Le collègue de travail de mon mari 2

Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le collègue de travail de mon mari 2
Je reprends le travail détendue, alors que Sylvain est encore en vacances.
Un soir, en rentrant, je trouve ma petit famille, en compagnie de celle de Thierry. A la vue de Thierry, mes vieux démons ressurgissent. J’en suis à me dire que tant que je n’ai pas goûter à sa queue, je ne serais en paix avec moi-même.
Le cri des enfants me ramène sur terre. Carole monopolise l’attention. Nous passons un bon moment, mais refuse nôtre invitation à dîner, et nous propose de partir un week-end dans la maison des parents de Thierry.
Mon mari accepte sans demander mon avis, étant sûr que j’étais d’accord
Lorsque nous arrivons à la campagne le vendredi soir, nous sommes accueillis chaleureusement. La soirée est placée sous le signe de l’humour, et mon envie pour Thierry est au maximum, pour mon plus grand désespoir.
Le samedi matin, nous devons aller faire des courses. Carole n’a pas envie de marcher, et Sylvain non plus. Ils décident que Thierry et moi, nous occupions de cette tache. Tous son ravis, sauf moi, mais me plie sans rien dire à l’avis général.
Je pars avec mon panier sous le bras, avec Thierry, pensant que Sylvain ne pouvait faire mieux pour mettre le loup dans la bergerie. Au bout dune centaine de mètres, Thierry me demande.
- Tu n’as pas l’air ravie d’être avec moi.
- N’importe quoi… Pourquoi tu dis ça ? Osais-je dire crânement.
- J’ai l’impression que je te perturbe, je me trompe ?
- Si on pouvait éviter ce genre de sujet, Thierry, ça m’arrangerait.
- Il se passe un truc entre nous, ne me dis pas que tu ne t’en es pas aperçu.
- Si, et je t’avoue que je ne comprends pas, je suis très heureuse avec Sylvain, je l’aime. J’ai tout ce qu’une femme peut espérer, mais il est vrai que ta présence me trouble, et je ne sais expliquer pourquoi.
Jusqu’au village, nous avons discuté de nôtre attirance l’un pour l’autre, cette discussion devait avoir lieu. Nous avons envie l’un de l’autre, mais respectons nos conjoins. Il n’y a pas de sentiment amoureux entre nous, seul nos corps sont attirés par le sexe.
Une fois les courses faites, nous nous attablons à la terrasse d’un café.
- Est-ce que tu crois qu’un jour, nous coucherons ensemble ?
- Je ne sais pas, j’en ai très envie, mais ferais en sorte que ça n’arrive pas.
Il pose une main sur la mienne, nos regards se croisent. Il se pencha,et dépose tout simplement un baiser sur mes lèvres. Un silence s’instaure, une plénitude plane dans l’air. Mes lèvres brûlent du contact éphémère des siennes. Je suis perdue dans mes pensées.
lorsque les autres arrivent.
La vie de tous les jours reprend sa place.
Le week-end fut agréable, nous nous entendons tous bien, et malgré le secret qui m’unit à Thierry, il n’y a pas de répercutions sur nôtre entente. Puis, le petit train train a repris. Nous nous voyons souvent, et mon envie pour Thierry est intacte, et toujours pas assouvie. Je ne me sens pour autant frustrée, j’aime être habitée par ce désir d’un homme. J’assume, car hormis le principal intéressé, je n’en ai parlé à personne.
Nos regards, à peine cachés à la vue des autres, sont toujours plein de désirs, nos mains, nos bras, nos jambes se frôlent et attise encore plus nôtre envie.
Les fêtes approchent. Nous décidons de passer le nouvel an ensemble.
Noël est passé, les enfants sont en vacances chez mes beaux-parents. Je suis à mon bureau lorsque Thierry me téléphone. Je suis surprise, il ne m’appelle jamais, j’ignorais qu’il avait mon numéro. Je lui fait part de mon étonnement.
- J’ai demandé ton numéro à Sylvain, je laisse ma voiture au garage en fin de journée. Je voulais savoir si tu pouvais me déposer chez moi, en sortant du bureau.
- OK… à quelle heure, et ou ?
On déjeune ensemble, et je t’explique tout ça, me dit-il. Je passe te chercher vers midi, ça te va ?
Tout ça dit sur un ton qui n’offre aucune possibilité de refuser.
- D’accord…
La matinée est longue. J’appréhende de me retrouver seule avec lui. Jusqu’ici, j’ai su résister à la tentation, mais plus le temps passe, plus mon désir augmente. Nous sommes souvent trois quand Sylvain et moi faisons l’amour, Thierry est toujours là, et prend souvent le dessus.dans mon esprit.
A midi, je retrouve Thierry devant mon bureau, il me tend les bras, m’embrasse sur la joue. Ce contact m’électrise.
- Je sais qu’il fait froid, dit-il, j’ai pris des sandwichs chauds, je te propose d’aller les manger dans le parc là bas. Je le suis, nous asseyons sur un banc. Il n’y a pas âme qui vive autour de nous. Il me donne mon déjeuner, mangeons en silence.
Le repas terminé, il engage la conversation sur les fêtes de fin d’année. Je le regarde, et une seule chose m’importe en ce moment… C’est qu’il m’embrasse. J’ai envie que ses lèvres recouvrent les miennes, que mon corps, gelé par le froid, soit réchauffer par un baiser. A cette minute, je n’ai plus de mari, plus de morale, plus d’attache. Je veux simplement appartenir à cet homme, qui depuis six mois, hante mon esprit.
Le mot obsession prend là, toute son ampleur, je suis obsédée par Thierry, à tel point, que je suis prête à tout, pour échapper à cette hantise. Et cette petite voix qui revient sans cesse « Attention Danger ». Suis-je prête à la défier.
Si moi j’ai de la retenue, la cochonne qui est en moi, est impatiente.
Mais un sursaut de bon sens me fait lever, et lui demander de marcher un peu. Nous nous promenons l’un à côté de l’autre, un peu trop près, puisque régulièrement, nos mains se frôlent.
Près d’un arbre, il s’arrête, se met face à moi. Il me plaque contre l’écorce froide, sa main toujours dans la mienne. Tout mon corps lui crie de m’embrasser. Il me regarde.
J’oublie qui je suis, et me perds encore une fois dans son regard. Je perds pied, m’approche de lui, ma bouche se pose sur la sienne. Ma langue force le passage, et nous nous embrassons avec cette passion qu’on les amants, à leur premier rendez-vous.
Malgré les gerçures qui risquent de biser nos lèvres, nous insistons. Nos langues s’épuisent à force de se défier. Je me surprends à gémir, comme si j’allais jouir. Il me prends dans ses bras, mon dieu que je m’y sens bien, je n’ai pas envie que ce moment s’arrête.
- J’ai envie de toi, me dit-il.
- Moi aussi lui réponds-je dans un souffle glacial.
Mais l’endroit ne s’y prête pas. Au bout de quelques minutes, nos bouches gercés s’unissent. S’il ne faisait pas si froid, je me demande si nous n’aurions pas baiser.
Mais je me vois mal me faire enfiler par la queue de Thierry, dont je doute de sa raideur, sur un sol gelé, par une température avoisinant les zéros degrés. Des chattes ont pris froid pour moins que ça, avec des températures supérieure.
Finalement, le froid a raison de nous. Nous décidons d’aller dans une espèce de taverne, nous réchauffer. L’ambiance y est accueillante, chaude. J’ôte mon manteau, me retrouvant en courte jupe de laine, sur des collants du même tissu. Je me tourne et voit l’écriteau sur le bar. « Chambre à louer ». Comme il est placé, Thierry ne peut le voir. Mais qu’aurait-il proposé s’il l’avait vu ?
M’aurait-il dit d’en louer une, pour enfin me baiser, et assouvir mon fantasme ? Mon imaginaire se mit en action. Je me voyais allongée dans des draps douillé en train de me faire prendre dans toutes les positions, gémissant sous ses va et vient incessant jusqu’à l’orgasme. Puis, je sucerais sa queue jusqu’à en avaler sa semence.
D’ailleurs, comment est-elle sa queue ? Est-elle grosse comme celle de mon mari, déjà
bien calibrée. Tout en regardant ma montre, je quittais mes vilaines pensées.
Je lui dis que sa voiture doit être prête, et lui proposais de le ramener au garage. Je lis la déception sur son visage. S’attendait-il à mieux ?
Un bref baiser sur la joue, et je rentrais chez moi rapidement, il était dix sept heures.
Le soir, vers vingt heures, la famille arrive pour discuter des derniers préparatifs du réveillon. Le visage de Thierry est fermé, et je peux comprendre. Il s’attendait à autre chose quand il m’a proposé le mener au garage. Il pensait qu’il me baiserait, que je le sucerais, peut-être d’avantage, en attendant la réparation.
Après avoir tout bouclé, nous leur proposons de dîner avec nous. Les petits étant endormis, on leur propose même de coucher. Carole demande si elle peut coucher avec ses enfants, dans la troisième chambre. Je vis, à la tête de mon mari, que ce n’était pas ça qu’il espérait. Il voulait passer une nuit coquine, dont il a le secret.
Nous étions dans le salon en train de purger une dernière bière, quand Sylvain décidait d’aller se coucher. Carole et les enfants y étaient déjà. Je me retirais dans la salle de bain pour prendre un douche. J’enfilais un soutien-gorge noir, une fine culotte noire elle aussi, le tout sous un peignoir en soie noire.
En sortant de la salle de bain, je vis les spots du bar éclairés. Pensant à un oubli, je m’avançais dans le salon. C’est là que je vis Thierry accoudé au comptoir, un verre à la main. Par pudeur, je fermais mon peignoir.
- Non...s’il te plaît, ne fait pas ça...reste comme tu es.
Il me servis un verre, et nous sommes dirigés vers la grande baie vitrée. Soudain, je senti des mains prendre ma taille. Il m’embrassa tendrement le cou. Je senti un frisson parcourir mon échine. Nous n’avions été aussi proche. D’un geste subtil, il fit sauter le crochet du soutien-gorge. Mes seins jaillirent, ferme, les bouts dressés. Lentement, sa main se glissa entre mes cuisses, tenta de se faufiler dans ma fine culotte. Je l’arrêtais.
- Tu sas ce que je ressens, souffla-t-il dans mon cou, et toi aussi tu le ressens.
J’avouais à demi-mot. Il avait raison, passer une nuit avec lui, j’en avait toujours rêvé.
- Penses-tu pouvoir me rejoindre cette nuit, qu’on couche ensemble, demanda-t-il.
- J’en ai vraiment envie aussi, murmurais-je, en tout cas, je ferai mon possible.
Satisfait, Thierry m’embrassa tendrement et mon ta dans sa chambre. Je restais seule à réfléchir. Cette nuit, j’allais tromper mon mari.
Je retournais à la salle de bain me rafraîchir. Puis je pulvérisais un parfum subtil, celui que m’avait offert Sylvain, et que je gardais exclusivement pour lui. Je regardais dans le miroir la femme qui allait commettre l’adultère. Calmement, je traversais le salon.
N’allais-je pas faire une énorme bêtise ? Rejoindre Thierry, me faire baiser avec mon mari dans la chambre à côté. Mais baiser avec lui, est-ce que j’ai toujours voulu ?
Cette nuit, un aura obtenu ce qu’il voulait, l’autre sera un mari trompé.
J’avais toute la volée d’escalier pour prendre une décision définitive. Arrivée sur le palier, à gauche le chambre de Thierry, à droite, celle de mon mari que j’espérais endormi.
Je posais délicatement ma main sur la poignée de la porte...je la poussé et entrais...
Mon mari sortait de la douche, une serviette enroulée autour de la taille.
- Baises-moi, debout contre le mur...sur la chaise, ou tu veux...par ou tu veux, mais baises-moi...j’ai trop envie.
Sylvain ne comprenait pas, il resta scotché au milieu de la chambre.
- Mais...que t’arrive-t-il…
Il ne finit pas sa phrase, je m’agenouillais, fis glisser la serviette et pris sa queue en bouche. Je la trouvais énorme. Je le pousse à me prendre sauvagement, sans se préoccuper si ma chatte et mouillée ou pas...elle l’est. Il me prend par les hanches, écarte mes jambes, et s’enfonce en moi, sans préliminaires. Il n’y en avait pas besoin, sa queue me convenait parfaitement. Ma chatte pleurait d’envie, comme si elle allait mourir. Mes gémissement augmentaient à chaque coup de queue, il me bâillonnait la bouche pour atténuer mes cris.
Sylvain était exceptionnel, m’a baisée comme certainement Thierry ne l’aurait jamais fait. Il m’a sodomisée, je l’ai sucé jusqu’à faire gicler sa semence dans ma bouche. J’ai tout avalé. Il ne résiste pas longtemps à mes exigences, et remplit ma chatte de son abondante semence. Il excite mon clitoris, mon petit trou, me sodomise encore une fois. Après avoir joui, je lui offre mon orgasme. Il est terrible, mon corps est prit de spasmes de plaisir. Je parvins à le maintenir jusqu’au matin.
Une fois mon corps assouvie, il se retire, me donne un sulfureux baiser. Ce que Sylvain ignore, c’est que je viens de le tromper. Car l’images que me renvoyait le miroir fixé au mur, était totalement différentes. C’était la queue de Thierry, qui baisait ma chatte, qui me sodomisait. C’est sa queue qui se branlait entre mes seins, coulissait dans ma bouche, son sperme que j’avalais, même si ne pouvais en définir le goût. Je voyais sa queue plus grosse que celle de mon mari, alors que la réalité est tout autre, car Sylvain, est hyper monté. Mais l’attirance ne s’arrête pas à ça, c’est comme ça, c’est tout.
Pour la première fois de ma vie, je jouis avec mon mari, en pensant à un autre homme. Je me sens coupable et gênée par cette pensée.
Mais Thierry m’aurait-il apporté le plaisir que mon mari m’a donné. J’en doute. Sylvain a été au-delà de mes attentes. J’écoute sa respiration, et mes pensées vagabondent.
Je suis tellement dans l’envie de me faire baiser par Thierry, que cette idée m’obsède encore, que je pensais à lui quand mon mari m’honorait. D’ailleurs, l’idée d’aller le rejoindre me traverse l’esprit, mais comment me recevrait-il, après deux heures sulfureuses, passées à me le faire mettre par mon mari.
Au réveil, mon mari est toujours attentionné, prêt à remettre ça. Ses caresses sont douces. Je lui conseille de prendre une bonne douche pour calmer ses ardeurs.
Tu étais coquine cette nuit, ma chérie. C’est Thierry qui t’a allumée comme ça ? Et qu’aurais-tu fait si je n’avais pas éteint l’incendie ?
Je lui répondis que peut-être lui, l’aurait fait… Que c’était dommage pour lui. Qu’il aurait pu profiter d’une superbe nuit à me baiser. Sylvain ne relève pas l’allusion.
Le matin, je rejoins Thierry au salon. Il n’a pas la tête des grands jours.
- Je t’ai attendu cette nuit, j’étais sûr que tu viendrais. J’y est tellement cru.
Je lui dis que j’en avais l’intention, mais l’amour pour mon mari était plus fort, que j’étais désolé, mais qui sait, peut-être qu’un jour ça se produira. On fera l’amour, mais pas sous mon toit.
Il me dit qu’il avait reçu sa mutation pour la Canada, ça lui fera du bien de s’éloigner de moi. D’ailleurs, il ne veux même plus me voir jusqu’à son départ.
- Tu remercieras Sylvain pour moi. Lui au moins, il est honnête, vrai, un bon pote. Il ne méritait pas ce qu’on était prêt à faire.
Je prends un sacré coup, mais ne peux lui en vouloir, je lui avait laissé entrevoir l’opportunité de pouvoir me baiser, et j’ai failli à ça. Les adieux furent déchirant.
Malgré la forte attirance physique que j’avais, je n’ai pas eu le courage de m’offrir à lui, par amour pour mon mari. Il me faut tourner la page, et me projeter vers la sieste crapuleuse que me propose Sylvain.
Un soir, en rentrant, je trouve ma petit famille, en compagnie de celle de Thierry. A la vue de Thierry, mes vieux démons ressurgissent. J’en suis à me dire que tant que je n’ai pas goûter à sa queue, je ne serais en paix avec moi-même.
Le cri des enfants me ramène sur terre. Carole monopolise l’attention. Nous passons un bon moment, mais refuse nôtre invitation à dîner, et nous propose de partir un week-end dans la maison des parents de Thierry.
Mon mari accepte sans demander mon avis, étant sûr que j’étais d’accord
Lorsque nous arrivons à la campagne le vendredi soir, nous sommes accueillis chaleureusement. La soirée est placée sous le signe de l’humour, et mon envie pour Thierry est au maximum, pour mon plus grand désespoir.
Le samedi matin, nous devons aller faire des courses. Carole n’a pas envie de marcher, et Sylvain non plus. Ils décident que Thierry et moi, nous occupions de cette tache. Tous son ravis, sauf moi, mais me plie sans rien dire à l’avis général.
Je pars avec mon panier sous le bras, avec Thierry, pensant que Sylvain ne pouvait faire mieux pour mettre le loup dans la bergerie. Au bout dune centaine de mètres, Thierry me demande.
- Tu n’as pas l’air ravie d’être avec moi.
- N’importe quoi… Pourquoi tu dis ça ? Osais-je dire crânement.
- J’ai l’impression que je te perturbe, je me trompe ?
- Si on pouvait éviter ce genre de sujet, Thierry, ça m’arrangerait.
- Il se passe un truc entre nous, ne me dis pas que tu ne t’en es pas aperçu.
- Si, et je t’avoue que je ne comprends pas, je suis très heureuse avec Sylvain, je l’aime. J’ai tout ce qu’une femme peut espérer, mais il est vrai que ta présence me trouble, et je ne sais expliquer pourquoi.
Jusqu’au village, nous avons discuté de nôtre attirance l’un pour l’autre, cette discussion devait avoir lieu. Nous avons envie l’un de l’autre, mais respectons nos conjoins. Il n’y a pas de sentiment amoureux entre nous, seul nos corps sont attirés par le sexe.
Une fois les courses faites, nous nous attablons à la terrasse d’un café.
- Est-ce que tu crois qu’un jour, nous coucherons ensemble ?
- Je ne sais pas, j’en ai très envie, mais ferais en sorte que ça n’arrive pas.
Il pose une main sur la mienne, nos regards se croisent. Il se pencha,et dépose tout simplement un baiser sur mes lèvres. Un silence s’instaure, une plénitude plane dans l’air. Mes lèvres brûlent du contact éphémère des siennes. Je suis perdue dans mes pensées.
lorsque les autres arrivent.
La vie de tous les jours reprend sa place.
Le week-end fut agréable, nous nous entendons tous bien, et malgré le secret qui m’unit à Thierry, il n’y a pas de répercutions sur nôtre entente. Puis, le petit train train a repris. Nous nous voyons souvent, et mon envie pour Thierry est intacte, et toujours pas assouvie. Je ne me sens pour autant frustrée, j’aime être habitée par ce désir d’un homme. J’assume, car hormis le principal intéressé, je n’en ai parlé à personne.
Nos regards, à peine cachés à la vue des autres, sont toujours plein de désirs, nos mains, nos bras, nos jambes se frôlent et attise encore plus nôtre envie.
Les fêtes approchent. Nous décidons de passer le nouvel an ensemble.
Noël est passé, les enfants sont en vacances chez mes beaux-parents. Je suis à mon bureau lorsque Thierry me téléphone. Je suis surprise, il ne m’appelle jamais, j’ignorais qu’il avait mon numéro. Je lui fait part de mon étonnement.
- J’ai demandé ton numéro à Sylvain, je laisse ma voiture au garage en fin de journée. Je voulais savoir si tu pouvais me déposer chez moi, en sortant du bureau.
- OK… à quelle heure, et ou ?
On déjeune ensemble, et je t’explique tout ça, me dit-il. Je passe te chercher vers midi, ça te va ?
Tout ça dit sur un ton qui n’offre aucune possibilité de refuser.
- D’accord…
La matinée est longue. J’appréhende de me retrouver seule avec lui. Jusqu’ici, j’ai su résister à la tentation, mais plus le temps passe, plus mon désir augmente. Nous sommes souvent trois quand Sylvain et moi faisons l’amour, Thierry est toujours là, et prend souvent le dessus.dans mon esprit.
A midi, je retrouve Thierry devant mon bureau, il me tend les bras, m’embrasse sur la joue. Ce contact m’électrise.
- Je sais qu’il fait froid, dit-il, j’ai pris des sandwichs chauds, je te propose d’aller les manger dans le parc là bas. Je le suis, nous asseyons sur un banc. Il n’y a pas âme qui vive autour de nous. Il me donne mon déjeuner, mangeons en silence.
Le repas terminé, il engage la conversation sur les fêtes de fin d’année. Je le regarde, et une seule chose m’importe en ce moment… C’est qu’il m’embrasse. J’ai envie que ses lèvres recouvrent les miennes, que mon corps, gelé par le froid, soit réchauffer par un baiser. A cette minute, je n’ai plus de mari, plus de morale, plus d’attache. Je veux simplement appartenir à cet homme, qui depuis six mois, hante mon esprit.
Le mot obsession prend là, toute son ampleur, je suis obsédée par Thierry, à tel point, que je suis prête à tout, pour échapper à cette hantise. Et cette petite voix qui revient sans cesse « Attention Danger ». Suis-je prête à la défier.
Si moi j’ai de la retenue, la cochonne qui est en moi, est impatiente.
Mais un sursaut de bon sens me fait lever, et lui demander de marcher un peu. Nous nous promenons l’un à côté de l’autre, un peu trop près, puisque régulièrement, nos mains se frôlent.
Près d’un arbre, il s’arrête, se met face à moi. Il me plaque contre l’écorce froide, sa main toujours dans la mienne. Tout mon corps lui crie de m’embrasser. Il me regarde.
J’oublie qui je suis, et me perds encore une fois dans son regard. Je perds pied, m’approche de lui, ma bouche se pose sur la sienne. Ma langue force le passage, et nous nous embrassons avec cette passion qu’on les amants, à leur premier rendez-vous.
Malgré les gerçures qui risquent de biser nos lèvres, nous insistons. Nos langues s’épuisent à force de se défier. Je me surprends à gémir, comme si j’allais jouir. Il me prends dans ses bras, mon dieu que je m’y sens bien, je n’ai pas envie que ce moment s’arrête.
- J’ai envie de toi, me dit-il.
- Moi aussi lui réponds-je dans un souffle glacial.
Mais l’endroit ne s’y prête pas. Au bout de quelques minutes, nos bouches gercés s’unissent. S’il ne faisait pas si froid, je me demande si nous n’aurions pas baiser.
Mais je me vois mal me faire enfiler par la queue de Thierry, dont je doute de sa raideur, sur un sol gelé, par une température avoisinant les zéros degrés. Des chattes ont pris froid pour moins que ça, avec des températures supérieure.
Finalement, le froid a raison de nous. Nous décidons d’aller dans une espèce de taverne, nous réchauffer. L’ambiance y est accueillante, chaude. J’ôte mon manteau, me retrouvant en courte jupe de laine, sur des collants du même tissu. Je me tourne et voit l’écriteau sur le bar. « Chambre à louer ». Comme il est placé, Thierry ne peut le voir. Mais qu’aurait-il proposé s’il l’avait vu ?
M’aurait-il dit d’en louer une, pour enfin me baiser, et assouvir mon fantasme ? Mon imaginaire se mit en action. Je me voyais allongée dans des draps douillé en train de me faire prendre dans toutes les positions, gémissant sous ses va et vient incessant jusqu’à l’orgasme. Puis, je sucerais sa queue jusqu’à en avaler sa semence.
D’ailleurs, comment est-elle sa queue ? Est-elle grosse comme celle de mon mari, déjà
bien calibrée. Tout en regardant ma montre, je quittais mes vilaines pensées.
Je lui dis que sa voiture doit être prête, et lui proposais de le ramener au garage. Je lis la déception sur son visage. S’attendait-il à mieux ?
Un bref baiser sur la joue, et je rentrais chez moi rapidement, il était dix sept heures.
Le soir, vers vingt heures, la famille arrive pour discuter des derniers préparatifs du réveillon. Le visage de Thierry est fermé, et je peux comprendre. Il s’attendait à autre chose quand il m’a proposé le mener au garage. Il pensait qu’il me baiserait, que je le sucerais, peut-être d’avantage, en attendant la réparation.
Après avoir tout bouclé, nous leur proposons de dîner avec nous. Les petits étant endormis, on leur propose même de coucher. Carole demande si elle peut coucher avec ses enfants, dans la troisième chambre. Je vis, à la tête de mon mari, que ce n’était pas ça qu’il espérait. Il voulait passer une nuit coquine, dont il a le secret.
Nous étions dans le salon en train de purger une dernière bière, quand Sylvain décidait d’aller se coucher. Carole et les enfants y étaient déjà. Je me retirais dans la salle de bain pour prendre un douche. J’enfilais un soutien-gorge noir, une fine culotte noire elle aussi, le tout sous un peignoir en soie noire.
En sortant de la salle de bain, je vis les spots du bar éclairés. Pensant à un oubli, je m’avançais dans le salon. C’est là que je vis Thierry accoudé au comptoir, un verre à la main. Par pudeur, je fermais mon peignoir.
- Non...s’il te plaît, ne fait pas ça...reste comme tu es.
Il me servis un verre, et nous sommes dirigés vers la grande baie vitrée. Soudain, je senti des mains prendre ma taille. Il m’embrassa tendrement le cou. Je senti un frisson parcourir mon échine. Nous n’avions été aussi proche. D’un geste subtil, il fit sauter le crochet du soutien-gorge. Mes seins jaillirent, ferme, les bouts dressés. Lentement, sa main se glissa entre mes cuisses, tenta de se faufiler dans ma fine culotte. Je l’arrêtais.
- Tu sas ce que je ressens, souffla-t-il dans mon cou, et toi aussi tu le ressens.
J’avouais à demi-mot. Il avait raison, passer une nuit avec lui, j’en avait toujours rêvé.
- Penses-tu pouvoir me rejoindre cette nuit, qu’on couche ensemble, demanda-t-il.
- J’en ai vraiment envie aussi, murmurais-je, en tout cas, je ferai mon possible.
Satisfait, Thierry m’embrassa tendrement et mon ta dans sa chambre. Je restais seule à réfléchir. Cette nuit, j’allais tromper mon mari.
Je retournais à la salle de bain me rafraîchir. Puis je pulvérisais un parfum subtil, celui que m’avait offert Sylvain, et que je gardais exclusivement pour lui. Je regardais dans le miroir la femme qui allait commettre l’adultère. Calmement, je traversais le salon.
N’allais-je pas faire une énorme bêtise ? Rejoindre Thierry, me faire baiser avec mon mari dans la chambre à côté. Mais baiser avec lui, est-ce que j’ai toujours voulu ?
Cette nuit, un aura obtenu ce qu’il voulait, l’autre sera un mari trompé.
J’avais toute la volée d’escalier pour prendre une décision définitive. Arrivée sur le palier, à gauche le chambre de Thierry, à droite, celle de mon mari que j’espérais endormi.
Je posais délicatement ma main sur la poignée de la porte...je la poussé et entrais...
Mon mari sortait de la douche, une serviette enroulée autour de la taille.
- Baises-moi, debout contre le mur...sur la chaise, ou tu veux...par ou tu veux, mais baises-moi...j’ai trop envie.
Sylvain ne comprenait pas, il resta scotché au milieu de la chambre.
- Mais...que t’arrive-t-il…
Il ne finit pas sa phrase, je m’agenouillais, fis glisser la serviette et pris sa queue en bouche. Je la trouvais énorme. Je le pousse à me prendre sauvagement, sans se préoccuper si ma chatte et mouillée ou pas...elle l’est. Il me prend par les hanches, écarte mes jambes, et s’enfonce en moi, sans préliminaires. Il n’y en avait pas besoin, sa queue me convenait parfaitement. Ma chatte pleurait d’envie, comme si elle allait mourir. Mes gémissement augmentaient à chaque coup de queue, il me bâillonnait la bouche pour atténuer mes cris.
Sylvain était exceptionnel, m’a baisée comme certainement Thierry ne l’aurait jamais fait. Il m’a sodomisée, je l’ai sucé jusqu’à faire gicler sa semence dans ma bouche. J’ai tout avalé. Il ne résiste pas longtemps à mes exigences, et remplit ma chatte de son abondante semence. Il excite mon clitoris, mon petit trou, me sodomise encore une fois. Après avoir joui, je lui offre mon orgasme. Il est terrible, mon corps est prit de spasmes de plaisir. Je parvins à le maintenir jusqu’au matin.
Une fois mon corps assouvie, il se retire, me donne un sulfureux baiser. Ce que Sylvain ignore, c’est que je viens de le tromper. Car l’images que me renvoyait le miroir fixé au mur, était totalement différentes. C’était la queue de Thierry, qui baisait ma chatte, qui me sodomisait. C’est sa queue qui se branlait entre mes seins, coulissait dans ma bouche, son sperme que j’avalais, même si ne pouvais en définir le goût. Je voyais sa queue plus grosse que celle de mon mari, alors que la réalité est tout autre, car Sylvain, est hyper monté. Mais l’attirance ne s’arrête pas à ça, c’est comme ça, c’est tout.
Pour la première fois de ma vie, je jouis avec mon mari, en pensant à un autre homme. Je me sens coupable et gênée par cette pensée.
Mais Thierry m’aurait-il apporté le plaisir que mon mari m’a donné. J’en doute. Sylvain a été au-delà de mes attentes. J’écoute sa respiration, et mes pensées vagabondent.
Je suis tellement dans l’envie de me faire baiser par Thierry, que cette idée m’obsède encore, que je pensais à lui quand mon mari m’honorait. D’ailleurs, l’idée d’aller le rejoindre me traverse l’esprit, mais comment me recevrait-il, après deux heures sulfureuses, passées à me le faire mettre par mon mari.
Au réveil, mon mari est toujours attentionné, prêt à remettre ça. Ses caresses sont douces. Je lui conseille de prendre une bonne douche pour calmer ses ardeurs.
Tu étais coquine cette nuit, ma chérie. C’est Thierry qui t’a allumée comme ça ? Et qu’aurais-tu fait si je n’avais pas éteint l’incendie ?
Je lui répondis que peut-être lui, l’aurait fait… Que c’était dommage pour lui. Qu’il aurait pu profiter d’une superbe nuit à me baiser. Sylvain ne relève pas l’allusion.
Le matin, je rejoins Thierry au salon. Il n’a pas la tête des grands jours.
- Je t’ai attendu cette nuit, j’étais sûr que tu viendrais. J’y est tellement cru.
Je lui dis que j’en avais l’intention, mais l’amour pour mon mari était plus fort, que j’étais désolé, mais qui sait, peut-être qu’un jour ça se produira. On fera l’amour, mais pas sous mon toit.
Il me dit qu’il avait reçu sa mutation pour la Canada, ça lui fera du bien de s’éloigner de moi. D’ailleurs, il ne veux même plus me voir jusqu’à son départ.
- Tu remercieras Sylvain pour moi. Lui au moins, il est honnête, vrai, un bon pote. Il ne méritait pas ce qu’on était prêt à faire.
Je prends un sacré coup, mais ne peux lui en vouloir, je lui avait laissé entrevoir l’opportunité de pouvoir me baiser, et j’ai failli à ça. Les adieux furent déchirant.
Malgré la forte attirance physique que j’avais, je n’ai pas eu le courage de m’offrir à lui, par amour pour mon mari. Il me faut tourner la page, et me projeter vers la sieste crapuleuse que me propose Sylvain.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien écrit, agréable à lire, mais un peu déçu par cette suite redondante avec la première partie qui se suffisait. Dommage !
J'aurais aimé que le mari les surprenne dans le salon. Comme un con, il est parti se coucher. Heureusement que sa femme est forte, et ne veuille pas le tromper.
Je redoute les épisodes suivants. Elle ne va pas tenir longtemps.
J'aurais aimé que le mari les surprenne dans le salon. Comme un con, il est parti se coucher. Heureusement que sa femme est forte, et ne veuille pas le tromper.
Je redoute les épisodes suivants. Elle ne va pas tenir longtemps.
Bravo, il n'y a pas d'autres mots...
Je suis admiratif...
Cyrille
Je suis admiratif...
Cyrille
C'est une résistance héroïque!

