Le coiffeur turc

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le coiffeur turc Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le coiffeur turc
Je ne sais pas chez vous, mais ici dans ma petite ville de province de nombreux coiffeurs turcs se sont installés dans des anciens salons.

Ces salons sont tenus par de jeunes turcs, on ne voit jamais les mêmes à travers la vitre et j'avais envie de plus en plus de les essayer. (le salon pas les jeunes turcs! quoique…)
C'est ainsi que je me suis retrouvé à entrer dans le salon qui se trouve près de la boulangerie où je vais, c'est la première fois où je voyais le salon vide, d'habitude il y a toujours la queue, certes il était tard, et je décidais d'entrer.
-salut, c'est pas trop tard ?
-non non entre dit le jeune turc en me regardant, tu en as besoin et son sourire commercial s'agrandit.

Il me fait asseoir dans un grand fauteuil, bras sur les accoudoirs, après avoir enfilé une blouse en nylon rose, je souriais intérieurement car je me trouvais marrant dans cette couleur.
-court ? me demande-t-il en faisant claquer ses ciseaux et me regardant dans la glace.
-pas trop dis-je car la chaleur n'est pas encore arrivée.
-ok.

Et le voilà lancé. On entend plus que le bruit des ciseaux, je le regarde dans la glace faire son œuvre, il est très concentré sur son travail.

Le temps passe. Il tourne autour de moi et je sens sa cuisse s'appuyer sur ma main au bout de l'accoudoir. Je le regarde. Il continue son travail mais au fur et à mesure sa cuisse revient sur ma main et quand il se tourne c'est l'emplacement de son sexe qui se colle sur le dessus de ma main qui tient le bout de l'accoudoir.

Là je crois que j'ai chaud, je sens la chaleur m'envahir car il appuie et je sens bien son sexe mou. Je n'ose plus bouger. Il continue de me couper les cheveux et change de côté.

Pour remettre son entre jambe, collée encore à ma main. Mais est-ce mon imagination, mais il me semble que l'endroit est moins mou que tout à l'heure et je ne peux rien voir dans la glace, où je ne vois que son petit cul serré dans son jean.
J'ai la certitude maintenant qu'il se frotte contre ma main. Je baisse les yeux et je vois bien que son paquet a bien grossi.

Il continue de me couper les cheveux, les yeux rivés sur son travail.
Je bouge ma main qui s'enfonce sur sa queue. Il se bloque, continuant son travail, s'appuyant encore plus. Là j'ai encore plus chaud.

Je bouge mes doigts qui caressent ses couilles molles dans son jean. Là il ne peut pas dire qu'il ne sent rien le petit salaud!
Quand une voix arrive de l'arrière boutique. Elle doit parler turc, je ne comprends rien, il répond dans la même langue.

Je vois arriver un autre jeune turc qui vient baisser les rideaux les rendant opaques de la rue.
Mon coiffeur relève la tête, me fixe dans la glace.
-t'es mon dernier client ce soir dit-il en reprenant le travail.

Le deuxième turc finit de baisser les rideaux, même celui de la porte, vient vers nous, fait une bise à mon coiffeur.
-salut cousin à demain, au revoir monsieur me dit-il en me regardant dans la glace.
-au revoir.
Et je le vois partir par l'arrière boutique.
-c'est mon cousin qui travaille avec moi dit-il.

Et, il revient se positionner l'entre jambe sur ma main. Je sens bien que c'est mou alors je ne fais plus de chichi et je frotte le dos de ma main sur son entre jambe en le regardant. Il a le sourire autour de ses belles lèvres.

Il faut vous dire que ce jeune turc est un beau mec! un très beau mec, son torse enveloppé dans un tee-shirt blanc qui le moule bien, son jean serré fait remarquer toutes les formes, et son entre jambe est bien dessiné maintenant. Des cheveux courts, très courts avec des dessins, des espèces de spirales de chaque côté, cela lui va bien. Son visage fin, un nez allongé surmonté de deux yeux noirs aux sourcils bien taillés et de longs cils gracieux. Une petite moustache fine en formation surmonte ses lèvres bien dessinées et pulpeuses, quand il parle on voit sa langue rose bouger.

Il a presque finit son travail. Il passe sa main dans les cheveux qui me restent, sa main est chaude, douce et me fait frissonner. Il me touche la nuque entre ses doigts et maintenant c'est moi qui bande mais il ne peut le voir avec la blouse que j'ai.

Il prend un rasoir qu'il affûte en me regardant dans la glace, sourire aux lèvres comme un chasseur qui va achever sa proie. Je souris également, il se retourne, me penche la tête, passe son pouce mouillé sur ma tempe et d'un coup de rasoir enlève les poils qui restaient. J'ai le temps de voir que sa queue se dessine bien dans son jean, qu'il passe de l'autre côté du fauteuil, et vient coller son sexe sur ma main et procède de la même façon sur l'autre tempe, puis avec son rasoir, fait le tour de ma tête et enlève tous les petits poils sur la nuque.

Il repose son rasoir, prend une serviette qu'il me met autour du cou, prend une lotion, s'en verse dans une main et vient me masser la nuque, le cou, la tête, m'enveloppant de ses deux mains chaudes. Je frissonne de plus en plus et lui a toujours le sourire aux lèvres. Il me frictionne gentiment, je ferme les yeux et me laisse aller.
Je suis bien.

Mais cela a une fin. Il enlève la serviette, défait la blouse, passe sa main entre mes jambes pour la retirer, sa main frôle ma queue raide. Je me relève tachant de cacher mon érection mais il vient vers moi avec une brosse et me la passe sur les épaules, le dos, vient devant moi, frotte mon torse, descend sur ma poitrine et vient donner des coups de brosse sur mon pantalon, juste à l'endroit de ma queue. Je ne sais plus où me mettre.

Il me regarde.
-c'est le coiffeur qui te fais cet effet là ? dit-il en riant.
-moi dès qu'on me touche je réagis. mais je crois que toi aussi.
-moi c'est de toucher les mecs, ça me fait bander dit-il en me fixant et les derniers clients en général sont toujours les plus heureux.

Son visage s'approche de moi.
-ah bon pourquoi ? y'a un traitement spécial ?
-oui dit-il dans un souffle qui m'arrive dans le nez, ils ont droit de sucer le coiffeur après l'avoir touché durant la coupe.
-t'es un petit coquin toi… dis-je en souriant.

Ses lèvres étaient à peine deux centimètres des miennes et quand il a fermé les yeux, nos lèvres se sont touchées. J'ai été comme électrisé, ses bras m'ont approché de lui, nos corps se sont serrés et sa langue est venue faire connaissance avec la mienne.

Ses mains m'ont enlevé mon tee-shirt. J'ai enlevé le sien, nos torses se sont collés, frottés. Il était chaud bouillant le jeune turc, nos lèvres ne se quittaient plus.
J'ai senti qu'il défaisait son jean, j'en est fait autant et nos sexes bandés se sont collés l'un à l'autre à travers les boxers.
De ses deux mains il a appuyé sur mes épaules, je me suis retrouvé à genoux devant lui, j'ai baissé immédiatement son boxer pour libérer la belle queue turc.
Une belle bête, qui se redressait fièrement légèrement arquée vers le haut, le gland bien dessiné.

Ses mains m'ont appuyé sur la tête et mes lèvres sont entrées en contact avec le gland humide. Je l'ai léché, entouré de mes lèvres et il a coulissé en moi, glissant sur ma langue pour s'engouffrer jusqu'au fond de ma gorge, me faisant pleurer. Ses mains me tenaient la tête sur les joues, mes lèvres entouraient bien son gros sexe et il m'a baisé la bouche.

Lentement, me faisant apprécier la longueur, la grosseur, la dureté de sa bite. Je tenais ses belles couilles d'une main et, tout en me caressant les cheveux récemment coupés il a accéléré sa cadence. Elle était bonne sa queue, sa mouille coulait en permanence, j'en avais plein la bouche et la cadence a encore augmenté, j'ai adoré, adoré sentir ce morceau glisser dans ma bouche jusqu'au moment ou son pubis s'est collé à mes lèvres, que sa queue s'est figée et que la première giclée est arrivée directement dans ma gorge suivie tout de suite des autres. Toutes des giclées abondantes et fournies de bons jus épais.

Je l'entendais haleter quand il a retiré sa queue délicatement de ma bouche, laissant mes lèvres bien les essuyer. Sa main douce caressait ma joue. Il m'a aidé à me relever pour m'embrasser. Sa main chaude s'était saisie de ma queue et la caressait me faisant gémir.

J'ai voulu appuyer sur ses épaules. Il m'a juste fait non de la tête et sa main s'activait sur ma queue de plus en plus vite, sa bouche a rejoint la mienne, sa langue s'est enfoncée en moi, je le serrais contre moi, caressant la peau douce de son dos.

Il a arrêté de me branler pour me caresser les couilles, passant sa main entre mes jambes et son doigt est venu me titiller l'anus, oh pas longtemps il est vite revenu à ma queue et l'a branlé énergiquement. Je sentais le plaisir monter, venir, arriver et dans un râle victorieux je giclais entre ses doigts. J'avais l'impression de me vider et il ne cessait de jouer avec ma langue. Il m'a trait jusqu'à la dernière goutte, m'a donné ses doigts à lécher. Il avait son beau sourire aux lèvres.
-je suis ton premier turc ?
-oui dis-je.
-et tu me donnerais ton cul maintenant ?
Ma main touche sa queue, elle est encore raide de chez raide et toujours très humide.
-oui mais tu vas doucement aussi.
-je suis un tendre me dit-il à l'oreille.

Il m'a fait mettre à genoux sur le fauteuil où il m'avait coupé les cheveux, le cul bien tendu à l'arrière. Mes deux fesses ont été caressé tendrement en les ouvrant, il avait positionné le fauteuil de manière que je vois dans la glace tout ce qu'il me faisait. Il m'a claqué les fesses, oh pas très fort. Il regardait mon cul en le caressant, ses yeux étaient plein d'envie. Il a bien écarté les globes et s'est mis à genoux derrière moi me léchant la raie de sa belle et longue langue, l'inondant, titillant mon petit trou, le forçant avec sa langue, l'inondant. Son index a suivi la raie, s'est enfoncé doucement en moi. J'ai senti son doigt me caresser partout et pour me doigter en tournant il a mis deux doigts, m'ouvrant le cul comme il voulait.

Il s'est relevé, ses doigts toujours en moi. J'ai vu dans la glace sa queue raide, coulante de mouille, le gland se redressait fièrement, ça allait être la fête à mon cul.
Heureusement qu'il avait dit qu'il était un tendre.

La pénétration a été tendre, longue, douce mais j'ai senti entrer le morceau. Il y avait longtemps que je n'avais pas été ouvert comme ça. Quand j'ai vu dans la glace ses poils collés à mon cul, je ne voyais plus sa queue, mais je la sentais bien bouger en moi, je sentais son gros gland enserré dans mon conduit, ses mains se sont posées sur le haut de mes hanches, les enserrant… et le tendre est devenu bourrin.

Il a enclenché de suite le mode marteau pilon, cadence infernale, je gueulais, je râlais mais putain que c'était bon cette bonne queue turc!

Elle s'enfonçait toute en moi frappant le fond avec force, il la ressortait complètement et revenait en force. Je crois que j'ai jamais tant gémi et quand il s'est délivré au fond de moi j'étais heureux mais en même temps j'aurais aimé que cela dure plus longtemps encore. Ma queue coulait sur le fauteuil, sa queue toujours en moi.

Il m'a redressé, m'a saisi la queue et me mordant la nuque, m'a branlé avec force, je serrais mon petit cul sur sa queue qui ne débandait pas et quand j'ai joui sur le fauteuil des giclées énormes de sperme, il a repris ses coups de reins, moins forts mais aussi intenses, sa queue raidissait encore, ses mains me tenaient aux hanches et il m'enculait en rythme pour se déverser encore une fois en moi. Je sentais sa queue nager dans son sperme quand il s'est écroulé sur mon dos, je sentais les battements de son cœur.

Il me faisait des bisous dans le cou, je sentais sa queue débander… enfin! et sortir doucement de son logement.
On s'est retrouvé face à face, dans les bras l'un de l'autre à s'embrasser à pleine bouche les yeux fermés, nos corps soudés, nos bites collées, molles.

-tu reviendras chez ton coiffeur turc ? me demande-t-il en rigolant.
-est-ce que mon coiffeur turc vient à domicile des fois ?
-uniquement pour les gens malades qui ne peuvent se déplacer dit-il sérieusement.
-je suis souvent malade tu sais.
-alors appelle moi dit il en me tendant sa carte de visite
.
On s'est de nouveau embrassé. Rhabillé, il m'a payé une bière dans son salon et n'a pas voulu que je paie la coupe.

Bah ! en échange d'une coupe à 12 euros, une bière, une pipe et deux coups de bite! ça pouvait aller non ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'ai bien jouie en lisant cette superbe histoire

merci chers lecteurs… mais ça change tout le temps dans ce salon de coiffure…

Histoire Erotique
Histoire très excitante ! L'adresse de ce coiffeur S'il te plais !

Histoire Erotique
Très belle histoire qui me rappelle un passage chez un coiffeur , lui se frottait la bite sur mon coude . Manque de pot je n'étais pas son dernier client . Une fois terminé ma coupe et ma barbe il a disparu , je pense qu'il est aller se branler .
J'aurais bien aussi aller plus loin avec lui , ce n'était pas un turc mais un beau jeune mec quand même .



Texte coquin : Le coiffeur turc
Histoire sexe : Une rose rouge
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