compris et me tend son petit cul qu’elle remue comme une vieille salope.
Je sors alors mon chibre de sa fente dégoulinante de mouille et j’approche mon gland turgescent de sa petite rosette. Je le frotte contre son anus pour l’exciter un peu, mais Nat m’a devancé et d’un violent coup de cul en arrière, elle vient elle-même d’empaler sur mon dard. Je l’agrippe alors par les hanches et je commence mes va-et-vient dans son étroit fourreau. Mes burnes battent contre ses fesses. J’aperçois dans la glace sur le côté de la baignoire, ses petits nichons qui ballottent au rythme de mes coups de boutoirs. Nat râle, crie, pleure à moitié, mais en redemande.

- Plus vite, plus fort, déchires-moi le cul !

Je ressorts entièrement mon bâton de son cul, je la fais se pencher encore plus. Cette fois elle a les mains appuyées au fond de la baignoire, elle est pliée en 2, le cul en l’air. Je crache sur ce fion largement offert et d’un coup violent, je l’encule à fond et reste ainsi quelques secondes avant de la pilonner à nouveau comme une bête.
Je ne peux plus me retenir et sans la prévenir, je largue toute ma sauce dans son trou intime.
Nat a elle aussi un violent orgasme presque en même temps et jouit abondamment. Sa chatte dégouline de mouille et sa cyprine se mélange à mon foutre qui s’échappe de son trou du cul.
Epuisés, on se redresse et on s’embrasse amoureusement.
Natacha m’entraîne alors dans sa chambre et on se couche un moment pour récupérer, tendrement enlacés. On reste comme ça un petit quart d’heure puis l’envie de baiser nous reprend et cette fois, on fait l’amour plus tranquillement.
Tans pis pour fuite d’eau (de toute façon imaginaire !) et surtout tans pis pour le voisin qui doit guetter derrière sa fenêtre et qui va trouver que je suis bien long à réparer. Le pauvre vieux vicieux, s’il savait quel pied je viens de prendre….

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