Laure (épisode 11) cocktail animé 1
Récit érotique écrit par Mage [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-09-2003 dans la catégorie Plus on est
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Laure (épisode 11) cocktail animé 1
Pendant le cocktail , Laure remarqua la présence de ses amis Colette et Carlos… Après quelques échanges verbaux sans intérêt, elle entraîna Carlos dans le couloir, et le conduisit loin éloignées de la salle de réception. Là elle l’embrassa, et Carlos excité comme jamais, releva sa jupe et ôta sa petite culotte. Il l’installa alors sur un lavabo jambes grandes ouvertes, écarta la chatte déjà béante d’une main, et sortit son engin dressé comme jamais, vraiment raide, turgescent, éléphantesque. La bête, animée de convulsions, était zébrée de grosses veines bleues faisant comme des lianes autour d’un baobab. Jamais laure n’avait osé imaginé à ce point la taille de ce phallus qui maintenant l’effrayait : Plus de vingt centimètres et d’un diamètre impensable. Elle ferma les yeux en serrant les dents. Heureusement, la chose avait un gland rose plus étroit que le reste, un peu comme un énorme pieu taillé en pointe. Le priape excessif n’en finissait pas d’entrer. Laure ne savait pas qu’elle était si profonde, et tandis que Carlos la forçait des larmes coulaient sur ses joues. Quand il eut atteint son but, enfoncé jusqu’aux testicules, il resta un moment abuté, remuant légèrement le ventre pour assouplir les chairs meurtries de sa partenaire. Elle sentait son bassin comme désarticulé. Alors il se déchaîna dans une furie soudaine, se retirant et s’enfonçant sauvagement. Laure hurlait à chaque coup ; elle plantait ses doigts dans les bras du géant… On la déchirait, elle pensait mourir. L’énorme hampe turgescente cognait et recognait très violemment dans son ventre. Le phallus glissait de mieux en mieux ; était-ce sa lubrification ou le sang de ses chairs blessées… Elle avait l’impression d’être violée par un monstre dans ce lieu sordide sentant fort l’urine. Son petit corps de geisha était soumis aux tortures de celui, imposant, du lutteur de sumo. Elle regrettait presque d’avoir choisi ce mâle, qu’elle savait solidement monté, mais pas à ce point. Parmi les cris on entendait distinctement le clapotis du vagin rendu liquide par le va-et-vient magistral. Le plaisir finit par l’emporter, la douleur cédant la place à l’extase, et, tous deux soufflant, râlant, finirent par jouir ensemble. L’explosion du plaisir de Carlos dura assez et fut suivie de tant d’autres plongées et replongées que Laure jouit de nouveau. Carlos se retira un moment, continuant à la caresser et l’embrasser. Dès qu’il eut à nouveau une érection suffisante, il retourna Laure, lui fit prendre appui avec les mains au bord du lavabo. Et là, son con rougi sentit à nouveau l’énorme queue le défoncer. Côté grosseur, elle Laure était maintenant parée, mais la queue de Carlos butait encore plus fort dans son ventre lui arrachant de nouveaux cris proche du hurlement, mêlés à des râles d’orgasme. Ses mains moites glissaient sur la faïence ; elle agrippa les robinets pour se stabiliser. Ses seins ballottaient au rythme de ce coït infernal.. Carlos attrapa ces mamelles pour s’y cramponner, et tira sur elles à chaque coup, augmentant à la fois le plaisir et la douleur de Laure. Comme pour se venger un peu, Laure, se retenant toujours d’une main, saisit de l’autre, par dessous les testicules du mâle qu’elle pressa fortement. Ils étaient maintenant deux à crier. Elle jouit encore, et encore . Elle termina le dernier orgasme dans un feulement le plus voluptueux et le plus long que l’acte d’amour eut jamais arraché. Carlos, épuisé, replaça Laure debout sur le carrelage des toilettes, ses jambes la soutenaient à peine. Elle regarda son ventre : on ne voyait pas de plaie, mais elle fut pourtant impressionnée de voir à quel point son con était rouge, largement ouvert et de sentir comme il lui faisait mal. Un liquide chaud s’épandait sur ses cuisses, mais ce n’était que du foutre : son minou avait supporté la charge. Elle s’essuya consciencieusement, plusieurs minutes, avec du papier toilette, tant la quantité du liquide était importante… puis rajusta son slip et revint avec Carlos , le visage encore rouge, rejoindre la réception. Elle laissa alors le colosse à sa femme, devant le buffet…
Un peu plus tard, pendant que tout le monde s’affairait à organiser la salle, débarrassant les tables, et les rangeant pour augmenter la surface de la piste de danse, Laure se rendit dans les cuisines attenantes… Il y avait là Maurice, le Chef Cuisinier. Elle l’avait déjà vu en plusieurs occasions. C’était un homme jovial, d’environ cinquante huit ans, petit, aux joues roses, les cheveux courts et déjà grisonnants, avec une bedaine prononcée. Il parlait avec un fort accent de la Saône et Loire. Laure resta seule avec lui, à l’office, l’aidant au rangement et plaisantant comme elle en avait coutume… A un moment, elle accompagna Maurice dans la chambre froide où ils entreposèrent des restes de quiche et pizza qui seraient répartis entre les derniers invités après la fête. Elle referma la porte de l’immense frigo derrière eux ; il devait faire environ 3°C dans ce local éclairé par un néon blanc. Et, là, sans prévenir, elle enlaça le petit homme, plaquant sa bouche sur la sienne. Le cuisinier fut surpris par cette petite langue qui s’enroulait sur la sienne, mais répondit à ce baiser. Laure dénoua le tablier blanc, déboutonna le large pantalon pied de poule qui tomba aux pieds de l’homme ébahi. Elle extirpa alors la verge encore molle d’un slip petit bateau blanc. En quelques caresses le vit du vieux atteignit une taille raisonnable et une fermeté suffisante. Elle souleva sa courte jupe, et écartant sa petite culotte au niveau de l’entrée de son vagin, cabrant les reins, elle introduisit d’une main preste, la saucisse du cuisinier, maintenant dressée, dans son ventre chaud. L’homme n’osait toujours pas bouger. Leurs deux bouches laissaient exhaler des nuages de vapeur dans cet endroit glacial… Laure remuait son petit derrière, engloutissant le panais de cet amant qui aurait pu être son père. D’une main experte, elle lui malaxait les testicules. Ce coït tranquille la reposait. Bientôt, le maître queue, toujours figé, le visage cramoisi, mais ayant plaqué ses grosses mains aux doigts courts, sur les fesses de ma femme, lâcha un jet de sa sauce blanche dans sa jeune compagne en émettant des gémissements obscènes. Elle sentait les pulsations de la bite à mesure qu’il éjaculait. Elle essuya sa vulve avec le tablier blanc resté au sol, nettoya le sexe du quinquagénaire de deux ou trois sucions Elle se replaça alors devant lui, la jupe toujours relevée comme roulée sur sa taille, souleva son pull-over pour découvrir sa poitrine aux bouts durcis par le froid et l’excitation, et ôta sa petite culotte. Elle s’assit sur un rayonnage glacé, cuisses grandes ouvertes. L’ homme contempla ce corps qui venait de lui faire l’amour. Il voyait là une de ces petites poupées de magazine masculin, qu’il aurait cru inaccessible pour lui, peu séduisant et déjà âgé. Son souffle était court, ses yeux exorbités… Il osa timidement porter les mains à la poitrine pour la palper, et au sexe de la mignonne, se risquant même à y glisser deux doigts, un peu comme s’il se pinçait pour être sûr de ne pas rêver. Malgré le froid elle enleva sa jupe et le pull-over, et se réinstalla face à Maurice pour lui laisser admirer son corps de déesse, fente grande ouverte, comme une bouche verticale et gourmande, toujours dilatée de l’assaut de Carlos. Maurice avait les yeux fixés sur la chatte exposée là, toute rose, comme pour une leçon de choses. Il ne savait pas que ce minou venait d’être dilaté à l’extrême par la bite de Carlos avant la sienne. Laure s’empara d’un gros saucisson pendu là à un crochet, et en engouffra presque la moitié très facilement dans son ventre: le godemiché improvisé était glacé ; elle ne supporta que deux ou trois aller retour. Puis, commençant à sentir les effets du froid sur tout son corps, Laure se rajusta et sortit, laissant là l’homme, toujours muet, le sexe triste et les bourses pendantes entre ses jambes, sous son gros ventre mou. Le cuisinier n’aurait jamais imaginé qu’un si petit bout de femme puisse avoir une chatte si ouverte. Elle lui laissa sa culotte de dentelle souillée en souvenir. Elle était heureuse de s’être ainsi fait nourrir le ventre par ce vieux célibataire cuisinier. C’est la première fois qu’elle s’offrait à un homme aussi âgé et elle gardera un bon souvenir de cet accouplement. Laure retourna aux vestiaires pour récupérer dans son sac à main, une culotte propre semblable à celle qu’elle venait de céder.
Un peu plus tard, pendant que tout le monde s’affairait à organiser la salle, débarrassant les tables, et les rangeant pour augmenter la surface de la piste de danse, Laure se rendit dans les cuisines attenantes… Il y avait là Maurice, le Chef Cuisinier. Elle l’avait déjà vu en plusieurs occasions. C’était un homme jovial, d’environ cinquante huit ans, petit, aux joues roses, les cheveux courts et déjà grisonnants, avec une bedaine prononcée. Il parlait avec un fort accent de la Saône et Loire. Laure resta seule avec lui, à l’office, l’aidant au rangement et plaisantant comme elle en avait coutume… A un moment, elle accompagna Maurice dans la chambre froide où ils entreposèrent des restes de quiche et pizza qui seraient répartis entre les derniers invités après la fête. Elle referma la porte de l’immense frigo derrière eux ; il devait faire environ 3°C dans ce local éclairé par un néon blanc. Et, là, sans prévenir, elle enlaça le petit homme, plaquant sa bouche sur la sienne. Le cuisinier fut surpris par cette petite langue qui s’enroulait sur la sienne, mais répondit à ce baiser. Laure dénoua le tablier blanc, déboutonna le large pantalon pied de poule qui tomba aux pieds de l’homme ébahi. Elle extirpa alors la verge encore molle d’un slip petit bateau blanc. En quelques caresses le vit du vieux atteignit une taille raisonnable et une fermeté suffisante. Elle souleva sa courte jupe, et écartant sa petite culotte au niveau de l’entrée de son vagin, cabrant les reins, elle introduisit d’une main preste, la saucisse du cuisinier, maintenant dressée, dans son ventre chaud. L’homme n’osait toujours pas bouger. Leurs deux bouches laissaient exhaler des nuages de vapeur dans cet endroit glacial… Laure remuait son petit derrière, engloutissant le panais de cet amant qui aurait pu être son père. D’une main experte, elle lui malaxait les testicules. Ce coït tranquille la reposait. Bientôt, le maître queue, toujours figé, le visage cramoisi, mais ayant plaqué ses grosses mains aux doigts courts, sur les fesses de ma femme, lâcha un jet de sa sauce blanche dans sa jeune compagne en émettant des gémissements obscènes. Elle sentait les pulsations de la bite à mesure qu’il éjaculait. Elle essuya sa vulve avec le tablier blanc resté au sol, nettoya le sexe du quinquagénaire de deux ou trois sucions Elle se replaça alors devant lui, la jupe toujours relevée comme roulée sur sa taille, souleva son pull-over pour découvrir sa poitrine aux bouts durcis par le froid et l’excitation, et ôta sa petite culotte. Elle s’assit sur un rayonnage glacé, cuisses grandes ouvertes. L’ homme contempla ce corps qui venait de lui faire l’amour. Il voyait là une de ces petites poupées de magazine masculin, qu’il aurait cru inaccessible pour lui, peu séduisant et déjà âgé. Son souffle était court, ses yeux exorbités… Il osa timidement porter les mains à la poitrine pour la palper, et au sexe de la mignonne, se risquant même à y glisser deux doigts, un peu comme s’il se pinçait pour être sûr de ne pas rêver. Malgré le froid elle enleva sa jupe et le pull-over, et se réinstalla face à Maurice pour lui laisser admirer son corps de déesse, fente grande ouverte, comme une bouche verticale et gourmande, toujours dilatée de l’assaut de Carlos. Maurice avait les yeux fixés sur la chatte exposée là, toute rose, comme pour une leçon de choses. Il ne savait pas que ce minou venait d’être dilaté à l’extrême par la bite de Carlos avant la sienne. Laure s’empara d’un gros saucisson pendu là à un crochet, et en engouffra presque la moitié très facilement dans son ventre: le godemiché improvisé était glacé ; elle ne supporta que deux ou trois aller retour. Puis, commençant à sentir les effets du froid sur tout son corps, Laure se rajusta et sortit, laissant là l’homme, toujours muet, le sexe triste et les bourses pendantes entre ses jambes, sous son gros ventre mou. Le cuisinier n’aurait jamais imaginé qu’un si petit bout de femme puisse avoir une chatte si ouverte. Elle lui laissa sa culotte de dentelle souillée en souvenir. Elle était heureuse de s’être ainsi fait nourrir le ventre par ce vieux célibataire cuisinier. C’est la première fois qu’elle s’offrait à un homme aussi âgé et elle gardera un bon souvenir de cet accouplement. Laure retourna aux vestiaires pour récupérer dans son sac à main, une culotte propre semblable à celle qu’elle venait de céder.
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