Le couple 1
Récit érotique écrit par Daphnis [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2018 dans la catégorie Plus on est
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Le couple 1
Le message m’a été envoyé via mon adresse mail que j’avais laissé sur mon profil HDS. Mes histoires plaisent de plus en plus et les retours ne manquent pas, mais ce message en particulier était court et explicitent : « ma femme et moi on te veut… ».
J’ai répondu histoire dans savoir un peu plus sur ce qu’ils recherchaient et ce qu’ils aimaient et je n’ai eu pour seul réponse qu’une adresse et une date et deux photos sans visages montrant un petit homme poilu et bedonnant avec un sexe démesuré en longueur et en largeur et une femme fine avec une poitrine magnifique et un sexe surmonté d’un ticket de métro.
Je répondais par un simple ok et le jour J je sautais dans un train pour me rendre chez eux.
C’était dans un quartier résidentiel où toutes les maisons se ressemble, il était 21h les ruelles étaient sombres et j’arrivais devant leur maison.
J’ouvre le portail qui donne sur le petit jardin et arrivé à la porte je n’ai pas le temps de sonner que la porte s’ouvre sur un couloir sombre et je ne vois personne.
J’entre, une voix d’homme me dit : « déshabille-toi, entre dans la pièce sur ta gauche et mets-toi à 4 pattes. »J’obéis sans dire un mot, la pièce dans laquelle je pénètre est toujours sombre et je m’installe à 4 pattes sur ce qui semble être un tapis en poils.
A peine installé je sens une main me caresser les fesses puis une deuxième, puis une troisième venir me pincer un téton. Je suis offert à ces 4 mains qui parcourent mon corps et qui me donne des frissons, je sens ma respiration qui s’accélère et mon sexe qui bande et qui commence à perler quelques gouttes aussitôt récupérées par la langue de quelqu’un qui s’installe sous mon ventre. Derrière moi les mains m’écartent les fesses et je sens une seconde langue partir de la base de mes couilles et remonter jusqu’à mon petit trou et s’y attarder, je commence à gémir de plus en plus lorsque un doigt rejoint la langue et me pénètre délicatement.
Mes yeux s’habituent à l’obscurité et je sens les seins du corps sous moi se coller à mon ventre, elle vient se positionner en 69 sous mois en gardant toujours mon gland dans sa bouche et elle vient m’offrir son sexe dégoulinant à ma bouche. Je me baisse pour venir déguster cette chatte magnifique ce qui me cambre un peu plus et je sens les doigts et la langue profiter de ce mouvement pour sortir de mon anus. Quelques secondes plus tard je sens un gland énorme et visqueux se poser entre mes fesses et se frotter contre ma rosette. Vu la taille de l’engin que je sens j’ai peur et tente de me lever immédiatement elle m’attrape la tête et me replaque contre son sexe, lui ne rentre pas tout de suite il se frotte entre mes fesses comme pour se branler en s’attardant de temps en temps sur mon trou ce traitement dure quelques minutes et à chaque fois qu’il appuie sur mon anus je pousse légèrement et à chaque fois je m’ouvre un peu plus jusqu’à ce qu’enfin son gland me perce et me pénètre j’ai voulu crié la douleur ressentie mais mon cri fut étouffé puisque ma bouche était toujours en train de dévorer ma partenaire. Sa langue parcourait toujours mon sexe qu’elle aspirait parfois jusque à la garde. Je ne savais plus où donner de la tête entre le plaisir et la douleur.
Lui restait immobile quelques instants en me caressant les fesses pour que je m’habitue je pense elle s’activait sous moi et mouillait de plus en plus m’inondant le visage de sa cyprine.
J’ai répondu histoire dans savoir un peu plus sur ce qu’ils recherchaient et ce qu’ils aimaient et je n’ai eu pour seul réponse qu’une adresse et une date et deux photos sans visages montrant un petit homme poilu et bedonnant avec un sexe démesuré en longueur et en largeur et une femme fine avec une poitrine magnifique et un sexe surmonté d’un ticket de métro.
Je répondais par un simple ok et le jour J je sautais dans un train pour me rendre chez eux.
C’était dans un quartier résidentiel où toutes les maisons se ressemble, il était 21h les ruelles étaient sombres et j’arrivais devant leur maison.
J’ouvre le portail qui donne sur le petit jardin et arrivé à la porte je n’ai pas le temps de sonner que la porte s’ouvre sur un couloir sombre et je ne vois personne.
J’entre, une voix d’homme me dit : « déshabille-toi, entre dans la pièce sur ta gauche et mets-toi à 4 pattes. »J’obéis sans dire un mot, la pièce dans laquelle je pénètre est toujours sombre et je m’installe à 4 pattes sur ce qui semble être un tapis en poils.
A peine installé je sens une main me caresser les fesses puis une deuxième, puis une troisième venir me pincer un téton. Je suis offert à ces 4 mains qui parcourent mon corps et qui me donne des frissons, je sens ma respiration qui s’accélère et mon sexe qui bande et qui commence à perler quelques gouttes aussitôt récupérées par la langue de quelqu’un qui s’installe sous mon ventre. Derrière moi les mains m’écartent les fesses et je sens une seconde langue partir de la base de mes couilles et remonter jusqu’à mon petit trou et s’y attarder, je commence à gémir de plus en plus lorsque un doigt rejoint la langue et me pénètre délicatement.
Mes yeux s’habituent à l’obscurité et je sens les seins du corps sous moi se coller à mon ventre, elle vient se positionner en 69 sous mois en gardant toujours mon gland dans sa bouche et elle vient m’offrir son sexe dégoulinant à ma bouche. Je me baisse pour venir déguster cette chatte magnifique ce qui me cambre un peu plus et je sens les doigts et la langue profiter de ce mouvement pour sortir de mon anus. Quelques secondes plus tard je sens un gland énorme et visqueux se poser entre mes fesses et se frotter contre ma rosette. Vu la taille de l’engin que je sens j’ai peur et tente de me lever immédiatement elle m’attrape la tête et me replaque contre son sexe, lui ne rentre pas tout de suite il se frotte entre mes fesses comme pour se branler en s’attardant de temps en temps sur mon trou ce traitement dure quelques minutes et à chaque fois qu’il appuie sur mon anus je pousse légèrement et à chaque fois je m’ouvre un peu plus jusqu’à ce qu’enfin son gland me perce et me pénètre j’ai voulu crié la douleur ressentie mais mon cri fut étouffé puisque ma bouche était toujours en train de dévorer ma partenaire. Sa langue parcourait toujours mon sexe qu’elle aspirait parfois jusque à la garde. Je ne savais plus où donner de la tête entre le plaisir et la douleur.
Lui restait immobile quelques instants en me caressant les fesses pour que je m’habitue je pense elle s’activait sous moi et mouillait de plus en plus m’inondant le visage de sa cyprine.
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