Laure la lesbienne
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Laure la lesbienne
Toujours habillée en homme, elle ne cache pas ses orientations : Laure, n’aime que les filles.
Au début elle hésitait beaucoup : Lucien, un garçon bien de sa personne, bien monté qui lui faisait l’amour à la faire s’évanouir quelques fois de plaisir : C’était son premier amant alors que ses 16 ans venaient de sonner. Elle ne faisait rien à moitié ; alors elle se donnait souvent presque tous les jours à la bite de Lucien qui en profitait toujours.
Lucien lui avait appris presque tout ce qu’il savait. Ainsi dès qu’ils le pouvaient, ils s’isolaient pour passer des moments câlins dans la chambre de Lucien. Laure se dévergondait sans complexes, passés les première fois, elle cherchait elle-même tout ce qui faisait du bien. Pour elle, pas question de commencer à faire l’amour sans sucer la bite de son amant. Assez habile elle savait bien à quel moment arrêter pour ne pas qu’il jouisse.
Selon son humeur, elle se faisait baiser ou enculer. Elle aimait bien l’avoir dans le cul parce qu’elle se masturbait en même temps. Au bout de quelques mois elle voulait avoir deux bites dans son ventre. Lucien trouvait un complice pour faire des doubles pénétrations. Alors la première fois qu’elle a senti une bite dans son puits, et une autre qui venait dans son anus, elle commençait à jouir sans fin. Si au début elle acceptait de réduire sa « consommation » de double, elle arrivait à en demander presque à chaque séance.
Un jour, Lucien voulut changer de style : il propose le summum à Laure : une autre fille pour pimenter leur amour physique. Retissante au début, la première fois fut la bonne. Elle venait de découvrir les plaisirs au féminin. Lucien regardait son amante baiser avec l’autre fille : il se sentait un peu rejeté. Il bandait comme un cerf en rut, il voulait retourner dans le corps de sa copine qui d’un seul coup se prêtait aux jeux saphiques sans retenue.
A l’insu de Lucien, Laure prenait de nombreux contact avec une autre fille qu’il ne connaissait pas du tout. Laure l’avait rencontré après ses 22 ans, dans un centre commercial. Elle la trouvait particulièrement excitante. Il lui semblait l’avoir nue contre elle. Elle en mouillait d’avoir envie de baiser cette fille qu’elle ne connaissait pas du tout.
Laure ne trouvait s’un seul moyen de déclarer son envie de baise : elle lui disait directement.
Au milieu d’un rayon sans peu de monde autour elle lui disait :
- Vous être très belle.
- Merci.
- J’ai même envie de vous, pardon de toi.
- Vous ne me connaissez même pas et…
- Je sais je ne connais qu’une chose : j’ai besoin de baiser avec toi. J’aime sucer les filles, tu fais partie de celle que j’aimerai lécher. En plus je suis habile pour faire jouir les femmes. Je m’appelle Laure et toi.
D’un air timide, troublée par cette conversation cette fille consent à donner son nom sans difficulté :
-Je suis Christine.
Laure comme une récompense lui donne un long baiser sur les joues
Laure la prend par les bras pour aller lui faire l’amour.
Sans doute intriguée cette fille se laisse entrainer vers une chambre isolée.
Laure s’attache à la déshabiller comme si Lucien le lui faisait. Elle n’hésite pas à l’embrasser longuement. Les seins contenus mal dans un soutien gorge l’attire longuement. Pour Christine c’est une découverte : elle aime son amant, pour la première fois elle va le tromper avec une autre fille. Son regret ne dure pas quand elle sent la bouche de Laure sur ses seins. Les tétons se dressent pour devenir comme des cerises. Laure les prend dans sa bouche pour les sucer et les lécher. Christine n’en peu plus, elle voudrait que la bouche aille bien plus bas.
Ce n’est pas une bouche qui va vers sa chatte : c’est une main fouineuse. Laure ne cherche par le détail, elle pose deux doigts aussitôt sur le clitoris découvert. Christine écarte bien les jambes, allongée qu’elle est sur le lit, portant sa jupe retroussée. Laure lui montre par sa caresse inédite qu’une fille peu faire jouir autrement une autre fille. Les doigts ne s’arrêtent pas à ce bouton, ils vont dans le puits de Christine qui du coup se crispe un peu juste avant de jouir une autre fois.
Comme pour assurer sa prise de possession Laure pose la bouche sur l’abricot bien mur. Elle adore le gout et l’odeur d’un sexe de fille. Gourmande la langue lèche toute la figue. Christine pousse de légers cris de jouissance. Elle tient la tête de Laure comme si elle allait la laisser en plan. Ses orgasmes sont violents. Christine voudrait et cesser et continuer.
Laure arrive à se mettre nue aussi. Christine peut lui rendre certaines caresses osées. Elle branle Laure qui du coup jouit très vite, excitée qu’elle était par le traitement particulièrement vicieux qu’elle vient d ‘administrer. Pour Laure, l’amour entre fille n’est complet qu’en faisant un 69. Elle va se mettre sur Christine qui va subir ce nouveau « supplice ». Les deux filles, les jambes ouvertes offre leur sexe à la vue et la bouche de l’autre.
Christine excitée par ce que lui demande Laure, se déchaîne avec sa langue. Pour sa première fois, elle est dans les normes de Sapho. Elle invente même ce qui lui semble le comble de sa dépravation : elle passe sa langue dans une longue caresse sur le cul de Laure qui adore ce traitement. Elle le lui rend en allant encore plus loin, Laure entre un peu sa langue dans un anus, déjà bien fait pour la sodomie. Christine remue ses fesses de plaisir, quand Laure sens les tressautements de Christine qui jouit encore.
Heureusement que Christine continue avec sa langue même en jouissant. A son tour, le cul de Laure est envahi ; non plus par une langue mais part des doigts : à son grand plaisir.
Elle se déchaîne totalement. Tous les petits secrets du saphisme se dévoilent : elles sont totalement folles de plaisir et de nouveaux désirs. Quand elles arrêtent de se faire du bien, Laure pose la question idiote :
- Tu as aimé ?
- Comme toi je pense.
- Tu veux qu’on se revoie ?
- Pour baiser oui ? Demain après midi, ici.
- Non, chez moi.
C’est le début d’une aventure qui dure longtemps jusqu’au jour où sans le dire à Laure, Christine qui meurt d’envie depuis quelques jours, elle se fait enculer par son ex qui ne demande pas mieux pour la reprendre, ce qui lui est facile, la liaison avec une autre fille est finalement mal vue.
De désespoir Laure trouve un travail assez facilement dans une autre ville. C’est là qu’elle décide de s’habiller en homme. Bonne pioche, elle trouve vite chaussure à son pied, même encore plus que prévu. Elle est même connue comme La Lesbienne à laquelle font souvent appel des femmes en détresses sexuels. Pour être sur de garder ses petites amies, elle a acheté sur internet une foule de jouets.
Si elle garde pour elle seul les boules de geisha, tout le reste est destiné à ses amoureuses. Elle est devenue pire que certain Don Juan. Elle arrive à avoir tous les soirs une fille dans son lits. Mis à part les godes, elle se sert beaucoup de ses mains pour les mettre en entier soit dans un con soit dans un cul. Bien sur la partenaire lui en fait autant. Le fin du fin est de partager ces pénétrations avec l’autre en étant en 69. Elle aime lécher un clitoris pendant qu’elle baise ou encule l’autre fille.
Elle se trouve heureuse de vivre ainsi sans attache, libre de baiser qui elle veut à condition que ce soit une fille.
Une fois elle a voulu connaitre à nouveau les plaisir d’avoir une bite dans le ventre : elle en a joui, moins qu’avec une femme. Son sort est réglé : vive les filles.
Au début elle hésitait beaucoup : Lucien, un garçon bien de sa personne, bien monté qui lui faisait l’amour à la faire s’évanouir quelques fois de plaisir : C’était son premier amant alors que ses 16 ans venaient de sonner. Elle ne faisait rien à moitié ; alors elle se donnait souvent presque tous les jours à la bite de Lucien qui en profitait toujours.
Lucien lui avait appris presque tout ce qu’il savait. Ainsi dès qu’ils le pouvaient, ils s’isolaient pour passer des moments câlins dans la chambre de Lucien. Laure se dévergondait sans complexes, passés les première fois, elle cherchait elle-même tout ce qui faisait du bien. Pour elle, pas question de commencer à faire l’amour sans sucer la bite de son amant. Assez habile elle savait bien à quel moment arrêter pour ne pas qu’il jouisse.
Selon son humeur, elle se faisait baiser ou enculer. Elle aimait bien l’avoir dans le cul parce qu’elle se masturbait en même temps. Au bout de quelques mois elle voulait avoir deux bites dans son ventre. Lucien trouvait un complice pour faire des doubles pénétrations. Alors la première fois qu’elle a senti une bite dans son puits, et une autre qui venait dans son anus, elle commençait à jouir sans fin. Si au début elle acceptait de réduire sa « consommation » de double, elle arrivait à en demander presque à chaque séance.
Un jour, Lucien voulut changer de style : il propose le summum à Laure : une autre fille pour pimenter leur amour physique. Retissante au début, la première fois fut la bonne. Elle venait de découvrir les plaisirs au féminin. Lucien regardait son amante baiser avec l’autre fille : il se sentait un peu rejeté. Il bandait comme un cerf en rut, il voulait retourner dans le corps de sa copine qui d’un seul coup se prêtait aux jeux saphiques sans retenue.
A l’insu de Lucien, Laure prenait de nombreux contact avec une autre fille qu’il ne connaissait pas du tout. Laure l’avait rencontré après ses 22 ans, dans un centre commercial. Elle la trouvait particulièrement excitante. Il lui semblait l’avoir nue contre elle. Elle en mouillait d’avoir envie de baiser cette fille qu’elle ne connaissait pas du tout.
Laure ne trouvait s’un seul moyen de déclarer son envie de baise : elle lui disait directement.
Au milieu d’un rayon sans peu de monde autour elle lui disait :
- Vous être très belle.
- Merci.
- J’ai même envie de vous, pardon de toi.
- Vous ne me connaissez même pas et…
- Je sais je ne connais qu’une chose : j’ai besoin de baiser avec toi. J’aime sucer les filles, tu fais partie de celle que j’aimerai lécher. En plus je suis habile pour faire jouir les femmes. Je m’appelle Laure et toi.
D’un air timide, troublée par cette conversation cette fille consent à donner son nom sans difficulté :
-Je suis Christine.
Laure comme une récompense lui donne un long baiser sur les joues
Laure la prend par les bras pour aller lui faire l’amour.
Sans doute intriguée cette fille se laisse entrainer vers une chambre isolée.
Laure s’attache à la déshabiller comme si Lucien le lui faisait. Elle n’hésite pas à l’embrasser longuement. Les seins contenus mal dans un soutien gorge l’attire longuement. Pour Christine c’est une découverte : elle aime son amant, pour la première fois elle va le tromper avec une autre fille. Son regret ne dure pas quand elle sent la bouche de Laure sur ses seins. Les tétons se dressent pour devenir comme des cerises. Laure les prend dans sa bouche pour les sucer et les lécher. Christine n’en peu plus, elle voudrait que la bouche aille bien plus bas.
Ce n’est pas une bouche qui va vers sa chatte : c’est une main fouineuse. Laure ne cherche par le détail, elle pose deux doigts aussitôt sur le clitoris découvert. Christine écarte bien les jambes, allongée qu’elle est sur le lit, portant sa jupe retroussée. Laure lui montre par sa caresse inédite qu’une fille peu faire jouir autrement une autre fille. Les doigts ne s’arrêtent pas à ce bouton, ils vont dans le puits de Christine qui du coup se crispe un peu juste avant de jouir une autre fois.
Comme pour assurer sa prise de possession Laure pose la bouche sur l’abricot bien mur. Elle adore le gout et l’odeur d’un sexe de fille. Gourmande la langue lèche toute la figue. Christine pousse de légers cris de jouissance. Elle tient la tête de Laure comme si elle allait la laisser en plan. Ses orgasmes sont violents. Christine voudrait et cesser et continuer.
Laure arrive à se mettre nue aussi. Christine peut lui rendre certaines caresses osées. Elle branle Laure qui du coup jouit très vite, excitée qu’elle était par le traitement particulièrement vicieux qu’elle vient d ‘administrer. Pour Laure, l’amour entre fille n’est complet qu’en faisant un 69. Elle va se mettre sur Christine qui va subir ce nouveau « supplice ». Les deux filles, les jambes ouvertes offre leur sexe à la vue et la bouche de l’autre.
Christine excitée par ce que lui demande Laure, se déchaîne avec sa langue. Pour sa première fois, elle est dans les normes de Sapho. Elle invente même ce qui lui semble le comble de sa dépravation : elle passe sa langue dans une longue caresse sur le cul de Laure qui adore ce traitement. Elle le lui rend en allant encore plus loin, Laure entre un peu sa langue dans un anus, déjà bien fait pour la sodomie. Christine remue ses fesses de plaisir, quand Laure sens les tressautements de Christine qui jouit encore.
Heureusement que Christine continue avec sa langue même en jouissant. A son tour, le cul de Laure est envahi ; non plus par une langue mais part des doigts : à son grand plaisir.
Elle se déchaîne totalement. Tous les petits secrets du saphisme se dévoilent : elles sont totalement folles de plaisir et de nouveaux désirs. Quand elles arrêtent de se faire du bien, Laure pose la question idiote :
- Tu as aimé ?
- Comme toi je pense.
- Tu veux qu’on se revoie ?
- Pour baiser oui ? Demain après midi, ici.
- Non, chez moi.
C’est le début d’une aventure qui dure longtemps jusqu’au jour où sans le dire à Laure, Christine qui meurt d’envie depuis quelques jours, elle se fait enculer par son ex qui ne demande pas mieux pour la reprendre, ce qui lui est facile, la liaison avec une autre fille est finalement mal vue.
De désespoir Laure trouve un travail assez facilement dans une autre ville. C’est là qu’elle décide de s’habiller en homme. Bonne pioche, elle trouve vite chaussure à son pied, même encore plus que prévu. Elle est même connue comme La Lesbienne à laquelle font souvent appel des femmes en détresses sexuels. Pour être sur de garder ses petites amies, elle a acheté sur internet une foule de jouets.
Si elle garde pour elle seul les boules de geisha, tout le reste est destiné à ses amoureuses. Elle est devenue pire que certain Don Juan. Elle arrive à avoir tous les soirs une fille dans son lits. Mis à part les godes, elle se sert beaucoup de ses mains pour les mettre en entier soit dans un con soit dans un cul. Bien sur la partenaire lui en fait autant. Le fin du fin est de partager ces pénétrations avec l’autre en étant en 69. Elle aime lécher un clitoris pendant qu’elle baise ou encule l’autre fille.
Elle se trouve heureuse de vivre ainsi sans attache, libre de baiser qui elle veut à condition que ce soit une fille.
Une fois elle a voulu connaitre à nouveau les plaisir d’avoir une bite dans le ventre : elle en a joui, moins qu’avec une femme. Son sort est réglé : vive les filles.
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Bien
bien continu