Le cadeau de la discorde
Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Le cadeau de la discorde
J’ai rencontré Didier, mon mari, après avoir été invité par Axel, un pote à lui, à fêter ses vingts ans. J’en avait dix huit à l’époque. De suite, ce fut le coup de foudre.
Didier à aujourd’hui trente et un ans, et moi vingt neuf et un, et sommes mariés depuis cinq ans. Nous avons la perceptive de faire un bébé, mais ça ne prend pas.
Chaque fois que mon mari rencontre Axel, il n’a de cesse de le remercier de lui avoir présenté la femme de sa vie.
C’est vrai qu’à l’époque de nôtre rencontre, j’étais très belle, et reste encore très désirable aujourd’hui. Superbe poitrine, tour de hanche parfait, beau visage encadré par une abondante chevelure noire. « Que tu es belle Ambre », me répète à longueur de journée mon mari, et ne parlons pas de ses potes quand ils me croient lors de soirée en boite, mais sans jamais me manquer de respect..
Quand au sexe, je ne vous raconte pas les nuits torrides que nous passons au lit.
Ce matin, nous avons reçu une invitation d’Axel, nous disant qu’il fêter ses trente ans, et tenait à tout prix, que nous y assistions. Il habitait à présent dans le sud de la France. Le Var plus précisément.
Il est évident que nous avons répondu favorablement à cette invitation.
Depuis quelques temps je me doute que quelque chose se trame dans la tête de Didier. Il m’avoue au final, qu’il réfléchit au cadeau qu’il pourrait offrir à son pote, car il se souvient comme si c’était hier, de celui qu’il lui a fait pour ses vingt ans, en me présentant à lui. Et faire un cadeau équivalent lui paraît impossible.
Puis les allusions sont de plus en plus évidentes quant à de ce séjour dans le Var.
il m’avoue qu’Axel est enthousiaste à l’idée de nous revoir après tant d’années.
Axel est particulièrement charmant, et très désireux à me séduire.
A mon insu, Didier m’avoue lui avoir vanté mes mérite, parlé de nos nuits coquines,
de mes photos de nue intégral, avec pauses suggestives. Tout ça, via internet.
Je souris en lui demandant s’il ne cherchait pas à m’offrir en cadeau d’anniversaire.
Sa réponse tient dans le tendre et fougueux baiser qu’il me donne.
Je suis très généreuse au lit, mais pas au point de me partager.
Plus le date anniversaire approche, plus je sens le désarroi chez Didier. Je m’en aperçu lors d’une nuit d’amour, ou la fougue et l’intensité n’était pas là.
Au matin, je lui dis être prête à faire un effort, à une condition.
Que de retour, il me fasse le bébé que je réclamais depuis plusieurs mois, et que je lui accorderais la faveur de le sodomiser, que je voulais qu’il soit le premier.
« Promis, m’a-t-il répondu...en rentrant on règle tout ça ».
je lui pris tendrement les lèvres, même si je ne croyais pas trop à sa promesse.
Presque quatre heures de route pour rejoindre cette magnifique région.
On arrive sur le parking de sa villa, c’est Axel qui nous accueille, accompagné d’une superbe créature. Mon mari est rassuré quand Axel lui dit que c’est elle qui s’était occupé de la déco.
Élégant, souriant, cordial, Axel est égal à lui même. Les embrassades sont chaleureuses, puis il nous fait visiter sa nouvelle demeure.
Sur le soir, après la traditionnelle sieste, il me propose de m’emmener visiter le parc, en tête à tête, avec l’accord de mon mari, évidemment.
Il est très charmeur et me complimente sans détours sur ma beauté, il sait qu’il ne choquera pas Didier et qu’il ne craint pas sa jalousie. Les mots sont choisis, courtois, respectueux, Il n’a pas changé.
La visite du propriétaire se fait un bras passé autour de ma taille.
Il me dit me trouver charmante, très séduisante. Une femme est toujours flattée de se sentir désirable, même si je me doute qu’Axel, espère me mettre dans son lit.
J’y suis sensible, mai pas dupe. Cela dit, une sorte de complicité s’installe.
Nous rentrons vers vingt heures, afin de nous préparer pour la soirée, prévue pour fêter l’anniversaire d’Axel. Nous sommes sept ou huit couples à avoie été conviés. Pour cette soirée, j’étais vêtue d’une longue robe banche, fendu jusqu’au haut des cuisses, relevée par ma chevelure noire qui tombait sur mes épaules, et des escarpins de six centimètre. Un string, pas de soutien gorge.
J’éclaboussais de par ma beauté, les autres femmes, étaient pourtant très belles.
Je sentais le regards des mâles se posaient sur moi, mais aucuns n’a tenté quoi que ce soit. Axel avait dû passé le message.
Au cours des danses, faites à majorité de slow, des hommes m’ont invités, mais restaient très correct. Mon mai et Axel, un peu moins. Un me poussait dans les bras de l’autre, l’autre me les ouvrait. Je relevais toutefois, une différence notable. Le sexe de Didier à travers son pantalon, n’égalait pas la dureté de celui D’Axel. Puis vint la distribution de cadeaux, sous forme d’enveloppe. En effet, Axel prévoyait un voyage en Floride.
Didier et moi nous contentions de bises, à la commissure des lèvres pour moi, sur les joues pour Didier. Vers une heure du matin, tout le monde pris congés. C’est à ce moment que, l’alcool aidant, j’eus droit à quelques caresses mal placées, que je prenais en souriant.
Dans la chambre, un lit immense trônait au milieu de la pièce. Quelques glaces au mur servaient d’unique décors. Didier enfila son court pyjama, moi une nuisette transparente, offerte par Didier, spécialement pour ce séjour, sans rien dessous.
A peine couché, que je sentais son sexe frémir contre mes cuisses, et je dois dire qu’à ce moment là, j’avais vraiment besoin d’un bon coup de queue. J’écartais légèrement les jambes, pour recevoir l’offrande que me proposait mon mari. Dans l’état que j’étais, j’atteins rapidement l’orgasme. Mais la queue de mon mari, continuait à me besogner, de plus en plus vite. Puis elle se retirait, se dirigeait vers mon petit trou. J’étais vierge de ce côté, mais la sodomie faisait parti du deal pour mettre le bébé en route, dès nôtre rentrée. J’éprouvais un certain plaisir quand je sentis mon petit orifice se dilater. Soudain on sonna à la porte.
Je regardais l’heure, deux heure trente. Je lisais de la déception dans le regard de mon mari. Je tirais le drap sur moi, tandis que Didier allait ouvrir.
C’était Axel, les bras chargés d’un seau à glace, de trois coupes, et d’un album photos. Je me levais pour passer une tenue plus descente, mais mon mari me dit que c’était très bien ainsi.
Didier et moi, prenions appuie sur les coussins, tandis qu’Axel se contentait de servir les verres, puis s’assit bord du lit, et ouvrit l’album.
Que de souvenirs de jeunesses, de lycée. Certains clichés montre Axel et moi, s’effleurer les lèvres, je ne connaissais pas encor Didier à l’époque.
La dernière série me représentait intégralement nue, dans des pause digne de stars. On y voit les moindre détails, mes superbes seins, ma fente parfaitement épilé, et pour finir, le clou de l’album...un doigt de Didier enfoncé dans ma chatte.
Je suis surprise de voir ses photos qui sont du domaine privé. Dieux merci, il n’a pas montré les plus torrides, celles ou je me fais prendre. Voyant mon embarras, Axel quitta la chambre.
Je tire le drap sur moi, et me colle contre mon mari. Celui-ci commence à me câliner, cherche à savoir l’effet que mon fait ces clichés, constate le rebondi de mes seins, la dureté de mes bouts, l’humidité de ma chatte, qui l’était déjà.
Axel revint vêtu d’une veste peignoir.
Didier l’invite à nous rejoindre, sur mon côté libre.
Il dépose son peignoir et s’allonge nu contre moi. Silence de chacun. Je demandais à mon mari si l’avait remarqué l’énorme calibre d’Axel, et s’il tenait toujours à m’offrir à son copain.
En voyant cela, j’ai une sensation différente qu’avec mon mari, mais je fais parti du cadeau, et dois être parfaite, telle que décrite sur les photos.
Cela ne me déplaît pas au contraire, goûter à autre chose que l’habituel. Mon mari veut m’offrir à un autre homme, et je vais m’offrir, comme une sorte de défi.
Je dois me faire femme fatale, sensuelle pour émoustiller l’homme à qui je dois m’offrir. Il doit me sentir prête à tous ses caprices. De plus, Axel m’attire.
Je glisse lentement sur lui, le chevauche. Je regarde Didier pour qu’il sache que je vais me donner à son copain, que je serais le cadeau qu’ils espéraient.
Je vais être la femme de feu qu’il a décrite sur les photos.
Je m’empare de son membre dressé et plonge mon regard malicieusement dans le sien, avant d’ouvrir ma bouche sur sa queue. Je suce, ma main masturbe, ma langue titille la fente du gland. Il se cambre, redescend, son excitation trouble mon corps, ma chatte mouille terriblement. Son plaisir est mon plaisir.
Je veux qu’il me pénètre, que son membre se déploie dans ma chatte, que cette queue raide, toute dure, gonflée, s’enfonce en moi.
Je glisse sur son torse, son membre suit, mes seins à la hauteur de sa bouche, il l’est suce, les caresses de ses mains. Ma main s’insinue entre nous, saisit la bite que je guide vers mon intimité. Mon mari peut voir le gland ouvrir ma fente, entrer lentement en moi, écarter mes lèvres, et s’engouffrer dans ma chatte. Je monte et descends, empale sur Axel. Il veut mon bassin contre lui, doigte mon clito décalotté.
Les miroirs renvoient les images de nôtre accouplement, l’expression des plaisirs des excitations, les désirs, s’exprime sur nos visages.
Nos gémissements et nos râles se mélangent. On roule sur le lit. Dressé sur ses bras il pilonne, bourre, mon ventre, sans que je reprenne souffle.
Mes jambes enserrent son corps et mon bassin ouvert en grand tend mon sexe à sa queue. Je suis disponible. Alors j’encourage.
- Oh oui, continue...vas-y, continue...t’arrêtes pas...
Ensemble dans l’instant de l’orgasme, Axel remplit ma chatte de ses longues et chaudes giclées.
Je le garde en moi, sans bouger. Lui seul sent mes lèvres intimes sucer encore le bout de sa queue qui se détend lentement. Il se retire doucement.
Repus, incapable d’assurer d’avantage, je m’assoupis exténuée.
On dort à trois dans le même lit. Je suis à plat ventre, un bras sous la tête, l’autre sur l’épaule de mon mari. Une jambe mélangée entre celles d’Axel.
À peine une petite interruption dans mon sommeil pour offrir une fellation à mon mari, pour compenser sa sodomie interrompue. Puis retour vers le sommeil.
Au matin je sens le souffle de Didier dans ma nuque.
- Je vais visiter la ville, reste un peu au lit, Axel va te réveiller, tu me raconteras.
Je ne fus pas vraiment surprise, je savais que tout ça était planifié, et faisait partie intégrante du cadeau anniversaire. Mais bon, il y avait pire.
A peine Didier avait-il quitté la chambre, que la mains d’Axel investit mon corps de caresses. Je me cambre et lui laisse le choix de la navigation. Lentement, la main se dirige vers mon intimité, et lisse délicatement ma fente. Je gémis, me détends, écarte les jambes, offre la possibilité à la main de rejoindre mes lèvres intimes qui deviennent de plus en plus humides. Premier vrai gémissement sonore.
Axel persiste dans sa progression. Lentement, il ouvre ma chatte d’un doigt, puis deux. Je me contorsionne comme un ver sur le drap froissé. « Hum...Délicieux ».
Je sens le désir monter en moi, ces deux doigt dans ma chatte me fouillent, se crochète à l’intérieur, me donne du plaisir, je jouis, je m’offre à son envie.
Je sais que je vais me faire baiser par un autre homme, que je vais tromper mon mari, alors qu’il nous a laissé seul pour ça.
Il doit imaginer mes émotions, mes plaisirs, mon corps totalement mis à la disposition de son copain. Il doit m’imaginer m’offrant entièrement, tout en excluant l’acte qui lui est réservé...La sodomie.
Mais il n’imagine peut-être pas que mes rapports avec Axel excite la perverse que je suis, à la débauche pure et simple, et à faillir à ma promesse.
Les doigts se retirent, glissent le long de ma fente jusqu’au clitoris, puis me pénètre à nouveau. Je sens les doigts vicieux se tendre, et s’installer en moi. J’étouffe mes cris de plaisir dans les draps, je jouis en silence, tout le corps raidi, agité de spasmes inopinés. Un orgasme interminable, alors que ses doigts sont désactivés.
Aucun doute, il joue avec moi. D’accord….jouons.
Encore sous le choc de ce terrible orgasme, je me positionne en levrette, cambre ma croupe pour mieux me faire prendre. Il s’accroupit, avance sa queue vers ma chatte.
D’un mouvement, je dévie la trajectoire, pour lui faire comprendre que je voulais qu’il me prenne le petit trou, qu’un seul homme a tenté de le violé, sans succès.
Axel refuse, me dit qu’il ne peux faire un coup pareil à son meilleur pote, sachant que c’était une priorité pour Didier.
Il a raison, j’avais promis cette acte à mon mari, mais à force d’insister, Axel cède. Je sens le mandrin pénétrait petit à petit dans mon petit orifice. Il y va doucement, délicatement. Je ne ressent aucunes douleurs.
Il sait maintenant qu’il est en train d’asseoir sa suprématie, que je m’abandonne totalement à lui, qu’il peur faire ce qu’il veut de moi, et que cette sodomie en est la consécration. Je suis soumise. Il pilonne mon ventre ouvert, et ne peux que subir.
Il embrasse mon cou en relevant mes cheveux, mordille tendrement mon épaule.
Il se retire soudain, vient placer sa queue devant ma bouche. J’ouvre les lèvres, et aspire ce pieux qui se met à vibrer, puis vide son abondante semence que j’avale.
Nous roulons sur le côté, conversons un instant. Il me dit avoir tellement rêvé moi. J’écarte à peine les jambes pour qu’il se taise.
Sa queue connaît le chemin. Il me baise comme un dieu, avec l’intensité qu’adore les femmes. Il tourne un doigt sur mon clito juste au dessus de son calibre qui me pénètre. Quand je pars dans l’orgasme, je sens ses spasmes dans mes doigts.
Axel poings fermés sur mes hanches me prend, je suis à lui. Épuisés, assouvis, nous sommes comblés.
Assoupis, j’ouvre les yeux. J’éjecte sa queue de ma chatte et retrouve la salle de bains. Mon mari m’y rejoint.
- Alors, doux ce réveil ? Me demande-t-il, je te sens heureuse ma chérie…
- Je dois cela à Axel, dis-je perverse. Mon dieu que d’orgasmes, quel amant ! Il a apprécié ton cadeau je crois, en tout cas il a su me le faire ressentir, à plusieurs reprises même.
- Ben voyons, répond-il, Axel m’a un peu raconté...il avait l’air satisfait.
Avait-il vraiment tout raconté? Ces propos me troublent et me perturbent.
Une fois sorti de la salle de bains, je rejoins Axel sur la terrasse.
Il m’avoue avoir tout dit à Didier, qu’il m’avait sodomisée...à ma demande.
- C’est toi qui a insisté pour que je te sodomise...je voulais pas faire ça à Didier.
- Parce que j’avais envie de le faire avec toi...que ce serait nôtre secret…
Axel se confond en excuse, dit qu’il est désolé, ne mesure pas le mal qu’il m’a fait.
Je lui dis qu’il avait tout gâché, que Didier m’avais promis de me faire un bébé dès qu’on serai rentré, s’il je lui faisait la faveur de me sodomiser.
Vers quinze heures, après un léger repas, nous reprenons la route. Didier ne sort pas un mot pendant la moitié du trajet. C’est moi qui décide de briser le silence.
- Alors...toujours partant pour le bébé.
- T’as qu’à demande à celui qui t’a enculée...celui qui a eu la faveur que tu devais m’accorder en rentrant...il doit savoir faire ça aussi... Si c’était le cas, sache que je ne reconnaîtrais pas l’enfant..et tu sais quoi, tu peux même reprendre ta liberté.
J’essuie mes larmes avec l’écharpe qu’Axel m’a offerte. Je découvre la portée de ma faute, et les dégâts que ça engendre.
Voilà, j’ai trente huit ans aujourd’hui, toujours pas de bébé, et Didier n’a jamais voulu me sodomiser. Nôtre relation avec Axel s’est brisé, à même temps que s’est brisée la nôtre.
Le seul point positif, c’est que je vie toujours avec Didier, l’homme de ma vie, même si les rapports au lit ne sont plus ce qu’ils étaient, malgré mes efforts.
Mais je garde espoir.
Didier à aujourd’hui trente et un ans, et moi vingt neuf et un, et sommes mariés depuis cinq ans. Nous avons la perceptive de faire un bébé, mais ça ne prend pas.
Chaque fois que mon mari rencontre Axel, il n’a de cesse de le remercier de lui avoir présenté la femme de sa vie.
C’est vrai qu’à l’époque de nôtre rencontre, j’étais très belle, et reste encore très désirable aujourd’hui. Superbe poitrine, tour de hanche parfait, beau visage encadré par une abondante chevelure noire. « Que tu es belle Ambre », me répète à longueur de journée mon mari, et ne parlons pas de ses potes quand ils me croient lors de soirée en boite, mais sans jamais me manquer de respect..
Quand au sexe, je ne vous raconte pas les nuits torrides que nous passons au lit.
Ce matin, nous avons reçu une invitation d’Axel, nous disant qu’il fêter ses trente ans, et tenait à tout prix, que nous y assistions. Il habitait à présent dans le sud de la France. Le Var plus précisément.
Il est évident que nous avons répondu favorablement à cette invitation.
Depuis quelques temps je me doute que quelque chose se trame dans la tête de Didier. Il m’avoue au final, qu’il réfléchit au cadeau qu’il pourrait offrir à son pote, car il se souvient comme si c’était hier, de celui qu’il lui a fait pour ses vingt ans, en me présentant à lui. Et faire un cadeau équivalent lui paraît impossible.
Puis les allusions sont de plus en plus évidentes quant à de ce séjour dans le Var.
il m’avoue qu’Axel est enthousiaste à l’idée de nous revoir après tant d’années.
Axel est particulièrement charmant, et très désireux à me séduire.
A mon insu, Didier m’avoue lui avoir vanté mes mérite, parlé de nos nuits coquines,
de mes photos de nue intégral, avec pauses suggestives. Tout ça, via internet.
Je souris en lui demandant s’il ne cherchait pas à m’offrir en cadeau d’anniversaire.
Sa réponse tient dans le tendre et fougueux baiser qu’il me donne.
Je suis très généreuse au lit, mais pas au point de me partager.
Plus le date anniversaire approche, plus je sens le désarroi chez Didier. Je m’en aperçu lors d’une nuit d’amour, ou la fougue et l’intensité n’était pas là.
Au matin, je lui dis être prête à faire un effort, à une condition.
Que de retour, il me fasse le bébé que je réclamais depuis plusieurs mois, et que je lui accorderais la faveur de le sodomiser, que je voulais qu’il soit le premier.
« Promis, m’a-t-il répondu...en rentrant on règle tout ça ».
je lui pris tendrement les lèvres, même si je ne croyais pas trop à sa promesse.
Presque quatre heures de route pour rejoindre cette magnifique région.
On arrive sur le parking de sa villa, c’est Axel qui nous accueille, accompagné d’une superbe créature. Mon mari est rassuré quand Axel lui dit que c’est elle qui s’était occupé de la déco.
Élégant, souriant, cordial, Axel est égal à lui même. Les embrassades sont chaleureuses, puis il nous fait visiter sa nouvelle demeure.
Sur le soir, après la traditionnelle sieste, il me propose de m’emmener visiter le parc, en tête à tête, avec l’accord de mon mari, évidemment.
Il est très charmeur et me complimente sans détours sur ma beauté, il sait qu’il ne choquera pas Didier et qu’il ne craint pas sa jalousie. Les mots sont choisis, courtois, respectueux, Il n’a pas changé.
La visite du propriétaire se fait un bras passé autour de ma taille.
Il me dit me trouver charmante, très séduisante. Une femme est toujours flattée de se sentir désirable, même si je me doute qu’Axel, espère me mettre dans son lit.
J’y suis sensible, mai pas dupe. Cela dit, une sorte de complicité s’installe.
Nous rentrons vers vingt heures, afin de nous préparer pour la soirée, prévue pour fêter l’anniversaire d’Axel. Nous sommes sept ou huit couples à avoie été conviés. Pour cette soirée, j’étais vêtue d’une longue robe banche, fendu jusqu’au haut des cuisses, relevée par ma chevelure noire qui tombait sur mes épaules, et des escarpins de six centimètre. Un string, pas de soutien gorge.
J’éclaboussais de par ma beauté, les autres femmes, étaient pourtant très belles.
Je sentais le regards des mâles se posaient sur moi, mais aucuns n’a tenté quoi que ce soit. Axel avait dû passé le message.
Au cours des danses, faites à majorité de slow, des hommes m’ont invités, mais restaient très correct. Mon mai et Axel, un peu moins. Un me poussait dans les bras de l’autre, l’autre me les ouvrait. Je relevais toutefois, une différence notable. Le sexe de Didier à travers son pantalon, n’égalait pas la dureté de celui D’Axel. Puis vint la distribution de cadeaux, sous forme d’enveloppe. En effet, Axel prévoyait un voyage en Floride.
Didier et moi nous contentions de bises, à la commissure des lèvres pour moi, sur les joues pour Didier. Vers une heure du matin, tout le monde pris congés. C’est à ce moment que, l’alcool aidant, j’eus droit à quelques caresses mal placées, que je prenais en souriant.
Dans la chambre, un lit immense trônait au milieu de la pièce. Quelques glaces au mur servaient d’unique décors. Didier enfila son court pyjama, moi une nuisette transparente, offerte par Didier, spécialement pour ce séjour, sans rien dessous.
A peine couché, que je sentais son sexe frémir contre mes cuisses, et je dois dire qu’à ce moment là, j’avais vraiment besoin d’un bon coup de queue. J’écartais légèrement les jambes, pour recevoir l’offrande que me proposait mon mari. Dans l’état que j’étais, j’atteins rapidement l’orgasme. Mais la queue de mon mari, continuait à me besogner, de plus en plus vite. Puis elle se retirait, se dirigeait vers mon petit trou. J’étais vierge de ce côté, mais la sodomie faisait parti du deal pour mettre le bébé en route, dès nôtre rentrée. J’éprouvais un certain plaisir quand je sentis mon petit orifice se dilater. Soudain on sonna à la porte.
Je regardais l’heure, deux heure trente. Je lisais de la déception dans le regard de mon mari. Je tirais le drap sur moi, tandis que Didier allait ouvrir.
C’était Axel, les bras chargés d’un seau à glace, de trois coupes, et d’un album photos. Je me levais pour passer une tenue plus descente, mais mon mari me dit que c’était très bien ainsi.
Didier et moi, prenions appuie sur les coussins, tandis qu’Axel se contentait de servir les verres, puis s’assit bord du lit, et ouvrit l’album.
Que de souvenirs de jeunesses, de lycée. Certains clichés montre Axel et moi, s’effleurer les lèvres, je ne connaissais pas encor Didier à l’époque.
La dernière série me représentait intégralement nue, dans des pause digne de stars. On y voit les moindre détails, mes superbes seins, ma fente parfaitement épilé, et pour finir, le clou de l’album...un doigt de Didier enfoncé dans ma chatte.
Je suis surprise de voir ses photos qui sont du domaine privé. Dieux merci, il n’a pas montré les plus torrides, celles ou je me fais prendre. Voyant mon embarras, Axel quitta la chambre.
Je tire le drap sur moi, et me colle contre mon mari. Celui-ci commence à me câliner, cherche à savoir l’effet que mon fait ces clichés, constate le rebondi de mes seins, la dureté de mes bouts, l’humidité de ma chatte, qui l’était déjà.
Axel revint vêtu d’une veste peignoir.
Didier l’invite à nous rejoindre, sur mon côté libre.
Il dépose son peignoir et s’allonge nu contre moi. Silence de chacun. Je demandais à mon mari si l’avait remarqué l’énorme calibre d’Axel, et s’il tenait toujours à m’offrir à son copain.
En voyant cela, j’ai une sensation différente qu’avec mon mari, mais je fais parti du cadeau, et dois être parfaite, telle que décrite sur les photos.
Cela ne me déplaît pas au contraire, goûter à autre chose que l’habituel. Mon mari veut m’offrir à un autre homme, et je vais m’offrir, comme une sorte de défi.
Je dois me faire femme fatale, sensuelle pour émoustiller l’homme à qui je dois m’offrir. Il doit me sentir prête à tous ses caprices. De plus, Axel m’attire.
Je glisse lentement sur lui, le chevauche. Je regarde Didier pour qu’il sache que je vais me donner à son copain, que je serais le cadeau qu’ils espéraient.
Je vais être la femme de feu qu’il a décrite sur les photos.
Je m’empare de son membre dressé et plonge mon regard malicieusement dans le sien, avant d’ouvrir ma bouche sur sa queue. Je suce, ma main masturbe, ma langue titille la fente du gland. Il se cambre, redescend, son excitation trouble mon corps, ma chatte mouille terriblement. Son plaisir est mon plaisir.
Je veux qu’il me pénètre, que son membre se déploie dans ma chatte, que cette queue raide, toute dure, gonflée, s’enfonce en moi.
Je glisse sur son torse, son membre suit, mes seins à la hauteur de sa bouche, il l’est suce, les caresses de ses mains. Ma main s’insinue entre nous, saisit la bite que je guide vers mon intimité. Mon mari peut voir le gland ouvrir ma fente, entrer lentement en moi, écarter mes lèvres, et s’engouffrer dans ma chatte. Je monte et descends, empale sur Axel. Il veut mon bassin contre lui, doigte mon clito décalotté.
Les miroirs renvoient les images de nôtre accouplement, l’expression des plaisirs des excitations, les désirs, s’exprime sur nos visages.
Nos gémissements et nos râles se mélangent. On roule sur le lit. Dressé sur ses bras il pilonne, bourre, mon ventre, sans que je reprenne souffle.
Mes jambes enserrent son corps et mon bassin ouvert en grand tend mon sexe à sa queue. Je suis disponible. Alors j’encourage.
- Oh oui, continue...vas-y, continue...t’arrêtes pas...
Ensemble dans l’instant de l’orgasme, Axel remplit ma chatte de ses longues et chaudes giclées.
Je le garde en moi, sans bouger. Lui seul sent mes lèvres intimes sucer encore le bout de sa queue qui se détend lentement. Il se retire doucement.
Repus, incapable d’assurer d’avantage, je m’assoupis exténuée.
On dort à trois dans le même lit. Je suis à plat ventre, un bras sous la tête, l’autre sur l’épaule de mon mari. Une jambe mélangée entre celles d’Axel.
À peine une petite interruption dans mon sommeil pour offrir une fellation à mon mari, pour compenser sa sodomie interrompue. Puis retour vers le sommeil.
Au matin je sens le souffle de Didier dans ma nuque.
- Je vais visiter la ville, reste un peu au lit, Axel va te réveiller, tu me raconteras.
Je ne fus pas vraiment surprise, je savais que tout ça était planifié, et faisait partie intégrante du cadeau anniversaire. Mais bon, il y avait pire.
A peine Didier avait-il quitté la chambre, que la mains d’Axel investit mon corps de caresses. Je me cambre et lui laisse le choix de la navigation. Lentement, la main se dirige vers mon intimité, et lisse délicatement ma fente. Je gémis, me détends, écarte les jambes, offre la possibilité à la main de rejoindre mes lèvres intimes qui deviennent de plus en plus humides. Premier vrai gémissement sonore.
Axel persiste dans sa progression. Lentement, il ouvre ma chatte d’un doigt, puis deux. Je me contorsionne comme un ver sur le drap froissé. « Hum...Délicieux ».
Je sens le désir monter en moi, ces deux doigt dans ma chatte me fouillent, se crochète à l’intérieur, me donne du plaisir, je jouis, je m’offre à son envie.
Je sais que je vais me faire baiser par un autre homme, que je vais tromper mon mari, alors qu’il nous a laissé seul pour ça.
Il doit imaginer mes émotions, mes plaisirs, mon corps totalement mis à la disposition de son copain. Il doit m’imaginer m’offrant entièrement, tout en excluant l’acte qui lui est réservé...La sodomie.
Mais il n’imagine peut-être pas que mes rapports avec Axel excite la perverse que je suis, à la débauche pure et simple, et à faillir à ma promesse.
Les doigts se retirent, glissent le long de ma fente jusqu’au clitoris, puis me pénètre à nouveau. Je sens les doigts vicieux se tendre, et s’installer en moi. J’étouffe mes cris de plaisir dans les draps, je jouis en silence, tout le corps raidi, agité de spasmes inopinés. Un orgasme interminable, alors que ses doigts sont désactivés.
Aucun doute, il joue avec moi. D’accord….jouons.
Encore sous le choc de ce terrible orgasme, je me positionne en levrette, cambre ma croupe pour mieux me faire prendre. Il s’accroupit, avance sa queue vers ma chatte.
D’un mouvement, je dévie la trajectoire, pour lui faire comprendre que je voulais qu’il me prenne le petit trou, qu’un seul homme a tenté de le violé, sans succès.
Axel refuse, me dit qu’il ne peux faire un coup pareil à son meilleur pote, sachant que c’était une priorité pour Didier.
Il a raison, j’avais promis cette acte à mon mari, mais à force d’insister, Axel cède. Je sens le mandrin pénétrait petit à petit dans mon petit orifice. Il y va doucement, délicatement. Je ne ressent aucunes douleurs.
Il sait maintenant qu’il est en train d’asseoir sa suprématie, que je m’abandonne totalement à lui, qu’il peur faire ce qu’il veut de moi, et que cette sodomie en est la consécration. Je suis soumise. Il pilonne mon ventre ouvert, et ne peux que subir.
Il embrasse mon cou en relevant mes cheveux, mordille tendrement mon épaule.
Il se retire soudain, vient placer sa queue devant ma bouche. J’ouvre les lèvres, et aspire ce pieux qui se met à vibrer, puis vide son abondante semence que j’avale.
Nous roulons sur le côté, conversons un instant. Il me dit avoir tellement rêvé moi. J’écarte à peine les jambes pour qu’il se taise.
Sa queue connaît le chemin. Il me baise comme un dieu, avec l’intensité qu’adore les femmes. Il tourne un doigt sur mon clito juste au dessus de son calibre qui me pénètre. Quand je pars dans l’orgasme, je sens ses spasmes dans mes doigts.
Axel poings fermés sur mes hanches me prend, je suis à lui. Épuisés, assouvis, nous sommes comblés.
Assoupis, j’ouvre les yeux. J’éjecte sa queue de ma chatte et retrouve la salle de bains. Mon mari m’y rejoint.
- Alors, doux ce réveil ? Me demande-t-il, je te sens heureuse ma chérie…
- Je dois cela à Axel, dis-je perverse. Mon dieu que d’orgasmes, quel amant ! Il a apprécié ton cadeau je crois, en tout cas il a su me le faire ressentir, à plusieurs reprises même.
- Ben voyons, répond-il, Axel m’a un peu raconté...il avait l’air satisfait.
Avait-il vraiment tout raconté? Ces propos me troublent et me perturbent.
Une fois sorti de la salle de bains, je rejoins Axel sur la terrasse.
Il m’avoue avoir tout dit à Didier, qu’il m’avait sodomisée...à ma demande.
- C’est toi qui a insisté pour que je te sodomise...je voulais pas faire ça à Didier.
- Parce que j’avais envie de le faire avec toi...que ce serait nôtre secret…
Axel se confond en excuse, dit qu’il est désolé, ne mesure pas le mal qu’il m’a fait.
Je lui dis qu’il avait tout gâché, que Didier m’avais promis de me faire un bébé dès qu’on serai rentré, s’il je lui faisait la faveur de me sodomiser.
Vers quinze heures, après un léger repas, nous reprenons la route. Didier ne sort pas un mot pendant la moitié du trajet. C’est moi qui décide de briser le silence.
- Alors...toujours partant pour le bébé.
- T’as qu’à demande à celui qui t’a enculée...celui qui a eu la faveur que tu devais m’accorder en rentrant...il doit savoir faire ça aussi... Si c’était le cas, sache que je ne reconnaîtrais pas l’enfant..et tu sais quoi, tu peux même reprendre ta liberté.
J’essuie mes larmes avec l’écharpe qu’Axel m’a offerte. Je découvre la portée de ma faute, et les dégâts que ça engendre.
Voilà, j’ai trente huit ans aujourd’hui, toujours pas de bébé, et Didier n’a jamais voulu me sodomiser. Nôtre relation avec Axel s’est brisé, à même temps que s’est brisée la nôtre.
Le seul point positif, c’est que je vie toujours avec Didier, l’homme de ma vie, même si les rapports au lit ne sont plus ce qu’ils étaient, malgré mes efforts.
Mais je garde espoir.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Didier aurait dû quitter Ambre quand une femme promet un cadeau aussi intime a son mari sa première sodomie et qu'elle réclame à un autre de la sodomiser la confiance est rompue vaut mieux se séparer que de vivre dans le doute et pour Didier a chaque fois qu'il voit les fesses de sa femme repense a cette trahison je comprends qu'il ne pourra jamais partager ce plaisir avec Ambre
Elle se casse après tout pourquoi rester c'est bon elle a payé , le mec c'est 1 con qui n'assume pas.
Non mais j'hallucine! Donc résumons :
- le Didier "donne" sa femme à un autre à SA demande alors qu'elle a rien demandé au départ.
- et attention, pas dans n'importe quel contexte, il donne sa femme comme cadeau d'anniv pour de son pote (chacun son délire hein).
- sa femme accepte parce qu'elle veut lui faire plaisir.
- finalement ça lui plait, elle trouve qu'Axel est bon coup et prend énormément de plaisir.
- Madame dérape et le laisse la sodomiser alors qu'elle l'avait promis sa première fois à son mari.
- Monsieur s'étonne que ça dérape, il se plaint, pire il l'accuse.
Non mais est-ce qu'il réalise sa connerie au moins? J'ai envie de dire bien fait pour lui. Mais dommage pour elle. Si elle est un peu coupable dans l'affaire, tout ça reste la faute à Didier qui a provoqué cette situation. Qu'il assume!
- le Didier "donne" sa femme à un autre à SA demande alors qu'elle a rien demandé au départ.
- et attention, pas dans n'importe quel contexte, il donne sa femme comme cadeau d'anniv pour de son pote (chacun son délire hein).
- sa femme accepte parce qu'elle veut lui faire plaisir.
- finalement ça lui plait, elle trouve qu'Axel est bon coup et prend énormément de plaisir.
- Madame dérape et le laisse la sodomiser alors qu'elle l'avait promis sa première fois à son mari.
- Monsieur s'étonne que ça dérape, il se plaint, pire il l'accuse.
Non mais est-ce qu'il réalise sa connerie au moins? J'ai envie de dire bien fait pour lui. Mais dommage pour elle. Si elle est un peu coupable dans l'affaire, tout ça reste la faute à Didier qui a provoqué cette situation. Qu'il assume!
On offre pas sa compagne à un autre homme ce n est pas sa voiture ou un pull ou bien un chien.Il faut être idiot et ne pas envisager que cela puisse mal finir entre eux sa femme peut le quitter pour le copain c est déjà arrivé elle peut tomber anceinte du copain.Quand a elle elle n aurait jamais dû accepter le délire de son mari mais en plus se faire sodomiser par son copain alors qu elle l avais promis à son compagnon de plus le copain qui raconte tout au mari peut-être dans l espoir de récupérer sa femme de façon définitive qui sait.
Belle histoire elle a joué elle a perdu son mari lui donne une main elle veut ke bras.
Je pense que hé l'aurais mise à la porte.
Elle n'a que se qu'elle merite
Je pense que hé l'aurais mise à la porte.
Elle n'a que se qu'elle merite
Récit imagé qui provoque une certaine excitation (si vous voyez ce que je veux dire). Quelques soucis de grammaire et d'orthographe, mais bon... Vous soulevez le problème du décalage entre le fantasme pour un homme d'offrir sa femme car elle est belle et la réalisation du fait. Didier, avec ce cadeau, s'excitait tout seul de vous imaginer avec son ami. Ce cadeau à son ami était aussi pour lui. C'est toute la différence entre rêver d'être cocu et le fait de l'être. Une fois que c'est fait, c'est trop tard. La narratrice l'a compris par la suite. N'était-ce pas prévisible ?
Pourquoi améliorer la fait franchement c est une personne sans gêne lamentable. Il aurait dû s estimer heureux mais non.
Didier est vexé et je le comprend l'aurais je quitte peut être.. y aura t il une suite seul l'auteur nous le dira
Didier est vexé et je le comprend l'aurais je quitte peut être.. y aura t il une suite seul l'auteur nous le dira
Malheureusement c’est souvent le cas.
Le gros problème est je crois que Didier croit qu’axel vous a plus possédée en une nuit que lui durant toute vos années depuis votre mariage. Si Axel a été capable de faire en une nuit ce que Didier, lui n’a pas été capable de faire durant tout le temps de votre union, c’est pas mal humiliant pour lui. Il doit déduire que dans le fond, vous ne vous êtes jamais donné à lui.
Au début du récit vous me donniez l’impression d’être un couple complice et amoureux l’un de l’autre. Là je constate que la complicité, vous l’avez eu avec quelqu’un d’autre que votre mari. Axel vous a fait disparaître votre mari Didier de votre tête. Ce n’était qu’un cadeau!
Je ne vous implique pas uniquement dans ce désastre. Didier a aussi couru après son désarroi.
Moi de mon côté il est certain que je ne serais plus a vos côtés. Comme mon père disait: Ca prend toutes sortes de monde pour faire un monde. J’espère pour vous que Didier n’est pas comme moi!
Je serais content de lire la suite s’il y en a une.
Le gros problème est je crois que Didier croit qu’axel vous a plus possédée en une nuit que lui durant toute vos années depuis votre mariage. Si Axel a été capable de faire en une nuit ce que Didier, lui n’a pas été capable de faire durant tout le temps de votre union, c’est pas mal humiliant pour lui. Il doit déduire que dans le fond, vous ne vous êtes jamais donné à lui.
Au début du récit vous me donniez l’impression d’être un couple complice et amoureux l’un de l’autre. Là je constate que la complicité, vous l’avez eu avec quelqu’un d’autre que votre mari. Axel vous a fait disparaître votre mari Didier de votre tête. Ce n’était qu’un cadeau!
Je ne vous implique pas uniquement dans ce désastre. Didier a aussi couru après son désarroi.
Moi de mon côté il est certain que je ne serais plus a vos côtés. Comme mon père disait: Ca prend toutes sortes de monde pour faire un monde. J’espère pour vous que Didier n’est pas comme moi!
Je serais content de lire la suite s’il y en a une.
Est-ce une fiction ou une autobiographie?