Le bain tourbillon
Récit érotique écrit par Ahouiii [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-01-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Le bain tourbillon
Nous arrivons dans la chambre. Elle est accueillante et coquette. Un grand lit aux draps frais et propres, des petits chocolats sur l’oreiller, et surtout, un grand bain tourbillon en son centre. Tu me tiens la main, me regardant dans les yeux, alors que je recule lentement vers la baignoire et que tu me suis. Tes yeux sont magnifiques. Tu peux lire dans les miens le désir que j’ai pour toi. J’arrive à la baignoire, m’assieds sur le rebord en carrelage. Une fois assise, ma robe remonte un peu. On devine presque la petite bande de dentelle qui retient mes bas. J’attrape le bain moussant, en verse une bonne quantité dans la baignoire, fais couler l’eau, alors que tu t’es penché pour m’embrasser. Le contact de tes lèvres est doux, chaud. Ta langue franchit la barrière de mes lèvres, s’insinue près de la mienne, s’y mêle, s’y enroule. Ma langue entre dans la danse. Une de tes mains caresse mon cou, alors que l’autre s’est égarée sous ma robe. Elle remonte lentement. J’en ai tellement envie de cette main sur ma chatte. Ma peau est douce, chaude. Tes doigts titillent mon sexe à travers ma culotte déjà mouillée. Tu voudrais déjà être en moi. Et cette simple idée me fait mouiller davantage.
Tu t’agenouilles pour relever un peu ma petite robe noire. Tu en profites pour déposer un collier de doux baisers à l’intérieur de mes cuisses, en remontant lentement. Ma respiration se fait plus forte, un peu étouffée par le bruit du jet d’eau qui remplit la baignoire. Tu sens ton sexe qui durcit de plus en plus. Il a envie de ma bouche, de mon vagin. Ta bouche atteint enfin mon sexe. Tu l’embrasses à travers la dentelle. J’écarte les jambes pour te donner libre accès. Je gémis doucement. Tu déplaces un peu le tissu de ma culotte vers le côté pour découvrir ma chatte. Elle est douce, épilée, surtout luisante de désir. Ta langue s’étale sur mon clitoris. Elle tournoie. Tu suces mon clitoris, il est aspiré dans ta bouche. Les minutes passent, délicieuses. « Ahhhh ! Ahhhh ! Ahhh oui ! » Tu relèves la tête pour me regarder, l’air amusé, un petit sourire en coin. « Pas si vite Madame… Il faudra être patiente. » Tu fais alors descendre la tirette de chacune de mes bottes tranquillement avant de me les retirer. Tu lèches mes jambes à travers mes bas, tout en les faisant glisser vers le bas, me dénudant. Je ferme le robinet avant que la baignoire ne déborde.
Je me lève alors pour que nous nous retrouvions face à face. Nous nous embrassons toujours, nos corps se pressent l’un contre l’autre, je sens ma culotte de plus en plus trempée, ton sexe qui gonfle sous ton jeans. Nous sommes excités, un peu impatients. Mais nous prenons notre temps, nous en profitons. Je relève ton T-shirt et t’en débarrasse pour découvrir ton torse. Tu me retournes énergiquement, je suis le mouvement. Je suis dos à toi, tu repousses mes boucles brunes de côté, j’incline mon cou, laisse tes lèvres l’effleurer gentiment. Je sens sur mes fesses ta queue toujours plus à l’étroit dans ton pantalon, pleine de désir. Tu détaches ma robe, pousses une bretelle sur le côté, fais la même chose avec l’autre. La robe s’échoue à mes pieds. Je suis pratiquement nue, ma lingerie noire en dentelle devenant mon dernier rempart. Tu prends le temps d’observer ma peau, mes courbes. Tu dégrafes délicatement mon soutient gorge, le laisses tomber sur le carrelage. Tu frottes ton sexe sur mes fesses. Je réponds par une bascule de mon bassin. Tes mains caressent mes hanches, puis remontent pour finalement caresser mes seins. Ils sont fermes, juste à la taille de tes mains. Mes tétons sont durs et te réclament.
Je fais volte-face. Tes yeux sont rivés sur ma poitrine. Mes petits mamelons dressés t’excitent. Tu les observes longuement. Ma bouche se dépose sur un de tes tétons, le suçote tendrement. Tu ressens de petits frissons. Ma bouche part à l’exploration, en quête d’un trésor inavouable. Elle descend le long de ton torse, te lèche. Arrivée à ton nombril, elle suit la petite ligne de poils qui y est dessinée et mène à ton sexe. Je suis maintenant à genoux face à toi. Ma bouche bute sur ton pantalon, je défais ta braguette, baisse ton jeans. Mon visage se colle à la bosse qui fait relief sous le tissu de ton sous-vêtement. Je m’imprègne de ton odeur, j’ai envie de toi. Mon vagin se contracte involontairement de plaisir. Je relève la tête, te regarde dans les yeux, alors que je tire énergiquement ton boxer vers le bas. Le tissu frotte un peu trop durement sur ton sexe excité, tu pousses un petit cri d’étonnement et d’envie.
Je commence par lécher ton scrotum, je sens tes testicules qui remontent malgré toi, ça m’excite. D’une main, je décalotte ton sexe, découvrant ton gland gonflé. D’un très léger effleurement de ma langue, je titille le frein de ton prépuce, je parcours chaque centimètre carré de ton gland. Puis ma main entame des va-et-vient le long de cette belle colonne de chair. Un filet de liquide pré-séminal pend au bout de ton sexe. Je m’empresse de le lécher avidement en te regardant dans les yeux. Je deviens la petite pute que tu veux que je sois. J’engouffre ton sexe dans ma bouche. Il vient buter au fond de ma gorge, ma langue tournoie. Tu agrippes mes cheveux pour guider ma tête, t’enfonces encore plus profondément dans ma bouche chaude et humide. Tu me prends littéralement la bouche, je suis ton jouet, ta queue vibre de plaisir. Tu te mets à râler, à respirer fortement, j’adore. Après plusieurs minutes à me limer énergiquement, tu ralentis la cadence, tu ne veux pas jouir maintenant. Je me relève, t’embrasse, enlève ma petite culotte, entre délicatement dans la baignoire et plonge sous la mousse. Tu termines d’enlever ton jeans et ton boxer et viens me rejoindre.
L’eau est chaude, la mousse sent bon les fleurs de tilleul. J’allume le moteur, l’eau commence à tourbillonner, à masser nos corps. Je prends un gant de toilette sur lequel j’applique du gel-douche. Je lave ton corps, le caresse. D’abord tes larges épaules, ton torse et ton abdomen bien dessinés, tes chevilles, tes jambes, tes cuisses, tes fesses fermes, ton sexe… Je m’attarde longuement sur cette zone. Tu es dur pour moi, j’aime. Tu as les yeux fermés. Tu es bien, détendu sous mes caresses, ton esprit vagabonde, tu t’imagines en moi. Puis tu ouvres les yeux, prends aussi un gant de toilette et du gel-douche, et entreprends la découverte de mon corps. Ton autre main en profite pour me savonner à main nue. Elle glisse sur mon corps, le met en éveil, attise mon désir. Je n’en peux plus.
Je me retourne, m’appuie sur le bord de la baignoire, te présentant ma croupe en ondulant le bassin comme une chienne en chaleur. Je retourne mon visage vers toi. « Je t’en prie, prends-moi, je suis à toi. » Les préliminaires ont assez duré, tu en veux plus aussi. Tu t’installes à genoux dans la baignoire, derrière moi et me tiens par les hanches. Je sens ton gland turgescent pointer à l’entrée de mon vagin brûlant. Tu entames doucement ton entrée, tes mouvements sont lents, délicats. Je ressens chaque centimètre de ta progression en moi. Tu me fais languir, ton sexe pénètre peu profondément pour l’instant. Je me caresse le clitoris en même temps et je gémis sans retenue. « Ahhh ! Ahhh oui ! Ahhh ouiii ! Continue, j’aime ça. » Je n’ai plus aucune dignité. « Vas-y, plus au fond. Je t’en supplie ! » Tu te lâches alors. Tu me pénètres violemment d’un coup de rein, bien profondément. Je pousse un cri de plaisir. Tu commences des aller-retour en moi. Je suis visqueuse, glissante, ton sexe est envahi des plus douces sensations. Tu sens que tu perds le contrôle. Ton plaisir et ton désir prennent le dessus. Tu me pilonnes de plus en plus fort. Tu gémis. J’adore t’entendre. Ma respiration est haletante. « T’aime ça hein, petite cochonne, quand je te baise comme une bête ? » « Ah ouiiii ! J’adore, t’arrête surtout pas ! » Je me caresse toujours en même temps. Un point de sensations plus fortes se forme au creux de mon vagin. Il m’approche de la jouissance. « Ahhh ! Je sens que ça monte. Ah oui, ça monte. J’aime tellement ça. Fais-moi jouir ! » « C’est que t’es une petite salope toi ! Tu la sens ma grosse queue qui te prend ? Tu la sens, bien au fond ? » Je n’ai pas le temps de répondre. Je suis si excité. Un orgasme naît au fond de mon vagin et traverse tout mon bassin. « Ahhh ouiiii ! C’est trop bon ! C’est juste là ! Ah oui, je l’aime ta grosse queuuuuuue ! » Quelques secondes plus tard, je sens que tu te cabres en criant aussi ta jouissance et en explosant partout en moi. Puis, soudainement fatigué, tu te laisses tomber sur mon dos. Tu m’embrasses doucement le cou, je sens ton coeur qui bat à tout rompre dans ta poitrine. Tu retires ton sexe de mon vagin. Ton sperme chaud et épais coule le long de mes cuisses. Nous sommes heureux, assouvis.
Tu t’agenouilles pour relever un peu ma petite robe noire. Tu en profites pour déposer un collier de doux baisers à l’intérieur de mes cuisses, en remontant lentement. Ma respiration se fait plus forte, un peu étouffée par le bruit du jet d’eau qui remplit la baignoire. Tu sens ton sexe qui durcit de plus en plus. Il a envie de ma bouche, de mon vagin. Ta bouche atteint enfin mon sexe. Tu l’embrasses à travers la dentelle. J’écarte les jambes pour te donner libre accès. Je gémis doucement. Tu déplaces un peu le tissu de ma culotte vers le côté pour découvrir ma chatte. Elle est douce, épilée, surtout luisante de désir. Ta langue s’étale sur mon clitoris. Elle tournoie. Tu suces mon clitoris, il est aspiré dans ta bouche. Les minutes passent, délicieuses. « Ahhhh ! Ahhhh ! Ahhh oui ! » Tu relèves la tête pour me regarder, l’air amusé, un petit sourire en coin. « Pas si vite Madame… Il faudra être patiente. » Tu fais alors descendre la tirette de chacune de mes bottes tranquillement avant de me les retirer. Tu lèches mes jambes à travers mes bas, tout en les faisant glisser vers le bas, me dénudant. Je ferme le robinet avant que la baignoire ne déborde.
Je me lève alors pour que nous nous retrouvions face à face. Nous nous embrassons toujours, nos corps se pressent l’un contre l’autre, je sens ma culotte de plus en plus trempée, ton sexe qui gonfle sous ton jeans. Nous sommes excités, un peu impatients. Mais nous prenons notre temps, nous en profitons. Je relève ton T-shirt et t’en débarrasse pour découvrir ton torse. Tu me retournes énergiquement, je suis le mouvement. Je suis dos à toi, tu repousses mes boucles brunes de côté, j’incline mon cou, laisse tes lèvres l’effleurer gentiment. Je sens sur mes fesses ta queue toujours plus à l’étroit dans ton pantalon, pleine de désir. Tu détaches ma robe, pousses une bretelle sur le côté, fais la même chose avec l’autre. La robe s’échoue à mes pieds. Je suis pratiquement nue, ma lingerie noire en dentelle devenant mon dernier rempart. Tu prends le temps d’observer ma peau, mes courbes. Tu dégrafes délicatement mon soutient gorge, le laisses tomber sur le carrelage. Tu frottes ton sexe sur mes fesses. Je réponds par une bascule de mon bassin. Tes mains caressent mes hanches, puis remontent pour finalement caresser mes seins. Ils sont fermes, juste à la taille de tes mains. Mes tétons sont durs et te réclament.
Je fais volte-face. Tes yeux sont rivés sur ma poitrine. Mes petits mamelons dressés t’excitent. Tu les observes longuement. Ma bouche se dépose sur un de tes tétons, le suçote tendrement. Tu ressens de petits frissons. Ma bouche part à l’exploration, en quête d’un trésor inavouable. Elle descend le long de ton torse, te lèche. Arrivée à ton nombril, elle suit la petite ligne de poils qui y est dessinée et mène à ton sexe. Je suis maintenant à genoux face à toi. Ma bouche bute sur ton pantalon, je défais ta braguette, baisse ton jeans. Mon visage se colle à la bosse qui fait relief sous le tissu de ton sous-vêtement. Je m’imprègne de ton odeur, j’ai envie de toi. Mon vagin se contracte involontairement de plaisir. Je relève la tête, te regarde dans les yeux, alors que je tire énergiquement ton boxer vers le bas. Le tissu frotte un peu trop durement sur ton sexe excité, tu pousses un petit cri d’étonnement et d’envie.
Je commence par lécher ton scrotum, je sens tes testicules qui remontent malgré toi, ça m’excite. D’une main, je décalotte ton sexe, découvrant ton gland gonflé. D’un très léger effleurement de ma langue, je titille le frein de ton prépuce, je parcours chaque centimètre carré de ton gland. Puis ma main entame des va-et-vient le long de cette belle colonne de chair. Un filet de liquide pré-séminal pend au bout de ton sexe. Je m’empresse de le lécher avidement en te regardant dans les yeux. Je deviens la petite pute que tu veux que je sois. J’engouffre ton sexe dans ma bouche. Il vient buter au fond de ma gorge, ma langue tournoie. Tu agrippes mes cheveux pour guider ma tête, t’enfonces encore plus profondément dans ma bouche chaude et humide. Tu me prends littéralement la bouche, je suis ton jouet, ta queue vibre de plaisir. Tu te mets à râler, à respirer fortement, j’adore. Après plusieurs minutes à me limer énergiquement, tu ralentis la cadence, tu ne veux pas jouir maintenant. Je me relève, t’embrasse, enlève ma petite culotte, entre délicatement dans la baignoire et plonge sous la mousse. Tu termines d’enlever ton jeans et ton boxer et viens me rejoindre.
L’eau est chaude, la mousse sent bon les fleurs de tilleul. J’allume le moteur, l’eau commence à tourbillonner, à masser nos corps. Je prends un gant de toilette sur lequel j’applique du gel-douche. Je lave ton corps, le caresse. D’abord tes larges épaules, ton torse et ton abdomen bien dessinés, tes chevilles, tes jambes, tes cuisses, tes fesses fermes, ton sexe… Je m’attarde longuement sur cette zone. Tu es dur pour moi, j’aime. Tu as les yeux fermés. Tu es bien, détendu sous mes caresses, ton esprit vagabonde, tu t’imagines en moi. Puis tu ouvres les yeux, prends aussi un gant de toilette et du gel-douche, et entreprends la découverte de mon corps. Ton autre main en profite pour me savonner à main nue. Elle glisse sur mon corps, le met en éveil, attise mon désir. Je n’en peux plus.
Je me retourne, m’appuie sur le bord de la baignoire, te présentant ma croupe en ondulant le bassin comme une chienne en chaleur. Je retourne mon visage vers toi. « Je t’en prie, prends-moi, je suis à toi. » Les préliminaires ont assez duré, tu en veux plus aussi. Tu t’installes à genoux dans la baignoire, derrière moi et me tiens par les hanches. Je sens ton gland turgescent pointer à l’entrée de mon vagin brûlant. Tu entames doucement ton entrée, tes mouvements sont lents, délicats. Je ressens chaque centimètre de ta progression en moi. Tu me fais languir, ton sexe pénètre peu profondément pour l’instant. Je me caresse le clitoris en même temps et je gémis sans retenue. « Ahhh ! Ahhh oui ! Ahhh ouiii ! Continue, j’aime ça. » Je n’ai plus aucune dignité. « Vas-y, plus au fond. Je t’en supplie ! » Tu te lâches alors. Tu me pénètres violemment d’un coup de rein, bien profondément. Je pousse un cri de plaisir. Tu commences des aller-retour en moi. Je suis visqueuse, glissante, ton sexe est envahi des plus douces sensations. Tu sens que tu perds le contrôle. Ton plaisir et ton désir prennent le dessus. Tu me pilonnes de plus en plus fort. Tu gémis. J’adore t’entendre. Ma respiration est haletante. « T’aime ça hein, petite cochonne, quand je te baise comme une bête ? » « Ah ouiiii ! J’adore, t’arrête surtout pas ! » Je me caresse toujours en même temps. Un point de sensations plus fortes se forme au creux de mon vagin. Il m’approche de la jouissance. « Ahhh ! Je sens que ça monte. Ah oui, ça monte. J’aime tellement ça. Fais-moi jouir ! » « C’est que t’es une petite salope toi ! Tu la sens ma grosse queue qui te prend ? Tu la sens, bien au fond ? » Je n’ai pas le temps de répondre. Je suis si excité. Un orgasme naît au fond de mon vagin et traverse tout mon bassin. « Ahhh ouiiii ! C’est trop bon ! C’est juste là ! Ah oui, je l’aime ta grosse queuuuuuue ! » Quelques secondes plus tard, je sens que tu te cabres en criant aussi ta jouissance et en explosant partout en moi. Puis, soudainement fatigué, tu te laisses tomber sur mon dos. Tu m’embrasses doucement le cou, je sens ton coeur qui bat à tout rompre dans ta poitrine. Tu retires ton sexe de mon vagin. Ton sperme chaud et épais coule le long de mes cuisses. Nous sommes heureux, assouvis.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai mouillée ma culotte et même plus :)
Pas de moussant dans un bain tourbillon. Je joue le casse-pied... Très bien écrit. Tout en douceur, très sensuelle. Bravo!
Viens prendre le bouillon dans ma baignoire!
T.
T.
J ai mouillee ma culotte en dentelle, bravo!
Nicole
Nicole
Quelques elements de ce texte si excitant me font penser a nos conversations coquines...
Je suis en manque de vous, merci pour cette belle suite.
T.
Je suis en manque de vous, merci pour cette belle suite.
T.
J'adore le beau p....