laure fille soumise chapitre 1
Récit érotique écrit par Lorfab [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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laure fille soumise chapitre 1
LAURE, FILLE SOUMISE
- Chapitre UN -
Sur le chemin du retour, Laure profite du soleil, c’est presque la fin de l’année, on
est en juillet. Elle a hâte d’être en vacances après cette année de galère. A 21 ans,
elle est en licence de droit ce qui n’est pas mal, mais l’année prochaine elle y sera
encore. Le droit ne l’intéresse pas et ses résultats s’en ressentent.
Peu m’importe. Aujourd’hui, le soleil annonce l’été. La chaleur n’est pas encore
estivale mais presque, d’ailleurs ce matin il faisait assez chaud pour qu’elle laisse
son taille basse au placard et qu’elle sorte enfin cette jupe blanche qu’elle a acheté
la semaine dernière.
Sage, elle lui arrive à mi-cuisse mais avec une fente sur la cuisse suffisamment
haute pour lui interdire le port des dim’up.
C’est son style, plutôt sage mais toujours un peu sexy. Elle est BCBG pour être dans
la norme, mais elle aime que l’on se retourne sur elle. En plus, son corps le lui
permet, elle n’a pas à se plaindre : blonde aux cheveux longs, d’une taille moyenne et
bien proportionnée avec son 90B qu’elle aimerait quand même plus volumineux, il suffit
que sa tenue la mette en valeur pour attirer le regard des hommes. Elle en joue plutôt
souvent comme aujourd’hui et tente un peu le diable.
Oui, elle est pas mal sa jupe, mais avec mon petit débardeur noir décolleté et ses
escarpins en daim noir, c’est tout de suite plus aguichant. Un petit gilet noir lui
permet de montrer qu’elle est une fille bien, mais ouvert comme il est, il ne cache
rien.
D’ailleurs elle a bien vu l’homme assis en face d’elle dans le bus, il faisait
semblant de regarder par la fenêtre mais ses yeux louchaient vers ses jambes
régulièrement. Comme toujours, elle n’a rien fait pour qu’il arrête, elle a fait mine
de ne pas le remarquer. C’est agréable de sentir que l’on plaît.
Arrivée chez elle, enfin chez son père, elle relève le courrier comme souvent puisque
la première à rentrer à la maison. Elle voit une enveloppe sans timbre adressée à la
‘jolie fille de la maison’. Elle ouvre le courrier. Il y a juste deux lignes :
"Oserez vous demain à la même heure en descendant sur bus, suivre l'homme à la canne
?
Vous serez habillée comme aujourd'hui si ce n'est sans aucun dessous........"
Sa main tremble un peu à la lecture de ce billet, ses joues sont en feu et elle sent
une lourdeur au bas du ventre..
Qui est ce fou? Il la connaît pour réussir à lui envoyer cette lettre. Un voisin ?
Peut-être, ça l’intrigue. Pour qui se prend-il à croire qu'elle va accepter ? Laure
s'y refuse et passe à autre chose. Quelques bouts de chocolats plus tard, son père
rentre, ils discutent, mangent, la soirée passe. Dans un coin de sa tête, elle repense
à cette fichue lettre. Au moment de s’endormir, cette lettre l’obsède toujours : "Qui
c’est ?"
Enfin, la nuit l’emporte. Quand le réveil sonne, Laure maudit ces derniers jours de
fac’. Son année est plantée, quel est l’intérêt d’y aller à part celui d’avoir la paix
avec son père?
Finalement, la sagesse l’emporte et elle se lève péniblement. Après, un jus d’orange
vite expédié et deux BN, Laure se retrouve devant mon armoire pour le dilemme
quotidien. C’est à ce moment que la fameuse lettre lui revient. Il est hors de
question d’accéder à une telle demande, c’est un pervers ou quoi ? Pourtant ça
l’intrigue et si elle ne fait rien, elle ne saura jamais qui c’est.
Oui, ou non ?
Que faire ?
Allez ! Juste pour voir si elle arrive à savoir qui la regarde en secret. Finalement,
elle aurait certainement mis une jupe avec ce beau temps, donc l’effort n’est pas très
important. Par contre pour les sous-vêtements elle hésite beaucoup. C'est trop pour
elle. Elle sort un string noir et le soutien-gorge assorti et file à la salle de
bains.
Une fois habillée, elle tourne sur elle même et fait voler sa jupette. Le noir des
dessous tranche avec le blanc de sa jupe. Elle chausse ses plus haut talons qui sont
de fait plus des escarpins qu'autre chose. Ainsi chaussée, elle se sent comme une
biche, légère mais à la cheville fragile, bien incapable de courir si le besoin s'en
faisait sentir...
Elle sort de la salle de bain et file en claquant la porte sachant bien comment cela
énerve son père
A la Fac, encore une journée morne. Pendant les cours, son esprit s'envole à des
pensées divers jusqu'au moment ou une seule pensée la concentre: L'homme à la lettre
et cette folie d'accepter ce qui est demandé.
Elle commence à imaginer ce qui pourrait se passer si elle le suivait. Un fou ?? un
criminel ?? une bande qui à l'arrivée lui ferait subir une de ces "tournante" à 10, 20
sexes dressés se collant à elle, la pénétrant.
Elle se voyait submergée, soulevée, traînée les vêtements arrachées...
Sans s'en rendre compte, ses cuisses s'étaient ouvertes et son ventre avait basculé en
avant. Un léger mouvement la faisait tanguer.
Ce qui est sûr, c'est que le prof depuis son estrade ne rêvassait pas lui et, les
yeux fixes, ne pouvait aucunement ignorer la couleur du string et même en voir le
voile transparent qui couvrait la toison de Laure.
Le spectacle lui plaît, habituellement, il l'aurait apostrophée pour son inattention
mais il préfère la laisser pour profiter de la vue.
Quand Laure se rend compte de ce que son professeur la regarde, elle referme
immédiatement les jambes, la honte lui faisant rougir les joues. Elle n'ose croiser
son regard et prend des notes consciencieusement.
Qu'est-ce qui lui prend? Ce comportement ne lui ressemble pas.
Le cours est interminable, Laure est obsédée par ce qu'elle vient de faire et par
l'excitation de son rendez-vous. Enfin, la sonnerie retentit et elle se précipite
enfournant ses affaires dans son sac et bousculant ses camarades pour sortir de
l'amphi. Elle sent le professeur qui la regarde fuir d'un regard amusé.
La chaleur de la honte l'étouffe, elle passe aux toilettes pour se rafraîchir. Un peu
d'eau sur les joues, elle se regarde dans la glace.
Je suis folle, se dit-elle mais elle sait qu'elle va suivre cette homme à la canne.
Son ventre est brûlant.
Une pause pipi s'impose, elle rentre dans les toilettes, baisse son string. Accroupie,
elle se laisse aller et se libère de son envie pressente. Elle se relève et au lieu de
s'essuyer, elle passe un doigt entre ses lèvres et se découvre gonflée, le clitoris
tendue. Elle passe plusieurs fois son doigt, tentée de le glisser en elle afin d'en
prélever un jus lubrifiant à destination de son clito affamé.
Laure se reprend, remonte son string, baisse sa jupette. Elle porte quand même son
doigt à son visage pour en respirer l'odeur de sons sexe.
Elle ne peut s'en empêcher, cela la rassure, la détend et l'excite tout en même temps.
Du bout de la langue elle le nettoie un peu honteuse. Sentant son sexe mouillé de plus
en plus, elle se jette à l'eau et baisse son string d'un coup et s'en extirpe d'un
mouvement de pieds. Elle dégrafe son soutien-gorge et le retire d'un geste agile sans
même toucher à son débardeur.
Ayant pris soin de bien mettre ses dessous au fond de son sac, Laure souffle un grand
coup et sort les jambes tremblantes. Arrivée à l'arrêt de bus, personne ne s'est
aperçu de rien se dit-elle à moitié rassurée.
Le bus approche, Laure monte, badge et parcourt des yeux les passagers: Rien, aucun
homme. une mère de famille avec sa progéniture, quelques vieux et 4 turbulents
boutonneux de 13 ans.
Elle s'assoit au fond du bus dans la partie surélevée et bêtement juste en face de la
travée principale. Les 4 boutonneux n'arrêtent de se retourner en reluquant sans
vergogne son entrecuisse.
Laure est tellement gênée. Voit-on qu'elle est nue sous sa jupe? Elle sent le
plastique contre ses fesses nues.
Le bus s'arrête et du monde y monte. Les boutonneux profitent du mouvement pour
changer de place et venir s'asseoir de chaque côté de Laure qui ne peut se sauver, le
bus est maintenant plein.
Elle entend leurs chuchotements hilares complimentant son physique. Son visage
empourpré traduit une honte qu'elle n'a jamais connu. Les garçons se risquent à frôler
ses courbes sans que Laure n'ose rien dire. Elle les imagine abusant d'elle et se
surprend à éprouver de l'excitation.
Au prochain arrêt les trois quarts des passagers descendent. Les morveux la lâchent et
Laure respire un peu.
Un homme s'approche et il pose ou plutôt plante droit la pointe d'une canne entre les
cuisses de Laure. C'est une canne en bois vernis, fine à bout argenté. En remontant la
tête, elle suit du regard la tige de bois et découvre le personnage. Il est ... d'un
autre temps : costume sombre de laine épaisse avec une sorte de cape et un chapeau
noir à large bord.
Tout de suite, il lui fait penser à Aristide Bruant. Elle l'a étudié dans l'année et
c'est son portrait craché. Elle ne voit pas son visage.
Il tape deux fois de sa canne et tacle sa jambe, le message est clair, le bus arrive
à un arrêt, Laure doit prendre sa décision...
Comme hypnotisée, Laure se lève. Son corps obéit alors que sa tête ne s'est pas
encore décidée.
Le bus est arrêté, ils descendent, l'homme ne lui adresse pas un mot et marche devant
elle.
Il est grand en fait et se dégage de lui une force, une aura singulière. Quelque
chose n'est pas raccord. Ou lui n'est pas de ce temps ou la ville et Laure elle mêmes
ne devrait pas être là. Plutôt un Londres du XIX ieme siècle. Ne manque que la nuit et
un brouillard pour que Laure ne doute qu'elle va se faire éventrer par Jack the
ripper. Mais non, on est en pleins soleil, il fait chaud, Laure transpire et suis
comme un zombie cet homme à la canne. Elle a du mal à suivre son rythme avec ses
talons trop haut. En quelques rues, il se retrouve vite excentrés de la ville et
abordent une zone plus vieille, presque délabrée, mais Laure n'y prête pas attention,
elle suit toujours l'homme à la canne.
Le coin est plutôt cradingue. des épaves de voitures, des poubelles éventrées. Sans
parler de la faune, moitié dealer, moitié sdf. Bizarrement, personne n'a l'air de voir
l'homme à la canne alors que clairement Laure est un "animal" en zone de prédation.
Il s'arrête devant un petit immeuble fatigué. Il ouvre la porte et fait signe à Laure
de rentrer. Craintive, la jeune fille passe d'abord le regard et ne voit qu'une cage
d'escalier défoncée dont le sol est jonché de vieux prospectus. Elle entre se frayant
un chemin jusqu'au milieu du hall. Elle se retourne et interroge l'homme du regard ne
sachant où aller.
Il tapote de sa canne une porte en bois poussiéreuse. Laure ouvre et découvre un
escalier qui descend en de sombres tréfonds.
l'homme la pousse doucement du bout de sa canne au creux de reins. Elle commence à
descendre en se tenant au mur des deux mains. L'homme agit sur un interrupteur qui
éclaire le chemin d'une lumière pisseuse.
Laure commence à paniquer :
- non s'il vous plaît.
elle remonte quelques marches mais il se dresse devant elle l'empêchant de passer. Il
n'a pas besoin de dire un mot, elle se sent vaincu et fait demi-tour. Ses jambes
tremblent, son coeur résonne dans ses oreilles, ses joues s'empourprent. Marche par
marche, lentement, elle descend pour enfin arriver au sous sol.
En bas, le sol est de terre. Elle le sent sous ses pieds et à l'odeur humide. Elle
avance comme une somnambule dans un labyrinthe fait de mur de briques. Toujours
derrière elle cette présence. Laure est comme saoule entre peur et excitation.
enfin , elle voit une lumière là, au fond.
Elle découvre quatre ou cinq silhouettes masculine avachies contre un mur. Son sang
ne fait qu'un tour, elle ne peut plus avancer. Elle reste là immobile. L'homme est
juste derrière elle l'empêchant de faire marche arrière. Les silhouettes se lèvent et
s'approchent.
Laure est pétrifiée. Les visages se dessinent. Des sdf ou au mieux des marginaux
sentant l'alcool à dix mètres, les yeux défoncés de certains à cause de drogues bas de
gamme...
Poussée au milieu de l'arène, Laure est bousculée. Un cercle se forme et chacun se la
renvoie. Tout en essayant d'arracher des bouts de vêtements. laure pousse des cris de
frayeurs que vont-ils faire d'elle?
L'homme à la canne de deux coups tapé sur le sol arrête ce petit jeu. Il se place
prés de laure au milieu de l'arène et du bout de son instrument caresse la cuisse de
laure. Il remonte sa canne doucement le long de la cuisse, dépasse le genoux et en
tapotant l'oblige à ouvrir les cuisses. Ainsi fait, il continue à remonter jusqu'à
l'entrecuisse et remonte légèrement sa jupe. Laure resserre immédiatement ses jambes
et met ses mains en protection. L'homme la regarde d'un air sévère et retire sa canne,
il se recule d'un pas et invite les hommes à se rapprocher. laure prend peur.
D'accord, dit-elle en se remettant en position. L'homme se rapproche et relève très
lentement la jupe de Laure tremblante de peur et de honte.
il pose le bout de sa canne sur son sexe juste contre la naissance de son clitoris et
appuie sur un bouton dissimulée dans le pommeau. Laure sent une petite piqûre et un
produit se diffuse, irradie à l'intérieur d'elle. Une chaleur s'empare de son bas
ventre.
Laure ne comprend pas ce qu'il lui arrive. L'homme retire sa canne la jupe retombe.
Il lui indique d'un mouvement clair de se retourner, Laure inquiète obéit. Elle sent
la canne remonter le long de sa jambe et la caresser.
la chaleur commence à remonter dans son corps comme un serpent. Une boule de feu
explose dans ses seins. Elle les sent gonfler et se sensibiliser. Ses sens deviennent
extrêmement exacerbés. La vision des choses qui l'entoure se distend. Une sorte
d'hallucination la prend. Sa peur disparaît et au contraire laure prend plaisir à
sentir cette canne remonter le long de sa jambe. Elle tend sa croupe, offre son
sillon. Le cercle se referme sur elle. Les hommes saouls lui verse de l'alcool sur le
corps. Son débardeur est trempé et on peut distinguer ses seins sous le tissus. Sa
jupe colle sur sa peau, moulant encore un peu plus ses jolies courbes.
Les hommes sortent leurs verges et commence à se masturber autour d'elle. C'est comme
une cérémonies ces sexes tendues qui synchronisent leurs mouvement de masturbation
avec Laure au milieu apprêtée au sacrifice. Aucun ne la touche mais leurs yeux sont
hypnotisés par ce corps de jeune blanche des quartiers chics. Laure se sent dans un
état second, elle est choquée de ce qu'elle vit mais elle n'a pas la force de se
rebeller au contraire son corps comme déconnecté d'elle-même apprécie.
L'homme à la canne relève son débardeur montrant son ventre puis le début d'un sein.
Un des hommes s'approche et la fait mettre à genoux. Doucement, il caresse son gland
contre le sein. la caresse fait aussitôt s'ériger la pointe. Dans un duel sensuel les
deux érections croisent leurs turgescences violacées. laure gémit, l'homme à la cane
fait signe à l’homme de reculer et redresse laure sèchement; Un autre s'avance et
frotte son sexe contre sa cuisse dénudée.
Il remonte lentement à la croisée et froisse la toison de Laure en glissant sa verge
entre ses cuisses serrées. Son sexe en ressort trempé et luisant. cette vision le fait
jouir,il crache sa semence en long jet dans un mouvement de balancier de bas en haut
de sa verge, souillant la jambe et la main de laure. L'homme se retire et un autre le
remplace. L'homme lui indique en pointant de sa canne l'endroit ou il doit se
caresser. Passant derrière laure, il plaque son gland dans le sillon de ses fesses. de
bas en haut de sa raie il frotte son sexe mouillé. Laure sent qu'il accroche à chaque
passage ou l'entrée de son vagin ou celui de son anus. A son corps défendant, elle
coule littéralement de désir et cela ne fait que faciliter les risques de violation
des ses intimitées. Mais l'homme à la canne veille. Il donne un coup sec sur la verge
de l'homme alors que celui ci allait abuser de Laure. L'homme recule, prend à pleine
main son sexe et se branle violemment. Ses testicules accompagne cette furieuse
branlée et il éjecte un flots de sperme qui tombe à terre sur les pieds de Laure. Les
deux derniers hommes s'approche de chaque côte de Laure et se branlent leurs glands
collés sur ses cuisses et leurs deuxième mains sur ses fesses. laure ne bouge pas et
se laisse faire, elle croise leurs regards vicieux, honteuse. L'un deux crochète de
son doigts son anus pendant que l'autre glisse deux doigts dans son vagin. Ainsi
arrimé, les deux hommes tiennent Laure hameçonnée pendant que leurs bites luisent
lustrées par la douceur de la peau de ses cuisses
Laure gémit et ondule de plaisir à sentir ses trous légèrement envahies. Elle
voudrait plus. Avoir ces sexes plutôt en elle. Est elle devenue folle ?? Cette drogue
trahie sa volonté. Les deux hommes arrivent à leurs fin. Dans un long râle ils
éjaculent ensemble sur ses fesses. Le sperme suit la rigole de son sillon fessier et
vient se joindre à l’ excitation qui coule d'elle. laure est au bord de la jouissance
quant l'homme à la cane fait signe au hommes de déguerpir.
Il se retrouvent tous les deux. Laure frustrée, revient légèrement à la réalité. La
honte s'abat sur elle. Comment peut elle être là, nue, souillée de sperme. Elle ne
peut mêmes pas se positionner comme victime. L'homme à la canne lui jette une
serviette. Laure s'essuie et reste là à attendre l'ordre. Elle sent l'alcool, la peau
de ses jambes souillée de sperme la tiraille. L'homme la regarde l'air satisfait. et
lui tend une enveloppe
Laure ouvre l'enveloppe et en sort plusieurs clichés couleurs d'elle en divers angles
et gros plans certains obscènes avec ces hommes se branlant sur elle. Son sang se
glace et elle comprend immédiatement que l'homme à la canne veut la faire chanter,
elle le regarde, ses yeux se remplissant de larmes.
Un sourire se dessine sur le visage de l'homme. Il tend à Laure un téléphone se
retourne et remonte l'escalier. Laure reste seule avec sa honte et une angoisse qui
commence à naître au fond d'elle mêmes. Après de longues minutes, elle se dit qu'elle
doit sortir de cet endroit horrible. Lentement, elle remonte les escaliers pour se
retrouver dans le hall de l'immeuble. A la lumière du jour, elle se rend compte de son
état désastreux.
- Chapitre UN -
Sur le chemin du retour, Laure profite du soleil, c’est presque la fin de l’année, on
est en juillet. Elle a hâte d’être en vacances après cette année de galère. A 21 ans,
elle est en licence de droit ce qui n’est pas mal, mais l’année prochaine elle y sera
encore. Le droit ne l’intéresse pas et ses résultats s’en ressentent.
Peu m’importe. Aujourd’hui, le soleil annonce l’été. La chaleur n’est pas encore
estivale mais presque, d’ailleurs ce matin il faisait assez chaud pour qu’elle laisse
son taille basse au placard et qu’elle sorte enfin cette jupe blanche qu’elle a acheté
la semaine dernière.
Sage, elle lui arrive à mi-cuisse mais avec une fente sur la cuisse suffisamment
haute pour lui interdire le port des dim’up.
C’est son style, plutôt sage mais toujours un peu sexy. Elle est BCBG pour être dans
la norme, mais elle aime que l’on se retourne sur elle. En plus, son corps le lui
permet, elle n’a pas à se plaindre : blonde aux cheveux longs, d’une taille moyenne et
bien proportionnée avec son 90B qu’elle aimerait quand même plus volumineux, il suffit
que sa tenue la mette en valeur pour attirer le regard des hommes. Elle en joue plutôt
souvent comme aujourd’hui et tente un peu le diable.
Oui, elle est pas mal sa jupe, mais avec mon petit débardeur noir décolleté et ses
escarpins en daim noir, c’est tout de suite plus aguichant. Un petit gilet noir lui
permet de montrer qu’elle est une fille bien, mais ouvert comme il est, il ne cache
rien.
D’ailleurs elle a bien vu l’homme assis en face d’elle dans le bus, il faisait
semblant de regarder par la fenêtre mais ses yeux louchaient vers ses jambes
régulièrement. Comme toujours, elle n’a rien fait pour qu’il arrête, elle a fait mine
de ne pas le remarquer. C’est agréable de sentir que l’on plaît.
Arrivée chez elle, enfin chez son père, elle relève le courrier comme souvent puisque
la première à rentrer à la maison. Elle voit une enveloppe sans timbre adressée à la
‘jolie fille de la maison’. Elle ouvre le courrier. Il y a juste deux lignes :
"Oserez vous demain à la même heure en descendant sur bus, suivre l'homme à la canne
?
Vous serez habillée comme aujourd'hui si ce n'est sans aucun dessous........"
Sa main tremble un peu à la lecture de ce billet, ses joues sont en feu et elle sent
une lourdeur au bas du ventre..
Qui est ce fou? Il la connaît pour réussir à lui envoyer cette lettre. Un voisin ?
Peut-être, ça l’intrigue. Pour qui se prend-il à croire qu'elle va accepter ? Laure
s'y refuse et passe à autre chose. Quelques bouts de chocolats plus tard, son père
rentre, ils discutent, mangent, la soirée passe. Dans un coin de sa tête, elle repense
à cette fichue lettre. Au moment de s’endormir, cette lettre l’obsède toujours : "Qui
c’est ?"
Enfin, la nuit l’emporte. Quand le réveil sonne, Laure maudit ces derniers jours de
fac’. Son année est plantée, quel est l’intérêt d’y aller à part celui d’avoir la paix
avec son père?
Finalement, la sagesse l’emporte et elle se lève péniblement. Après, un jus d’orange
vite expédié et deux BN, Laure se retrouve devant mon armoire pour le dilemme
quotidien. C’est à ce moment que la fameuse lettre lui revient. Il est hors de
question d’accéder à une telle demande, c’est un pervers ou quoi ? Pourtant ça
l’intrigue et si elle ne fait rien, elle ne saura jamais qui c’est.
Oui, ou non ?
Que faire ?
Allez ! Juste pour voir si elle arrive à savoir qui la regarde en secret. Finalement,
elle aurait certainement mis une jupe avec ce beau temps, donc l’effort n’est pas très
important. Par contre pour les sous-vêtements elle hésite beaucoup. C'est trop pour
elle. Elle sort un string noir et le soutien-gorge assorti et file à la salle de
bains.
Une fois habillée, elle tourne sur elle même et fait voler sa jupette. Le noir des
dessous tranche avec le blanc de sa jupe. Elle chausse ses plus haut talons qui sont
de fait plus des escarpins qu'autre chose. Ainsi chaussée, elle se sent comme une
biche, légère mais à la cheville fragile, bien incapable de courir si le besoin s'en
faisait sentir...
Elle sort de la salle de bain et file en claquant la porte sachant bien comment cela
énerve son père
A la Fac, encore une journée morne. Pendant les cours, son esprit s'envole à des
pensées divers jusqu'au moment ou une seule pensée la concentre: L'homme à la lettre
et cette folie d'accepter ce qui est demandé.
Elle commence à imaginer ce qui pourrait se passer si elle le suivait. Un fou ?? un
criminel ?? une bande qui à l'arrivée lui ferait subir une de ces "tournante" à 10, 20
sexes dressés se collant à elle, la pénétrant.
Elle se voyait submergée, soulevée, traînée les vêtements arrachées...
Sans s'en rendre compte, ses cuisses s'étaient ouvertes et son ventre avait basculé en
avant. Un léger mouvement la faisait tanguer.
Ce qui est sûr, c'est que le prof depuis son estrade ne rêvassait pas lui et, les
yeux fixes, ne pouvait aucunement ignorer la couleur du string et même en voir le
voile transparent qui couvrait la toison de Laure.
Le spectacle lui plaît, habituellement, il l'aurait apostrophée pour son inattention
mais il préfère la laisser pour profiter de la vue.
Quand Laure se rend compte de ce que son professeur la regarde, elle referme
immédiatement les jambes, la honte lui faisant rougir les joues. Elle n'ose croiser
son regard et prend des notes consciencieusement.
Qu'est-ce qui lui prend? Ce comportement ne lui ressemble pas.
Le cours est interminable, Laure est obsédée par ce qu'elle vient de faire et par
l'excitation de son rendez-vous. Enfin, la sonnerie retentit et elle se précipite
enfournant ses affaires dans son sac et bousculant ses camarades pour sortir de
l'amphi. Elle sent le professeur qui la regarde fuir d'un regard amusé.
La chaleur de la honte l'étouffe, elle passe aux toilettes pour se rafraîchir. Un peu
d'eau sur les joues, elle se regarde dans la glace.
Je suis folle, se dit-elle mais elle sait qu'elle va suivre cette homme à la canne.
Son ventre est brûlant.
Une pause pipi s'impose, elle rentre dans les toilettes, baisse son string. Accroupie,
elle se laisse aller et se libère de son envie pressente. Elle se relève et au lieu de
s'essuyer, elle passe un doigt entre ses lèvres et se découvre gonflée, le clitoris
tendue. Elle passe plusieurs fois son doigt, tentée de le glisser en elle afin d'en
prélever un jus lubrifiant à destination de son clito affamé.
Laure se reprend, remonte son string, baisse sa jupette. Elle porte quand même son
doigt à son visage pour en respirer l'odeur de sons sexe.
Elle ne peut s'en empêcher, cela la rassure, la détend et l'excite tout en même temps.
Du bout de la langue elle le nettoie un peu honteuse. Sentant son sexe mouillé de plus
en plus, elle se jette à l'eau et baisse son string d'un coup et s'en extirpe d'un
mouvement de pieds. Elle dégrafe son soutien-gorge et le retire d'un geste agile sans
même toucher à son débardeur.
Ayant pris soin de bien mettre ses dessous au fond de son sac, Laure souffle un grand
coup et sort les jambes tremblantes. Arrivée à l'arrêt de bus, personne ne s'est
aperçu de rien se dit-elle à moitié rassurée.
Le bus approche, Laure monte, badge et parcourt des yeux les passagers: Rien, aucun
homme. une mère de famille avec sa progéniture, quelques vieux et 4 turbulents
boutonneux de 13 ans.
Elle s'assoit au fond du bus dans la partie surélevée et bêtement juste en face de la
travée principale. Les 4 boutonneux n'arrêtent de se retourner en reluquant sans
vergogne son entrecuisse.
Laure est tellement gênée. Voit-on qu'elle est nue sous sa jupe? Elle sent le
plastique contre ses fesses nues.
Le bus s'arrête et du monde y monte. Les boutonneux profitent du mouvement pour
changer de place et venir s'asseoir de chaque côté de Laure qui ne peut se sauver, le
bus est maintenant plein.
Elle entend leurs chuchotements hilares complimentant son physique. Son visage
empourpré traduit une honte qu'elle n'a jamais connu. Les garçons se risquent à frôler
ses courbes sans que Laure n'ose rien dire. Elle les imagine abusant d'elle et se
surprend à éprouver de l'excitation.
Au prochain arrêt les trois quarts des passagers descendent. Les morveux la lâchent et
Laure respire un peu.
Un homme s'approche et il pose ou plutôt plante droit la pointe d'une canne entre les
cuisses de Laure. C'est une canne en bois vernis, fine à bout argenté. En remontant la
tête, elle suit du regard la tige de bois et découvre le personnage. Il est ... d'un
autre temps : costume sombre de laine épaisse avec une sorte de cape et un chapeau
noir à large bord.
Tout de suite, il lui fait penser à Aristide Bruant. Elle l'a étudié dans l'année et
c'est son portrait craché. Elle ne voit pas son visage.
Il tape deux fois de sa canne et tacle sa jambe, le message est clair, le bus arrive
à un arrêt, Laure doit prendre sa décision...
Comme hypnotisée, Laure se lève. Son corps obéit alors que sa tête ne s'est pas
encore décidée.
Le bus est arrêté, ils descendent, l'homme ne lui adresse pas un mot et marche devant
elle.
Il est grand en fait et se dégage de lui une force, une aura singulière. Quelque
chose n'est pas raccord. Ou lui n'est pas de ce temps ou la ville et Laure elle mêmes
ne devrait pas être là. Plutôt un Londres du XIX ieme siècle. Ne manque que la nuit et
un brouillard pour que Laure ne doute qu'elle va se faire éventrer par Jack the
ripper. Mais non, on est en pleins soleil, il fait chaud, Laure transpire et suis
comme un zombie cet homme à la canne. Elle a du mal à suivre son rythme avec ses
talons trop haut. En quelques rues, il se retrouve vite excentrés de la ville et
abordent une zone plus vieille, presque délabrée, mais Laure n'y prête pas attention,
elle suit toujours l'homme à la canne.
Le coin est plutôt cradingue. des épaves de voitures, des poubelles éventrées. Sans
parler de la faune, moitié dealer, moitié sdf. Bizarrement, personne n'a l'air de voir
l'homme à la canne alors que clairement Laure est un "animal" en zone de prédation.
Il s'arrête devant un petit immeuble fatigué. Il ouvre la porte et fait signe à Laure
de rentrer. Craintive, la jeune fille passe d'abord le regard et ne voit qu'une cage
d'escalier défoncée dont le sol est jonché de vieux prospectus. Elle entre se frayant
un chemin jusqu'au milieu du hall. Elle se retourne et interroge l'homme du regard ne
sachant où aller.
Il tapote de sa canne une porte en bois poussiéreuse. Laure ouvre et découvre un
escalier qui descend en de sombres tréfonds.
l'homme la pousse doucement du bout de sa canne au creux de reins. Elle commence à
descendre en se tenant au mur des deux mains. L'homme agit sur un interrupteur qui
éclaire le chemin d'une lumière pisseuse.
Laure commence à paniquer :
- non s'il vous plaît.
elle remonte quelques marches mais il se dresse devant elle l'empêchant de passer. Il
n'a pas besoin de dire un mot, elle se sent vaincu et fait demi-tour. Ses jambes
tremblent, son coeur résonne dans ses oreilles, ses joues s'empourprent. Marche par
marche, lentement, elle descend pour enfin arriver au sous sol.
En bas, le sol est de terre. Elle le sent sous ses pieds et à l'odeur humide. Elle
avance comme une somnambule dans un labyrinthe fait de mur de briques. Toujours
derrière elle cette présence. Laure est comme saoule entre peur et excitation.
enfin , elle voit une lumière là, au fond.
Elle découvre quatre ou cinq silhouettes masculine avachies contre un mur. Son sang
ne fait qu'un tour, elle ne peut plus avancer. Elle reste là immobile. L'homme est
juste derrière elle l'empêchant de faire marche arrière. Les silhouettes se lèvent et
s'approchent.
Laure est pétrifiée. Les visages se dessinent. Des sdf ou au mieux des marginaux
sentant l'alcool à dix mètres, les yeux défoncés de certains à cause de drogues bas de
gamme...
Poussée au milieu de l'arène, Laure est bousculée. Un cercle se forme et chacun se la
renvoie. Tout en essayant d'arracher des bouts de vêtements. laure pousse des cris de
frayeurs que vont-ils faire d'elle?
L'homme à la canne de deux coups tapé sur le sol arrête ce petit jeu. Il se place
prés de laure au milieu de l'arène et du bout de son instrument caresse la cuisse de
laure. Il remonte sa canne doucement le long de la cuisse, dépasse le genoux et en
tapotant l'oblige à ouvrir les cuisses. Ainsi fait, il continue à remonter jusqu'à
l'entrecuisse et remonte légèrement sa jupe. Laure resserre immédiatement ses jambes
et met ses mains en protection. L'homme la regarde d'un air sévère et retire sa canne,
il se recule d'un pas et invite les hommes à se rapprocher. laure prend peur.
D'accord, dit-elle en se remettant en position. L'homme se rapproche et relève très
lentement la jupe de Laure tremblante de peur et de honte.
il pose le bout de sa canne sur son sexe juste contre la naissance de son clitoris et
appuie sur un bouton dissimulée dans le pommeau. Laure sent une petite piqûre et un
produit se diffuse, irradie à l'intérieur d'elle. Une chaleur s'empare de son bas
ventre.
Laure ne comprend pas ce qu'il lui arrive. L'homme retire sa canne la jupe retombe.
Il lui indique d'un mouvement clair de se retourner, Laure inquiète obéit. Elle sent
la canne remonter le long de sa jambe et la caresser.
la chaleur commence à remonter dans son corps comme un serpent. Une boule de feu
explose dans ses seins. Elle les sent gonfler et se sensibiliser. Ses sens deviennent
extrêmement exacerbés. La vision des choses qui l'entoure se distend. Une sorte
d'hallucination la prend. Sa peur disparaît et au contraire laure prend plaisir à
sentir cette canne remonter le long de sa jambe. Elle tend sa croupe, offre son
sillon. Le cercle se referme sur elle. Les hommes saouls lui verse de l'alcool sur le
corps. Son débardeur est trempé et on peut distinguer ses seins sous le tissus. Sa
jupe colle sur sa peau, moulant encore un peu plus ses jolies courbes.
Les hommes sortent leurs verges et commence à se masturber autour d'elle. C'est comme
une cérémonies ces sexes tendues qui synchronisent leurs mouvement de masturbation
avec Laure au milieu apprêtée au sacrifice. Aucun ne la touche mais leurs yeux sont
hypnotisés par ce corps de jeune blanche des quartiers chics. Laure se sent dans un
état second, elle est choquée de ce qu'elle vit mais elle n'a pas la force de se
rebeller au contraire son corps comme déconnecté d'elle-même apprécie.
L'homme à la canne relève son débardeur montrant son ventre puis le début d'un sein.
Un des hommes s'approche et la fait mettre à genoux. Doucement, il caresse son gland
contre le sein. la caresse fait aussitôt s'ériger la pointe. Dans un duel sensuel les
deux érections croisent leurs turgescences violacées. laure gémit, l'homme à la cane
fait signe à l’homme de reculer et redresse laure sèchement; Un autre s'avance et
frotte son sexe contre sa cuisse dénudée.
Il remonte lentement à la croisée et froisse la toison de Laure en glissant sa verge
entre ses cuisses serrées. Son sexe en ressort trempé et luisant. cette vision le fait
jouir,il crache sa semence en long jet dans un mouvement de balancier de bas en haut
de sa verge, souillant la jambe et la main de laure. L'homme se retire et un autre le
remplace. L'homme lui indique en pointant de sa canne l'endroit ou il doit se
caresser. Passant derrière laure, il plaque son gland dans le sillon de ses fesses. de
bas en haut de sa raie il frotte son sexe mouillé. Laure sent qu'il accroche à chaque
passage ou l'entrée de son vagin ou celui de son anus. A son corps défendant, elle
coule littéralement de désir et cela ne fait que faciliter les risques de violation
des ses intimitées. Mais l'homme à la canne veille. Il donne un coup sec sur la verge
de l'homme alors que celui ci allait abuser de Laure. L'homme recule, prend à pleine
main son sexe et se branle violemment. Ses testicules accompagne cette furieuse
branlée et il éjecte un flots de sperme qui tombe à terre sur les pieds de Laure. Les
deux derniers hommes s'approche de chaque côte de Laure et se branlent leurs glands
collés sur ses cuisses et leurs deuxième mains sur ses fesses. laure ne bouge pas et
se laisse faire, elle croise leurs regards vicieux, honteuse. L'un deux crochète de
son doigts son anus pendant que l'autre glisse deux doigts dans son vagin. Ainsi
arrimé, les deux hommes tiennent Laure hameçonnée pendant que leurs bites luisent
lustrées par la douceur de la peau de ses cuisses
Laure gémit et ondule de plaisir à sentir ses trous légèrement envahies. Elle
voudrait plus. Avoir ces sexes plutôt en elle. Est elle devenue folle ?? Cette drogue
trahie sa volonté. Les deux hommes arrivent à leurs fin. Dans un long râle ils
éjaculent ensemble sur ses fesses. Le sperme suit la rigole de son sillon fessier et
vient se joindre à l’ excitation qui coule d'elle. laure est au bord de la jouissance
quant l'homme à la cane fait signe au hommes de déguerpir.
Il se retrouvent tous les deux. Laure frustrée, revient légèrement à la réalité. La
honte s'abat sur elle. Comment peut elle être là, nue, souillée de sperme. Elle ne
peut mêmes pas se positionner comme victime. L'homme à la canne lui jette une
serviette. Laure s'essuie et reste là à attendre l'ordre. Elle sent l'alcool, la peau
de ses jambes souillée de sperme la tiraille. L'homme la regarde l'air satisfait. et
lui tend une enveloppe
Laure ouvre l'enveloppe et en sort plusieurs clichés couleurs d'elle en divers angles
et gros plans certains obscènes avec ces hommes se branlant sur elle. Son sang se
glace et elle comprend immédiatement que l'homme à la canne veut la faire chanter,
elle le regarde, ses yeux se remplissant de larmes.
Un sourire se dessine sur le visage de l'homme. Il tend à Laure un téléphone se
retourne et remonte l'escalier. Laure reste seule avec sa honte et une angoisse qui
commence à naître au fond d'elle mêmes. Après de longues minutes, elle se dit qu'elle
doit sortir de cet endroit horrible. Lentement, elle remonte les escaliers pour se
retrouver dans le hall de l'immeuble. A la lumière du jour, elle se rend compte de son
état désastreux.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très beau récit, très captivant.
Merci à l'auteur
Louiss92
Merci à l'auteur
Louiss92
Belle imagination pour une bien bonne histoire. Bravo!
Hyper captivant.
Rudy
Rudy
Très bonne histoire! Vivement la suite.
Merci de ce bon récit
Merci de ce bon récit