Le black
Récit érotique écrit par St4b [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Le black
Dans l'histoire précédente, je racontais nos premiers essais avec ma cage de chasteté, qui se sont révélés satisfaisants au-delà de mes espérances pour nos petits jeux de couple.
J'avais d'ailleurs obtenu de ma femme qu'elle joue avec mon anus, ce qu'elle faisait rarement avant cela.
Après nos petits jeux privés, je lui reparlai de mon fantasme de la voir un jour avec un black. Nous avions jusque-là rencontré un blanc, un turc et un maghrébin. Je lui dis que ce serait amusant de changer un peu de couleur, elle n'était pas fermée à l'idée. Elle s'ouvrait de plus en plus aux rencontres coquines même si ça restait espacé dans le temps.
Je me suis conditionné à aimer les blacks à force de voir des vidéos candaulistes entre des femmes blanches et des noirs. Je trouve le contraste fascinant et ils semblent mieux dotés par la nature que la moyenne des hommes. Restait à trouver un bon candidat car le physique ne fait pas tout.
Ne souhaitant pas pratiquer dans les alentours de peur d'être reconnu, j'ai passé une petite annonce sur internet sur un site dans la rubrique adéquate, en précisant "nette préférence pour black bien membré". J'ai reçu beaucoup de réponses, pour la plupart décevantes et peu engageantes.
J'ai fini par trouver quelques profils intéressants avec lesquels nous avons échangé des photos mais certains n'étaient pas ouverts à l'idée que le conjoint soit présent lors de la rencontre.
Après tri j'ai sélectionné quelques personnes dont j'ai présenté les profils à ma copine accompagnés de photos. Sa préférence est allée à un homme black d'une cinquantaine d'années (j'ai été surpris qu'elle choisisse si âgé) nommé Daniel, d'1m85 et bien foutu sans être trop musclé. Un homme normal en quelque sorte, mais avec une belle bite non circoncise de 19 cm et une belle paire de fesses musclées. Les photos fournies étaient en effet alléchantes. Il semblait préférer les gros engins bien qu'elle n'ait pas choisi le plus impressionnant (j'avais trouvé jusqu'à 21 cm). Les photos de ce gars me filaient la gaule rien que de l'imaginer en train de sauter ma copine.
De notre côté nous avons envoyé quelques photos suggestives sans visage, certaines à deux avec cage de chasteté en place. Daniel s'est amusé de ça et nous a confié n'avoir jamais rencontré de couple avec mari candauliste, encore moins portant une cage. Mais il aimait bien l'idée. Il avait cependant une certaine expérience dans les rencontres. Le physique de ma belle a suffi à le motiver pour nous rencontrer même sans avoir vu son visage et nous nous sommes donné rendez-vous dans sa ville (à 150 km de chez nous) pour y passer un week-end. J'avais proposé de louer une petite maison à l'écart de la ville et Daniel a gentiment proposé de payer une partie tout en préservant l'anonymat de chacun. Nous n'avons pas posé de question sur sa vie privée mais il semblait assez disponible puisqu'il proposait de passer le week-end entier tous les trois.
Nous sommes partis un vendredi soir après le travail en emmenant quelques tenues suggestives pour ma femme ainsi que mes cages. J'avais acheté un nouveau modèle plus petit pour ne pas pouvoir bander du tout, de couleur noire. Je me suis dit que la couleur serait assez amusante pour cette rencontre.
On ne savait pas trop à quoi s'attendre mais mes espérances étaient grandes. On parlait là d'un week-end entier de candaulisme potentiel.
Nous avons investi les lieux et Daniel n'étant pas disponible le vendredi soir, nous nous sommes fait une petite soirée en amoureux où j'ai porté ma cage pour garder un maximum d'excitation pour le reste du week-end.
Je ne m'étais pas branlé depuis plusieurs jours et nous avions eu un rapport 4 jours plus tôt. J'avais donc les couilles bien remplies ce que ma conjointe me fit remarquer lorsque je me présentai à elle avec la nouvelle cage. Ce soir-là j'ai proposé de la lécher sans la faire jouir pour la chauffer au maximum et elle m'a doigté le cul sans que je puisse jouir non plus.
Daniel devait nous rejoindre pour le repas du midi le lendemain.
Il est arrivé vers 11h30. C'était effectivement un bel homme et les photos étaient conformes. Il portait une tenue décontractée, un pantalon bien coupé et un sweat-shirt gris clair. Cela contrastait très bien avec sa peau très sombre, noir ébène.
Je l'ai trouvé franchement très beau pour son âge, cheveux très courts presque rasé poivre et sel, très légère barbe.
Pas gêné pour un sou, il déposa un petit smack rapide à ma conjointe en l'attrapant par la taille. Il était un peu plus grand qu'elle. Elle avait opté pour une jupe droite avec un collant sombre, des ballerines et un pull moulant. Elle s'était joliment maquillée pour l'occasion et s'était fait un chignon. Je la trouvais parfaitement magnifique.
La maison était de plain-pied, petite cuisine séparée d'un salon de taille moyenne avec un canapé 3 places et un fauteuil, deux chambres dont une chambre "parentale" accolée à une chambre pour enfants avec un lit superposé, une salle de bains assez grande avec baignoire. Il y avait une terrasse et un petit terrain sans vis à vis avec de quoi faire un barbecue.
Nous avions un peu discuté Daniel et moi de nos envies respectives, Léa n'était par contre pas au courant des différents scénarios, elle me faisait confiance.
Il avait été convenu que je ne pourrais pas faire l'amour à ma femme de tout le week-end, rôle réservé exclusivement à l'amant. Pour le reste j'avais laissé carte blanche à Daniel.
On s'est installés sur la terrasse car il faisait chaud et nous avons dégusté un petit apéro, la situation était troublante car c'était la première fois que nous prenions le temps de découvrir l'amant sans que cela soit purement sexuel. On en a profité à ce moment-là pour se montrer nos tests MST récents, même si nous avions convenu d'utiliser des préservatifs et que Léa prenait la pilule.
Nous étions autour d'une table ronde, il s'était assis un peu plus proche de Léa que de moi. Les compliments physiques fusaient de part et d'autre et l'alcool aidant sans doute un peu l'ambiance était très décontractée. On avait l'impression de recevoir un ami à la maison. Comme je fais souvent à manger chez nous, je suis rentré préparer rapidement un repas pour tous les trois.
Lorsque je suis ressorti, Daniel et ma femme s'étaient allongés au soleil sur des transats. Comme il faisait déjà bien chaud et que nous approchions les 13h, il s'était mis torse nu. Il était vraiment en forme physiquement pour son âge, des abdos encore bien dessinés et un torse assez puissant, très peu de poils gris et noirs faisant quelques boucles. Ils discutaient tous les deux et Daniel tenait la main de ma femme en lui caressant les doigts, visiblement le courant passait bien. Pour sa part elle avait retiré son collant et ses ballerines mais avait gardé le reste, sa position me permit de vérifier qu'elle avait toujours ses sous-vêtements. J'adore voir ses longues jambes nues et ses pieds. De temps en temps il posait sa main sur son ventre et son bas ventre sous le débardeur et faisait quelques caresses circulaires. Je me demande si elle était excitée. En tout cas elle souriait beaucoup.
Nous sommes rentrés pour déjeuner à la table rectangulaire du salon et Léa est allée s'asseoir à côté de notre nouvel ami, moi en face d'elle.
Le repas s'est passé de façon assez banale mis à part que Daniel gardait la plupart du temps la main sur la cuisse de Léa qu'il bougeait doucement pour la caresser, sa main était d'ailleurs assez haut à la racine de la cuisse, je pense qu'il essayait de lacaresser de plus en plus vers le pubis. Je sais que Léa adore ça et que ça la fait toujours mouiller assez rapidement mais elle ne laissait rien transparaitre.
Curieux d'en voir davantage, je fis semblant de laisser tomber un couvert pour me baisser.
Daniel a sans doute compris mon manège et il continua de caresser la cuisse de Léa, il était bien en train de lui caresser l'intérieur, de haut en bas, pas très loin de ses grandes lèvres, il tira un peu la cuisse vers lui pour qu'elle écarte les cuisses et que j'accèdes à une vue plus dégagée. La vue fut rapide et je ne sais comment mais sa jupe était un peu remontée. Surtout je m'aperçus qu'elle ne portait plus de culotte. Difficile de voir l'état de sa chatte dans ce laps de temps si court. Je ne sais pas à quel moment elle l'avait retirée mais en tout cas je n'avais rien remarqué, et visiblement ces deux-là étaient à un stade de séduction plus avancé que ce que je pensais.
Il me fixa dans les yeux et me demanda si ce que j'avais vu me plaisait et si ça me faisait bander qu'il s'occupe de ma femme à ma place. Avant que je puisse répondre, Léa répondit que je ne pouvais pas. Devant l'air interrogateur de Daniel, elle lui expliqua que je portais une cage de chasteté depuis notre arrivée la veille et qu'elle m'avait autorisé à la retirer juste pour me laver.
Il rigola, sans doute en repensant aux photos qu'on lui avait envoyé en amont de la rencontre où je la portais.
Il me demanda de venir nous montrer ça de plus près. Je vins me mettre entre eux deux et j'écartais mon pantalon pour les laisser apercevoir ma cage. Je portais un pantalon souple avec un élastique, sans slip car j'aime bien quand mes bourses viennent frotter sur le tissu, je trouve ça super agréable.
"Enlève le complètement, et reste comme ça" me dit-il. Un peu honteux je retirais complètement mon pantalon et il regarda quelques instants. Ma queue occupait les moindres recoins de la cage noire, je portais un modèle CB3000S (petite taille) qui ne laissant quasiment aucune marge de manœuvre pour une érection. Mes couilles étaient bien lisses, rasées de la veille.
"Ouvre grand la bouche". Ne comprenant pas, j'ouvris la bouche en grand et à ma surprise il sortit un string de Léa de sa poche qu'il me mit à moitié dans la bouche. "Va t'asseoir".
Visiblement mon dessert était tout trouvé. Je reconnus immédiatement le goût de la mouille de Léa sur le tissu, si j'avais encore des doutes je savais maintenant qu'elle avait dû être excitée depuis un moment pour avoir imprégné le tissu de la sorte. Il l'avait peut-être caressée quand je préparais à manger.
Je me rassis donc cul nul sur la chaise en gardant le haut. Ils prirent le dessert et moi je restais là sans oser bouger ou retirer le string de ma bouche, ils me jetaient un coup d’œil de temps en temps. La situation était étrange mais très excitante.
Une fois le repas terminé, j’ai pris l’initiative de débarrasser tout en gardant le sous-vêtement de ma copine dans la bouche ce qui a eu l’air d’amuser notre convive. Ma queue encagée se balançait de droite à gauche en marchant et mes couilles se contractaient avec le contact de l’air.
C’est ma copine qui gardait la clé de la cage dans sa trousse de toilette.
Quand je suis revenu au salon, j’ai trouvé ma femme et son nouvel amant sur le canapé, elle sur le dos et lui sur elle en train de s’embrasser avec passion. Elle tenait l’arrière de sa tête d’une main et caressait son dos nu de l’autre. Elle n’avait déjà plus sa jupe et elle tenait Daniel par les fesses avec ses talons. Lui avait gardé son pantalon mais la façon dont il bougeait le bassin avec des mouvements circulaires me donnait l’impression qu’il la baisait déjà. Il se redressa et comme j’étais planté là à regarder il me dit d’aller m’asseoir pour profiter du spectacle. Devant l’absence d’autre consigne j’ai jugé bon de garder le string de Léa en bouche. Il était encore plus humide qu’au début à force de saliver dessus.
Il se mit à genoux sur le canapé et il fit mettre Léa à quatre pattes face à lui. Il lui pressa sur le bas du dos pour qu’elle cambre davantage, visiblement peu satisfait de sa position initiale. Il la prit par le chignon et lui colla le visage à son ventre, elle ouvrit la bouche et entreprit de lécher le ventre de Daniel. Il relâcha ses cheveux pour la laisser faire. Finalement nous étions sur un pied d’égalité elle et moi, tous deux nus en bas en ayant conservé le haut. Ça ne dura pas longtemps car tout en la laissant continuer, il lui enleva le haut en tirant ses habits par en bas et entreprît de lui dégrafer son soutien-gorge, qu’il a ensuite jeté dans ma direction. Elle était maintenant parfaitement nue, ses petits seins fermes vers le bas avec ses tétons qui pointaient fermement. Il reprit ses cheveux avec les deux mains et lui dirigea lentement la tête vers son entre jambes, elle se mit à lui embrasser le pantalon et surtout la bosse qui le déformait qu’elle repéra sans mal, puis à le lécher et à prendre sa queue en bouche à travers le tissu.
Il eut rapidement une auréole de salive sur son pantalon ce qui moulait encore davantage sa bite.
Il relâcha sa prise et descendit son pantalon et son boxer léchant échapper sa queue au zénith. C’était un très bel engin tout à fait conforme aux photos. Une longue tige d’une vingtaine de centimètres, bien large, avec un joli gland plus clair déjà décalotté par l’excitation. Ses couilles étaient par contre un peu pendantes, elles semblaient lourdes et tiraient la peau vers le bas.
Je n’ai pas d’attirance pour les hommes mais ça me donnait presque envie de le sucer moi aussi.
Léa le prit en bouche sans les mains, d’abord juste le gland qu’elle suçota lentement en émettant des petits bruits mouillés excitant, puis elle essaya de l’entraîner plus loin, mais elle n’arrivait pas à prendre plus du tiers en bouche sans avoir de haut le cœur. Il faut dire qu’elle a un réflexe nauséeux assez marqué déjà en temps normal, mais elle faisait là preuve de persévérance. Elle trichait un peu de temps en temps en enfonçant la queue vers sa joue, le gland venait la déformer et on en voyait quasiment les contours. Je prenais un pied d’enfer à la regarder là devant moi à quatre pattes sur le canapé, bien cambrée, à sucer un black bien monté rencontré le jour même. Je ressentais une grande fierté. Ses fesses allaient d’avant en arrière au rythme de sa pipe, j’aurais aimé voir l’état de sa chatte sans doute bien excitée mais comme elle était de profil je n’en voyais rien et je n’osais bouger de la place qui m’avait été désignée.
Daniel lui caressait maintenant les fesses qu’il écartait en grand de temps en temps comme pour juger de la place disponible, il était suffisamment grand pour réussir à glisser le majeur dans sa chatte, il fit quelques lents va et vient avant d’accélérer doucement sans brutalité. Je n’eus finalement pas besoin de la vue pour connaître l’état d’excitation de Léa, les clapotis émanant de sa chatte au rythme du doigtage me renseignant sans problème. Nous n’avons d’ailleurs presque jamais eu besoin de lubrifiant car elle mouille abondamment, et sa mouille est très humide et glissante.
Léa avait les yeux fermés et elle continuait de sucer mais son rythme était saccadé, ses mouvements de bassin étaient également plus désordonnés à présent. Je ne savais pas trop si elle prenait son pied ou si elle avait du mal à continuer à sucer comme avant car la queue de Daniel allait plus loin que dans la position initiale.
J'eus rapidement confirmation qu'il s'agissait de la première hypothèse car elle laissait échapper des petits "mhhhh mhhhh" de temps en temps.
Daniel se retira et s'allongea sur le dos, puis fit venir ma femme sur lui en 69, il l'attrapa par le dessus des fesses avec ses deux mains et plaqua sa chatte sur sa bouche pour lui prodiguer un cunnilingus. Léa continua sa pipe un peu plus doucement et de façon assez désordonnée, je sais qu'elle a du mal à se concentrer sur autre chose que son plaisir lorsqu'on la caresse. Son bassin ondulait en même temps que les caresses buccales de Daniel, je savais à présent qu'elle n'allait pas tarder à jouir car je ne connaissais que trop bien ce comportement. C'est maintenant elle qui se frottait la chatte sur sa bouche assez rapidement, lui ne bougeait quasiment plus. Elle ne mit qu'une ou deux minutes supplémentaires pour jouir avec quelques râles étouffés par la queue de Daniel qui lui remplissait la bouche.
Une fois remise de son orgasme, elle se remit à sucer Daniel de façon plus rapide, en empoignant la base de son pénis en le branlant un peu de temps en temps. Elle avait relevé les fesses et ses mouvements de bouche de haut en bas faisait qu'elle ondulait devant les yeux de Daniel qui n'en perdait pas une miette. Cette vue a dû l'exciter un peu plus et il a joui dans la bouche de Léa en poussant un cri rauque.
Elle perdit un peu de sperme de sa bouche qui tomba sur le canapé et cracha le reste dans un verre resté sur la table basse.
Elle en avait un peu sur le pourtour de la bouche et sur les doigts, je la trouvais très belle. Daniel est parti se chercher à boire à la cuisine et Léa le suivi après m'avoir déposé un baiser sur la joue en me demandant si je voulais boire quelque chose.
J'avais d'ailleurs obtenu de ma femme qu'elle joue avec mon anus, ce qu'elle faisait rarement avant cela.
Après nos petits jeux privés, je lui reparlai de mon fantasme de la voir un jour avec un black. Nous avions jusque-là rencontré un blanc, un turc et un maghrébin. Je lui dis que ce serait amusant de changer un peu de couleur, elle n'était pas fermée à l'idée. Elle s'ouvrait de plus en plus aux rencontres coquines même si ça restait espacé dans le temps.
Je me suis conditionné à aimer les blacks à force de voir des vidéos candaulistes entre des femmes blanches et des noirs. Je trouve le contraste fascinant et ils semblent mieux dotés par la nature que la moyenne des hommes. Restait à trouver un bon candidat car le physique ne fait pas tout.
Ne souhaitant pas pratiquer dans les alentours de peur d'être reconnu, j'ai passé une petite annonce sur internet sur un site dans la rubrique adéquate, en précisant "nette préférence pour black bien membré". J'ai reçu beaucoup de réponses, pour la plupart décevantes et peu engageantes.
J'ai fini par trouver quelques profils intéressants avec lesquels nous avons échangé des photos mais certains n'étaient pas ouverts à l'idée que le conjoint soit présent lors de la rencontre.
Après tri j'ai sélectionné quelques personnes dont j'ai présenté les profils à ma copine accompagnés de photos. Sa préférence est allée à un homme black d'une cinquantaine d'années (j'ai été surpris qu'elle choisisse si âgé) nommé Daniel, d'1m85 et bien foutu sans être trop musclé. Un homme normal en quelque sorte, mais avec une belle bite non circoncise de 19 cm et une belle paire de fesses musclées. Les photos fournies étaient en effet alléchantes. Il semblait préférer les gros engins bien qu'elle n'ait pas choisi le plus impressionnant (j'avais trouvé jusqu'à 21 cm). Les photos de ce gars me filaient la gaule rien que de l'imaginer en train de sauter ma copine.
De notre côté nous avons envoyé quelques photos suggestives sans visage, certaines à deux avec cage de chasteté en place. Daniel s'est amusé de ça et nous a confié n'avoir jamais rencontré de couple avec mari candauliste, encore moins portant une cage. Mais il aimait bien l'idée. Il avait cependant une certaine expérience dans les rencontres. Le physique de ma belle a suffi à le motiver pour nous rencontrer même sans avoir vu son visage et nous nous sommes donné rendez-vous dans sa ville (à 150 km de chez nous) pour y passer un week-end. J'avais proposé de louer une petite maison à l'écart de la ville et Daniel a gentiment proposé de payer une partie tout en préservant l'anonymat de chacun. Nous n'avons pas posé de question sur sa vie privée mais il semblait assez disponible puisqu'il proposait de passer le week-end entier tous les trois.
Nous sommes partis un vendredi soir après le travail en emmenant quelques tenues suggestives pour ma femme ainsi que mes cages. J'avais acheté un nouveau modèle plus petit pour ne pas pouvoir bander du tout, de couleur noire. Je me suis dit que la couleur serait assez amusante pour cette rencontre.
On ne savait pas trop à quoi s'attendre mais mes espérances étaient grandes. On parlait là d'un week-end entier de candaulisme potentiel.
Nous avons investi les lieux et Daniel n'étant pas disponible le vendredi soir, nous nous sommes fait une petite soirée en amoureux où j'ai porté ma cage pour garder un maximum d'excitation pour le reste du week-end.
Je ne m'étais pas branlé depuis plusieurs jours et nous avions eu un rapport 4 jours plus tôt. J'avais donc les couilles bien remplies ce que ma conjointe me fit remarquer lorsque je me présentai à elle avec la nouvelle cage. Ce soir-là j'ai proposé de la lécher sans la faire jouir pour la chauffer au maximum et elle m'a doigté le cul sans que je puisse jouir non plus.
Daniel devait nous rejoindre pour le repas du midi le lendemain.
Il est arrivé vers 11h30. C'était effectivement un bel homme et les photos étaient conformes. Il portait une tenue décontractée, un pantalon bien coupé et un sweat-shirt gris clair. Cela contrastait très bien avec sa peau très sombre, noir ébène.
Je l'ai trouvé franchement très beau pour son âge, cheveux très courts presque rasé poivre et sel, très légère barbe.
Pas gêné pour un sou, il déposa un petit smack rapide à ma conjointe en l'attrapant par la taille. Il était un peu plus grand qu'elle. Elle avait opté pour une jupe droite avec un collant sombre, des ballerines et un pull moulant. Elle s'était joliment maquillée pour l'occasion et s'était fait un chignon. Je la trouvais parfaitement magnifique.
La maison était de plain-pied, petite cuisine séparée d'un salon de taille moyenne avec un canapé 3 places et un fauteuil, deux chambres dont une chambre "parentale" accolée à une chambre pour enfants avec un lit superposé, une salle de bains assez grande avec baignoire. Il y avait une terrasse et un petit terrain sans vis à vis avec de quoi faire un barbecue.
Nous avions un peu discuté Daniel et moi de nos envies respectives, Léa n'était par contre pas au courant des différents scénarios, elle me faisait confiance.
Il avait été convenu que je ne pourrais pas faire l'amour à ma femme de tout le week-end, rôle réservé exclusivement à l'amant. Pour le reste j'avais laissé carte blanche à Daniel.
On s'est installés sur la terrasse car il faisait chaud et nous avons dégusté un petit apéro, la situation était troublante car c'était la première fois que nous prenions le temps de découvrir l'amant sans que cela soit purement sexuel. On en a profité à ce moment-là pour se montrer nos tests MST récents, même si nous avions convenu d'utiliser des préservatifs et que Léa prenait la pilule.
Nous étions autour d'une table ronde, il s'était assis un peu plus proche de Léa que de moi. Les compliments physiques fusaient de part et d'autre et l'alcool aidant sans doute un peu l'ambiance était très décontractée. On avait l'impression de recevoir un ami à la maison. Comme je fais souvent à manger chez nous, je suis rentré préparer rapidement un repas pour tous les trois.
Lorsque je suis ressorti, Daniel et ma femme s'étaient allongés au soleil sur des transats. Comme il faisait déjà bien chaud et que nous approchions les 13h, il s'était mis torse nu. Il était vraiment en forme physiquement pour son âge, des abdos encore bien dessinés et un torse assez puissant, très peu de poils gris et noirs faisant quelques boucles. Ils discutaient tous les deux et Daniel tenait la main de ma femme en lui caressant les doigts, visiblement le courant passait bien. Pour sa part elle avait retiré son collant et ses ballerines mais avait gardé le reste, sa position me permit de vérifier qu'elle avait toujours ses sous-vêtements. J'adore voir ses longues jambes nues et ses pieds. De temps en temps il posait sa main sur son ventre et son bas ventre sous le débardeur et faisait quelques caresses circulaires. Je me demande si elle était excitée. En tout cas elle souriait beaucoup.
Nous sommes rentrés pour déjeuner à la table rectangulaire du salon et Léa est allée s'asseoir à côté de notre nouvel ami, moi en face d'elle.
Le repas s'est passé de façon assez banale mis à part que Daniel gardait la plupart du temps la main sur la cuisse de Léa qu'il bougeait doucement pour la caresser, sa main était d'ailleurs assez haut à la racine de la cuisse, je pense qu'il essayait de lacaresser de plus en plus vers le pubis. Je sais que Léa adore ça et que ça la fait toujours mouiller assez rapidement mais elle ne laissait rien transparaitre.
Curieux d'en voir davantage, je fis semblant de laisser tomber un couvert pour me baisser.
Daniel a sans doute compris mon manège et il continua de caresser la cuisse de Léa, il était bien en train de lui caresser l'intérieur, de haut en bas, pas très loin de ses grandes lèvres, il tira un peu la cuisse vers lui pour qu'elle écarte les cuisses et que j'accèdes à une vue plus dégagée. La vue fut rapide et je ne sais comment mais sa jupe était un peu remontée. Surtout je m'aperçus qu'elle ne portait plus de culotte. Difficile de voir l'état de sa chatte dans ce laps de temps si court. Je ne sais pas à quel moment elle l'avait retirée mais en tout cas je n'avais rien remarqué, et visiblement ces deux-là étaient à un stade de séduction plus avancé que ce que je pensais.
Il me fixa dans les yeux et me demanda si ce que j'avais vu me plaisait et si ça me faisait bander qu'il s'occupe de ma femme à ma place. Avant que je puisse répondre, Léa répondit que je ne pouvais pas. Devant l'air interrogateur de Daniel, elle lui expliqua que je portais une cage de chasteté depuis notre arrivée la veille et qu'elle m'avait autorisé à la retirer juste pour me laver.
Il rigola, sans doute en repensant aux photos qu'on lui avait envoyé en amont de la rencontre où je la portais.
Il me demanda de venir nous montrer ça de plus près. Je vins me mettre entre eux deux et j'écartais mon pantalon pour les laisser apercevoir ma cage. Je portais un pantalon souple avec un élastique, sans slip car j'aime bien quand mes bourses viennent frotter sur le tissu, je trouve ça super agréable.
"Enlève le complètement, et reste comme ça" me dit-il. Un peu honteux je retirais complètement mon pantalon et il regarda quelques instants. Ma queue occupait les moindres recoins de la cage noire, je portais un modèle CB3000S (petite taille) qui ne laissant quasiment aucune marge de manœuvre pour une érection. Mes couilles étaient bien lisses, rasées de la veille.
"Ouvre grand la bouche". Ne comprenant pas, j'ouvris la bouche en grand et à ma surprise il sortit un string de Léa de sa poche qu'il me mit à moitié dans la bouche. "Va t'asseoir".
Visiblement mon dessert était tout trouvé. Je reconnus immédiatement le goût de la mouille de Léa sur le tissu, si j'avais encore des doutes je savais maintenant qu'elle avait dû être excitée depuis un moment pour avoir imprégné le tissu de la sorte. Il l'avait peut-être caressée quand je préparais à manger.
Je me rassis donc cul nul sur la chaise en gardant le haut. Ils prirent le dessert et moi je restais là sans oser bouger ou retirer le string de ma bouche, ils me jetaient un coup d’œil de temps en temps. La situation était étrange mais très excitante.
Une fois le repas terminé, j’ai pris l’initiative de débarrasser tout en gardant le sous-vêtement de ma copine dans la bouche ce qui a eu l’air d’amuser notre convive. Ma queue encagée se balançait de droite à gauche en marchant et mes couilles se contractaient avec le contact de l’air.
C’est ma copine qui gardait la clé de la cage dans sa trousse de toilette.
Quand je suis revenu au salon, j’ai trouvé ma femme et son nouvel amant sur le canapé, elle sur le dos et lui sur elle en train de s’embrasser avec passion. Elle tenait l’arrière de sa tête d’une main et caressait son dos nu de l’autre. Elle n’avait déjà plus sa jupe et elle tenait Daniel par les fesses avec ses talons. Lui avait gardé son pantalon mais la façon dont il bougeait le bassin avec des mouvements circulaires me donnait l’impression qu’il la baisait déjà. Il se redressa et comme j’étais planté là à regarder il me dit d’aller m’asseoir pour profiter du spectacle. Devant l’absence d’autre consigne j’ai jugé bon de garder le string de Léa en bouche. Il était encore plus humide qu’au début à force de saliver dessus.
Il se mit à genoux sur le canapé et il fit mettre Léa à quatre pattes face à lui. Il lui pressa sur le bas du dos pour qu’elle cambre davantage, visiblement peu satisfait de sa position initiale. Il la prit par le chignon et lui colla le visage à son ventre, elle ouvrit la bouche et entreprit de lécher le ventre de Daniel. Il relâcha ses cheveux pour la laisser faire. Finalement nous étions sur un pied d’égalité elle et moi, tous deux nus en bas en ayant conservé le haut. Ça ne dura pas longtemps car tout en la laissant continuer, il lui enleva le haut en tirant ses habits par en bas et entreprît de lui dégrafer son soutien-gorge, qu’il a ensuite jeté dans ma direction. Elle était maintenant parfaitement nue, ses petits seins fermes vers le bas avec ses tétons qui pointaient fermement. Il reprit ses cheveux avec les deux mains et lui dirigea lentement la tête vers son entre jambes, elle se mit à lui embrasser le pantalon et surtout la bosse qui le déformait qu’elle repéra sans mal, puis à le lécher et à prendre sa queue en bouche à travers le tissu.
Il eut rapidement une auréole de salive sur son pantalon ce qui moulait encore davantage sa bite.
Il relâcha sa prise et descendit son pantalon et son boxer léchant échapper sa queue au zénith. C’était un très bel engin tout à fait conforme aux photos. Une longue tige d’une vingtaine de centimètres, bien large, avec un joli gland plus clair déjà décalotté par l’excitation. Ses couilles étaient par contre un peu pendantes, elles semblaient lourdes et tiraient la peau vers le bas.
Je n’ai pas d’attirance pour les hommes mais ça me donnait presque envie de le sucer moi aussi.
Léa le prit en bouche sans les mains, d’abord juste le gland qu’elle suçota lentement en émettant des petits bruits mouillés excitant, puis elle essaya de l’entraîner plus loin, mais elle n’arrivait pas à prendre plus du tiers en bouche sans avoir de haut le cœur. Il faut dire qu’elle a un réflexe nauséeux assez marqué déjà en temps normal, mais elle faisait là preuve de persévérance. Elle trichait un peu de temps en temps en enfonçant la queue vers sa joue, le gland venait la déformer et on en voyait quasiment les contours. Je prenais un pied d’enfer à la regarder là devant moi à quatre pattes sur le canapé, bien cambrée, à sucer un black bien monté rencontré le jour même. Je ressentais une grande fierté. Ses fesses allaient d’avant en arrière au rythme de sa pipe, j’aurais aimé voir l’état de sa chatte sans doute bien excitée mais comme elle était de profil je n’en voyais rien et je n’osais bouger de la place qui m’avait été désignée.
Daniel lui caressait maintenant les fesses qu’il écartait en grand de temps en temps comme pour juger de la place disponible, il était suffisamment grand pour réussir à glisser le majeur dans sa chatte, il fit quelques lents va et vient avant d’accélérer doucement sans brutalité. Je n’eus finalement pas besoin de la vue pour connaître l’état d’excitation de Léa, les clapotis émanant de sa chatte au rythme du doigtage me renseignant sans problème. Nous n’avons d’ailleurs presque jamais eu besoin de lubrifiant car elle mouille abondamment, et sa mouille est très humide et glissante.
Léa avait les yeux fermés et elle continuait de sucer mais son rythme était saccadé, ses mouvements de bassin étaient également plus désordonnés à présent. Je ne savais pas trop si elle prenait son pied ou si elle avait du mal à continuer à sucer comme avant car la queue de Daniel allait plus loin que dans la position initiale.
J'eus rapidement confirmation qu'il s'agissait de la première hypothèse car elle laissait échapper des petits "mhhhh mhhhh" de temps en temps.
Daniel se retira et s'allongea sur le dos, puis fit venir ma femme sur lui en 69, il l'attrapa par le dessus des fesses avec ses deux mains et plaqua sa chatte sur sa bouche pour lui prodiguer un cunnilingus. Léa continua sa pipe un peu plus doucement et de façon assez désordonnée, je sais qu'elle a du mal à se concentrer sur autre chose que son plaisir lorsqu'on la caresse. Son bassin ondulait en même temps que les caresses buccales de Daniel, je savais à présent qu'elle n'allait pas tarder à jouir car je ne connaissais que trop bien ce comportement. C'est maintenant elle qui se frottait la chatte sur sa bouche assez rapidement, lui ne bougeait quasiment plus. Elle ne mit qu'une ou deux minutes supplémentaires pour jouir avec quelques râles étouffés par la queue de Daniel qui lui remplissait la bouche.
Une fois remise de son orgasme, elle se remit à sucer Daniel de façon plus rapide, en empoignant la base de son pénis en le branlant un peu de temps en temps. Elle avait relevé les fesses et ses mouvements de bouche de haut en bas faisait qu'elle ondulait devant les yeux de Daniel qui n'en perdait pas une miette. Cette vue a dû l'exciter un peu plus et il a joui dans la bouche de Léa en poussant un cri rauque.
Elle perdit un peu de sperme de sa bouche qui tomba sur le canapé et cracha le reste dans un verre resté sur la table basse.
Elle en avait un peu sur le pourtour de la bouche et sur les doigts, je la trouvais très belle. Daniel est parti se chercher à boire à la cuisine et Léa le suivi après m'avoir déposé un baiser sur la joue en me demandant si je voulais boire quelque chose.
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