Le cuistot et la belle monitrice.
Récit érotique écrit par Marcarol [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le cuistot et la belle monitrice.
Pendant tout l'été j'ai été employé comme cuisinier dans un centre de vacances des Alpes recevant colonies de vacances et centres de loisirs. J’ai passé un été super agréable : chaque semaine arrivait une nouvelle colo !
Vers la mi-juillet débarqua un centre-aéré de la région Aixoise, une trentaine de gosses et 5 moniteurs. Parmi les animateurs se trouvait Carole, une très belle nana d'à peine 18 piges… Carole avait un très joli visage, de longs cheveux châtains-clairs, elle était assez grande et très élancée mais avec de magnifiques gros nibards. Een servant la tambouille à sa table je sympathisais rapidement avec Carole. Tous les moniteurs males voulait la sauter ! Je les comprends .... La jeune caille est très triquante ! Un soir de milieu du séjour il y eut une veillée entre toutes les colos et les employés du centre, Carole était très en beauté dans son petit short en jean's délavé qui moulait à merveille son splendide petit cul. Je me pensais : tu la tringles ce soir ou jamais ! Je draguais la mignonne en mettant les bouchées doubles, l'invitant à danser, je respirais dans son cou sa douce odeur de jeune beauté, je tenais un de ces gourdins ! Avec Carole on termina la soirée enfermés dans le réfectoire, accroupie et dépoitraillée cette jolie minette me faisait une superbe pipe ! Je donnais de grands coups de reins pour encore mieux m'enfoncer dans sa douce gorge de salope ; je terminais de dénuder la belle biche et la plaça sur la table. Carole gigotait lascivement en admirant mon gros manchon bien raide. Je m'introduisis avec force dans son petit chaton et me mis à la pilonner avec vigueur, Carole braillait de satisfaction tout en remuant dans tous les sens. Je me régalais de lui bouffer ses somptueuses mamelles, serrant les dents, la douce colombe caressait mon torse poilu ! Pour en finir je retournais la môme afin qu'elle me présente son joli petit bien rebondi, Carole gueula : NON ! Mais je la tenais bien serré par les hanches ... je l’enculais furieusement tout en lui fessant les gigots ; échevelée, se mordant le poignet pour hurler moins fort la jeune mono ne savait plus où elle était !!!
Vers la mi-juillet débarqua un centre-aéré de la région Aixoise, une trentaine de gosses et 5 moniteurs. Parmi les animateurs se trouvait Carole, une très belle nana d'à peine 18 piges… Carole avait un très joli visage, de longs cheveux châtains-clairs, elle était assez grande et très élancée mais avec de magnifiques gros nibards. Een servant la tambouille à sa table je sympathisais rapidement avec Carole. Tous les moniteurs males voulait la sauter ! Je les comprends .... La jeune caille est très triquante ! Un soir de milieu du séjour il y eut une veillée entre toutes les colos et les employés du centre, Carole était très en beauté dans son petit short en jean's délavé qui moulait à merveille son splendide petit cul. Je me pensais : tu la tringles ce soir ou jamais ! Je draguais la mignonne en mettant les bouchées doubles, l'invitant à danser, je respirais dans son cou sa douce odeur de jeune beauté, je tenais un de ces gourdins ! Avec Carole on termina la soirée enfermés dans le réfectoire, accroupie et dépoitraillée cette jolie minette me faisait une superbe pipe ! Je donnais de grands coups de reins pour encore mieux m'enfoncer dans sa douce gorge de salope ; je terminais de dénuder la belle biche et la plaça sur la table. Carole gigotait lascivement en admirant mon gros manchon bien raide. Je m'introduisis avec force dans son petit chaton et me mis à la pilonner avec vigueur, Carole braillait de satisfaction tout en remuant dans tous les sens. Je me régalais de lui bouffer ses somptueuses mamelles, serrant les dents, la douce colombe caressait mon torse poilu ! Pour en finir je retournais la môme afin qu'elle me présente son joli petit bien rebondi, Carole gueula : NON ! Mais je la tenais bien serré par les hanches ... je l’enculais furieusement tout en lui fessant les gigots ; échevelée, se mordant le poignet pour hurler moins fort la jeune mono ne savait plus où elle était !!!
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