Le Conte de Gaëlle Noël. - histoire érotique

Le Conte De Noël

Cette année-là, comme chaque année la veille du réveillon de Noël, le Père Noël préparait les derniers préparatifs de la préparation de sa tournée annuelle, mais soudain, un grondement se fit entendre.
Alerté par le bruit, les lutins du Père Noël accouraient pour découvrir ce qu’il s’était passé, c’est avec stupeur qu’il découvrir le Père Noël allongé sur le sol, un bref examen des lutins médecins conclu que le Père Noël avait glissé, et dans sa chute, le bras s’était fracturé.
« Avec un bras cassé, Noël est annulé !? » dit un premier lutin.
« Impossible d’annuler Noël, une seul solution, lui demander à Elle » dit un second lutin.
« Gaëlle Noël ne quittera jamais PC, elle serait trop vexée » répondit un autre lutin.
« Je ne vois pas d’autre solution, nous lui demanderons avec détermination » répondit encore un autre lutin.
« Il suffit ! » gronda le Père Noël, « si son Père lui demande, ma fille ne pourra refuser » ajouta-t-il.

Une fois le Père Noël soigné, il s’en alla trouver sa fille qui, comme à son habitude, était dans sa chambre, devant son ordinateur.
Lorsqu’elle le vit, le bras plâtré et en écharpe, elle s’inquiéta pour son papa, mais celui-ci la rassura, avant de lui demander de le remplacé cette année.
Hésitante au début, elle dû s’avouer vaincue, et du haut de ses 21 ans, commencé en express son entrainement.
Le jour J, elle serait fin prête à la tâche, et ne fuirai pas comme une lâche.

Équipée de ses bottes noires et de son long manteau rouge au liseré de fourrure blanche, elle chargea la hotte magique du Père Noël dans le traineau et parti accomplir sa mission.
Elle apprécia de sentir le vent dans ses longs cheveux noirs, ses yeux bleus ne pouvaient s’empêcher d’admirer la vue de puis les cieux tandis qu’elle volait dans le traineau tiré par les rennes.
Jusqu’ici, sa mission s’était déroulée sans encombre, elle rentrait sans effort dans les maisons, lisait les lettres adressées au Père Noël, sortait de la hotte magique les cadeaux désirés, mangeait les cookies laissés et buvait le lait frais avant de repartir, mais la prochaine maison allait lui réservé une surprise.
Lorsqu’elle entra, elle chercha la lettre et les petits gâteaux, rituel qui accompagnait la remise de cadeau, elle finit par les trouver dans la chambre d’un adolescent d’à peine 18 ans.
Avec discrétion, elle lut la lettre : « Cher Père Noël, cette année j’ai été très sage, c’est pourquoi je voudrais une petite amie pour perdre mon pucelage. » se demandant ce qu’elle pourrait offrir au garçon pour combler sa requête original, Gaëlle Noël le regarda dormir quand quelque chose attira son regard.
Elle constata que les draps formaient un chapiteau, elle comprit bien vite ce qui se cachait sous la tente.
Bien que n’en ayant jamais vu en vrai, elle en avait vu beaucoup en vidéo sur son ordinateur et en avait essayé quelques une en plastique, intriguée elle se rapprocha du lit et observa.
Bien vite elle succomba a la tentation et la toucha du bout du doigt, profondément endormi, le garçon ne réagit pas, c’est alors qu’elle souleva doucement les draps.
Lorsqu’elle reposa les draps, elle vit le garçon la regarder avec une expression de joie et de surprise sur le visage, elle lui fit signe de rester silencieux et le garçon acquiesça, il lui attrapa la main et la tira sur le lit, la serrant dans ses bras, il lui murmura : « Trop cool, j’aurais jamais cru que le Père Noël exhausserait mon souhait! ».
Elle tenta de lui expliquer le quiproquo mais avant qu’elle ne puisse ouvrir la bouche il ajouta : « t’es trop belle en plus! » et l’embrassa.
Réfléchissant rapidement, elle chercha un moyen de combler son souhait de Noël, vu la situation, elle ne voyait qu’une seul option, elle ne l’avait jamais fait mais avait vu beaucoup de film sur le sujet.
Elle se redressa, faisant signe au garçon de ne pas faire de bruit et de s’allonger sur le dos. Elle saisit membre du garçon et commença à le masser, le garçon semblait apprécier les gestes de Gaëlle Noël, elle se dit que c’était beaucoup mieux que de jouer avec des objets coquin ou de regarde d’autre le faire sur un écran.
Rapidement, elle commença à avoir chaud et enleva son manteau, révélant sa petite robe rouge bordée de blanc ainsi que les bretelles noir qui contrastait avec sa peau blanche.
Excitée par la situation, elle approcha doucement son visage de l’engin du garçon, du bout de la langue, elle lécha le sommet de la verge du jeune homme, ce qui l’excita encore plus, bien vite elle finit par faire avec sa bouche tout ce qu’elle avait vu sur son ordinateur : elle prit le garçon entièrement dans sa bouche et le suça comme une glace à l’eau avant de se rabattre sur ses testicules qu’elle aspira comme des boules de crème-glacée sur un cornet puis parcouru toute sa longueur avec ses lèvres dans un mouvement de va-et-vient répété.
Face à tant de lubricité, le jeune homme jouit bien vite et sans prévenir dans la bouche de Gaëlle qui d’instinct avala tout d’une traite. Le garçon tomba endormi, le sourire aux lèvres, Gaëlle s’empressa de manger les petits gâteaux, de boire le lait frais et de cocher le garçon de sa liste des gentils avant de repartir, ce n’est que quelque maison plus tard qu’elle se rendit compte qu’elle avait oublié son manteau, « tant pis » se dit-elle, « sa lui fera un souvenir ».

Gaëlle Noël avait fait plus de la moitié de sa mission quand elle arriva dans l’appartement de sa prochaine livraison, aussi tôt était-elle entrée que la lumière s’alluma, surprise elle se retourna et vit une jeune femme de 25 ans l’observer.
La jeune femme blonde, vêtue d’un pull de Noël, s’avança vers Gaëlle et dit d’un ton mêlant surprise et déception: « tu n’es pas le Père Noël. », « Je suis sa fille, je le remplace car il est souffrant, je m’appelle Gaëlle Noël et toi tu es Céline, tu es sur la liste des gentil mais tu as failli finir sur la liste des vilains. » répondit doucement Gaëlle.
Un sourire se dessina sur le visage de Céline, elle approcha de Gaëlle et dit : « c’est vrai que je peux être vilaine parfois. », elle poussa Gaëlle dans le divan, et se jeta sur elle.
À la surprise de Gaëlle, Céline l’embrassa avant de murmurer : « Si je ne peux pas avoir le Père Noël, j’aurais sa fille ! », puis l’embrassa à nouveau, alors que leurs bouche ne se quittaient plus, Céline fit glisser les bretelles de la robe de Gaëlle sur ses épaules, elle prit dans ses mains les seins fermes de la fille du Père Noël, sa bouche glissa doucement sur le cou de Gaëlle, sa clavicule, ses seins.
Céline profita du fait que Gaëlle était distraite par les coups de langues sur ses tétons et les baisers qui les suivaient pour enlever complètement sa robe à Gaëlle, lorsqu’il ne lui resta plus que ses bottes et sa culotte, Céline se redressa et enleva son pull de Noël, révélant son corps nu.
Céline s’allongea sur Gaëlle et l’embrassa une fois de plus avant de descendre lentement le long de son corps, au fur et à mesure que sa bouche parcourait le corps de Gaëlle, Céline faisait glisser doucement le long de ses jambes la culotte de Gaëlle.
La fille du Père Noël écarta instinctivement les jambes, laissant à Céline un pleine accès cette zone qui n’avait jamais été touchée par quelqu’un d’autre qu’elle-même.
Céline approcha son visage de se trésor qui l’appelait, sans perdre une minutes, elle se mit à lécher et sucer les lèvres de Gaëlle, bien vite elle releva la tête et dit d’un ton amusé : « tu as le gout de la barbe-à-papa ! » puis suça le clitoris de la belle et glissa deux doigts dans sa fente, elle continua comme sa plusieurs minutes avant de de se redresser et de coller sa fente contre celle de sa comparse.
Elle la chevaucha plusieurs minutes, sentant leurs fluides se mélanger entre leurs jambes enchevêtrées, elle finit par dire : « Si j’avais su que tu viendrais à la place de ton Père, j’aurais prévu des accessoire. ».
Haletante, Gaëlle répondit : « La hotte… Il suffit de penser à un objet… et de… ah!.. plonger sa main dedans pour l’avoir ! », et c’est avec un sourire malicieux que Céline se leva, et plongea sa main dans la hotte pour en sortir un gode à double extrémité.
Elle léchât une extrémité et présenta l’autre à Gaëlle qui n’hésita pas longtemps avant de le prendre en bouche, le souvenir de sa première fellation, effectuer quelques heures plus tôt l’excita d’avantage qu’elle ne l’était déjà.
Céline pris le gode ainsi lubrifié et plaça une des extrémités à l’entrée de la caverne des plaisirs de Gaëlle, l’autre extrémité étant placée de manière égale du coté de Céline, doucement elle descendit dessus, ce qui fit entrer le jouet de manière égale dans les deux femmes.
Céline chevaucha de plus en plus vite le jouet, avec chacun de ses mouvements elle admirait le corps de Gaëlle se contracter de plaisir jusqu’à l’instant où les deux jeunes femmes jouirent en même temps.
Après 15 minutes passées enlacées l’une contre l’autre, Gaëlle se rappela qu’elle n’avait pas fini sa mission, elle se rhabilla à toute vitesse mais ne retrouva pas sa culotte, « pas le temps » se dit-elle quand elle vu l’heure, et reparti illico presto accomplir le reste de sa mission.

Gaëlle se pressa pour être sûr de finir dans les temps, elle parcourait les cieux sans relâche afin de devancer le soleil qui signifiait la fin du temps imparti pour elle effectuer sa mission, plus le temps de trainer, elle lisait les lettres en diagonales, buvait les verres de lait cul-sec et emportait les biscuits pour les manger dans le traineau.
Ce n’est qu’après plusieurs heures de course qu’elle constata qu’enfin elle arriva à la fin de la liste et qu’elle était dans les temps, elle avait même un peu d’avance.
Elle entra dans la dernière maison avec la plus grande discrétion, elle fit attention de ne pas se faire voir par la jeune femme endormie sur le canapé.
Alors qu’elle venait de déposer les cadeaux sous le sapin, elle remarqua sur la table de salon, deux verres de vin accompagné de plusieurs bouteilles de vide.
Elle se demanda où était la deuxième personne quand elle tomba nez-a-nez avec un bel homme nu visiblement saoul, elle se retourna, prête à partir à toute vitesse mais la femme c’était réveillée et se tenait debout devant elle, toute aussi saoul que l’homme.
Gaëlle réfléchit à un moyen de sortir de cette situation mais avant qu’elle ne puisse bouger, la femme enroula ses bras autour de son coup et l’embrassa.
Avant que Gaëlle ne puisse se libérer de son étreinte, la femme se laissa tomber en arrière, emportant Gaëlle avec elle.
Dans sa chute, Gaëlle tomba à genoux, penchée en avant, sa robe était remontée jusqu’à sa taille, la femme enroula ses jambes autour de la taille de Gaëlle, ce qui lui rendait impossible de redescendre sa robe.
Alors que la femme l’embrassait toujours, Gaëlle senti la main de l’homme se poser sur elle et avant qu’elle n’ait le temps de réagir, son pénis la pénétrer.
Ses précédentes aventure de la nuit l’ayant laissée encore humide, l’homme glissa à l’intérieur sans le moindre effort, a peine était-il entré qu’elle senti un frisson de plaisir lui parcourir la colonne.
Alors qu’il bougeait ses hanches d’avant en arrière, Gaëlle senti la main de la femme glissé sur son corps jusqu’à atteindre son clitoris.
Les mouvements de bassin se firent de plus en plus rapide, les doigts de la femme plus stimulant sur le clitoris, il n’en fallut pas plus pour que Gaëlle jouisse une première fois.
Il ne fallut pas longtemps pour que l’homme libère en Gaëlle son sperme chaud et s’écroule de fatigue et ivre sur le sol, la femme continua à jouer avec le clitoris de Gaëlle pendant quelque minutes avant d’elle aussi s’endormir.
Les jambes tremblantes, elle retourna sur son traineau et prit la route du Pôle Nord, tentant de se remettre de ses émotions.
À son arrivée, son père accompagné de tous les lutins lui demandèrent comment c’était passé la tournée, elle répondit que tout était normal et qu’elle réussit à livrer tous les cadeaux dans les temps.
9 mois plus tard, c’est très perplexe que le Père Noël prit dans ses bras pour la première fois son petit-fils : Joël Noël.