Le Corset
Récit érotique écrit par Jacos [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le Corset
Le Corset.
Je suis un homme, sexagénaire.
J’adore les corsets, et les porter, c’est sublime. Il y a bien longtemps, j’avais tout juste dix huit ans ; j’étais en vacances : les grandes vacances de fin juin à fin septembre ; chez mes tantes, dans le Nord, près de la frontière belge… Celles-ci commerçantes, tenaient un bazar, un grand bazar. Etant jeune et déjà quelque peu bricoleur, je réparais les quelques jouets
auxquels ils manquaient une roue ou une vis… afin qu’ils soient à nouveau vendables.
La nuit, je la passais très souvent seul dans une chambre qu’une de mes tantes mettait à disposition. Très confortable, avec vue sur la route principale d’un côté et de l’autre une vue sur le centre culturel. Mais, je m’égare quelque peu…
Comme mes tantes étaient très occupées par ce bazar, elles avaient une bonne à tout faire et celle-ci faisait tout aussi bien la cuisine, le lavage et le repassage et même les lits.
Un matin, m’étant levé et ayant fait ma toilette, comme tous les jours, dans une cuvette, avec un broc d’eau, à l’époque il n’y avait pas de salle de bain ou si peu dans les maisons non plus de toilettes, celles-ci étaient dehors, la nuit on faisait dans un seau hygiénique qu’on vidait tous les matins. Donc, je me lave, vide l’eau dans le seau, m’habille et me voilà descendant mon seau vers les toilettes. Je le vide et après rinçage je le remonte à sa place. La femme de ménage était déjà dans « ma » chambre entrain de refaire le lit et me dit :
- Bonjour, tu as bien dormi ?
- Oh oui dis-je.
- Au fait, j’ai trouvé ce corset sous ton oreiller, tu ne l’aurais pas mis par hasard…
- Euh… Non ! Et me voilà entrain de rougir jusqu’aux oreilles. Et puis il est bien trop grand pour moi bredouillais-je !
- Alors tu avoues l’avoir essayé ?
- Non, non, je vous assure.
- Ecoute, je ne te crois pas, je te propose un marché : j’en reste là, mais cet après midi, je ne travaille pas, tu t’arrange pour venir chez moi, seul bien entendu. Je sais faire de la couture et je vais te confectionner un corset, que tu mettras tous les jours… Je te le lacerai, le matin quand je viendrai travailler. C’est d’accord ?
- Et si je ne viens pas ?
- Oh ! C’est simple, je dis à tes tantes et grand-tante que tu dors avec un de leur corset et tu seras la risée de tout le monde. Donc tu sais ce qu’il te reste à faire ?
- Oui je vois.
- A tout à l’heure ; 14h précises et sois à l’heure.
La matinée passe très vite, nous déjeunons puis je dis à mes tantes que je vais voir un ami pas loin… et elles me laissent partir.
Je me rends chez la femme de ménage, je frappe à sa porte et elle me dis d’entrer, ce que je fais…
- Tu as vu l’heure ? Me dit-elle, je t’avais dit 14h et il est 14h 30, je vais te punir. Mais avant viens ici, baisse ton pantalon, le slip aussi, remonte ta chemise et ton maillot que je prenne des mesures.
Elle prend des mesures avec son centimètre de couturière, qu'elles inscrits sur son carnet : la hauteur entre les tétons et mon pénis, le tour du torse, le tour de ceinture, et le tour de hanche et le tour des fesses, presque à hauteur du pénis.
- Reste comme ça, viens ici, sur mes genoux que je te donne une bonne fessée pour ton retard.
Je me mets en position comme elle me l’a dit, elle commence par des claques pas trop fortes, puis accentue la frappe, ça chauffe, il faut dire que ses mains ressemblaient à des battoirs tellement elles étaient grandes, et au bout d’une vingtaine de coup je commence à pleurer, à gigoter.
- Reste tranquille, il reste dix coups, mais si tu continue à remuer de la sorte, tu en auras plus.
J’essaye de me retenir, mais trop dur… je n’en peux plus, c’est plus fort que moi, je remue.
- Puisque c’est comme ça on va prendre les grands moyens… tu vas te mettre sur le banc, le derrière en l’air, je vais t’attacher les mains aux pieds du banc.
Me voilà sur le banc, sur le ventre, les poignets attachés aux pieds du banc, elle s’est munie d’une sorte de raquette qui servait à battre les tapis elle s’assoit sur mes chevilles, je suis immobilisé ; la fessée peut reprendre et hop autant. Mes fesses sont rouges, cramoisies, en feu, elle me détache et m’envoie au coin, à genoux, les mains sur la tête.
Une heure après, elle m’appelle, essayage, elle me fait quitter tous mes vêtements, me met le corset qu’elle a confectionné, elle peut le serrer il y a de la marge… Elle tire sur les lacets, j’en perds le souffle, j’halète tellement c’est serré.
- Bon dit-elle, tu vas le garder comme ça jusque 16h 30, ensuite on verra. J’attends quelqu’un et je ne veux pas que tu sois là.
Elle m’emmena dans une sorte de buanderie, elle me bâillonna, me banda les yeux et me fis entrer dans un placard, dont elle referma la porte à clé.
Au bout d’un certain temps, elle vint ouvrir, m’enleva le bâillon et le bandeau, je revins dans la pièce, puis me demanda
- Comment te sens tu avec le corset ?
- Il est serré, je n’ai pas l’habitude. Ça fait mal.
- Bon ce n’est qu’un début, avant de partir je vais te le desserrer un peu.
- Je vais le garder pour rentrer ?
- Ben oui il faut bien que tu t’y habitue de plus tu le gardes pour dormir
- Je ne pourrai pas !
- C’est à prendre ou à laisser mais n’oublie pas la promesse que je t’ai faite je me tais à condition que tu garde le corset jour et nuit.
- Bon je vais essayer.
- A demain matin, je passe te voir en arrivant et gare à toi si tu as retiré le corset.
Le lendemain, comme convenu, elle passa dans la chambre, me réveilla et constata avec satisfaction que j’avais toujours le corset
- C’est bien dit-elle, tu vois, quand tu veux. Allez lève toi que je le resserre un peu.
- Pas trop, j’ai eu du mal hier soir pour m’endormir
- Je te le desserrerais ce soir vers 18h ne t’en fais pas
J’ai gardé le corset tout le temps des vacances, étant resserré tous les matins, tous les jours un peu plus que la veille, quand je l’ai quitté pour rentrer chez moi, il me manquait.
Ensuite je fus un certain temps avant de retrouver un corset digne de ce nom, il m’a fallu attendre quelques années au moins quinze ans avant de pouvoir m’offrir un serre taille de 71cm, je l’ai commandé en Angleterre chez Axford, que j’arrivais à fermer complètement, j’avais une taille de 71cm, puis un corset, un vrai qui me prenait en dessous des seins jusqu’en dessous du ventre toujours un 71cm, celui là j’avais du mal à le fermer, il était plus baleiné et plus contraignant. """"
Je suis un homme, sexagénaire.
J’adore les corsets, et les porter, c’est sublime. Il y a bien longtemps, j’avais tout juste dix huit ans ; j’étais en vacances : les grandes vacances de fin juin à fin septembre ; chez mes tantes, dans le Nord, près de la frontière belge… Celles-ci commerçantes, tenaient un bazar, un grand bazar. Etant jeune et déjà quelque peu bricoleur, je réparais les quelques jouets
auxquels ils manquaient une roue ou une vis… afin qu’ils soient à nouveau vendables.
La nuit, je la passais très souvent seul dans une chambre qu’une de mes tantes mettait à disposition. Très confortable, avec vue sur la route principale d’un côté et de l’autre une vue sur le centre culturel. Mais, je m’égare quelque peu…
Comme mes tantes étaient très occupées par ce bazar, elles avaient une bonne à tout faire et celle-ci faisait tout aussi bien la cuisine, le lavage et le repassage et même les lits.
Un matin, m’étant levé et ayant fait ma toilette, comme tous les jours, dans une cuvette, avec un broc d’eau, à l’époque il n’y avait pas de salle de bain ou si peu dans les maisons non plus de toilettes, celles-ci étaient dehors, la nuit on faisait dans un seau hygiénique qu’on vidait tous les matins. Donc, je me lave, vide l’eau dans le seau, m’habille et me voilà descendant mon seau vers les toilettes. Je le vide et après rinçage je le remonte à sa place. La femme de ménage était déjà dans « ma » chambre entrain de refaire le lit et me dit :
- Bonjour, tu as bien dormi ?
- Oh oui dis-je.
- Au fait, j’ai trouvé ce corset sous ton oreiller, tu ne l’aurais pas mis par hasard…
- Euh… Non ! Et me voilà entrain de rougir jusqu’aux oreilles. Et puis il est bien trop grand pour moi bredouillais-je !
- Alors tu avoues l’avoir essayé ?
- Non, non, je vous assure.
- Ecoute, je ne te crois pas, je te propose un marché : j’en reste là, mais cet après midi, je ne travaille pas, tu t’arrange pour venir chez moi, seul bien entendu. Je sais faire de la couture et je vais te confectionner un corset, que tu mettras tous les jours… Je te le lacerai, le matin quand je viendrai travailler. C’est d’accord ?
- Et si je ne viens pas ?
- Oh ! C’est simple, je dis à tes tantes et grand-tante que tu dors avec un de leur corset et tu seras la risée de tout le monde. Donc tu sais ce qu’il te reste à faire ?
- Oui je vois.
- A tout à l’heure ; 14h précises et sois à l’heure.
La matinée passe très vite, nous déjeunons puis je dis à mes tantes que je vais voir un ami pas loin… et elles me laissent partir.
Je me rends chez la femme de ménage, je frappe à sa porte et elle me dis d’entrer, ce que je fais…
- Tu as vu l’heure ? Me dit-elle, je t’avais dit 14h et il est 14h 30, je vais te punir. Mais avant viens ici, baisse ton pantalon, le slip aussi, remonte ta chemise et ton maillot que je prenne des mesures.
Elle prend des mesures avec son centimètre de couturière, qu'elles inscrits sur son carnet : la hauteur entre les tétons et mon pénis, le tour du torse, le tour de ceinture, et le tour de hanche et le tour des fesses, presque à hauteur du pénis.
- Reste comme ça, viens ici, sur mes genoux que je te donne une bonne fessée pour ton retard.
Je me mets en position comme elle me l’a dit, elle commence par des claques pas trop fortes, puis accentue la frappe, ça chauffe, il faut dire que ses mains ressemblaient à des battoirs tellement elles étaient grandes, et au bout d’une vingtaine de coup je commence à pleurer, à gigoter.
- Reste tranquille, il reste dix coups, mais si tu continue à remuer de la sorte, tu en auras plus.
J’essaye de me retenir, mais trop dur… je n’en peux plus, c’est plus fort que moi, je remue.
- Puisque c’est comme ça on va prendre les grands moyens… tu vas te mettre sur le banc, le derrière en l’air, je vais t’attacher les mains aux pieds du banc.
Me voilà sur le banc, sur le ventre, les poignets attachés aux pieds du banc, elle s’est munie d’une sorte de raquette qui servait à battre les tapis elle s’assoit sur mes chevilles, je suis immobilisé ; la fessée peut reprendre et hop autant. Mes fesses sont rouges, cramoisies, en feu, elle me détache et m’envoie au coin, à genoux, les mains sur la tête.
Une heure après, elle m’appelle, essayage, elle me fait quitter tous mes vêtements, me met le corset qu’elle a confectionné, elle peut le serrer il y a de la marge… Elle tire sur les lacets, j’en perds le souffle, j’halète tellement c’est serré.
- Bon dit-elle, tu vas le garder comme ça jusque 16h 30, ensuite on verra. J’attends quelqu’un et je ne veux pas que tu sois là.
Elle m’emmena dans une sorte de buanderie, elle me bâillonna, me banda les yeux et me fis entrer dans un placard, dont elle referma la porte à clé.
Au bout d’un certain temps, elle vint ouvrir, m’enleva le bâillon et le bandeau, je revins dans la pièce, puis me demanda
- Comment te sens tu avec le corset ?
- Il est serré, je n’ai pas l’habitude. Ça fait mal.
- Bon ce n’est qu’un début, avant de partir je vais te le desserrer un peu.
- Je vais le garder pour rentrer ?
- Ben oui il faut bien que tu t’y habitue de plus tu le gardes pour dormir
- Je ne pourrai pas !
- C’est à prendre ou à laisser mais n’oublie pas la promesse que je t’ai faite je me tais à condition que tu garde le corset jour et nuit.
- Bon je vais essayer.
- A demain matin, je passe te voir en arrivant et gare à toi si tu as retiré le corset.
Le lendemain, comme convenu, elle passa dans la chambre, me réveilla et constata avec satisfaction que j’avais toujours le corset
- C’est bien dit-elle, tu vois, quand tu veux. Allez lève toi que je le resserre un peu.
- Pas trop, j’ai eu du mal hier soir pour m’endormir
- Je te le desserrerais ce soir vers 18h ne t’en fais pas
J’ai gardé le corset tout le temps des vacances, étant resserré tous les matins, tous les jours un peu plus que la veille, quand je l’ai quitté pour rentrer chez moi, il me manquait.
Ensuite je fus un certain temps avant de retrouver un corset digne de ce nom, il m’a fallu attendre quelques années au moins quinze ans avant de pouvoir m’offrir un serre taille de 71cm, je l’ai commandé en Angleterre chez Axford, que j’arrivais à fermer complètement, j’avais une taille de 71cm, puis un corset, un vrai qui me prenait en dessous des seins jusqu’en dessous du ventre toujours un 71cm, celui là j’avais du mal à le fermer, il était plus baleiné et plus contraignant. """"
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