Le bar libertin (suite)
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2014 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Le bar libertin (suite)
G me rencontre un peu par hasard. Après m’avoir demandé des nouvelles d’Alain, mon chéri il propose de retourner dans ce bar libertin où je n’avais fais que regarder les gens baiser en couple, seul, à plusieurs, enfin qui baisaient. J’en étais ressortie très excitée ; il avait fallut en rentrant que je commence à baiser Alain alors qu’il dormait. Me demander de retourner dans ce lieu, j’en étais d’accord, à condition que je participe moi aussi. Le soir dit, je m’habille à ma façon, une simple robe ferra l’affaire. Le reste ne sert à rien alors j’oublie volontairement tout.
Dès l’entrée je me trouve dans mon élément. Celle du vestiaire est la même. Je lui donne la robe, c’est plus simple. Je me sens libre au bar, nue, déjà mouillée. Si une personne quelque soit son sexe me demande de baiser, je suis là. Aujourd’hui il y a moins de monde que la dernière fois. G voudrait bien me baiser, je me refuse à lui comme toujours. Quand arrive un couple, lui d’une quarantaine d’années, elle à peine plus jeune, je les inspecte : ils me plaisent, lui à cause de sa queue que je vois déjà en moi, elle cause de ses seins volumineux sans tomber qui me donnent envie des les sucer. C’est lui qui m’offre à boire : une coupe de champagne ne se refuse pas. Nous trinquons à trois, G, déçu est parti me laissant à mon triste sort. C’est la femme à qui je plais beaucoup qui nous dirige vers un endroit où nous ne serons pas dérangés pour le moment. Je suis assise entre le couple. Une main sur les cuisses, elle m’embrasse directement sur la bouche. C’est mon premier baiser de femme. Sa langue me fait du bien : elle embrasse parfaitement. Sa main monte doucement sur mes cuisses. Je jette un œil au mari qui pour le moment me regarde. J’espère qu’il va me peloter un peu lui aussi. Enfin il agit, il prend ma main, la pose sur sa queue. Il ne bande pas totalement encore, je me charge de le faire monter. Comme la main de madame qui est maintenant sur ma chatte ; Elle me caresse fort admirablement. Pourtant elle arrête vite : elle se penche vers moi, écarte mes jambes le plus possible pour caser sa tête. Je sens sa langue sur le clitoris. Mon Dieu qu’elle langue ardente endiablée, franche, me lèche sans relâche. Je vais jouir, le lui dit, elle continue. Je donne un jet de cyprine dans sa bouche. Elle continue, je reste ouverte pour l’orgasme suivant. Lui me demande de la branler, je l’avais oublié. J’agite ma main le long de sa colonne qui est bien dure. Le prépuce joue son rôle pour lui donner du plaisir. Il découvre et recouvre le gland bien gros. Nous pensons rester en trio, une autre femme vient vers nous, elle commence par m’embrasser. Me caresse les seins qui sont aujourd’hui particulièrement sensibles. Elle me tête. C’est bon. Elle prend la queue que je branlais, la met dans la bouche. Je regarde ses lèvres aller et venir, sa langue lécher le gland pour tout remettre profondément en bouche. J’ai encore un orgasme que je ne retiens pas. Lui à coté jouit dans la bouche qui doucement avale le sperme qui sourd de la queue.
La fille qui léchait mon amant se relève vient tout près de moi pour me donner sa chatte à lécher : quelle odeur de cyprine mal lavée, de femmes comblée, de sperme aussi. J’ai d’abord un réflexe de rejet, finalement l’ambiance fait que je sors ma langue. Je lape son jus. Je trouve un bon gout à ses divers liquides. Je lui mets le bout de la langue dans le con : mon premier con. Elle prend ma main pour la passer sur ses fesses, en réalité entre ses fesses, elle me donne son cul.
Je suis un peu perdue. Je me fais souvent mettre par derrière, je n’ai aucune expérience inverse. Il faut que j’improvise. Je ne pensais jamais que je ferais entrer un seul doigt dans l’anus d’une autre nana. J’arrive à le faire facilement. Si je pouvais, même j’y passerais la langue. Ce sera pour une prochaine fois.
Nous finissons de boire le champagne. C’est lui qui prend la bouteille. Il se lève nous tourne le dos, se penche en avant, montre son cul. Il s’enfonce le goulot de la bouteille dans l’anus. Sa femme, habituée de la chose le branle pour accentuer le plaisir. Nous restons avec l’autre fille à nous caresser avant de nous trouver en 69. Je connais le 69 pour le pratiquer régulièrement avec Alain. Avec une femme c’est différent. Elle surtout passe la langue réellement partout. Je la sens du début de la fente au cul. Elle me fait du bien partout, elle me fait jouir plusieurs fois. J’ai dit-elle un très bon gout de moule en chaleur.
Nous quittons notre couple, je veux voir les autres, ceux qui en groupe font des machins que je ne ferais jamais. Nous allons voir une fille se faire fouetter : elle en jouit. Elle est entourée d’un groupe d’homme la bite à la main. Je ne peux me retenir, je me branle comme les autres, ma compagne en fait autant, finalement je la branle seule. J’ai une main au cul qui se bien fouiller. Et je ne sais même pas qui me pelotte. Dans la pièce à coté une femme est couchée sur le ventre, sous elle un amant qui la baise bien d’après moi. Un autre très bien monté l’encule. Elle gémit comme elle peut en ayant la bouche pleine d’une autre bite. Elle est près de l’orgasme. J’aimerais être à sa place. Je ferais le nécessaire la prochaine fois. Mon amante du jour est comme moi. Nous nous branlons toujours.
Le jour se lève quand nous quittons à eux l’établissement. Nous prenons le même taxi, je connais son adresse pour venir la voir un de ses prochains jours pour une conversation au bord du divan.
Dès l’entrée je me trouve dans mon élément. Celle du vestiaire est la même. Je lui donne la robe, c’est plus simple. Je me sens libre au bar, nue, déjà mouillée. Si une personne quelque soit son sexe me demande de baiser, je suis là. Aujourd’hui il y a moins de monde que la dernière fois. G voudrait bien me baiser, je me refuse à lui comme toujours. Quand arrive un couple, lui d’une quarantaine d’années, elle à peine plus jeune, je les inspecte : ils me plaisent, lui à cause de sa queue que je vois déjà en moi, elle cause de ses seins volumineux sans tomber qui me donnent envie des les sucer. C’est lui qui m’offre à boire : une coupe de champagne ne se refuse pas. Nous trinquons à trois, G, déçu est parti me laissant à mon triste sort. C’est la femme à qui je plais beaucoup qui nous dirige vers un endroit où nous ne serons pas dérangés pour le moment. Je suis assise entre le couple. Une main sur les cuisses, elle m’embrasse directement sur la bouche. C’est mon premier baiser de femme. Sa langue me fait du bien : elle embrasse parfaitement. Sa main monte doucement sur mes cuisses. Je jette un œil au mari qui pour le moment me regarde. J’espère qu’il va me peloter un peu lui aussi. Enfin il agit, il prend ma main, la pose sur sa queue. Il ne bande pas totalement encore, je me charge de le faire monter. Comme la main de madame qui est maintenant sur ma chatte ; Elle me caresse fort admirablement. Pourtant elle arrête vite : elle se penche vers moi, écarte mes jambes le plus possible pour caser sa tête. Je sens sa langue sur le clitoris. Mon Dieu qu’elle langue ardente endiablée, franche, me lèche sans relâche. Je vais jouir, le lui dit, elle continue. Je donne un jet de cyprine dans sa bouche. Elle continue, je reste ouverte pour l’orgasme suivant. Lui me demande de la branler, je l’avais oublié. J’agite ma main le long de sa colonne qui est bien dure. Le prépuce joue son rôle pour lui donner du plaisir. Il découvre et recouvre le gland bien gros. Nous pensons rester en trio, une autre femme vient vers nous, elle commence par m’embrasser. Me caresse les seins qui sont aujourd’hui particulièrement sensibles. Elle me tête. C’est bon. Elle prend la queue que je branlais, la met dans la bouche. Je regarde ses lèvres aller et venir, sa langue lécher le gland pour tout remettre profondément en bouche. J’ai encore un orgasme que je ne retiens pas. Lui à coté jouit dans la bouche qui doucement avale le sperme qui sourd de la queue.
La fille qui léchait mon amant se relève vient tout près de moi pour me donner sa chatte à lécher : quelle odeur de cyprine mal lavée, de femmes comblée, de sperme aussi. J’ai d’abord un réflexe de rejet, finalement l’ambiance fait que je sors ma langue. Je lape son jus. Je trouve un bon gout à ses divers liquides. Je lui mets le bout de la langue dans le con : mon premier con. Elle prend ma main pour la passer sur ses fesses, en réalité entre ses fesses, elle me donne son cul.
Je suis un peu perdue. Je me fais souvent mettre par derrière, je n’ai aucune expérience inverse. Il faut que j’improvise. Je ne pensais jamais que je ferais entrer un seul doigt dans l’anus d’une autre nana. J’arrive à le faire facilement. Si je pouvais, même j’y passerais la langue. Ce sera pour une prochaine fois.
Nous finissons de boire le champagne. C’est lui qui prend la bouteille. Il se lève nous tourne le dos, se penche en avant, montre son cul. Il s’enfonce le goulot de la bouteille dans l’anus. Sa femme, habituée de la chose le branle pour accentuer le plaisir. Nous restons avec l’autre fille à nous caresser avant de nous trouver en 69. Je connais le 69 pour le pratiquer régulièrement avec Alain. Avec une femme c’est différent. Elle surtout passe la langue réellement partout. Je la sens du début de la fente au cul. Elle me fait du bien partout, elle me fait jouir plusieurs fois. J’ai dit-elle un très bon gout de moule en chaleur.
Nous quittons notre couple, je veux voir les autres, ceux qui en groupe font des machins que je ne ferais jamais. Nous allons voir une fille se faire fouetter : elle en jouit. Elle est entourée d’un groupe d’homme la bite à la main. Je ne peux me retenir, je me branle comme les autres, ma compagne en fait autant, finalement je la branle seule. J’ai une main au cul qui se bien fouiller. Et je ne sais même pas qui me pelotte. Dans la pièce à coté une femme est couchée sur le ventre, sous elle un amant qui la baise bien d’après moi. Un autre très bien monté l’encule. Elle gémit comme elle peut en ayant la bouche pleine d’une autre bite. Elle est près de l’orgasme. J’aimerais être à sa place. Je ferais le nécessaire la prochaine fois. Mon amante du jour est comme moi. Nous nous branlons toujours.
Le jour se lève quand nous quittons à eux l’établissement. Nous prenons le même taxi, je connais son adresse pour venir la voir un de ses prochains jours pour une conversation au bord du divan.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Un de tes meilleurs textes.J'ai beaucoup aimé !!!