Le carnaval de Bâle - Le Morgenstreich
Récit érotique écrit par Manu G. [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le carnaval de Bâle - Le Morgenstreich
Le carnaval de Bâle - Le Morgenstreich
Le carnaval de Bâle a débuté ce lundi 19 février 2018 avec le traditionnel «Morgenstreich». A 04h00 précises, les lumières de la ville se sont éteintes et les cliques ont commencé à déambuler dans les rues avec leurs grandes lanternes.
Chiara m’avait rejoint à Bâle, ville qu’elle connaissait très bien puisqu’elle y avait fait ses études de médecin-dentiste. Elle avait grandi à Mulhouse, mais par amour elle était partie à Paris avec son mari Pierre, également dentiste. Elle avait encore de la famille en Alsace et y venait plusieurs fois par année. En en peu plus de 3 heures, elle rejoignait la ville de Bâle depuis la Gare de Lyon en TGV. Pour ne pas éveiller les soupçons de son mari, Chiara alla dormir auprès de Lydia, son amie d’enfance avec qui elle allait aller au carnaval. Chiara arriva le samedi vers midi à Bâle où Lydia l’attendait en voiture en compagnie d’un homme qu’elle ne connaissait pas. Les présentations furent faites, Chiara appris que Maximilien était de Strasbourg et n’était qu’un ami qui venait également pour voir la première fois ce fameux carnaval de Bâle. En un peu plus de 30 minutes, ils arrivèrent à l’appartement de Lydia et passèrent le reste de la journée à parler et à raconter leurs anecdotes à Maximilien qui riait aux larmes. La fatigue se faisant ressentir, Chiara alla au lit et s’endormit de sitôt.
Au milieu de la nuit, Chiara entendit du bruit, mais à moitié endormie, elle ne comprenait pas quel bruit cela pouvait être. Elle s’efforça de se réveiller et se leva pour aller aux toilettes. Dès qu’elle ressorti des toilettes le bruit était plus audible. Elle ne croyait pas ce qu’elle entendait et d’un pas silencieux, elle se dirigea vers le bruit. Quelle ne fut sa surprise, lorsqu’elle vit Lydia et Maximilien sur le sofa du salon nus en train de se donner l’un à l’autre. D’un geste rapide, Chiara recula et se cacha derrière le mur, faisant qu’elle ne pouvait pas être vue par ces amants, mais elle avait la vue sur ce spectacle.
Et dire que ce n’était qu’un ami, lui avait dit Lydia. Elle était en train de se faire bien dépanner par le jeune homme. Chiara n’avait jamais vu, en vrai, un couple faire l’amour. Elle n’arrivait pas à détourner les yeux. Son amie était en levrette en train de se faire bien pilonner par ce sexe vigoureux de Maximilien. Elle le voyait bien rentrer et sortir provocant des magnifiques soupirs à son amie. La vue de cette scène provoqua à Chiara des bouffées de chaleur et avec ses doigts elle commença à se caresser la poitrine par dessus de sa nuisette rouge passion. Ses tétons commençaient à bien durcir. Lydia changea de position et commença à faire une pipe à son amant en émettant des jolis bruits de succion. Il était bien membré, mais elle arrivait à le mettre en entier dans sa bouche. En même temps qu’elle le suçait, Chiara vit comment Lydia pénétrait l’anus de Maximilian. Il soupirait fort son plaisir. Les doigts de Chiara descendirent sur sa chatte qui était déjà dégoulinante. Elle commença à se doigter avec deux doigts et faisait des va et vient rapides, tout en se mordant la lèvre pour pas qu’on entende le plaisir que cette situation lui procurait. Maximilian ressorti sa queue de la bouche de Lydia et me mis à lui gicler tout son sperme sur le visage de Lydia. Chiara n’avait jamais vu autant de sperme sortir à ce point-là ce qui lui procura un orgasme la faisant trembler de tout son corps. Lydia souriait à son amant qui s’approcha et lécha toute sa semence du visage. Chiara couru vite au lit avant que les amants remarquent sa présence.
Lundi matin arriva et les trois amis se levèrent à deux heures du matin et prirent la route pour Bâle. Le temps d’arriver, de se parquer dans le parking du travail de Lydia et marcher jusqu’au long du tracé où les lanternes vont défiler, il ne restait plus que 15 minutes avant que ça commence.
Chiara m’envoya un WhatsApp pour me dire qu’elle était bien arrivée. Je lui indiquai que mon hôtel se trouvait à 100 mètres et que depuis ma chambre on voyait le défilé. Elle me dit qu’elle allait rester un peu aves ses amis et après elle me rejoindrait à l’hôtel.
Une heure plus tard elle me fit savoir qu’elle se trouvait en bas de l’hôtel. Je descendis vite la chercher et nous sommes montés à la chambre. La chambre était spacieuse et avait de grandes parois vitrées du plafond au sol. Je sorti du minibar une bouteille de champagne et je plaçai un fauteuil d’une place en direction de la fenêtre je lui servi une coupe et m’assis dans le fauteuil.
Elle s’assit sur mes genoux en appuyant tout son corps contre moi. Je la tenais dans mes bras et nous regardions le défilé. Assez vite, mes mains commencèrent à se balader sur son corps. Chiara me prit mon visage et m’embrassât avec passion, ce qui provoqua en moi une belle érection. Chiara senti mon envie et commença à enlever sa blouse. Un beau soutien-gorge noir dessinait sa magnifique poitrine 110E. Je décrochais son soutien-gorge libérant ces magnifiques seins. Je commençais à les caresser et elle me souriait me montrant le plaisir qu’elle avait d’être avec moi. Mes lèvres se collèrent à ses tétons et ma langue tournait autour les durcissant. Je soulevai un peu sa jupe et glissa ma main dans sa culotte. Sa chatte était déjà bien humide. Des petits soupirs glissaient hors de sa bouche annonçant le plaisir qui montait. Elle se leva, enleva sa jupe en faisait des mouvements langoureux avec ses hanches. Un joli porte-jarretelles dessinait les formes du bas de son corps. Elle s’approcha de moi et avec douceur me déshabilla me retrouvant nu comme un vers avec mon sexe bien dressé. Elle me poussa délicatement contre le fauteuil et me fit m’assoir. Elle se mis à genoux entre mes jambes. Ces mains me caressaient mon torse et descendait peu à peu vers mes cuisses. Elle approcha sa poitrine frôlant mon sexe avec ses tétons. Je me laissais envahir par le plaisir. Pendant que mon sexe se plaçait naturellement entre ses seins, elle me léchait mon téton. On ne m’avait jamais fait ça et le plaisir était doux. Elle descendit peu à peu et englouti mon sexe dans sa bouche et avec la langue elle tournait sur mon gland. Avec une main elle me pinçait le téton et avec l’autre elle me caressait les couilles. Je fermais les yeux et me laissai aller au plaisir. Quelques minutes après, elle vint s’installer sur moi à califourchon et se frotta la vulve contre mon pénis. En même temps elle me roulait un patin d’enfer tout en bougeant ses anches de plus en plus vite. Je mis mes mains sur ses fesses la serra fort contre moi et me suis levé tout en la tenant. Je la plaçai sur le fauteuil et lui écartai bien les jambes. Cette vue sur ton fruit me rendait fou. Je le pris tout en bouche lui aspirant ses lèvres vaginales et après son bouton. Elle me tenait fort la tête contre sa chatte. Moi je lui aspirai le clito tout en lui caressant l’entrée de son vagin et de son anus. Des soupirs de plus en plus fort émanaient de sa bouche. Je lui aspirai de plus en plus vite et glissa un doigt dans chaque trou et bougeai les doigt avec fermeté ce qui procurait des spasmes de plaisir. Avant qu’elle jouisse, je me suis levé et dirigea ma queue capotée contre sa chatte. Elle y entra avec une facilité, comme si son corps attendait ce moment depuis longtemps. Je commençai à lui donner de bons coups de reins bien fermes et rythmés procurant des cris de jouissance. Après plusieurs bonnes minutes de coït, elle sortit mon sexe et le dirigea vers son anus qui lui non plus ne fit aucune résistance. Quelle belle vue de voir ma bite toute dure rentrer dans cette belle porte et sa chatte bien ouverte. Je glissai deux doigts dans cette chatte la pénétrant en même temps. Le visage défiguré par l’orgasme elle me motivait à la pénétrer plus fort. Ses hanches s’agitaient frénétiquement et Chiara démontrait son plaisir par des cris de plus en plus fort et rapides. Chiara se leva et s’installa en levrette entre le siège et les fenêtres vitrés. Je m’instala par derrière et la sodomisa avec fougue. Quel intense plaisir de la voir les yeux fermés et la bouche ouverte hurlant son plaisir. Elle était bien cambrée ce qui procura un orgasme intense et long en moi et me vida dans ses entrailles. Sans me retirer nous nous sommes allongés sur le tapis de côté. Dans l’envie, nous n’avons pas remarqués que nous avions la lumière et que les rideaux n’avaient pas été tirés. Nous nous sommes levés et Chiara pris ma main et m’attira dans le lit où nous nous sommes couchés et endormis l’un contre l’autre jusqu'à midi.
Le carnaval de Bâle a débuté ce lundi 19 février 2018 avec le traditionnel «Morgenstreich». A 04h00 précises, les lumières de la ville se sont éteintes et les cliques ont commencé à déambuler dans les rues avec leurs grandes lanternes.
Chiara m’avait rejoint à Bâle, ville qu’elle connaissait très bien puisqu’elle y avait fait ses études de médecin-dentiste. Elle avait grandi à Mulhouse, mais par amour elle était partie à Paris avec son mari Pierre, également dentiste. Elle avait encore de la famille en Alsace et y venait plusieurs fois par année. En en peu plus de 3 heures, elle rejoignait la ville de Bâle depuis la Gare de Lyon en TGV. Pour ne pas éveiller les soupçons de son mari, Chiara alla dormir auprès de Lydia, son amie d’enfance avec qui elle allait aller au carnaval. Chiara arriva le samedi vers midi à Bâle où Lydia l’attendait en voiture en compagnie d’un homme qu’elle ne connaissait pas. Les présentations furent faites, Chiara appris que Maximilien était de Strasbourg et n’était qu’un ami qui venait également pour voir la première fois ce fameux carnaval de Bâle. En un peu plus de 30 minutes, ils arrivèrent à l’appartement de Lydia et passèrent le reste de la journée à parler et à raconter leurs anecdotes à Maximilien qui riait aux larmes. La fatigue se faisant ressentir, Chiara alla au lit et s’endormit de sitôt.
Au milieu de la nuit, Chiara entendit du bruit, mais à moitié endormie, elle ne comprenait pas quel bruit cela pouvait être. Elle s’efforça de se réveiller et se leva pour aller aux toilettes. Dès qu’elle ressorti des toilettes le bruit était plus audible. Elle ne croyait pas ce qu’elle entendait et d’un pas silencieux, elle se dirigea vers le bruit. Quelle ne fut sa surprise, lorsqu’elle vit Lydia et Maximilien sur le sofa du salon nus en train de se donner l’un à l’autre. D’un geste rapide, Chiara recula et se cacha derrière le mur, faisant qu’elle ne pouvait pas être vue par ces amants, mais elle avait la vue sur ce spectacle.
Et dire que ce n’était qu’un ami, lui avait dit Lydia. Elle était en train de se faire bien dépanner par le jeune homme. Chiara n’avait jamais vu, en vrai, un couple faire l’amour. Elle n’arrivait pas à détourner les yeux. Son amie était en levrette en train de se faire bien pilonner par ce sexe vigoureux de Maximilien. Elle le voyait bien rentrer et sortir provocant des magnifiques soupirs à son amie. La vue de cette scène provoqua à Chiara des bouffées de chaleur et avec ses doigts elle commença à se caresser la poitrine par dessus de sa nuisette rouge passion. Ses tétons commençaient à bien durcir. Lydia changea de position et commença à faire une pipe à son amant en émettant des jolis bruits de succion. Il était bien membré, mais elle arrivait à le mettre en entier dans sa bouche. En même temps qu’elle le suçait, Chiara vit comment Lydia pénétrait l’anus de Maximilian. Il soupirait fort son plaisir. Les doigts de Chiara descendirent sur sa chatte qui était déjà dégoulinante. Elle commença à se doigter avec deux doigts et faisait des va et vient rapides, tout en se mordant la lèvre pour pas qu’on entende le plaisir que cette situation lui procurait. Maximilian ressorti sa queue de la bouche de Lydia et me mis à lui gicler tout son sperme sur le visage de Lydia. Chiara n’avait jamais vu autant de sperme sortir à ce point-là ce qui lui procura un orgasme la faisant trembler de tout son corps. Lydia souriait à son amant qui s’approcha et lécha toute sa semence du visage. Chiara couru vite au lit avant que les amants remarquent sa présence.
Lundi matin arriva et les trois amis se levèrent à deux heures du matin et prirent la route pour Bâle. Le temps d’arriver, de se parquer dans le parking du travail de Lydia et marcher jusqu’au long du tracé où les lanternes vont défiler, il ne restait plus que 15 minutes avant que ça commence.
Chiara m’envoya un WhatsApp pour me dire qu’elle était bien arrivée. Je lui indiquai que mon hôtel se trouvait à 100 mètres et que depuis ma chambre on voyait le défilé. Elle me dit qu’elle allait rester un peu aves ses amis et après elle me rejoindrait à l’hôtel.
Une heure plus tard elle me fit savoir qu’elle se trouvait en bas de l’hôtel. Je descendis vite la chercher et nous sommes montés à la chambre. La chambre était spacieuse et avait de grandes parois vitrées du plafond au sol. Je sorti du minibar une bouteille de champagne et je plaçai un fauteuil d’une place en direction de la fenêtre je lui servi une coupe et m’assis dans le fauteuil.
Elle s’assit sur mes genoux en appuyant tout son corps contre moi. Je la tenais dans mes bras et nous regardions le défilé. Assez vite, mes mains commencèrent à se balader sur son corps. Chiara me prit mon visage et m’embrassât avec passion, ce qui provoqua en moi une belle érection. Chiara senti mon envie et commença à enlever sa blouse. Un beau soutien-gorge noir dessinait sa magnifique poitrine 110E. Je décrochais son soutien-gorge libérant ces magnifiques seins. Je commençais à les caresser et elle me souriait me montrant le plaisir qu’elle avait d’être avec moi. Mes lèvres se collèrent à ses tétons et ma langue tournait autour les durcissant. Je soulevai un peu sa jupe et glissa ma main dans sa culotte. Sa chatte était déjà bien humide. Des petits soupirs glissaient hors de sa bouche annonçant le plaisir qui montait. Elle se leva, enleva sa jupe en faisait des mouvements langoureux avec ses hanches. Un joli porte-jarretelles dessinait les formes du bas de son corps. Elle s’approcha de moi et avec douceur me déshabilla me retrouvant nu comme un vers avec mon sexe bien dressé. Elle me poussa délicatement contre le fauteuil et me fit m’assoir. Elle se mis à genoux entre mes jambes. Ces mains me caressaient mon torse et descendait peu à peu vers mes cuisses. Elle approcha sa poitrine frôlant mon sexe avec ses tétons. Je me laissais envahir par le plaisir. Pendant que mon sexe se plaçait naturellement entre ses seins, elle me léchait mon téton. On ne m’avait jamais fait ça et le plaisir était doux. Elle descendit peu à peu et englouti mon sexe dans sa bouche et avec la langue elle tournait sur mon gland. Avec une main elle me pinçait le téton et avec l’autre elle me caressait les couilles. Je fermais les yeux et me laissai aller au plaisir. Quelques minutes après, elle vint s’installer sur moi à califourchon et se frotta la vulve contre mon pénis. En même temps elle me roulait un patin d’enfer tout en bougeant ses anches de plus en plus vite. Je mis mes mains sur ses fesses la serra fort contre moi et me suis levé tout en la tenant. Je la plaçai sur le fauteuil et lui écartai bien les jambes. Cette vue sur ton fruit me rendait fou. Je le pris tout en bouche lui aspirant ses lèvres vaginales et après son bouton. Elle me tenait fort la tête contre sa chatte. Moi je lui aspirai le clito tout en lui caressant l’entrée de son vagin et de son anus. Des soupirs de plus en plus fort émanaient de sa bouche. Je lui aspirai de plus en plus vite et glissa un doigt dans chaque trou et bougeai les doigt avec fermeté ce qui procurait des spasmes de plaisir. Avant qu’elle jouisse, je me suis levé et dirigea ma queue capotée contre sa chatte. Elle y entra avec une facilité, comme si son corps attendait ce moment depuis longtemps. Je commençai à lui donner de bons coups de reins bien fermes et rythmés procurant des cris de jouissance. Après plusieurs bonnes minutes de coït, elle sortit mon sexe et le dirigea vers son anus qui lui non plus ne fit aucune résistance. Quelle belle vue de voir ma bite toute dure rentrer dans cette belle porte et sa chatte bien ouverte. Je glissai deux doigts dans cette chatte la pénétrant en même temps. Le visage défiguré par l’orgasme elle me motivait à la pénétrer plus fort. Ses hanches s’agitaient frénétiquement et Chiara démontrait son plaisir par des cris de plus en plus fort et rapides. Chiara se leva et s’installa en levrette entre le siège et les fenêtres vitrés. Je m’instala par derrière et la sodomisa avec fougue. Quel intense plaisir de la voir les yeux fermés et la bouche ouverte hurlant son plaisir. Elle était bien cambrée ce qui procura un orgasme intense et long en moi et me vida dans ses entrailles. Sans me retirer nous nous sommes allongés sur le tapis de côté. Dans l’envie, nous n’avons pas remarqués que nous avions la lumière et que les rideaux n’avaient pas été tirés. Nous nous sommes levés et Chiara pris ma main et m’attira dans le lit où nous nous sommes couchés et endormis l’un contre l’autre jusqu'à midi.
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Des retrouvailles prometteuses!
Nouvelle animation du "Morgenstreich"...
Merci pour ce courrier
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