Le cadeau 5 (fin)
Récit érotique écrit par I am a gentleman [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le cadeau 5 (fin)
-« Eh bien ! Le temps passe vite quand on s’amuse ! Il serait temps de conclure ! » dit-Élodie.
Délaissant Nicolas sur le lit, elle se leva et vint lentement se placer devant Sonya. Me tenant toujours derrière cette dernière, mes doigts cessèrent de bouger mais ma main resta sur son sexe. Passant mon avant-bras devant elle au niveau de son cou, je la maintiens contre moi tout en l’empêchant d’avancer.
-« Sonya, Sonya, Sonya …. Tu as l’air …. Très tendue ! »
-« Je te savais salope mais pas à ce point ! » répondit Sonya.
Je lui assène une rapide et ferme claque sur son entrejambe, la faisant sursauter.
-« Surveille ton langage ! » dis-je.
-« Tu n’as quand même pas cru que MON homme allait te faire jouir alors qu’il s’agit de MON cadeau ?! Moi et moi seule décide si tu mérites cet orgasme que tu attends avec impatience ! »
Élodie avait clairement insisté sur « mon homme », rappelant à son insolente amie ce qui était à elle. J’étais sien et elle était mienne. Nos partenaires de jeux n’altéraient en aucun cas cette connexion si particulière que nous avons.
-« Cependant, tu es chanceuse ! Je suis certes rancunière vis-à-vis du petit coup fourré que tu m’as joué mais pas à ce point. Je veux te voir jouir. Je veux te voir tremblante, submergée par un plaisir si longtemps attendu. Et ce plaisir, je vais te le donner ! » conclue Élodie.
S’accroupissant et écartant les jambes de notre jolie captive, elle enfonce son visage entre les cuisses de cette dernière. Sonya n’esquissa aucune résistance et laissa échapper un long gémissement. Mon avant-bras s’abaissa et ma main vient se plaquer fermement sur sa bouche, maintenant sa tête légèrement en arrière. Elle ne pouvait plus parler ni apercevoir le doux visage d’Élodie léchant avidement son sexe. Quant à ma main libre, elle retrouva une occupation auprès de cette magnifique poitrine.
Très vite, Sonya s’agita. Remuant la tête, elle tente désespérément de baisser le regard. Son bassin effectue des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides et accentués, poussant son sexe dans la bouche de celle qui l’avait si longuement tourmentée. Ce faisant, son cul magnifique se frotte contre ma queue, celle-ci également très excitée par la situation. Pour couronner le tout, je pose ma bouche dans son cou.
Elle tremble, ses gémissements gagnent en intensité. Je ne quitte pas son visage des yeux, guettant le moment où elle va défaillir. Son dos se cambre, ses paupières tremblent. Ça y est ! Un grognement étouffé de satisfaction se fait entendre. Mais Élodie va continuer de jouer de sa langue, même pendant l’orgasme. Une façon de rendre celui-ci encore plus intense.
-« Eh bien voilà ! Tout vient à point pour qui sait attendre ! » dit Élodie en embrassant tendrement son amie, encore sous le coup de l’orgasme. « Je vais aller m’occuper de ton soumis maintenant, histoire qu’il ne se sente pas délaissé ! »
-« Prépare-le-moi sur le canapé, je vais installer Sonya et viendrais conclure sa belle initiation d’aujourd’hui avant de partir ! » dis-je.
Pendant que ma douce compagne quittait la chambre précédée de Nicolas, toujours sautillant, j’installais Sonya de la manière la plus confortable possible sur la chaise-œuf, située dans un coin de sa chambre côté fenêtre. Elle était visiblement épuisée. Utilisant ses propres cordes que j’avais trouvé caché dans sa penderie, je l’immobilisais donc à nouveau. Son abdomen bien maintenu contre le dossier, ses jambes attachées au-dessus et en dessous des genoux et ses chevilles reliées ensemble au pied de la chaise. Quant à ses poignets, ils se retrouvèrent dans des menottes de cuir noir, lesquelles étaient reliées à la corde placée au-dessus de ses genoux par une petite chaîne cadenassée. M’ayant jusqu’ici observé la priver une nouvelle fois de sa liberté, elle finit par me dire :
-« Tu triches ! Sans ce cadenas, j’aurai pu facilement me libérer ! »
-« Mais c’est l’idée ma chère ! Vois-tu, la clé de ce cadenas est actuellement dans un petit bloc de glace dans ton freezer. Avant de te laisser, je déposerai ce bloc sur tes cuisses, entre tes avant-bras. Au vu de la température ambiante, de celle de ton corps et des derniers rayons de soleil que l’on aperçoit, celui-ci va fondre, te permettant d’accéder à la clé. Le reste sera un jeu d’enfant pour toi ! »
-« J’ai horreur du froid ! »
-« Allons donc ! Après avoir été autant stimulé, ton entrejambe ne sera pas contre un peu de fraîcheur non ? Qu’en penses-tu ? » dis-je avec un sourire.
-« J’en pense que tu ne m’as toujours pas fait jouir, tu as laissé Élodie s’en charger …. »
-« Là encore, tu fais erreur ! Aurais-tu oublié le cunnilingus que je t’ai donné malgré moi lors de notre dernière rencontre ? »
-« Tu joues sur les mots ! Je parle d’aujourd’hui ! Mais je n’ai pas oublié …. J’en garde par ailleurs un très bon souvenir …. » dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.
-« Ne joue pas ce petit numéro avec moi si tu ne veux pas que je te fasse taire ! »
-« Même bâillonnée, je peux te jouer mon numéro crois-moi ! Et je doute que tu puisses y résister …. » continue-t-elle avec un sourire coquin.
-« Bien sûr, bien sûr ! Aller, je te laisse y réfléchir, je m’en vais chercher de quoi te rafraîchir les idées ! »
Me dirigeant vers la cuisine, je pris le bol désormais complètement gelé dans lequel j’avais mis la clé. Quelques coups plus tard, le bloc de glace sorti intact du bol. Me redirigeant vers la chambre, Élodie me fit comprendre que tout était prêt.
-« Voilà ta glace ! Avec les compliments de la maison ! » dis-je, souriant, en déposant le bloc en haut des cuisses de Sonya. « Sur ce, à bientôt ma chère ! »
-« Je n’ai pas dit mon dernier mot, je suis du genre têtue sache-le ! » lança-t-elle, tandis que je refermais la porte derrière moi.
Bien. Un compte à rebours vient de s’activer. Nous n’avons plus beaucoup de temps pour s’occuper de Nicolas. Ce dernier se montre encore une fois en spectacle. Nu, toujours bâillonné, les bras et les jambes maintenus écartés, reliés aux pieds arrière du canapé. Belle vue ! Son cul arborant un plug et son sexe toujours aussi raide.
Sans plus attendre, je m’approche de lui et empoigne son membre. Je commence à le masturber avec force tandis que je fais rentrer et sortir le plug qui lui occupe l’anus.
-« MMMMMMFPHPHPGH ! »
Arrivant derrière moi, Élodie passa ses bras autour de ma taille tout en admirant le spectacle.
-« J’adore voir un mâle réduit ainsi à l’impuissance. Un homme objet, voilà ce que tu es ! » lui dit-elle. « D’ailleurs, il s’est beaucoup débattu alors je me suis permise de rajouter quelques tours d’adhésif sur son bâillon déjà bien fourni ! Mais comme je m’y attendais, maintenant que tu es là, il ne cherche plus à partir. Que se passe-t-il Nicolas ? On reconnaît qui est le mâle alpha ? » continua-t-elle en riant.
-« MMMMFGHGH ! MMMMMMFPHPHPGH ! » fit-il, lui lançant un regard noir.
Sentant qu’il allait jouir, je poussais le plug bien au fond avant de tenir fermement son sexe pendant l’éjaculation. Le voilà propre. Mais s’il pensait s’en tirer à bon compte, c’était mal nous connaître. Retournant fouiller dans mon sac, je ramenai auprès de lui une penis pump ou littéralement une pompe à pénis en français.
-« Il a un peu débandé. » constata Élodie. « Tu crois qu’il m’en voudrait si je lui redonnais de l’énergie ? »
-« Oh que non ! Vas-y ! J’ai pu constater qu’il devient vite émotif quand on s’occupe de son petit trou ! » répondis-je en riant.
Élodie attrapa son sexe et commença à doigter son cul avec deux doigts.
-« Mmmfghhh mmmpfffhh ! » fit-il, remuant son postérieur.
Dès que sa queue redevint aussi raide qu’auparavant, j’installais ce nouveau sex-toy dessus en lui expliquant le mécanisme. Je lui expliquais également que sa maîtresse serait libre incessamment sous peu et viendrait donc le secourir. D’ici là, cette pompe lui assurera un autre orgasme et le gardera occupé. Ma chère et tendre lui adressa également un message de fin de journée, message qui laissait présumer d’une après-midi futur très alléchante :
-« Je n’en ai pas fini avec ton cul ! Il se peut que celui-ci goûte à mon gode d’ici peu ! Et qui sait ? Après de l’entraînement, tu pourrais même goûter au sexe de mon homme un jour ! À bientôt, jeune homme au look émo ! »
Sur le seuil de la porte, venant tout juste de refermer la porte derrière nous, je demandais à Élodie :
-« Alors, as-tu aimé ma surprise ? »
-« Oh que oui ! C’était un beau cadeau ! » dit-elle en m’embrassant.
Délaissant Nicolas sur le lit, elle se leva et vint lentement se placer devant Sonya. Me tenant toujours derrière cette dernière, mes doigts cessèrent de bouger mais ma main resta sur son sexe. Passant mon avant-bras devant elle au niveau de son cou, je la maintiens contre moi tout en l’empêchant d’avancer.
-« Sonya, Sonya, Sonya …. Tu as l’air …. Très tendue ! »
-« Je te savais salope mais pas à ce point ! » répondit Sonya.
Je lui assène une rapide et ferme claque sur son entrejambe, la faisant sursauter.
-« Surveille ton langage ! » dis-je.
-« Tu n’as quand même pas cru que MON homme allait te faire jouir alors qu’il s’agit de MON cadeau ?! Moi et moi seule décide si tu mérites cet orgasme que tu attends avec impatience ! »
Élodie avait clairement insisté sur « mon homme », rappelant à son insolente amie ce qui était à elle. J’étais sien et elle était mienne. Nos partenaires de jeux n’altéraient en aucun cas cette connexion si particulière que nous avons.
-« Cependant, tu es chanceuse ! Je suis certes rancunière vis-à-vis du petit coup fourré que tu m’as joué mais pas à ce point. Je veux te voir jouir. Je veux te voir tremblante, submergée par un plaisir si longtemps attendu. Et ce plaisir, je vais te le donner ! » conclue Élodie.
S’accroupissant et écartant les jambes de notre jolie captive, elle enfonce son visage entre les cuisses de cette dernière. Sonya n’esquissa aucune résistance et laissa échapper un long gémissement. Mon avant-bras s’abaissa et ma main vient se plaquer fermement sur sa bouche, maintenant sa tête légèrement en arrière. Elle ne pouvait plus parler ni apercevoir le doux visage d’Élodie léchant avidement son sexe. Quant à ma main libre, elle retrouva une occupation auprès de cette magnifique poitrine.
Très vite, Sonya s’agita. Remuant la tête, elle tente désespérément de baisser le regard. Son bassin effectue des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides et accentués, poussant son sexe dans la bouche de celle qui l’avait si longuement tourmentée. Ce faisant, son cul magnifique se frotte contre ma queue, celle-ci également très excitée par la situation. Pour couronner le tout, je pose ma bouche dans son cou.
Elle tremble, ses gémissements gagnent en intensité. Je ne quitte pas son visage des yeux, guettant le moment où elle va défaillir. Son dos se cambre, ses paupières tremblent. Ça y est ! Un grognement étouffé de satisfaction se fait entendre. Mais Élodie va continuer de jouer de sa langue, même pendant l’orgasme. Une façon de rendre celui-ci encore plus intense.
-« Eh bien voilà ! Tout vient à point pour qui sait attendre ! » dit Élodie en embrassant tendrement son amie, encore sous le coup de l’orgasme. « Je vais aller m’occuper de ton soumis maintenant, histoire qu’il ne se sente pas délaissé ! »
-« Prépare-le-moi sur le canapé, je vais installer Sonya et viendrais conclure sa belle initiation d’aujourd’hui avant de partir ! » dis-je.
Pendant que ma douce compagne quittait la chambre précédée de Nicolas, toujours sautillant, j’installais Sonya de la manière la plus confortable possible sur la chaise-œuf, située dans un coin de sa chambre côté fenêtre. Elle était visiblement épuisée. Utilisant ses propres cordes que j’avais trouvé caché dans sa penderie, je l’immobilisais donc à nouveau. Son abdomen bien maintenu contre le dossier, ses jambes attachées au-dessus et en dessous des genoux et ses chevilles reliées ensemble au pied de la chaise. Quant à ses poignets, ils se retrouvèrent dans des menottes de cuir noir, lesquelles étaient reliées à la corde placée au-dessus de ses genoux par une petite chaîne cadenassée. M’ayant jusqu’ici observé la priver une nouvelle fois de sa liberté, elle finit par me dire :
-« Tu triches ! Sans ce cadenas, j’aurai pu facilement me libérer ! »
-« Mais c’est l’idée ma chère ! Vois-tu, la clé de ce cadenas est actuellement dans un petit bloc de glace dans ton freezer. Avant de te laisser, je déposerai ce bloc sur tes cuisses, entre tes avant-bras. Au vu de la température ambiante, de celle de ton corps et des derniers rayons de soleil que l’on aperçoit, celui-ci va fondre, te permettant d’accéder à la clé. Le reste sera un jeu d’enfant pour toi ! »
-« J’ai horreur du froid ! »
-« Allons donc ! Après avoir été autant stimulé, ton entrejambe ne sera pas contre un peu de fraîcheur non ? Qu’en penses-tu ? » dis-je avec un sourire.
-« J’en pense que tu ne m’as toujours pas fait jouir, tu as laissé Élodie s’en charger …. »
-« Là encore, tu fais erreur ! Aurais-tu oublié le cunnilingus que je t’ai donné malgré moi lors de notre dernière rencontre ? »
-« Tu joues sur les mots ! Je parle d’aujourd’hui ! Mais je n’ai pas oublié …. J’en garde par ailleurs un très bon souvenir …. » dit-elle en se mordant la lèvre inférieure.
-« Ne joue pas ce petit numéro avec moi si tu ne veux pas que je te fasse taire ! »
-« Même bâillonnée, je peux te jouer mon numéro crois-moi ! Et je doute que tu puisses y résister …. » continue-t-elle avec un sourire coquin.
-« Bien sûr, bien sûr ! Aller, je te laisse y réfléchir, je m’en vais chercher de quoi te rafraîchir les idées ! »
Me dirigeant vers la cuisine, je pris le bol désormais complètement gelé dans lequel j’avais mis la clé. Quelques coups plus tard, le bloc de glace sorti intact du bol. Me redirigeant vers la chambre, Élodie me fit comprendre que tout était prêt.
-« Voilà ta glace ! Avec les compliments de la maison ! » dis-je, souriant, en déposant le bloc en haut des cuisses de Sonya. « Sur ce, à bientôt ma chère ! »
-« Je n’ai pas dit mon dernier mot, je suis du genre têtue sache-le ! » lança-t-elle, tandis que je refermais la porte derrière moi.
Bien. Un compte à rebours vient de s’activer. Nous n’avons plus beaucoup de temps pour s’occuper de Nicolas. Ce dernier se montre encore une fois en spectacle. Nu, toujours bâillonné, les bras et les jambes maintenus écartés, reliés aux pieds arrière du canapé. Belle vue ! Son cul arborant un plug et son sexe toujours aussi raide.
Sans plus attendre, je m’approche de lui et empoigne son membre. Je commence à le masturber avec force tandis que je fais rentrer et sortir le plug qui lui occupe l’anus.
-« MMMMMMFPHPHPGH ! »
Arrivant derrière moi, Élodie passa ses bras autour de ma taille tout en admirant le spectacle.
-« J’adore voir un mâle réduit ainsi à l’impuissance. Un homme objet, voilà ce que tu es ! » lui dit-elle. « D’ailleurs, il s’est beaucoup débattu alors je me suis permise de rajouter quelques tours d’adhésif sur son bâillon déjà bien fourni ! Mais comme je m’y attendais, maintenant que tu es là, il ne cherche plus à partir. Que se passe-t-il Nicolas ? On reconnaît qui est le mâle alpha ? » continua-t-elle en riant.
-« MMMMFGHGH ! MMMMMMFPHPHPGH ! » fit-il, lui lançant un regard noir.
Sentant qu’il allait jouir, je poussais le plug bien au fond avant de tenir fermement son sexe pendant l’éjaculation. Le voilà propre. Mais s’il pensait s’en tirer à bon compte, c’était mal nous connaître. Retournant fouiller dans mon sac, je ramenai auprès de lui une penis pump ou littéralement une pompe à pénis en français.
-« Il a un peu débandé. » constata Élodie. « Tu crois qu’il m’en voudrait si je lui redonnais de l’énergie ? »
-« Oh que non ! Vas-y ! J’ai pu constater qu’il devient vite émotif quand on s’occupe de son petit trou ! » répondis-je en riant.
Élodie attrapa son sexe et commença à doigter son cul avec deux doigts.
-« Mmmfghhh mmmpfffhh ! » fit-il, remuant son postérieur.
Dès que sa queue redevint aussi raide qu’auparavant, j’installais ce nouveau sex-toy dessus en lui expliquant le mécanisme. Je lui expliquais également que sa maîtresse serait libre incessamment sous peu et viendrait donc le secourir. D’ici là, cette pompe lui assurera un autre orgasme et le gardera occupé. Ma chère et tendre lui adressa également un message de fin de journée, message qui laissait présumer d’une après-midi futur très alléchante :
-« Je n’en ai pas fini avec ton cul ! Il se peut que celui-ci goûte à mon gode d’ici peu ! Et qui sait ? Après de l’entraînement, tu pourrais même goûter au sexe de mon homme un jour ! À bientôt, jeune homme au look émo ! »
Sur le seuil de la porte, venant tout juste de refermer la porte derrière nous, je demandais à Élodie :
-« Alors, as-tu aimé ma surprise ? »
-« Oh que oui ! C’était un beau cadeau ! » dit-elle en m’embrassant.
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