Réconciliation
Récit érotique écrit par Manu G. [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Réconciliation
Réconciliation
Plusieurs mois passèrent sans avoir des nouvelles de Chiara. Je lui écrivais de temps en temps un message sur Messenger. Je voyais qu’elle les recevait et les visionnait, mais elle ne me répondait pas. J’étais vraiment triste, elle me manquait, pas seulement le côté sexuel. Mais également de l’avoir près de moi, de nos discussions. Nous pouvions passer des heures à s’écrire à se parler par Visio. On ne s’en lassait pas.
Je devais me rendre de nouveau à Paris pour établir une estimation sur une construction. Normalement je venais tout seul, mais comme il s’agissait d’un grand contrat dont l’estimation prendrait environ quatre jours, je me laissais accompagner par la directrice des ventes, ma supérieure. Nous avions réservé deux chambres dans l’hôtel habituel près de Bercy. Nous étions arrivés juste avant midi et après avoir amené nos valises dans nos chambres et nous être rafraîchis, nous sommes partis dans un petit bar juste en face de l’hôtel. Nous avons commandé un club sandwich chacun, moi avec du poulet et pour boire nous avons commandé une pinte de bière Stella.
Nous avions préparé notre visite pour demain. Il s’agissait d’un bâtiment de bureaux dont il fallait estimer la valeur d’assurance. Ma cheffe connaissait le propriétaire. Après quelques bières sa parole se libéra et me raconta qu’elle avait eu quelques aventures avec lui et que c’était un chaud lapin. Je ne savais pas quoi dire. Je pensais à Chiara qui elle aussi m’avait transformé en chaud lapin. Ma cheffe était bien lancée et je n’arrivais pas à suivre avec les bières. Après quelques temps nous décidâmes de rentre à l’hôtel. Elle ne marchait pas très droit alors je l’ai prise bras dessus bras dessous pour l’accompagner à l’hôtel. Elle me demanda de l’aider à aller dans sa chambre. Je pris la carte magnétique pour ouvrir la porte et l’aida à aller au lit. Elle me demanda de l’aider à enlever les bottes et peu à peu sans m’en rendre compte je lui retirai les habits restant en sous-vêtements.
Le temps que je déposais les habits, je me suis retourné et je vis ma cheffe la culotte baissée en train de se masturber. J’étais surpris par cette situation. Ma cheffe, une très belle femme jeune de 40 ans prenait du plaisir en se tripotant le minou. Elle retira complétement la culotte et écartait bien ses jambes. Je ne sais pas si c’était une bonne idée, mais je m’avançai vers elle et je vins lui lécher la chatte. Elle retira sa main de son vagin et je pris la place avec ma bouche qui se délectait de ce bon gout de mouille. Elle posa ses mains sur ma tête et ses hanches commençaient à bouger de plaisir. Je m’atte de plus en plus vite avec de bons coups de langue et j’aspirais aussi son clito. Elle commence à jouir dans ma bouche. Elle me déversa beaucoup de cyprine dans ma bouche. Le temps qu’elle eût joui et que je commençai à me déshabiller pour la pénétrer, qu’elle dormait déjà. Je pris mes affaires et parti me coucher dans ma chambre.
Le jour suivant je retrouvais ma cheffe pour le petit déjeuné et faisions comme si hier rien ne s’était passé. Je supposais plutôt qu’elle ne se souvenait de plus rien. Après nous être bien rempli je ventre, nous sommes partis en taxi à la rue de Montreuil. Quelques minutes plus tard nous sommes arrivés devant le bâtiment de bureaux commerciaux. Un monsieur grand et élégant nous attendait devant la porte d’entrée. Nous descendîmes du taxi et ce monsieur vint à notre rencontre. Il fit la bise à ma cheffe et elle me présenta à lui. Robert-Henri était son prénom. Il ouvrit la porte du bâtiment et tint la porte : - Je t’en prie Daniela. Ma cheffe passa devant sans se priver de toucher le torse de notre client. Je les regardais et je m’imaginais qu’il avait dû y avoir de sacrées parties de jambes en l’air entre les deux.
Quel fut mon choc quand je vis Chiara dans le hall d’entrée près de la réception. Mon cœur se mit à battre à mille à l’heure. Robert-Henri s’approcha de Chiara et d’un geste tendre il lui pris la main et nous présenta. Elle fit semblant de ne pas me connaitre. Nous sommes montés au troisième étage dans une salle de conférence et installâmes nos ordinateurs portables au projecteur. Après une heure de présentation, Chiara prit la parole et nous annonça que leur compagnie souhaitait continuer à travailler avec nous pour les 5 prochaines années. Cette nouvelle nous réjouissait.
Ma cheffe, Daniela proposa de nous retrouver le soir dans un restaurant les quatre pour fêter le contrat. Proposition que nos clients acceptèrent de suite.
La soirée était très chaude. Nous n’avions pas besoin de veste. Ma cheffe et moi nous nous sommes rendus dans le restaurant que Chiara et son mari nous proposèrent. Eux ils étaient déjà arrivés. Quelle merveille de regarder Chiara avec sa robe légère qui montraient ses belles formes féminines que tout homme se régalait en la regardant. Le restaurant était réputé pour ses entrecôtes au poivre vert. Je me réjouissais, car j’adore ça et avec un bon vin c’est un délice. Le repas était agréable et nous nous entendions bien les quatre. Ma cheffe elle avait tendance à bien vider les verres. Le vin rouge lui plaisait. Je sentais qu’elle commençait à être pompette. Elle commença à faire du pied au mari de Chiara. Chiara fit semblant de ne rien voir.
Ma cheffe commanda une nouvelle bouteille. Elle était visiblement trop joyeuse et sans que personne ne s’y attende, elle regarda Robert-Henri, lui pris la main et lui dit_
Robert, mon chou, c’est quand que tu me ramènes dans ce magnifique club échangiste, où nous sommes allés le mois passé ?
Robert-Henri changea littéralement de couleur. Chiara fut tellement surprise qu’aucun mot ne sorti. Elle était bouche-bée. Son mari essaya de se justifier, mais il bredouillait des choses incompréhensibles. Chiara se leva, jeta la serviette sur la table, fit demi-tour et s’en alla. Je lui fis signe de ne rien faire et lui indiqua que je m’occupais de Chiara. Je me suis mis à courir derrière Chiara en l’appelant. Elle s’arrêta et j’arrivai à sa hauteur. Elle avait un sourire, ce qui me surpris. Je lui demandais la raison de son sourire et elle me dit que dès maintenant notre histoire peut de nouveau reprendre. Son mari ne pourra plus lui faire des reproches car lui aussi il a des aventures extra-conjugales.
Nous nous sommes promenés pendant au moins 30 minutes et nous sommes rentrés dans un parc qui avait l’air assez désert. Nous nous sommes assis sur un banc. Il n’y avait presque pas de lumière et Chiara s’approcha de moi et me roula un patin fougueux. Nous sommes restés plusieurs minutes bouche contre bouche, langue contre langue. Nos mains se baladaient sur nos corps. Je sentais les tétons de Chiara durcir. Je les caressais. Une main descendit sur sa cuisse et je la glissais sous cette robe large, idéale pour la tripoter. Je sentis le tanga déjà bien trempe. Chiara commençait à m’ouvrir mon pantalon. A ce moment-là nous étions tellement excités et désireux de nous donner l’un à l’autre que nous n’avions pas vu deux hommes, restés à une certaine distance.
Chiara me sortait mon sexe et le pris en bouche. Quel effet de sentir cette mâchoire serrer le nécessaire pour procurer un tel plaisir. Je me laissais aller à ce plaisir intense. Je devais me contrôler pour ne pas jouir trop vite. Chiara se retira et vint s’assoir à califourchon sur moi en faisant entrer mon sexe en elle. Je lui déboutonnais le haut de sa robe libérant sa magnifique poitrine. Je prenais les tétons bien durs en bouche. Chiara bougeait ses hanches avec délice. Quel plaisir de fusionner avec elle. De se sentir en elle procurait une excitation incroyable. Chiara se souleva et se sur le banc à quatre pattes et je suis venu la prendre en levrette. Je la culbutais avec énergie et elle me motivait à continuer.
Les deux hommes s’approchèrent et quand je les ai vus je leur ai fait signe de s’arrêter et de ne pas venir. Ils étaient avec leur sexe à l’air. Chiara et moi avons continué comme si de rien était. Je continuais à lui donner de puissants coups de reins qui provoquaient en elle des cris de plaisir. Je me suis arrêté et j’ai allongé Chiara sur le banc. Les jambes bien écartées je me suis mis à lui lécher le fruit juteux. Quel magnifique gout de cyprine qu’elle a. Je pourrais toute la boire. Avec le bout de ma langue je lui écartais ses lèvres vaginales et remontais jusqu’au clito et après je lui aspirais le clito jusqu’à la faire jouir dans ma bouche. Dans la nuit je pouvais voir les yeux de Chiara humides et un large sourire. Elle me disait merci de lui avoir procuré un tel orgasme.
Elle reprit mon sexe en bouche et me suça avec une telle maitrise, que je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. En même temps on entendait les deux voyeurs qui étaient également en train d’éjaculer.
Nous nous sommes habillés et Chiara m’accompagna à l’hôtel où elle passa la nuit avec moi dans les bras l’un de l’autre. Il y avait une telle tendresse que nous nous sommes endormis collés toute la nuit.
Plusieurs mois passèrent sans avoir des nouvelles de Chiara. Je lui écrivais de temps en temps un message sur Messenger. Je voyais qu’elle les recevait et les visionnait, mais elle ne me répondait pas. J’étais vraiment triste, elle me manquait, pas seulement le côté sexuel. Mais également de l’avoir près de moi, de nos discussions. Nous pouvions passer des heures à s’écrire à se parler par Visio. On ne s’en lassait pas.
Je devais me rendre de nouveau à Paris pour établir une estimation sur une construction. Normalement je venais tout seul, mais comme il s’agissait d’un grand contrat dont l’estimation prendrait environ quatre jours, je me laissais accompagner par la directrice des ventes, ma supérieure. Nous avions réservé deux chambres dans l’hôtel habituel près de Bercy. Nous étions arrivés juste avant midi et après avoir amené nos valises dans nos chambres et nous être rafraîchis, nous sommes partis dans un petit bar juste en face de l’hôtel. Nous avons commandé un club sandwich chacun, moi avec du poulet et pour boire nous avons commandé une pinte de bière Stella.
Nous avions préparé notre visite pour demain. Il s’agissait d’un bâtiment de bureaux dont il fallait estimer la valeur d’assurance. Ma cheffe connaissait le propriétaire. Après quelques bières sa parole se libéra et me raconta qu’elle avait eu quelques aventures avec lui et que c’était un chaud lapin. Je ne savais pas quoi dire. Je pensais à Chiara qui elle aussi m’avait transformé en chaud lapin. Ma cheffe était bien lancée et je n’arrivais pas à suivre avec les bières. Après quelques temps nous décidâmes de rentre à l’hôtel. Elle ne marchait pas très droit alors je l’ai prise bras dessus bras dessous pour l’accompagner à l’hôtel. Elle me demanda de l’aider à aller dans sa chambre. Je pris la carte magnétique pour ouvrir la porte et l’aida à aller au lit. Elle me demanda de l’aider à enlever les bottes et peu à peu sans m’en rendre compte je lui retirai les habits restant en sous-vêtements.
Le temps que je déposais les habits, je me suis retourné et je vis ma cheffe la culotte baissée en train de se masturber. J’étais surpris par cette situation. Ma cheffe, une très belle femme jeune de 40 ans prenait du plaisir en se tripotant le minou. Elle retira complétement la culotte et écartait bien ses jambes. Je ne sais pas si c’était une bonne idée, mais je m’avançai vers elle et je vins lui lécher la chatte. Elle retira sa main de son vagin et je pris la place avec ma bouche qui se délectait de ce bon gout de mouille. Elle posa ses mains sur ma tête et ses hanches commençaient à bouger de plaisir. Je m’atte de plus en plus vite avec de bons coups de langue et j’aspirais aussi son clito. Elle commence à jouir dans ma bouche. Elle me déversa beaucoup de cyprine dans ma bouche. Le temps qu’elle eût joui et que je commençai à me déshabiller pour la pénétrer, qu’elle dormait déjà. Je pris mes affaires et parti me coucher dans ma chambre.
Le jour suivant je retrouvais ma cheffe pour le petit déjeuné et faisions comme si hier rien ne s’était passé. Je supposais plutôt qu’elle ne se souvenait de plus rien. Après nous être bien rempli je ventre, nous sommes partis en taxi à la rue de Montreuil. Quelques minutes plus tard nous sommes arrivés devant le bâtiment de bureaux commerciaux. Un monsieur grand et élégant nous attendait devant la porte d’entrée. Nous descendîmes du taxi et ce monsieur vint à notre rencontre. Il fit la bise à ma cheffe et elle me présenta à lui. Robert-Henri était son prénom. Il ouvrit la porte du bâtiment et tint la porte : - Je t’en prie Daniela. Ma cheffe passa devant sans se priver de toucher le torse de notre client. Je les regardais et je m’imaginais qu’il avait dû y avoir de sacrées parties de jambes en l’air entre les deux.
Quel fut mon choc quand je vis Chiara dans le hall d’entrée près de la réception. Mon cœur se mit à battre à mille à l’heure. Robert-Henri s’approcha de Chiara et d’un geste tendre il lui pris la main et nous présenta. Elle fit semblant de ne pas me connaitre. Nous sommes montés au troisième étage dans une salle de conférence et installâmes nos ordinateurs portables au projecteur. Après une heure de présentation, Chiara prit la parole et nous annonça que leur compagnie souhaitait continuer à travailler avec nous pour les 5 prochaines années. Cette nouvelle nous réjouissait.
Ma cheffe, Daniela proposa de nous retrouver le soir dans un restaurant les quatre pour fêter le contrat. Proposition que nos clients acceptèrent de suite.
La soirée était très chaude. Nous n’avions pas besoin de veste. Ma cheffe et moi nous nous sommes rendus dans le restaurant que Chiara et son mari nous proposèrent. Eux ils étaient déjà arrivés. Quelle merveille de regarder Chiara avec sa robe légère qui montraient ses belles formes féminines que tout homme se régalait en la regardant. Le restaurant était réputé pour ses entrecôtes au poivre vert. Je me réjouissais, car j’adore ça et avec un bon vin c’est un délice. Le repas était agréable et nous nous entendions bien les quatre. Ma cheffe elle avait tendance à bien vider les verres. Le vin rouge lui plaisait. Je sentais qu’elle commençait à être pompette. Elle commença à faire du pied au mari de Chiara. Chiara fit semblant de ne rien voir.
Ma cheffe commanda une nouvelle bouteille. Elle était visiblement trop joyeuse et sans que personne ne s’y attende, elle regarda Robert-Henri, lui pris la main et lui dit_
Robert, mon chou, c’est quand que tu me ramènes dans ce magnifique club échangiste, où nous sommes allés le mois passé ?
Robert-Henri changea littéralement de couleur. Chiara fut tellement surprise qu’aucun mot ne sorti. Elle était bouche-bée. Son mari essaya de se justifier, mais il bredouillait des choses incompréhensibles. Chiara se leva, jeta la serviette sur la table, fit demi-tour et s’en alla. Je lui fis signe de ne rien faire et lui indiqua que je m’occupais de Chiara. Je me suis mis à courir derrière Chiara en l’appelant. Elle s’arrêta et j’arrivai à sa hauteur. Elle avait un sourire, ce qui me surpris. Je lui demandais la raison de son sourire et elle me dit que dès maintenant notre histoire peut de nouveau reprendre. Son mari ne pourra plus lui faire des reproches car lui aussi il a des aventures extra-conjugales.
Nous nous sommes promenés pendant au moins 30 minutes et nous sommes rentrés dans un parc qui avait l’air assez désert. Nous nous sommes assis sur un banc. Il n’y avait presque pas de lumière et Chiara s’approcha de moi et me roula un patin fougueux. Nous sommes restés plusieurs minutes bouche contre bouche, langue contre langue. Nos mains se baladaient sur nos corps. Je sentais les tétons de Chiara durcir. Je les caressais. Une main descendit sur sa cuisse et je la glissais sous cette robe large, idéale pour la tripoter. Je sentis le tanga déjà bien trempe. Chiara commençait à m’ouvrir mon pantalon. A ce moment-là nous étions tellement excités et désireux de nous donner l’un à l’autre que nous n’avions pas vu deux hommes, restés à une certaine distance.
Chiara me sortait mon sexe et le pris en bouche. Quel effet de sentir cette mâchoire serrer le nécessaire pour procurer un tel plaisir. Je me laissais aller à ce plaisir intense. Je devais me contrôler pour ne pas jouir trop vite. Chiara se retira et vint s’assoir à califourchon sur moi en faisant entrer mon sexe en elle. Je lui déboutonnais le haut de sa robe libérant sa magnifique poitrine. Je prenais les tétons bien durs en bouche. Chiara bougeait ses hanches avec délice. Quel plaisir de fusionner avec elle. De se sentir en elle procurait une excitation incroyable. Chiara se souleva et se sur le banc à quatre pattes et je suis venu la prendre en levrette. Je la culbutais avec énergie et elle me motivait à continuer.
Les deux hommes s’approchèrent et quand je les ai vus je leur ai fait signe de s’arrêter et de ne pas venir. Ils étaient avec leur sexe à l’air. Chiara et moi avons continué comme si de rien était. Je continuais à lui donner de puissants coups de reins qui provoquaient en elle des cris de plaisir. Je me suis arrêté et j’ai allongé Chiara sur le banc. Les jambes bien écartées je me suis mis à lui lécher le fruit juteux. Quel magnifique gout de cyprine qu’elle a. Je pourrais toute la boire. Avec le bout de ma langue je lui écartais ses lèvres vaginales et remontais jusqu’au clito et après je lui aspirais le clito jusqu’à la faire jouir dans ma bouche. Dans la nuit je pouvais voir les yeux de Chiara humides et un large sourire. Elle me disait merci de lui avoir procuré un tel orgasme.
Elle reprit mon sexe en bouche et me suça avec une telle maitrise, que je ne tardais pas à jouir dans sa bouche. En même temps on entendait les deux voyeurs qui étaient également en train d’éjaculer.
Nous nous sommes habillés et Chiara m’accompagna à l’hôtel où elle passa la nuit avec moi dans les bras l’un de l’autre. Il y avait une telle tendresse que nous nous sommes endormis collés toute la nuit.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
On retourne le hasard fait bien les choses ,on reprend les escapades sans tabou et le mari doit accepter sinon c est lii le perdant
Un très beau texte, avec ce retour de Chiara