Le choix de la docilité

- Par l'auteur HDS Dm555 -
Récit érotique écrit par Dm555 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le choix de la docilité Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-05-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le choix de la docilité
Enfin nous avions décidé tous les deux de franchir le pas après des mois d’échanges par écrit, persuadés que cela valait la peine de se donner cette chance, parce qu’une certaine confiance s’était d’ores et déjà installée. Cette correspondance se résumait à des échanges épistolaires cordiaux avant de virer après quelques semaines vers des échanges aux rôles bien décernés. Chacun avait trouver sa place et le déséquilibre de statut commençaient à se faire sentir. Education, obéissance, respect, fautes, punition, tous ses mots faisaient partis du champ lexical de notre nouvelle aventure. Ce premier rendez-vous n’avait donc rien d’anodin puisqu’il allait valider ou pas notre temps passé à exercer une de nos passions, le BDSM. Un contrat avait été rédigé pour répertorier ses envies et limites, ainsi qu’un mot à utiliser en cas d’urgence.
Après s’être mis d’accord sur un lieu de rencontre dans la ville de Toulouse, je la vis sortir de sa voiture ce jour de décembre avec un grand sourire aux lèvres comme pour me signifier qu’elle avait hâte de me voir pour la première fois et que la tension présente ne serait que rapide et passagère. Je lui rendis le même sourire pour la rassurer elle aussi. Elle s’appelle Mélanie.
Nous avions réservé un appartement dans le centre de Toulouse et nous décidâmes de nous y rendre afin d’y laisser l’ensemble de nos affaires. Quelle sensation étrange et délicieuse à la fois de rentrer dans un appartement sans avoir aucune idée des péripéties à venir. Ce studio venait d’être refait à neuf, avec une cuisine délimitée par un bar donnant sur un lit deux places et une salle de bains disposée de l’autre côté.
Il était 19h30 et j’avais réservé une table dans un restaurant qui jouissait d’une bonne réputation locale. J’aime beaucoup les dîners dans le cadre du SM, c’est toujours un moyen de se mesurer l’un à l’autre, de jouer du regard en plus de se connaître. Face à face il n’y avait plus de place pour un bavardage confortable, chaque silence, chaque ton de voix, chaque main dans les cheveux, chaque baisse du regard était détectable par l’autre. Je pense que je lui plaisais car elle essayait de s’y plonger pour voir ce qu’il y trouver, de quoi j’étais fait. Mélanie put vite se rendre compte que je n’étais pas prêt à céder du terrain. Une teinte rouge apparaissait par moments sur son visage et me rendait la tâche plus facile pour la déstabiliser. Je la soupçonnais d’être souvent joueuse car elle se laissait volontiers tomber dans ce piège pour avoir de moins en moins le contrôle. C’est touchant et d’une grande responsabilité de dominer en même temps ses propres émotions et sa soumise.
Ce dîner s’était passé de la meilleure manière, elle était à l’aise malgré son regard fuyant, elle me faisait craquer. Nos longues discussions nous ont emmené jusqu’à la dégustation d’un cocktail dans un bar plus bruyant, éclaboussé de jeunes groupes essayant de couvrir le bruit de la musique. Nous nous installâmes à une des seules tables qui restait inoccupée. Notre conversation se poursuivit mais cette fois-ci nous étions plus proche. Par moments s’échangeaient sous la table de légers coups de genoux involontaires d’un côté ou de l’autre qui traduisaient la nervosité ambiante. La musique nous sauvait la mise face à cette tension de plus en plus palpable. Je pense que son bas ventre était serré et en feu comme le mien et je ne relançais plus la conversation. Mes yeux se plongeait à présent dans le vide et je me laissais porter à présent par ces douces émotions. Je lui jetai un regard comme pour lui demander si elle était dans le même état, elle se contenta de sourire timidement. Après une dizaine de secondes qui me parurent une éternité je m’aventurai à effleurer sa main avec la sienne et nos deux bouches se rapprochèrent comme deux aimants jusqu’à s’embrasser langoureusement.
Ce baiser ne s’éternisa pas car il semblait que nous voulions tous les deux garder cette tension bien présente pour un long moment. Nous nous décidâmes à rentrer et le silence des rues de la ville et ce froid de décembre nous fit accélérer le pas. Nous marchions côte à côte et cette fois-ci nous nous contentâmes d’échanger des banalités sur cette ville que nous connaissions tous les deux très mal comme pour tuer le temps jusqu’à notre arrivée au seuil de notre appartement.
J’avais pris place tout de suite sur une chaise du bar délimitant la cuisine et de la chambre et me mis à l’observer pour prendre la mesure de cette nouvelle situation. Elle me regardait à présent plus régulièrement mais ses yeux n’étaient pas capables de regarder les miens plus d’une demi-seconde. J’étais devenu sérieux et elle sentit sans prononcer un mot que nous allions enfin nous jeter tous les deux à l’eau. Je ne fus donc pas surpris de la voir s’exécuter presque immédiatement lorsque je lui demandai d’aller me rapporter le sac qu’elle avait préparé pour la semaine. Je lui avais imposé d’y insérer un certain nombre d’objets et de lingerie que nous avions tous les deux choisis en ligne lors des semaines précédant notre week-end. J’inspectais donc son sac avec une lenteur volontaire et la regardais de temps à autre. Je m’arrêtai sec.

- Tu portes donc cet ensemble bleu turquoise qui me plaisait tant ?
- Oui…Elle répondit dans un souffle, je sentais qu’elle contrôlait comme elle le pouvait sa respiration. Comme je continuais à la fixer d’un air grave et qu’elle croisa de nouveau mon regard, elle prit une grande respiration et ajouta :- Oui, oui Maître.
- Merci Mélanie, attachons-nous à épouser pleinement nos rôles dès le début.
Elle se contenta d’hausser les sourcils comme pour me montrer que ces mots avaient été difficile à prononcer pour la toute première fois face à moi. Je lui demandai de me rejoindre de l’autre côté du bar et je me mis debout devant elle pour l’attendre. Ses jambes me donnaient l’impression de trembler, prises par l’excitation et l’inconnu de cette situation. Elle se trouvait à présent à quelques dizaines de centimètres de moi et n’avait plus prononcé un mot depuis une minute. Ce fut pour moi comme un passage de relai, elle voulait que je contrôle son corps et je ne voulais pas la décevoir. Avant d’aller plus loin, je lui saisis le menton et la força à me regarder :- Je m’occupe de tout, d’accord ?
- Oui, oui monsieur, s’il vous plaît.
- Enlève tes talons, lui dis-je du voix calme.
Elle s’exécuta et se retrouva avec 10 centimètres de moins. Son mètre 63 et ses 50 kilos toute mouillée ne pesaient pas bien lourd face à mon mètre 88 et mes 83 kilos. Je m’étais attaché à gagner en muscles ces derniers mois pour ne pas seulement percuter avec mes mots mais aussi avec ma force.
J’approchai ma main derrière son cou en dégageant ses cheveux et la saisi délicatement derrière la nuque comme pour officialiser qu’elle était dès maintenant totalement sous mon emprise. Tout en confortant ma pression sur son cou, je m’occupai de défaire le bouton de son jean. Celui-ci était slim ce qui n’était pas désagréable à regarder mais qui était autrement plus désavantageux lorsqu’il s’agissait de déshabiller sa soumise. Je décidai d’en profiter et en m’accroupissant et en la regardant dans les yeux je descendis ses pantalons jusqu’à ses chevilles. Elle se trouvait à présent avec une contrainte physique et je prenais du plaisir à la laisser dans cette posture inconfortable. Ses jambes tremblaient à présent à vue d’œil, je la sentais excitée et de la sentir dans cet état me prenait dans le bas ventre et une érection violente me pris. Il fallait pourtant que je contrôle mes pulsions et mes émotions car je voulais la rendre folle, la chauffer à blanc en espérant qu’elle me supplie d’aller plus loin. Je remontai en caressant délicatement ses jambes grelotantes jusqu’à saisir plus vigoureusement ses fesses, légèrement couverte par ce joli tanga. Mélanie se mit à jouer avec ses hanches pour les faire rouler et me signifier qu’elle en voulait plus. En vue de la provoquer, je me mis à passer quelques fois mon majeur sur son tanga au niveau de son sexe. Mélanie laissa échapper un grognement de dépit lorsque j’arrêtai mon petit jeu.
Lorsque je me décidai enfin à découvrir son sexe, un filet de cyprine impressionnant s’échappa pour venir mourir sur l’intérieur d’une de ses cuisses. Cette scène n’avait pas eu pour don de calmer mes ardeurs mais je m’étais toujours promis de rester maître de mon corps même pendant ces moments durant lesquels l’excitation devient incontrôlable. Je me contentai de lui passer l’ordre de se mettre à genoux, les yeux baissés au sol pour la mettre en condition et lui demander de lever les bras afin de quitter les derniers vêtements qui me mènerait à sa nudité la plus simple.
- A présent, garde les mains dans le dos s’il te plait et pense à ta situation.
- Bien Monsieur.
Je me détournai donc un instant de ma soumise pour aller examiner les objets qui se trouver dans le sac. Une cravache, un fouet, des menottes, un paddle. C’est sur ce dernier que je jetai mon dévolu.
J’avais toujours été fortement attiré par cet objet qui était le seul que je n’avais jamais essayé. Mélanie m’avait fait part de sa résistance forte en termes de fessées et de châtiments sur les fesses et elle m’avait fait aussi part de son intérêt pour cet objet. Mon choix était fait et il fallait à présent faire monter la température avant de faire monter celle de son postérieur. Je me dirigeai donc à pas lents vers elle toujours entièrement vêtu face à ce corps fragile et dénudé. Je trouvai la scène magnifique et son courage admirable. Nous l’étions chacun à notre manière. Je contrôlai tout tandis qu’elle me faisait don de son corps et de son esprit pour un instant. Malgré tout, je devais rester concentré sur mon rôle et ma tâche. Je m’approchai d’elle, laissant tomber au bout de mes bras le paddle qui était visible à ses yeux, même si ceux-ci restaient docilement baissés. Je la surpris à lâcher un grand souffle comme pour se décharger du trop plein d’émotions qui l’habitait. Pour ne rien arranger, je la saisis fermement par les cheveux et lui fit comprendre qu’elle devait se remettre sur ses deux jambes. Le tirage de cheveux, les coups appuyés sur les fesses ou les gifles faisaient partie de ses fantasmes réguliers et je m’attachai à lui en donner pour son argent. Mélanie se retrouvait à présent soumise par ma force et se laissa guider jusqu’à un coin de la chambre berçant le lit conjugal.
- Place à présent tes mains sur le mur s’il te plait, et offre toi.
Elle s’exécuta au dixième de seconde et me laissa penser qu’elle était déjà totalement dans son rôle. Je l’observai un moment, inspectant ses jambes et la quantité de cyprine qui dégoulinait d’un seul filet entre son sexe et sa cuisse. Je ne pus résister plus longtemps et passai lentement deux doigts à la surface de sa vulve. Elle gémit. Mon cerveau lui me supplia de la prendre. Il n’en était pas question pour l’instant.
Je préférai faire les cent pas autour de son corps et de faire monter en elle l’appréhension de la punition qui allait bientôt s’abattre sur elle. Je caressai à présent avec la surface du paddle ses fesses pour me rendre compte de leur sensibilité et pour la préparer psychologiquement à la punition imminente. Je sentais son souffle de plus en plus intense. Je me décidai enfin à arrêter mon petit jeu et immobilisai le paddle sur toute la surface de ses fesses. Une ambiance électrique s’installa dans la pièce. Je ne la sentais comme retenant son souffle. J’élançai mon bras et frappai pour la première fois. Elle étouffa dignement un petit cri et se mit à respirer à pleine bouche pour extérioriser cette chaleur incontrôlable qui la prenait au niveau du bas ventre. Ce coup avait lancé les hostilités et avait rougi la zone visé, zone que je me t’attachai à viser une seconde fois plus sévèrement. Elle ne put cette fois-ci pas retenir son cri, surprise par la puissance du coup. Mon poignet enchaîna un troisième coup sur une partie inférieure de ses fesses, en m’attachant à ne toucher en aucun cas le haut de ses cuisses, puis un quatrième sur cette même zone. Le postérieur de Mélanie était à présent bien rosé et le paddle avait laissé derrière lui quelques petites zones encore pâles qui étaient passées entre les mailles du filet. C’était pour moi la beauté de cet instrument, il frappe durement tout en laissant certaines zones en sursis comme pour laisser le corps mieux encaisser ces châtiments. La punition de Mélanie avait été fixé à 10 coups et je m’attachai sadiquement à mener jusqu’au bout cette série. Lorsque j'en eu fini et alors que Mélanie encaissait comme elle le pouvait les différents coups, je gardais un instant mes yeux rivés sur son corps dans son ensemble. N’ayant entendu d’ordres de ma bouche de changer sa position, ses mains et ses bras étaient toujours étendus le long du mur au-dessus de sa tête. Ses fesses étaient à présent d’un rouge vif, certaines petites zones virant même au rouge écarlate pour avoir été injustement frappées plus que d’autres.
- Comment te sens-tu Mélanie ?
- Je… je me sens faible, et j’ai chaud.
- Regarde-moi.
Son visage se tourna vers moi et je m’approchai pour lui déposer un baiser sur le haut de son front.
- Je suis fier de toi, il fallait avoir du courage pour se lancer dans ce grand saut et tu l’as fait.
- Merci, Monsieur.
- Est-ce que tu veux venir trouver du réconfort en venant te blottir contre moi ?
Elle acquiesça en baissant le regard et je pris place sur un fauteuil une place situé non loin du lit. Je la guidais par le bras et l’invita à rester à genoux sur la moquette et à venir blottir sa tête contre l’intérieur d'une de mes cuisses. Je la surpris à lâcher un grand soupir, elle m’avoua plus tard que c’était comme ça qu’elle voulait se sentir, soumise à mes pieds. Après 5 bonnes minutes à se laisser emporter par ce doux silence et de récupérer de nos émotions, je le caressai délicatement du dos de ma main et lui dis :- Mélanie, j’aimerais que tu me déshabilles lentement, s’il te plaît.
Elle m’adressa un sourire doux et sincère, puis répondit :- Avec plaisir.
J’avais pu observer en détails son corps lors de cette séquence de punition mais pour ce qui était de Mélanie, elle ne m’avait jamais encore vu dans mon plus simple appareil, hormis quelques photos échangées pendant nos mois d’échanges pour nous rassurer et nous confirmer que nous nous plaisions, que nous nous attirions. Je m’étais donc placé debout face à elle. J’avais tout de suite remarqué ses jolis mains longues et parfaitement manucurées et je commençais à présent à les voir saisir et défaire lentement les boutons de ma chemise. Lorsqu’elle s’en débarrassa, je ne pus que frémir lorsque laissa filer ses mains le long de mon torse et de mon ventre, comme pour apprivoiser un nouveau corps inconnu. L’excitation extrême avait changé de camp et je me contentai de me taire et de l’observer. Elle saisit ma ceinture pour la desserrer et se plaça dans mon dos pour l’enlever petit à petit. Elle en profita pour déposer un baiser dans le haut du dos qui eut le don de me faire frissonner. De nouveau face à moi, elle se saisit des boutons de mon jeans qu’elle défit en un instant avant de laisser filer le jeans le long de mes jambes. A présent en boxer, elle me devança pour me dire :- Je peux ?
Je me contentai de lui sourire et hochai la tête tout en la regardant se déplacer toute nue devant moi. Je ne voulais pas en perdre une miette. Elle se plaça à genoux devant moi et releva les mains pour dégager mon boxer. Elle se retrouva face à mon sexe gorgé de sang du fait de la situation, il était déjà bien raide et imposant. J’avais déjà partagé quelques photos de mon membre à Mélanie car c’était une de ses conditions pour se soumettre sexuellement à un homme, il fallait qu’il soit bien membré selon ses mots. Mélanie me fit les yeux doux lorsqu’elle aperçut ce qui se présentait devant elle. Elle semblait satisfaite. Voulant elle aussi me faire tourner la tête, elle se contenta dans un premier temps de m’embrasser l’intérieur des cuisses et le haut du pubis. Puis, sans me prévenir, elle empala ses lèvres et sa bouche goulument d’une seule traite autour de mon sexe et je fus pris d’un long soupir qui laissait transparaitre mon profond bien être.

Elle voulait me faire plaisir et cela se voyait, fermant les yeux pendant qu’elle s’attelait à me prendre en bouche. Son don de soi était tel qu’elle manqua de s’étouffer à plusieurs reprises et je m’assurai de la rassurer en lui caressant les cheveux lorsque, surprise par un haut-le-cœur, elle posait les yeux sur moi. La voir ainsi si volontaire avait le don de m’exciter et après plusieurs minutes de ce magnifique cadeau, je la saisis par le bras pour la relever fermement et jetai ce petit corps sur le lit conjugal. Surprise, elle se redressa sur les coudes et je me couchai sur elle de tout mon poids. Mon sexe chercha un instant le sien ce qui fut partie facile. Sa vulve dégoulinait à présent et après avoir introduit mon gland, je m’introduis d’une seule traite tout au fond de son corps. Nous fûmes pris tous les deux d’un râle accompagné d’un soupir de soulagement qui trahissait une attente trop excessive. Nous étions à présent en union, ses mains et ses ongles me saisissait par le dos pour me garder au plus près d’elle, sa bouche dans le creux de mon oreille me faisant partager ses doux gémissements. Je m’attachai de mon côté à la prendre durement comme elle me l’avait confié, une main entre l’oreiller et sa tête, lui saisissant fermement les cheveux.
Plus tard, et souhaitant également profiter de la vue de sa magnifique croupe, je lui demandais de se placer à quatre pattes face à moi. J’avais une vue imprenable sur les dégâts causés pendant la punition.
- Tu as passé un sale quart d’heure tout à l’heure, lui disais-je en déposant un baiser sur chacune de ses fesses.
Elle se cambra comme pour me montrer sa satisfaction.
Son fessier brulait encore et je le savais. Lorsque j’enfonçai de nouveau mon membre en elle je m’assurai de venir frapper avec le haut de mes cuisses et mon pubis contre les zones maltraitées afin de lui faire remonter un peu de douleur et de la combiner à son plaisir - Monsieur ?
- Qu’y a-t-il Mélanie ?
- J’aimerais vous serrer fort contre moi lorsque vous déciderez de jouir, s’il vous plaît.
- C’est d’accord, vient là.
Elle semblait satisfaite de lui avoir partagé cette volonté. Je ne me fis pas prier la pris le plus fermement et rapidement possible jusqu’à exploser en elle. Je me laissai écrouler de tout mon poids sur elle et nous restâmes une bonne minute comme ça. Le jeu lui n’était pas fini.
Je voulais la conforter encore plus dans son statut de soumise et mon éjaculation n’avait pas eu pour effet de calmer mon sadisme. Je la saisis délicatement et la mis debout au pied du lit.
- Accroupis-toi, les talons sur les fesses et les jambes bien ouvertes- Pardon ?
- Tu m’as bien entendu.
- Mais Monsieur, j’ai votre semence en moi et je vais tout salir.
- Si je veux que tu adoptes cette position, c’est pour te renvoyer à ton statut de soumise.
- Je ne veux pas !
La gifle retentit dans toute la pièce. Notre contrat était clair, l’obéissance serait de mise et tout manque à ce règlement serait puni. Mélanie était interloquée par la situation, elle ne s’attendait pas à ce geste. Elle avait deux options, se soumettre ou arrêter le jeu en prononçant notre mot de sécurité. Elle n’en fit rien et s’accroupit docilement, honteuse de la scène. Ses fesses étaient marquées, sa joue gauche rougie et elle se trouvait maintenant dans une position dégradante face à son nouveau maître. Je m’assis sur le bout du lit et l’invita à me rejoindre tout en gardant sa position, dos à moi. La semence venait à présent s’écraser sur le sol. Accroupis entre mes jambes, je me penchai légèrement pour atteindre du bout des doigts son clitoris, gonflé par l’excitation. Ma main libre se saisit doucement de sa gorge pour lui annoncer :- Je meurs d’envie de te faire jouir Mélanie. Et comme je veux te rendre folle, chaque minute qui passe sans que tu jouisses, je vais intensifier encore un peu plus mon emprise autour de ton cou.
Je la sentis paniquer un instant, mais je m’étais déjà attelé à ma tâche et effleurais avec doigté son petit bouton. Elle respirait fort, son rythme cardiaque s’était accéléré ma main sur son cou contrôlait en permanence son pouls. Trois minutes passèrent et à force de douces stimulations et d’un ferme contrôle de sa respiration, Mélanie laissa échapper trois grands râles et se laissa écrouler au sol. Satisfait de moi, je voulais désormais prendre soin de ma petite soumise, la réconforter et la chouchouter un petit peu. Le jeu ayant pris fin, je la relevais délicatement et la mis sous la douche. Je me chargeai de la savonner dans tous les zones. Elle me regardait sans parler, peut-être pas tout à fait remise de ses émotions.

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