Le cadeau - histoire érotique

Mon mari vient de partir travailler, je n’ai pas l’habitude de me retrouver seule a la maison et dans mon lit, il ne travaille pas de nuit en temps normal. Son corps me manque déjà. Je me prépare à une soirée morose et j’ai envi de lui. J’ai donc décidé de sortir mes petits jouets intimes pour entreprendre de me faire un plaisir solitaire que je lui aurais raconté le lendemain, il adore savoir que je me fais du bien quand il n’est pas la. Tout en les sortant, je sens que je mouille, humm ! Sur le canapé je me prépare, j’enlève ma culotte et commence à me caresser avec un des petit gods, il faut commencer petit ! On sonne !un peu inquiète je n’ose pas ouvrir, c’est alors que le téléphone sonne, mon mari. Je décroche il me dit d’aller ouvrir de pas avoir peur de me détendre, c’est un cadeau pour moi. J’imagine déjà un magnifique bouquet de fleurs, Je vais ouvrir et là je vois un type plutôt banal les mains vides, qui me dis je suis votre cadeau madame. Il entre, me demande la chambre à coucher. Je suis un peut décontenancée et complètement ahurie, je suis muette rien ne sort de ma bouche, j’ai un nœud a la gorge et là me souvenant des mots que mon mari avait dits, je lui montre l’étage. Il monte en me demandant d’attendre, il portait au bout de son bras une petite mallette .surprise et un peu inquiète j’appelle mon mari pour avoir des explications.il décroche et me dis d’obéir et de baisser ma garde et raccroche aussitôt. Au bout de dix minutes je suis prié de monter quand j’arrive devant la chambre je vois le type allongé sur le lit avec comme simple tenue un string (j’adore le string chez l’homme) je rentre et je vis un ordi ouvert sur le bureau, une Cam connecté. Il se lève et commence a me déshabillé lentement, je suis tétanisé, il s’attardent sur mes seins avec des caresses tout a fait agréable, descendant ensuite sur mes fesses qui vont avoir la même punition, une fois toute nue il me lèche les tétons, descend lentement sur ma chatte et me la lèche délicatement, il est doué avec sa langue.je me tiens a sa tête pour ne pas perdre l’équilibre tellement le plaisir m’envahi. Pendant un moment d’accalmie je lui demande ce qu’il fait avec l’ordi allumé ? Il me répond que mon mari à commander un homme pour me donner du plaisir en son absence mais qu’il voulait voir les opérations d’où la présence de la Cam. Il m’allonge ensuite sur le dos et continu à me lécher la chatte, je ne dis rien, je suis son objet.je mouille abondamment a mon grand étonnement et maintenant que je sais que mon mari nous regarde je suis encore plus excitée. Il me travail la chatte un bon moment puis me relève et me demande de me mettre a genou devant lui, il sort de son string une énorme queue pas très longue comme je les aime et m’ordonne de le sucer. J’ai du mal tellement elle est grosse, j’arrive a peine à rentrer le gland (j’ai une petite bouche), je le suce, je m’applique j’aime sentir cette énorme queue dans ma bouche, je lèche, j’aspire, je gobe, je sens un petit jus coulé dans ma bouche il mouille aussi ensuite il me relève et me met a quatre pattes sur le lit tête vers l’ordi. Il se place derrière moi et commence à me lécher l’anus. Habituellement je n’aime pas ca mais prise par l’excitation je ne dis rien et me surprend à sentir du plaisir. C’est alors qu’il me demande d’appuyer sur la touche entrer de l’ordi et je vois mon mari, sa bite bien raide dans la main, il se branle, je sens l’excitation montée d’un cran supplémentaire quand je sens sa grosse queue rentrée en moi en m’écartelant sans ménagement. Je pousse un cri, mon mari se branle plus fort, il sort et rentre a nouveau plus fort et de plus en plus violement j’ai l’impression qu’il me déchire a chaque fois , il me tiens les hanches et donne des grands coups de butoir, je sens ses couilles frapper mon clitoris a chaque coup, mon corps se disloque c’est du moins l’impression que j’ai. Je suis tremper je coule de la chatte et j’adore, puis il sort se présente devant mon cul et la je tremble, je me crispe quand je sens son gland devant mon trou du cul sa bite est énorme et j’ai peur d’avoir mal. Il me caresse l’entrer avec son gland bien mouillé de mon jus ce qui a pour effet de me détendre ( il est vraiment doué) il force lentement le passage et je sens mon cul s’écarter sous la pression, sa queue est sur le point de rentrer alors il relâche un peu la pression et revient doucement a la charge mon trou fini par céder et je sens son gland me transpercer, j’en ai le souffle coupé il reste immobile quelques instant le temps pour moi de me reprendre mes esprits et de me décontracter puis il rentre encore un peu plus je me sens ouverte comme jamais je ne l’ai été, il rentre encore maintenant je le sens tout au fond de moi j’ai le cul totalement ouvert, il sort, mon cul se referme, et avant même qu’il ne soit complètement refermer sa queue rentre a nouveau violemment, il me lime pendant de longues minutes de plus en plus fort, je suis en « trans » je lui demande dans un état second de me défoncer encore plus fort, là je sens un vrai marteau piqueur me déchirer les entrailles, j’ai des envies sauvages et j’aimerais le sentir encore plus gros dans mon cul, je ne distingue plus la douleurs du plaisir, je joui comme une bête féroce avec des hurlements qui ont du réveiller tout le quartier. Sa bite se durci, je sens un liquide brulant coulé en moi : il joui, c’est bon, je regarde enfin mon mari que j’avais complètement oublié et je vois des giclées, des grandes giclées de sperme jaillir tel un volcan que j’aurai voulue sentir sur mon visage, mon mari a joui sur son bureau. Maintenant il se retire de mon cul qui reste ouvert comme le cul d’une pute après le passage d’un regiment.il me demande de me tourner pour montrer le spectacle a mon mari son sperme coule le long de ma chatte, je caresse ma chatte avec son jus et je sens un deuxième plaisir monter, je joui a nouveau, je me sens pute et salope a la fois, tout mes trous ouvert et pleins de sperme. Je n’ai plus la force de bouger. Il s’habille prend ses affaires et s’en va comme il est venu.
C’est un cadeau que je ne suis pas prête d’oublier.