Le Cinéma - Chapitre 1
Récit érotique écrit par Lilibee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2015 dans la catégorie Plus on est
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Le Cinéma - Chapitre 1
Je marche dans la rue, je sens la chaleur dans mon ventre. Une chaleur qui appelle le sexe. Le claquement de mes talons produit un rythme hypnotique. Dans ma tête les clac, clac, clac sur le béton du trottoir se transforment en coups de boutoir. Le frottement de mes cuisses sous ma jupe m’échauffe l’entrejambe. J'ai hâte de sentir une colonne de chair coulisser en moi, hâte de sentir un ventre claquer sur mes fesses, hâte de sentir une chaleur autre que la mienne dans ma chatte, peut-être dans mon cul.
Je passe la langue sur mes lèvres, en haut, en bas, je mords un peu. Quand j’ai appliqué le rouge à lèvres tout à l’heure, j’ai ouvert la bouche et arrondi mes lèvres pleines, j’ai imaginé un sexe d’homme y entrer et en sortir, encore et encore. Je tourne à gauche, vers le cinéma. C'est la troisième fois que je viens, je suis sûre d'y trouver un homme, peut-être plusieurs. Le Club y a élu domicile, discrètement mais avec l’aval du propriétaire. Il fréquente les lieux lui aussi. J'entre dans le hall un peu décrépit du cinéma et fais mine de lire les critiques placardées aux murs. Je jette un œil à la caisse, le caissier m’a repérée. Il regarde le bracelet noir discret que j’arbore à la main droite puis me fixe d’un regard interrogateur. Je place ma main sur ma hanche ronde. Il baisse les yeux, regarde le nombre trois que je suis en train de lui montrer. Il hoche discrètement la tête et je me dirige vers le fond du hall, vers les toilettes et les escaliers. Je dépasse les toilettes et continue plus loin.
Je sais qu'à partir de maintenant c'est une question de minutes avant qu'un homme, puis deux, puis trois ne me suivent dans le couloir que je viens d'emprunter. Ils ouvriront comme moi la porte noire au bout et me trouveront offerte, courbée en avant, plaquée sur la table carrée au milieu de la petite pièce, accrochée comme à une bouée. Cette table qui ne semble avoir pour fonction que d'accueillir des femmes comme moi, des femmes en manque, les yeux bandés, la jupe relevée, les fesses nues tendues en arrière. J’attends. Ces quelques minutes semblent des heures, peuplées dans ma tête par les trois sexes gonflés dont j'ai envie ce soir.
Enfin, la porte s'ouvre. Elle ne grince pas : elle sert trop souvent pour ça. Je reste cambrée, dans l'expectative. Je sais que quoiqu'il arrive, je peux utiliser le mot d’alerte du club, « rouge », tout s’arrêtera. Ça ne m'empêche pas d'avoir un petit frisson, mélange d'excitation et de peur. J'entends un bruit de pas, puis la porte se ferme à nouveau. J’entends une respiration qui s'accélère. Qui que ce soit, il a une vue imprenable sur mes fesses offertes, ma petite chatte épilée, luisante, rose et gonflée de désir, mon petit trou que je ne peux m’empêcher de crisper un peu. Il y faudrait une langue moelleuse pour le détendre.
- Je m’appelle Marc. Tu veux te faire prendre?
C’est une voix grave, basse. C’est un faux nom, je le sais, mais ça m’aidera quand nous ne serons plus seuls, ça me rend une part de contrôle, même ténu.
- Oui, je réponds, incapable de produire plus qu'un murmure.
- Il va falloir le mériter, dit-il. Il tire sur mes hanches pour me relever.
Il me fait tourner sur moi-même et saisit mon menton avec des doigts fermes. Il ne dit rien, je pense qu’il m’examine. J’espère que je lui plais. Je lève le menton, je m’offre à son regard. Je sens la chaleur de son grand corps tout près, un peu de menthe dans son haleine au-dessus de moi. C’est con mais ça me rassure un peu, cette odeur familière. Il passe son autre main sous mon haut, me caresse un sein, doucement d’abord, pour en savourer la courbe. Je suis heureuse d’être sortie sans soutien-gorge, je sens la chaleur de sa peau, sa texture un peu rêche. Puis il m’empaume franchement et serre un peu. Je sens mes genoux se dérober, je suis prête à faire tout ce qu’il veut.
- Tu vas me sucer et tu vas t’appliquer.
Il lâche mon menton et mon sein et appuie fermement sur mes épaules. Il me guide et ça y est, je suis à genoux. Je l’entends qui défait les boutons de son pantalon. Puis il guide mes mains jusqu’à sa queue. Elle est chaude, douce, déjà un peu dure, on dirait que mon cul lui a fait de l’effet. Je l’explore à l’aveuglette, je le caresse un peu du bout des doigts, au-dessus, en dessous, tout doucement. Je sens sa bite qui sursaute, comme pour me saluer. Ça y est les présentations sont faites, je passe aux choses sérieuses. Je l’empoigne délicatement, j’avance la tête et passe ma langue tout autour du gland. Je sens la chaleur et l’humidité de ma langue sur mes doigts. J’enduis le gland avec ma salive pour que ça glisse bien et avec mes lèvres arrondies et mouillées, je repousse la peau pour finir de dégager le gland, en serrant bien avec mon poing pour faire un beau fourreau tout chaud. Bientôt toute sa queue coulisse facilement dans ma bouche et elle gonfle, elle durcit.
Je passe avec bonheur ma langue sous le gland, autour, tour à tour langoureuse et avide. Assez vite elle bute, bien dure, au fond de ma gorge. Avant que j’aie le temps de prendre la décision toute seule, il pose la main sur ma tête et enfonçant les doigts dans mes cheveux libres, il pousse un peu pour presser ma tête vers lui, puis relâche la pression. Le message est passé, je fais de mon mieux pour détendre ma gorge et je focalise sur la ligne que forme mes lèvres serrées sur sa queue. J’essaie de faire avancer cette ligne le plus loin possible, le plus près de la base possible. Deux ou trois allers-retours et j’y suis presque.
Il me laisse reprendre ma respiration et j’y retourne. Cette fois il appuie franchement sur ma tête et avance le bassin. Je sens sa queue glisser plus loin, je ne bouge plus, je ne respire plus. Je me détends autant que possible, je suis totalement envahie de la plus intime des façons. Je l’entends qui retient lui aussi sa respiration, puis je sens ses doigts qui me caressent la joue, semblent me féliciter et il se retire doucement. D’un coup une grande joie s’empare de moi, je frissonne, je sens au tréfonds de moi quelque chose qui se serre très fort puis tout de suite se détend. Je sens un flot de mouille s’échapper de ma chatte. Je réattaque avec appétit, aidée dans ma tâche par l’abondance de salive qui s’est libérée au premier passage. Il donne de légers coups de bassin qui poussent sa queue de plus en plus loin. C’est assez lent mais très intense.
Tout à coup je sens des mains sur mes hanches, qui me tirent vers le haut. Depuis un moment les mains de Marc, pressées sur mes oreilles, impriment à ma bouche le mouvement et le rythme qui lui conviennent. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir à nouveau. Mon cœur a un raté mais je me laisse faire, sans cesser d’aspirer Marc avec gourmandise. J’ai les jambes tendues, en équilibre sur mes talons hauts et fins, je suis pliée en avant vers la queue de Marc, accrochée des deux mains à ses hanches, les fesses en l’air, frissonnantes. Je sens que l’on retourne ma jupe plissée jusque sur mon dos, puis des doigts caressent mes fesses, tracent l’attache de mon porte-jarretelle noir qui rend ma peau déjà claire crémeuse, puis glissent dans la raie de mes fesses nues, effleurent mon œillet qui palpite et enfin, enfin, un doigt passe en dessous pour explorer les replis de ma chatte.
- Et bien ça lui plait à cette petite salope ce qu’elle te fait. Moi c’est Luc. Tu veux de la bite un peu là-dedans ? Tu mouilles tellement que je ne sais même pas pourquoi je m’emmerde à te poser la question.
- Attends un peu, dit Marc, là elle était en train de mériter ma bite dans sa chatte. Prends ma place.
Ils me retournent prestement et avec mes yeux bandés, je manque perdre l’équilibre. Ils me rattrapent, l’un au niveau des épaules et l’autre par la taille.
- Elle est gaulée dis-donc, Luc s’exclame.
Il soupèse mes seins lourds à travers le coton, tire le tissu vers le bas et les soulève hors du débardeur puis les cale, bretelles sur les côtés, comme sur un présentoir. Il pince les mamelons, je sursaute. Il leur donne de petites claques qui les font tressauter. Il serre ma taille fine dans ses grandes mains, descend sur les hanches. Il défait le zip de ma jupe, la fait glisser le long de mes jambes.
- Soulève le pied, dit-il.
Un à un, je dégage mes talons du vêtement. J’entends le froissement du tissu quand la jupe atterrit un peu plus loin. Quatre mains me positionnent à nouveau. Jambes tendues, je suis à nouveau pliée en deux, mais dans l’autre sens. Je sens les mains de Marc tracer la ligne de ma colonne vertébrale, le creux de ma cambrure accentuée par mes talons, mes hanches moelleuses, mes fesses rondes. Il descend jusqu’à mes chevilles, remonte et glisse sur mes mollets, derrière les genoux, à l’intérieur des cuisses affinées par les bas noirs, me réchauffe la peau. Il caresse et empoigne tour à tour, il fait monter mon envie.
- Tu as raison, c’est un beau morceau.
- Voyons ce qu’elle sait faire, dit Luc en frottant sa queue sur ma joue.
Marc se glisse entre mes fesses, coulisse un peu vers le bas, fait tourner son membre dur à l’entrée de ma chatte. Il étale bien ma liqueur et sans autre préparation m’empale d’un trait, son passage facilité par l’abondance de mon jus. Presque en même temps, Luc glisse sa bite dans ma bouche ouverte sur le cri que je n’ai pas pu m’empêcher de pousser, surprise par la taille de Marc qui reste un moment immobile, enfoncé jusqu’à la garde. Il laisse le temps à mon corps de s’adapter. Luc en profite pour se servir de ma bouche comme il l’entend, donnant de petits coups rapides avec son bassin. Je fais de mon mieux pour écarter les mâchoires, pour ne pas le griffer avec mes dents pendant qu’il me baise la bouche de plus en plus fort.
Marc recommence à bouger, doucement d’abord puis ses mouvements se font amples ; la légère douleur a laissé place à une chaleur qui monte doucement mais sûrement dans mes reins, dans mon bas ventre. Je m’accroche de mon mieux, une main sur la hanche de Luc et de l’autre j’essaie de caresser ses couilles lourdes et lisses. Je remonte de temps en temps pour serrer dans ma paume la base de sa queue et je le sens qui grossit encore, mais les mouvements qu’ils impriment tous les deux à mon corps me font finalement trébucher. Marc se retire, Luc aussi et me manipulant comme la poupée consentante que je suis, ils m’installent rapidement à plat ventre sur la table, le cul en l’air à un bout et la tête de l’autre. Le bois est dur mais frais sur mes seins. Je sens une vague de chair de poule parcourir mon corps et disparaître rapidement, vaincue par la chaleur qui m’habite.
Une respiration et je suis envahie des deux côtés à la fois. Cette fois Luc a toute latitude pour donner de grands coups de reins dans ma bouche. Je perds la notion du temps, du lieu et je me laisse aller. Un rythme délicieux se met en place : à chaque fois que Marc revient s’enfoncer dans ma chatte brûlante, le mouvement me projette en avant. Je suis retenue par la queue de Luc qui glisse au fond de ma gorge, puis Luc donne un coup de rein qui me projette dans l’autre sens et j’ai le temps de prendre une courte inspiration avant de sentir et d’entendre le claquement du ventre de Marc sur mes fesses et c’est reparti. Ça me fait haleter comme un petit chien, comme la petite chienne que je suis. Je suis comme sur une balançoire, empalée des deux côtés, je monte et je monte, toujours plus haut, mais l’orgasme ne vient pas encore, il me manque quelque chose.
Je gémis et grogne de frustration comme je peux sur la queue de Luc. Je sens la main de Marc se glisser autour de ma hanche et sur mon ventre, majeur fureteur en avant. Il glisse le doigt de part et d’autre de mon clitoris gonflé, le fait tournoyer dans un petit cercle appuyé, encore et encore. Je n’ai pas une chance, au bout d’une minute à peine tous les nerfs de mon corps semblent fusionner dans une décharge d’énergie qui se concentre dans mon bas ventre avant d’exploser en pure sensation qui se répand comme une traînée de poudre jusqu’au bout de mes doigts. Je me fige, crispée en moi-même, suspendue à l’instant et je jouis, je crie, je m’accroche à la table, perdue dans cette plénitude que je suis venue trouver ici. Je redescends doucement, secouée par de mini-spasmes entretenus par les membres qui bougent toujours en moi. Apparemment je suis la seule à être partie, Luc et Marc continuent leurs mouvements synchronisés, mais plus doucement, me laissant le temps de revenir de l’ailleurs où j’ai disparu un moment.
Et j’entends la porte s’ouvrir à nouveau.
Je passe la langue sur mes lèvres, en haut, en bas, je mords un peu. Quand j’ai appliqué le rouge à lèvres tout à l’heure, j’ai ouvert la bouche et arrondi mes lèvres pleines, j’ai imaginé un sexe d’homme y entrer et en sortir, encore et encore. Je tourne à gauche, vers le cinéma. C'est la troisième fois que je viens, je suis sûre d'y trouver un homme, peut-être plusieurs. Le Club y a élu domicile, discrètement mais avec l’aval du propriétaire. Il fréquente les lieux lui aussi. J'entre dans le hall un peu décrépit du cinéma et fais mine de lire les critiques placardées aux murs. Je jette un œil à la caisse, le caissier m’a repérée. Il regarde le bracelet noir discret que j’arbore à la main droite puis me fixe d’un regard interrogateur. Je place ma main sur ma hanche ronde. Il baisse les yeux, regarde le nombre trois que je suis en train de lui montrer. Il hoche discrètement la tête et je me dirige vers le fond du hall, vers les toilettes et les escaliers. Je dépasse les toilettes et continue plus loin.
Je sais qu'à partir de maintenant c'est une question de minutes avant qu'un homme, puis deux, puis trois ne me suivent dans le couloir que je viens d'emprunter. Ils ouvriront comme moi la porte noire au bout et me trouveront offerte, courbée en avant, plaquée sur la table carrée au milieu de la petite pièce, accrochée comme à une bouée. Cette table qui ne semble avoir pour fonction que d'accueillir des femmes comme moi, des femmes en manque, les yeux bandés, la jupe relevée, les fesses nues tendues en arrière. J’attends. Ces quelques minutes semblent des heures, peuplées dans ma tête par les trois sexes gonflés dont j'ai envie ce soir.
Enfin, la porte s'ouvre. Elle ne grince pas : elle sert trop souvent pour ça. Je reste cambrée, dans l'expectative. Je sais que quoiqu'il arrive, je peux utiliser le mot d’alerte du club, « rouge », tout s’arrêtera. Ça ne m'empêche pas d'avoir un petit frisson, mélange d'excitation et de peur. J'entends un bruit de pas, puis la porte se ferme à nouveau. J’entends une respiration qui s'accélère. Qui que ce soit, il a une vue imprenable sur mes fesses offertes, ma petite chatte épilée, luisante, rose et gonflée de désir, mon petit trou que je ne peux m’empêcher de crisper un peu. Il y faudrait une langue moelleuse pour le détendre.
- Je m’appelle Marc. Tu veux te faire prendre?
C’est une voix grave, basse. C’est un faux nom, je le sais, mais ça m’aidera quand nous ne serons plus seuls, ça me rend une part de contrôle, même ténu.
- Oui, je réponds, incapable de produire plus qu'un murmure.
- Il va falloir le mériter, dit-il. Il tire sur mes hanches pour me relever.
Il me fait tourner sur moi-même et saisit mon menton avec des doigts fermes. Il ne dit rien, je pense qu’il m’examine. J’espère que je lui plais. Je lève le menton, je m’offre à son regard. Je sens la chaleur de son grand corps tout près, un peu de menthe dans son haleine au-dessus de moi. C’est con mais ça me rassure un peu, cette odeur familière. Il passe son autre main sous mon haut, me caresse un sein, doucement d’abord, pour en savourer la courbe. Je suis heureuse d’être sortie sans soutien-gorge, je sens la chaleur de sa peau, sa texture un peu rêche. Puis il m’empaume franchement et serre un peu. Je sens mes genoux se dérober, je suis prête à faire tout ce qu’il veut.
- Tu vas me sucer et tu vas t’appliquer.
Il lâche mon menton et mon sein et appuie fermement sur mes épaules. Il me guide et ça y est, je suis à genoux. Je l’entends qui défait les boutons de son pantalon. Puis il guide mes mains jusqu’à sa queue. Elle est chaude, douce, déjà un peu dure, on dirait que mon cul lui a fait de l’effet. Je l’explore à l’aveuglette, je le caresse un peu du bout des doigts, au-dessus, en dessous, tout doucement. Je sens sa bite qui sursaute, comme pour me saluer. Ça y est les présentations sont faites, je passe aux choses sérieuses. Je l’empoigne délicatement, j’avance la tête et passe ma langue tout autour du gland. Je sens la chaleur et l’humidité de ma langue sur mes doigts. J’enduis le gland avec ma salive pour que ça glisse bien et avec mes lèvres arrondies et mouillées, je repousse la peau pour finir de dégager le gland, en serrant bien avec mon poing pour faire un beau fourreau tout chaud. Bientôt toute sa queue coulisse facilement dans ma bouche et elle gonfle, elle durcit.
Je passe avec bonheur ma langue sous le gland, autour, tour à tour langoureuse et avide. Assez vite elle bute, bien dure, au fond de ma gorge. Avant que j’aie le temps de prendre la décision toute seule, il pose la main sur ma tête et enfonçant les doigts dans mes cheveux libres, il pousse un peu pour presser ma tête vers lui, puis relâche la pression. Le message est passé, je fais de mon mieux pour détendre ma gorge et je focalise sur la ligne que forme mes lèvres serrées sur sa queue. J’essaie de faire avancer cette ligne le plus loin possible, le plus près de la base possible. Deux ou trois allers-retours et j’y suis presque.
Il me laisse reprendre ma respiration et j’y retourne. Cette fois il appuie franchement sur ma tête et avance le bassin. Je sens sa queue glisser plus loin, je ne bouge plus, je ne respire plus. Je me détends autant que possible, je suis totalement envahie de la plus intime des façons. Je l’entends qui retient lui aussi sa respiration, puis je sens ses doigts qui me caressent la joue, semblent me féliciter et il se retire doucement. D’un coup une grande joie s’empare de moi, je frissonne, je sens au tréfonds de moi quelque chose qui se serre très fort puis tout de suite se détend. Je sens un flot de mouille s’échapper de ma chatte. Je réattaque avec appétit, aidée dans ma tâche par l’abondance de salive qui s’est libérée au premier passage. Il donne de légers coups de bassin qui poussent sa queue de plus en plus loin. C’est assez lent mais très intense.
Tout à coup je sens des mains sur mes hanches, qui me tirent vers le haut. Depuis un moment les mains de Marc, pressées sur mes oreilles, impriment à ma bouche le mouvement et le rythme qui lui conviennent. Je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir à nouveau. Mon cœur a un raté mais je me laisse faire, sans cesser d’aspirer Marc avec gourmandise. J’ai les jambes tendues, en équilibre sur mes talons hauts et fins, je suis pliée en avant vers la queue de Marc, accrochée des deux mains à ses hanches, les fesses en l’air, frissonnantes. Je sens que l’on retourne ma jupe plissée jusque sur mon dos, puis des doigts caressent mes fesses, tracent l’attache de mon porte-jarretelle noir qui rend ma peau déjà claire crémeuse, puis glissent dans la raie de mes fesses nues, effleurent mon œillet qui palpite et enfin, enfin, un doigt passe en dessous pour explorer les replis de ma chatte.
- Et bien ça lui plait à cette petite salope ce qu’elle te fait. Moi c’est Luc. Tu veux de la bite un peu là-dedans ? Tu mouilles tellement que je ne sais même pas pourquoi je m’emmerde à te poser la question.
- Attends un peu, dit Marc, là elle était en train de mériter ma bite dans sa chatte. Prends ma place.
Ils me retournent prestement et avec mes yeux bandés, je manque perdre l’équilibre. Ils me rattrapent, l’un au niveau des épaules et l’autre par la taille.
- Elle est gaulée dis-donc, Luc s’exclame.
Il soupèse mes seins lourds à travers le coton, tire le tissu vers le bas et les soulève hors du débardeur puis les cale, bretelles sur les côtés, comme sur un présentoir. Il pince les mamelons, je sursaute. Il leur donne de petites claques qui les font tressauter. Il serre ma taille fine dans ses grandes mains, descend sur les hanches. Il défait le zip de ma jupe, la fait glisser le long de mes jambes.
- Soulève le pied, dit-il.
Un à un, je dégage mes talons du vêtement. J’entends le froissement du tissu quand la jupe atterrit un peu plus loin. Quatre mains me positionnent à nouveau. Jambes tendues, je suis à nouveau pliée en deux, mais dans l’autre sens. Je sens les mains de Marc tracer la ligne de ma colonne vertébrale, le creux de ma cambrure accentuée par mes talons, mes hanches moelleuses, mes fesses rondes. Il descend jusqu’à mes chevilles, remonte et glisse sur mes mollets, derrière les genoux, à l’intérieur des cuisses affinées par les bas noirs, me réchauffe la peau. Il caresse et empoigne tour à tour, il fait monter mon envie.
- Tu as raison, c’est un beau morceau.
- Voyons ce qu’elle sait faire, dit Luc en frottant sa queue sur ma joue.
Marc se glisse entre mes fesses, coulisse un peu vers le bas, fait tourner son membre dur à l’entrée de ma chatte. Il étale bien ma liqueur et sans autre préparation m’empale d’un trait, son passage facilité par l’abondance de mon jus. Presque en même temps, Luc glisse sa bite dans ma bouche ouverte sur le cri que je n’ai pas pu m’empêcher de pousser, surprise par la taille de Marc qui reste un moment immobile, enfoncé jusqu’à la garde. Il laisse le temps à mon corps de s’adapter. Luc en profite pour se servir de ma bouche comme il l’entend, donnant de petits coups rapides avec son bassin. Je fais de mon mieux pour écarter les mâchoires, pour ne pas le griffer avec mes dents pendant qu’il me baise la bouche de plus en plus fort.
Marc recommence à bouger, doucement d’abord puis ses mouvements se font amples ; la légère douleur a laissé place à une chaleur qui monte doucement mais sûrement dans mes reins, dans mon bas ventre. Je m’accroche de mon mieux, une main sur la hanche de Luc et de l’autre j’essaie de caresser ses couilles lourdes et lisses. Je remonte de temps en temps pour serrer dans ma paume la base de sa queue et je le sens qui grossit encore, mais les mouvements qu’ils impriment tous les deux à mon corps me font finalement trébucher. Marc se retire, Luc aussi et me manipulant comme la poupée consentante que je suis, ils m’installent rapidement à plat ventre sur la table, le cul en l’air à un bout et la tête de l’autre. Le bois est dur mais frais sur mes seins. Je sens une vague de chair de poule parcourir mon corps et disparaître rapidement, vaincue par la chaleur qui m’habite.
Une respiration et je suis envahie des deux côtés à la fois. Cette fois Luc a toute latitude pour donner de grands coups de reins dans ma bouche. Je perds la notion du temps, du lieu et je me laisse aller. Un rythme délicieux se met en place : à chaque fois que Marc revient s’enfoncer dans ma chatte brûlante, le mouvement me projette en avant. Je suis retenue par la queue de Luc qui glisse au fond de ma gorge, puis Luc donne un coup de rein qui me projette dans l’autre sens et j’ai le temps de prendre une courte inspiration avant de sentir et d’entendre le claquement du ventre de Marc sur mes fesses et c’est reparti. Ça me fait haleter comme un petit chien, comme la petite chienne que je suis. Je suis comme sur une balançoire, empalée des deux côtés, je monte et je monte, toujours plus haut, mais l’orgasme ne vient pas encore, il me manque quelque chose.
Je gémis et grogne de frustration comme je peux sur la queue de Luc. Je sens la main de Marc se glisser autour de ma hanche et sur mon ventre, majeur fureteur en avant. Il glisse le doigt de part et d’autre de mon clitoris gonflé, le fait tournoyer dans un petit cercle appuyé, encore et encore. Je n’ai pas une chance, au bout d’une minute à peine tous les nerfs de mon corps semblent fusionner dans une décharge d’énergie qui se concentre dans mon bas ventre avant d’exploser en pure sensation qui se répand comme une traînée de poudre jusqu’au bout de mes doigts. Je me fige, crispée en moi-même, suspendue à l’instant et je jouis, je crie, je m’accroche à la table, perdue dans cette plénitude que je suis venue trouver ici. Je redescends doucement, secouée par de mini-spasmes entretenus par les membres qui bougent toujours en moi. Apparemment je suis la seule à être partie, Luc et Marc continuent leurs mouvements synchronisés, mais plus doucement, me laissant le temps de revenir de l’ailleurs où j’ai disparu un moment.
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