Le Culte de Péor

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Le Culte de Péor
Alors que les Offertes passaient l’une après l’autre devant l’idole de Péor, écartant des deux mains les fesses afin d’exposer leurs anus à sa vue pendant la minute réglementaire, Bella observait le grand prêtre qui surplombait l’assemblée des fidèles tout de noir vêtu, le visage masqué par un masque sombre vénitien. Ce dernier observait les jeunes filles défiler. Et à chaque passage déclamait: “Péor a vu”. Il avait toujours intrigué Bella. Lui inspirant crainte et effroi. Elle avait été élevée depuis sa plus tendre enfance à l’ombre du Culte et avait entendu toutes sortes de récits qui faisaient froid dans le dos à son sujet. Il pratiquait la magie, détenant d’immenses pouvoirs de leur Dieu, Péor.
Péor, disait la légende, avait été vaincu par Yahwé plusieurs millénaires auparavant mais avait réussi à s’échapper. Très mal en point, il avait pu trouver refuge dans une caverne inconnue des hommes, à l’abri de tout danger. Retrouvant rapidement ses forces, il avait alors décidé de bâtir une nouvelle religion, puisque l’ancienne avait désormais disparu. Il l’avait voulu secrète, dotée d’une poignée de fidèles et fervents croyants.
Le Culte requérait des hommes et des femmes une obéissance totale. Peu de règles mais une soumission absolue. Dix règles fondamentales avaient été données et depuis des milliers d’années, elles avaient été secrètement observées.
Bella venait d’avoir seize ans. Ses longs cheveux noirs encadraient un visage d’une rare innocence. Elle avait hérité des yeux verts de sa mère et de la haute taille de son père. Alors qu’elle observait toujours Zimri, elle sentit une main passer sous sa robe et lui malaxer la fesse droite. Elle sursauta et se retourna. Un homme qu’elle connaissait fort bien se tenait derrière elle et continuait son pelotage. Il avait l’air concentré et nullement gêné par la situation. C’était son voisin, Horace. Le père de sa meilleure amie, Héléna. Lorsqu’il eut fini, il alla, sans détour, s’adresser au père de Bella.
Tu as fait de ta fille un excellent spécimen, lança t-il.
Ils se serrèrent la main et Horace retourna à sa place. Salvador parut satisfait et adressa à sa fille un bref hochement de tête. C’était la première fois qu’une telle chose arrivait à Bella.
Elle avait l’impression de rêver. Elle comprenait à peine ce qu’il venait de se passer. Alors qu’elle tentait encore de reprendre contenance, on entendit une clameur parmi la foule. Bella leva les yeux et comprit immédiatement la raison de la stupeur.
Elle observa Zimri qui descendait de son perchoir, dévalant à toute vitesse les marches de bois. Il se jeta sur l’une des Offertes et l’attrapa par le bras. Bella reconnut alors la jeune fille. Il s’agissait d’Ava. Cette dernière pleurait, n’essayant pas même d’essuyer ses larmes. Elle regardait vers le sol et la foule la regardait. Tous savaient ce qui devait se produire.
Elle n’avait pas réussi à offrir à Péor son offrande journalière. La sentence était connue de tous et déjà les hommes se mettaient en rang devant Zimri. Quand ce fut fait, un silence de plomb s'abattit parmi les fidèles.
L’un d’eux approcha une grande table d’Ava. Zimri entreprit d’arracher la belle tunique blanche qui caractérisait la pureté des Offertes. Nue aux yeux de tous, les larmes continuaient de couler sur le beau visage d’Ava. Zimri posa sa main sur le dos de la jeune fille et lui dit, selon la formule consacrée: “Penche-toi et écarte tes fesses. Péor ne pardonne jamais et nul outrage ne reste impayé”.
Ava s’exécuta. Il était inutile de protester, de tenter de s’échapper. Tel était désormais son sort.
Dans la foule, Célestine s’effondra. Bella l’observa les larmes aux yeux. Elle n’avait pas dû supporter le destin funeste qui attendait sa fille.
Zimri cria: “relevez la, que tous ici attestent du châtiment de Péor. Et que chacun se souvienne du sort réservés à celles indignes de porter le Blanc. Fidèles, la sentence est prononcée et Péor jugera.”
Le premier homme, un homme âgé d’une soixantaine d’années, ouvrit sa braguette, enduit son pénis de salive, se masturba quelques secondes et déposa son gland sur l’anus de la jeune fille. Il attendit quelques secondes puis Zimri cria: “Pénètre ! “. Alors il enfonça son pieu dans la chair tendre de l’innocente et au bout d’une minute qui sembla durer une éternité, tendit son corps, grimaçant vers le ciel, signe qu’il avait éjaculé.
Alors le second prit sa place et la même scène se reproduit. Braguette, salive, masturbation, attente puis pénétration. A chaque coup de butoir, le corps de la jeune fille était pris de soubresauts. Tous savaient qu’au moindre cri, elle serait condamnée à la sentence capitale. Elle servait Péor et nul ne devait jamais s’y soustraire, ne serait-ce que par la pensée.
Puis les hommes devinrent hardis. Les suivants attrapèrent les seins fermes d’Ava, triturant ses tétons jeunes et roses. Il n’y a avait qu’une règle à respecter. Ne jamais connaître le vagin de la jeune fille. Si l’anus était réservé à Péor et à son culte, le vagin, lui, devait rester immaculé de toute semence humaine.
Nombreux étaient ceux qui se doutaient que Zimri s’en délectait secrètement. Mais ils ignoraient certainement des vérités tenues secrètes du commun des fidèles. Le vagin d’une Offerte était intouchable et quiconque se détournait de la règle subirait la rage de Péor.
Bella avait un jour entendu une histoire. De la bouche de ses camarades. Celle d’une Offerte et d’un jeune homme qui s’étaient pris de passion. La jeune Offerte était tombée enceinte et nul n’avait plus jamais entendu parler du couple. Les jeunes filles, entre elles, avaient alors évoqué un bûcher et d’autres détails sordides auxquels Bella n’avait prêté attention.
La procession dans l’anus d’Ava se poursuivait et Bella observait son visage. Rouge de douleur, la mâchoire crispée, et les cris répétés de Zimri à chaque nouveau pénis qui s’introduisait. Cinquante avaient déjà éjaculé entre les fesses cambrées de la jeune fille et 50 autres patientaient toujours. Lorsque l’Enculeur éjacula, Zimri cria: “La bouche est à présent permise”. Cette fois, les jeunes hommes de la foule s’avancèrent et formèrent une nouvelle ligne devant Ava. Tous étaient de jeunes hommes de seize à dix huit ans.
Bella ne voyait plus Ava se faire sodomiser et elle se surprit à le regretter. Elle observa autour d’elle et vit la communauté monter au balcon du premier étage. Celui-ci surplombait la salle du temple et l’on pouvait y observer plus aisément. Se soumettant à cette petite décharge électrique qu’elle sentait dans le bas ventre, elle décida de grimper à son tour les marches et de trouver un meilleur point d’observation. De là haut, elle voyait désormais Ava embrochée par l’anus et étouffée par le membre viril d’un jeune homme fort développé. Une heure passa. Et lorsque tous les hommes eurent déchargé dans les orifices religieusement autorisés, la communauté chanta l’un des 127 psaumes de Péor.
Zimri se débarassa de son vêtement et tout le monde observa son corps noir majestueux. Son pénis bandé, d’une longueur inhumaine. Aussi large qu’un sexe de cheval. Il ne prit pas la peine d’enduire son membre de salive, l’anus de l’Offerte étant dilaté à l’extrême. Ava semblait avoir perdu conscience. Face contre table, elle ne bougeait plus. Respirait-elle encore ? Nul ne pouvait le dire. Les bras en croix, les seins écrasés par le bois, du sang ruisselant à l’intérieur des cuisses. Zimri se place derrière elle, et d’un coup entama une pénétration ininterrompue d’une dizaine de minutes. Il se délecta du corps désormais amorphe d’Ava. Elle ne bougeait plus. Ne remuant que sous les coups violents et bestiaux de Zimri. De ses mains, il écarta les fesses blanches de la jeune fille. Il trempa parfois son doigt dans le sang innocent et le passa sous son masque. Enfin, dans un dernier effort, il déchargea une quantité impressionnante de sperme dans l’anus ne put contenir qu’une petite portion. Le reste gicla sur le sol et se mélangea au sang d’Ava.
Satisfait, il se rhabilla et remonta sur son perchoir.
“L’Offerte a servi Péor. Que son cadavre nourrisse désormais Péor.”
Alors quatre des jeunes hommes qui avaient étouffé Ava de leur pénis s'avancèrent et saisirent les bras et les jambes de la jeune fille. Ils la soulevèrent et la transportèrent hors du temple, dehors, devant la statue de Péor. Alors que les restes d’Ava passaient devant Bella, cette dernière ne put détacher son regard de l’entrejambe de la jeune fille, recouvert de sperme et de sang. Elle ne pouvait se contrôler et sentit dans son entrejambe une décharge de courant qui lui fit trembler les genoux. Bella fourra sa main droite dans sa culotte, elle était trempée. Elle attrapa une poignée de poils et de l’index appuya sur son clitoris. Alors, pour la première fois de sa vie, elle éprouva une émotion intense qui traversa toutes les fibres de son corps. Elle posa la seule main qu’elle avait de libre sur le mur et se retint de crier. Cela dura longtemps, de très longues secondes, pendant lesquelles elle ne fut consciente de rien.
Avant de clore la soirée, Zimri annonça: “nous élirons, demain à l’aube, une nouvelle Offerte. Que Péor vous garde et que la nuit vous porte conseil”.
Dehors, le corps d’Ava reposait nu devant la statue de Péor, la cérémonie prit fin et chacun rentra chez soi.
Péor, disait la légende, avait été vaincu par Yahwé plusieurs millénaires auparavant mais avait réussi à s’échapper. Très mal en point, il avait pu trouver refuge dans une caverne inconnue des hommes, à l’abri de tout danger. Retrouvant rapidement ses forces, il avait alors décidé de bâtir une nouvelle religion, puisque l’ancienne avait désormais disparu. Il l’avait voulu secrète, dotée d’une poignée de fidèles et fervents croyants.
Le Culte requérait des hommes et des femmes une obéissance totale. Peu de règles mais une soumission absolue. Dix règles fondamentales avaient été données et depuis des milliers d’années, elles avaient été secrètement observées.
Bella venait d’avoir seize ans. Ses longs cheveux noirs encadraient un visage d’une rare innocence. Elle avait hérité des yeux verts de sa mère et de la haute taille de son père. Alors qu’elle observait toujours Zimri, elle sentit une main passer sous sa robe et lui malaxer la fesse droite. Elle sursauta et se retourna. Un homme qu’elle connaissait fort bien se tenait derrière elle et continuait son pelotage. Il avait l’air concentré et nullement gêné par la situation. C’était son voisin, Horace. Le père de sa meilleure amie, Héléna. Lorsqu’il eut fini, il alla, sans détour, s’adresser au père de Bella.
Tu as fait de ta fille un excellent spécimen, lança t-il.
Ils se serrèrent la main et Horace retourna à sa place. Salvador parut satisfait et adressa à sa fille un bref hochement de tête. C’était la première fois qu’une telle chose arrivait à Bella.
Elle avait l’impression de rêver. Elle comprenait à peine ce qu’il venait de se passer. Alors qu’elle tentait encore de reprendre contenance, on entendit une clameur parmi la foule. Bella leva les yeux et comprit immédiatement la raison de la stupeur.
Elle observa Zimri qui descendait de son perchoir, dévalant à toute vitesse les marches de bois. Il se jeta sur l’une des Offertes et l’attrapa par le bras. Bella reconnut alors la jeune fille. Il s’agissait d’Ava. Cette dernière pleurait, n’essayant pas même d’essuyer ses larmes. Elle regardait vers le sol et la foule la regardait. Tous savaient ce qui devait se produire.
Elle n’avait pas réussi à offrir à Péor son offrande journalière. La sentence était connue de tous et déjà les hommes se mettaient en rang devant Zimri. Quand ce fut fait, un silence de plomb s'abattit parmi les fidèles.
L’un d’eux approcha une grande table d’Ava. Zimri entreprit d’arracher la belle tunique blanche qui caractérisait la pureté des Offertes. Nue aux yeux de tous, les larmes continuaient de couler sur le beau visage d’Ava. Zimri posa sa main sur le dos de la jeune fille et lui dit, selon la formule consacrée: “Penche-toi et écarte tes fesses. Péor ne pardonne jamais et nul outrage ne reste impayé”.
Ava s’exécuta. Il était inutile de protester, de tenter de s’échapper. Tel était désormais son sort.
Dans la foule, Célestine s’effondra. Bella l’observa les larmes aux yeux. Elle n’avait pas dû supporter le destin funeste qui attendait sa fille.
Zimri cria: “relevez la, que tous ici attestent du châtiment de Péor. Et que chacun se souvienne du sort réservés à celles indignes de porter le Blanc. Fidèles, la sentence est prononcée et Péor jugera.”
Le premier homme, un homme âgé d’une soixantaine d’années, ouvrit sa braguette, enduit son pénis de salive, se masturba quelques secondes et déposa son gland sur l’anus de la jeune fille. Il attendit quelques secondes puis Zimri cria: “Pénètre ! “. Alors il enfonça son pieu dans la chair tendre de l’innocente et au bout d’une minute qui sembla durer une éternité, tendit son corps, grimaçant vers le ciel, signe qu’il avait éjaculé.
Alors le second prit sa place et la même scène se reproduit. Braguette, salive, masturbation, attente puis pénétration. A chaque coup de butoir, le corps de la jeune fille était pris de soubresauts. Tous savaient qu’au moindre cri, elle serait condamnée à la sentence capitale. Elle servait Péor et nul ne devait jamais s’y soustraire, ne serait-ce que par la pensée.
Puis les hommes devinrent hardis. Les suivants attrapèrent les seins fermes d’Ava, triturant ses tétons jeunes et roses. Il n’y a avait qu’une règle à respecter. Ne jamais connaître le vagin de la jeune fille. Si l’anus était réservé à Péor et à son culte, le vagin, lui, devait rester immaculé de toute semence humaine.
Nombreux étaient ceux qui se doutaient que Zimri s’en délectait secrètement. Mais ils ignoraient certainement des vérités tenues secrètes du commun des fidèles. Le vagin d’une Offerte était intouchable et quiconque se détournait de la règle subirait la rage de Péor.
Bella avait un jour entendu une histoire. De la bouche de ses camarades. Celle d’une Offerte et d’un jeune homme qui s’étaient pris de passion. La jeune Offerte était tombée enceinte et nul n’avait plus jamais entendu parler du couple. Les jeunes filles, entre elles, avaient alors évoqué un bûcher et d’autres détails sordides auxquels Bella n’avait prêté attention.
La procession dans l’anus d’Ava se poursuivait et Bella observait son visage. Rouge de douleur, la mâchoire crispée, et les cris répétés de Zimri à chaque nouveau pénis qui s’introduisait. Cinquante avaient déjà éjaculé entre les fesses cambrées de la jeune fille et 50 autres patientaient toujours. Lorsque l’Enculeur éjacula, Zimri cria: “La bouche est à présent permise”. Cette fois, les jeunes hommes de la foule s’avancèrent et formèrent une nouvelle ligne devant Ava. Tous étaient de jeunes hommes de seize à dix huit ans.
Bella ne voyait plus Ava se faire sodomiser et elle se surprit à le regretter. Elle observa autour d’elle et vit la communauté monter au balcon du premier étage. Celui-ci surplombait la salle du temple et l’on pouvait y observer plus aisément. Se soumettant à cette petite décharge électrique qu’elle sentait dans le bas ventre, elle décida de grimper à son tour les marches et de trouver un meilleur point d’observation. De là haut, elle voyait désormais Ava embrochée par l’anus et étouffée par le membre viril d’un jeune homme fort développé. Une heure passa. Et lorsque tous les hommes eurent déchargé dans les orifices religieusement autorisés, la communauté chanta l’un des 127 psaumes de Péor.
Zimri se débarassa de son vêtement et tout le monde observa son corps noir majestueux. Son pénis bandé, d’une longueur inhumaine. Aussi large qu’un sexe de cheval. Il ne prit pas la peine d’enduire son membre de salive, l’anus de l’Offerte étant dilaté à l’extrême. Ava semblait avoir perdu conscience. Face contre table, elle ne bougeait plus. Respirait-elle encore ? Nul ne pouvait le dire. Les bras en croix, les seins écrasés par le bois, du sang ruisselant à l’intérieur des cuisses. Zimri se place derrière elle, et d’un coup entama une pénétration ininterrompue d’une dizaine de minutes. Il se délecta du corps désormais amorphe d’Ava. Elle ne bougeait plus. Ne remuant que sous les coups violents et bestiaux de Zimri. De ses mains, il écarta les fesses blanches de la jeune fille. Il trempa parfois son doigt dans le sang innocent et le passa sous son masque. Enfin, dans un dernier effort, il déchargea une quantité impressionnante de sperme dans l’anus ne put contenir qu’une petite portion. Le reste gicla sur le sol et se mélangea au sang d’Ava.
Satisfait, il se rhabilla et remonta sur son perchoir.
“L’Offerte a servi Péor. Que son cadavre nourrisse désormais Péor.”
Alors quatre des jeunes hommes qui avaient étouffé Ava de leur pénis s'avancèrent et saisirent les bras et les jambes de la jeune fille. Ils la soulevèrent et la transportèrent hors du temple, dehors, devant la statue de Péor. Alors que les restes d’Ava passaient devant Bella, cette dernière ne put détacher son regard de l’entrejambe de la jeune fille, recouvert de sperme et de sang. Elle ne pouvait se contrôler et sentit dans son entrejambe une décharge de courant qui lui fit trembler les genoux. Bella fourra sa main droite dans sa culotte, elle était trempée. Elle attrapa une poignée de poils et de l’index appuya sur son clitoris. Alors, pour la première fois de sa vie, elle éprouva une émotion intense qui traversa toutes les fibres de son corps. Elle posa la seule main qu’elle avait de libre sur le mur et se retint de crier. Cela dura longtemps, de très longues secondes, pendant lesquelles elle ne fut consciente de rien.
Avant de clore la soirée, Zimri annonça: “nous élirons, demain à l’aube, une nouvelle Offerte. Que Péor vous garde et que la nuit vous porte conseil”.
Dehors, le corps d’Ava reposait nu devant la statue de Péor, la cérémonie prit fin et chacun rentra chez soi.
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