Laure sa...pée
Récit érotique écrit par Philominicuir 9 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-08-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Laure sa...pée
Confessions de Laure
Un jour Laure décida de me raconter certains épisodes de sa vie érotique. Son récit est entrecoupé de caresses, de longs baisers. Tout cela un soir chez elle. Nous nous baisâmes toute la nuit qui suivit.
Laure était une collègue d’histoire dans un lycée de proche banlieue. Brune, belle, aux formes généreuses (sans être grosse), musclée, sportive et sensuelle en diable. Elle transpirait le sexe, les envies de caresses, de baise. Elle aimait ça. Elle savait être très salope. Elle plaisait autant aux hommes qu’aux femmes, aux jeunes qu’aux vieux.
« Je vais te dire, j’étais jeune encore 24 ans, jeune diplômée d’histoire, peu d’expériences érotiques, quoique très intéressée. Je rencontre un type d’une quarantaine, séduisant. Coup de foudre. On baise le soir de la rencontre. Il me plait. Je suis prête à tout pour lui. Il est habile, progressif. Je me laisse dominer. Et j’ai tout à découvrir côté sexe. Je découvre progressivement le monde du sexe. J’aime ça (toujours encore !)Tout se passait bien avec F. Je vivais chez lui, j’enseignais, j’avais du succès parmi les hommes mais je lui restais fidèle.
Un jour, surprise, il me demande de mettre ma super mini en cuir, petit string blanc, bottines, pas de soutien-gorge, décolleté. Pourquoi pas ? Il me dit que va passer un copain pour boire un coup. Je suis surprise. Pourquoi en cette tenue assez pute ?
Le type sonne, je vais lui ouvrir. Un super beau mec qui me déshabille du regard. Je commence à mouiller dans mon string. F. et lui discutent. Je m’affaire, sers des verres et autres petites nourritures. Le type me reluque, il ne me déplait finalement pas de lui montrer ce qu’il y a sous ma jupette. F. doit se retirer quelques minutes pour faire une course. Je suis seule avec l’invité. Il se jette sur moi, m’embrasse, nos langues se mêlent, nos mains vont à l’essentiel. Il a une superbe queue bien tendue que je ne résiste pas à me mettre en bouche. Il me traite de salope, ce que j’accepte, surprise un peu mais très excitée. Il me demande de me retourner et commence à me baiser. F. rentre avec des bouteilles, etc. Il nous surprend. Je me laisse faire. Je jouis de la situation.
En fait, c’est F. qui avait tout manigancé. Il me dit être fier que je sois une vraie pute et qu’il allait faire mon éducation. Cela m’excite et m’inquiète un peu, je suis encore un peu timide.
Voyant que je suis finalement assez ouverte aux expériences multiples, il va s’amuser à faire de moi sa pute épisodique. Ce que j’accepte.
Il m’offre à des types chez lui (des gros, des moches, des beaux, des blacks, des petites bites, des grosses…) moyennant finance. Je suce, baise, trois, quatre types durant les week-ends. J’y prends goût. Lui, il assiste. Avec le fric je m’achète des fringues.
Je deviens une vraie débauchée. Je m’épanouis, sexuellement parlant. Mais F. avait d’autres envies, d’autres projets pour moi. Il parlait peu de ça. On s’entendait bien, il était très intello lui aussi.
Il aimait que je pisse dans mes petites culottes, cela ne me gênait aucunement. Pourquoi ne pas mouiller ses culottes ? Ca lui plaisait, ça me plaisait aussi, sentir un linge bien trempé sur son intimité est agréable.
J’acceptais donc, rien là de bien méchant. Et puis il me traitait de sa « petite pisseuse », ce qui, bien entendu, m’excitait et m’incitait.
Je mouillais donc mes petites culottes. Etant très propre, je me lavais tous les soirs et remettais mes culottes plus ou moins sèches le matin et je les badigeonnais de pommades bien onctueuses et parfumées. J’aimais ces sensations ! (Je portais avant tout des robes, jupes ou pantalons en cuir !)Un jour, au lycée, je devais surveiller un devoir sur table de ma classe de terminales. J’étais en jupe (aux genoux, juste un peu au-dessus). Pour mieux surveiller, je me suis assise sur le bureau, croisant, décroisant et gardant les jambes toujours plus ou moins ouvertes. Beaucoup d’élèves (garçons ou filles) ont passé plus de temps à me mater qu’à se pencher sur leur copie. Moi, je mouillais comme une fontaine ma petite culotte livrée à ces regards faussement innocents. J’ai été généreuse dans mes corrections sachant leurs troubles.
Bien des fois il m’obligeait d’être à la maison seins à l’air, mini en jean ou en cuir, bottines… Il aimait me voir ainsi. J’aimais aussi, bien sûr.
Mais, parfois, il arrivait que quelqu’un sonne à la porte et je devais aller ouvrir en cette petite tenue… Un ou deux types, ou un couple que je ne connaissais pas! J’étais gênée au début, puis je me suis habituée et je voulais faire plaisir à F. A dire vrai j’aimais ça en véritable petite apprentie salope. Caresses, tripotages, mots cochons, léchages et parfois, souvent - pas assez à mon goût - bonnes baises (devant, derrière, fellation…) F. jouissait à me voir agir ainsi, je devenais comme il souhaitait. Assez pute, débauchée, libertine, de plus en plus pouffe. De plus en plus accroc au sexe (aux bites, aux culs, aux chattes…)F. avait beaucoup d’idées, ce n’est pas un reproche, loin de là. Des idées qu’autrefois j’aurais trouvées bien cochonnes mais qui à être mises en pratique s’avéraient très excitantes.
Des exemples ?
Un jour, en fait un soir, en petite tenue décrite plus haut, il me demande de me tourner et d’exposer ma croupe (certes fort appétissante), il y avait un type, il écarte ma culotte et je sens quelque chose qui glisse le long de la raie de mes fesses : un œuf ! Froid, gluant. Le type vient me triturer et lécher cette omelette crue qui avait séjourné dans mon sillon. J’ai dû garder ma culotte souillée toute la soirée. Ca me faisait penser à du Bataille !
Souvent, le vieux pervers, aimait me badigeonner de miel, de Nutella et autres confitures qu’il léchait ou donnait à lécher à ses amis. Parfois un alcool fort (vodka ou autre) venait m’enflammer la chatte. C’était chaud, irritant, jouissif…Un jour il avait invité un ami pour un petit repas. J’étais toujours vêtue très sexy. Au milieu du repas il m’entraîne à la cuisine et fourre dans ma culotte, entre mes fesses, un éclair au chocolat. « C’est pour le dessert de l’invité » -me dit-il. Lorsque le temps du dessert arriva, le type inconnu me lécha, nettoya, dégusta avant de me baiser sous les regards cupides de mon pervers.
Bien d’autres anecdotes à raconter si je trouve des lecteurs intéressés.
Un jour Laure décida de me raconter certains épisodes de sa vie érotique. Son récit est entrecoupé de caresses, de longs baisers. Tout cela un soir chez elle. Nous nous baisâmes toute la nuit qui suivit.
Laure était une collègue d’histoire dans un lycée de proche banlieue. Brune, belle, aux formes généreuses (sans être grosse), musclée, sportive et sensuelle en diable. Elle transpirait le sexe, les envies de caresses, de baise. Elle aimait ça. Elle savait être très salope. Elle plaisait autant aux hommes qu’aux femmes, aux jeunes qu’aux vieux.
« Je vais te dire, j’étais jeune encore 24 ans, jeune diplômée d’histoire, peu d’expériences érotiques, quoique très intéressée. Je rencontre un type d’une quarantaine, séduisant. Coup de foudre. On baise le soir de la rencontre. Il me plait. Je suis prête à tout pour lui. Il est habile, progressif. Je me laisse dominer. Et j’ai tout à découvrir côté sexe. Je découvre progressivement le monde du sexe. J’aime ça (toujours encore !)Tout se passait bien avec F. Je vivais chez lui, j’enseignais, j’avais du succès parmi les hommes mais je lui restais fidèle.
Un jour, surprise, il me demande de mettre ma super mini en cuir, petit string blanc, bottines, pas de soutien-gorge, décolleté. Pourquoi pas ? Il me dit que va passer un copain pour boire un coup. Je suis surprise. Pourquoi en cette tenue assez pute ?
Le type sonne, je vais lui ouvrir. Un super beau mec qui me déshabille du regard. Je commence à mouiller dans mon string. F. et lui discutent. Je m’affaire, sers des verres et autres petites nourritures. Le type me reluque, il ne me déplait finalement pas de lui montrer ce qu’il y a sous ma jupette. F. doit se retirer quelques minutes pour faire une course. Je suis seule avec l’invité. Il se jette sur moi, m’embrasse, nos langues se mêlent, nos mains vont à l’essentiel. Il a une superbe queue bien tendue que je ne résiste pas à me mettre en bouche. Il me traite de salope, ce que j’accepte, surprise un peu mais très excitée. Il me demande de me retourner et commence à me baiser. F. rentre avec des bouteilles, etc. Il nous surprend. Je me laisse faire. Je jouis de la situation.
En fait, c’est F. qui avait tout manigancé. Il me dit être fier que je sois une vraie pute et qu’il allait faire mon éducation. Cela m’excite et m’inquiète un peu, je suis encore un peu timide.
Voyant que je suis finalement assez ouverte aux expériences multiples, il va s’amuser à faire de moi sa pute épisodique. Ce que j’accepte.
Il m’offre à des types chez lui (des gros, des moches, des beaux, des blacks, des petites bites, des grosses…) moyennant finance. Je suce, baise, trois, quatre types durant les week-ends. J’y prends goût. Lui, il assiste. Avec le fric je m’achète des fringues.
Je deviens une vraie débauchée. Je m’épanouis, sexuellement parlant. Mais F. avait d’autres envies, d’autres projets pour moi. Il parlait peu de ça. On s’entendait bien, il était très intello lui aussi.
Il aimait que je pisse dans mes petites culottes, cela ne me gênait aucunement. Pourquoi ne pas mouiller ses culottes ? Ca lui plaisait, ça me plaisait aussi, sentir un linge bien trempé sur son intimité est agréable.
J’acceptais donc, rien là de bien méchant. Et puis il me traitait de sa « petite pisseuse », ce qui, bien entendu, m’excitait et m’incitait.
Je mouillais donc mes petites culottes. Etant très propre, je me lavais tous les soirs et remettais mes culottes plus ou moins sèches le matin et je les badigeonnais de pommades bien onctueuses et parfumées. J’aimais ces sensations ! (Je portais avant tout des robes, jupes ou pantalons en cuir !)Un jour, au lycée, je devais surveiller un devoir sur table de ma classe de terminales. J’étais en jupe (aux genoux, juste un peu au-dessus). Pour mieux surveiller, je me suis assise sur le bureau, croisant, décroisant et gardant les jambes toujours plus ou moins ouvertes. Beaucoup d’élèves (garçons ou filles) ont passé plus de temps à me mater qu’à se pencher sur leur copie. Moi, je mouillais comme une fontaine ma petite culotte livrée à ces regards faussement innocents. J’ai été généreuse dans mes corrections sachant leurs troubles.
Bien des fois il m’obligeait d’être à la maison seins à l’air, mini en jean ou en cuir, bottines… Il aimait me voir ainsi. J’aimais aussi, bien sûr.
Mais, parfois, il arrivait que quelqu’un sonne à la porte et je devais aller ouvrir en cette petite tenue… Un ou deux types, ou un couple que je ne connaissais pas! J’étais gênée au début, puis je me suis habituée et je voulais faire plaisir à F. A dire vrai j’aimais ça en véritable petite apprentie salope. Caresses, tripotages, mots cochons, léchages et parfois, souvent - pas assez à mon goût - bonnes baises (devant, derrière, fellation…) F. jouissait à me voir agir ainsi, je devenais comme il souhaitait. Assez pute, débauchée, libertine, de plus en plus pouffe. De plus en plus accroc au sexe (aux bites, aux culs, aux chattes…)F. avait beaucoup d’idées, ce n’est pas un reproche, loin de là. Des idées qu’autrefois j’aurais trouvées bien cochonnes mais qui à être mises en pratique s’avéraient très excitantes.
Des exemples ?
Un jour, en fait un soir, en petite tenue décrite plus haut, il me demande de me tourner et d’exposer ma croupe (certes fort appétissante), il y avait un type, il écarte ma culotte et je sens quelque chose qui glisse le long de la raie de mes fesses : un œuf ! Froid, gluant. Le type vient me triturer et lécher cette omelette crue qui avait séjourné dans mon sillon. J’ai dû garder ma culotte souillée toute la soirée. Ca me faisait penser à du Bataille !
Souvent, le vieux pervers, aimait me badigeonner de miel, de Nutella et autres confitures qu’il léchait ou donnait à lécher à ses amis. Parfois un alcool fort (vodka ou autre) venait m’enflammer la chatte. C’était chaud, irritant, jouissif…Un jour il avait invité un ami pour un petit repas. J’étais toujours vêtue très sexy. Au milieu du repas il m’entraîne à la cuisine et fourre dans ma culotte, entre mes fesses, un éclair au chocolat. « C’est pour le dessert de l’invité » -me dit-il. Lorsque le temps du dessert arriva, le type inconnu me lécha, nettoya, dégusta avant de me baiser sous les regards cupides de mon pervers.
Bien d’autres anecdotes à raconter si je trouve des lecteurs intéressés.
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