Le cycliste 1

- Par l'auteur HDS Nico T -
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Le cycliste 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Le cycliste 1
En cette fin d'après midi d'un samedi ensoleillé, je revenais de faire un tour en forêt solognote, quand à un carrefour, j'ai été bloqué par un Gendarme. Il fallait laisser passer une course cycliste. J'ai pris mon mal en patience, j'ai garé la voiture sur le bas-côté et j'ai regardé les coureurs passer.
Oh j'aurais eu le temps mille fois de traverser mais la Gendarmerie bloquait énergiquement.
Les coureurs sont passés en plusieurs groupe, des jeunes mecs qu'on avait pas le temps de bien détailler. Il n'y avait que ces deux gendarmes qui n'étaient pas très avenants pour entamer la discussion.
Enfin, la voiture balai passe, saluant les Gendarmes, qui remontent dans leur fourgonnette et partent.
J'allais remonter dans ma voiture quand l'envie de pisser me prend. J'ai été soulagé le colosse en lui faisant prendre l'air pur de la forêt de Sologne. Dommage qu'il n'y avait personne pour mettre au bout.
J'allais remonter en voiture, quand j'entends du bruit sur la route et je vois arriver un cycliste au loin, qui a l'air d'aller vite car il se rapproche rapidement.
Je souris tout seul en pensant que la course en a oublié un.
Je le regarde passer, il file mais d'un seul coup il fait une embardée suivie d'un magnifique soleil pour retomber dans le fossé.

Heureusement que les fossés des forêts sont larges et pleins d'herbes et qu'il n'a pas plu depuis un moment.
Je fonce pour aider le mec à se relever en jetant un œil au vélo où la roue avant est bien voilée, tout semble tordu.
Le mec, avec son casque, est assis dans le fossé, me regarde un peu hébété.
-ça va ?
-je crois dit le mec en se palpant.
Il va pour se relever mais titube.
-ne bougez pas pour l'instant, reprenez vos esprits car pour un beau soleil c'était un beau soleil ! dis je avec le sourire.
-j'ai dû rouler dans un trou dit il en me fixant.
Il enlève son casque, libérant une belle chevelure blonde comme la mienne, et là je le regarde un peu mieux, des yeux bleus ciels, limpides, de beaux sourcils, de longs cils et la bouche, putain! à faire bander un eunuque.
-et mon vélo ? demande t-il.
-je crois que la roue avant est fichue.
-merde de merde! putain faut que je marche à pied maintenant.
-vous faites parti de la course qui vient de passer ?
-non non moi je fais ça pour faire du sport.
-ah, moi je préfère courir en forêt dis-je.
-y'a des trous aussi dit-il en riant.
-oui.

Je lui tends la main pour l'aider à sortir du fossé. C'est une main douce et chaude qui se réfugie dans la mienne. Je l'aide à remonter sur la chaussée, il regarde son vélo.
-oui! je me suis pas loupé.
-tout va bien, mal nul part ?
Il va pour marcher mais est tout courbaturé apparemment. Je passe un bras sous les siens et l'aide jusqu'à ma voiture.
-assis toi tu seras mieux, moi c'est Fabrice.
-moi c'est Timéo dit le beau gosse.
-alors t'habites où Timéo ?

Il m'indique son adresse.
-ça tombe bien on est dans la même ville et je rentrais chez moi alors on va mettre ton vélo dans le coffre et je te ramène chez toi, à moins que tu préfères que je t'emmène à l'hôpital pour des examens.
-oh je vais y passer des heures, non je pense que ça va. On verra bien demain matin, mais ça va te déranger quand même.
-bon si tu préfères rentrer chez toi à pied avec le vélo sur l'épaule moi ça me dérange pas! dis je sérieusement.

Il me regarde éberlué, se demandant si c'est du lard ou du cochon et je ne peux m'empêcher de rigoler.
-je crois que je suis con dit il.
-bah les idées ne sont peut être pas toutes en place encore. Tu fais souvent des soleils comme ça ?
-non heureusement.
J'ai démonté son vélo et l'ai rangé dans le coffre puis nous sommes partis en direction de chez lui.

Quand je l'avais aidé à marcher pour aller à ma voiture, je n'avais pas trop pensé au corps que je tenais dans mon bras, mais en conduisant ça me revenait, ce corps dur, musclé, chaud m'avait quand même troublé.
Il était assis à côté de moi, la tête sur l'appuie-tête, les yeux fermés. Je l'observais en douce et j'ai pensé j'espère qu'il va avoir des contusions, comme ça je lui mettrais de la pommade. Et rien que de penser à ça j'avais mon molosse qui commençait à se réveiller.
Sa tenue le moulait, et je voyais le dessin de son sexe enfin mon imagination me le faisait voir, des cuisses musclées, sa tenue arrivait mi cuisses.
Je connaissais la rue où il habitait, il m'a indiqué le numéro.
-tu peux entrer y'a une cour.
-t'habites chez tes parents ?
-non non j'ai loué un petit pavillon pas cher et je suis bien tout seul, ça permet de faire ce qu'on a envie.
J'ai été mettre son vélo dans son garage et nous sommes entrés chez lui. Il voulait absolument m'offrir un verre.
On s'est installé dans un petit salon, côte à côte et il a sorti deux bières.
-si ça te dérange pas de m'attendre, je vais me changer et prendre une douche ça va me faire du bien, j'en ai pas pour longtemps.

Je l'ai vu partir, ses petites fesses moulées dans sa tenue.
Le silence, puis l'eau qui coule. C'est vrai que ça devait faire du bien quand tu viens de prendre un tel gadin. L'eau s'arrête.
J'imagine le mec nu en train de s'essuyer, se regarder dans la glace et soudain, un cri.
-oh la vache! dit la voix de Timéo.
-ça va ? j'ai crié en me rapprochant de la douche, où la porte était ouverte et la buée sortait.
-je vais avoir un de ces bleus.
-il faut passer de la pommade, tu dois bien avoir ça.

Je m'avance dans l'entrée et regarde dans la salle de bains et c'est moi qui a failli tomber sur le cul.
Le mec tout nu, se regardait les fesses dans la glace, putain de beau mec.
Il me voit, me regarde, me montre ses fesses.
-tu vois… si ça se trouve demain je vais pas pouvoir m'asseoir.
-t'as rien à passer dessus.
Comme si j'existais pas il fouille dans un petit placard, sort différents tubes qu'il me tend. Je regarde.
-oh tout ça c'est ta mère qui te l'a donné dis je en riant.
-pourquoi ?
-parce que j'ai les mêmes, tiens ça! c'est impec pour éviter le maximum les bleus.

Il me tournait toujours le dos, relevant ses fesses. En fait l'hématome allait se former en haut des fesses à un endroit où c'est pas facile de se mettre quelque chose tout seul.
Il me regarde… on se regarde… il sourit.
-t'aurais pas un diplôme d'infirmier par hasard ?
-non dis je en rigolant, je suis jardinier paysagiste.
-ouais... ça n'a vraiment rien à voir, mais si je te demande de me passer la pommade en haut des fesses tu pourrais me faire ça ?
En blonds, on a rougi tous les deux.
-je pense dis je.

J'avais chaud quand il m'a tendu le tube, qu'il s'est tourné, s'appuyant sur le lavabo et me tend ses fesses comme s'il voulait se faire enculer le cycliste j'ai pensé de suite.
Je me suis mis à genoux derrière lui, j'ai fait coulé de la pommade en haut des fesses on voyait bien les rougeurs partout en haut des fesses et sur les fesses également qui commençaient à changer de couleurs.
-j'y vais! j'ai dit.
Il a frissonné quand ma main s'est posé sur le bas de ses reins, écartant la pommade et j'ai massé doucement pour que ça rentre bien… (la pommade! bande de vicieux!!)
Il ne disait rien, mais je trouvais qu'il tendait bien ses fesses le Timéo.
-tes fesses vont changer de couleurs demain si je ne passe pas de la pommade.
-eh bien vas y Fabrice on dirait que t'as fait ça toute ta vie, tes mains sont bien agréables.

En disant cela, il écarte un peu plus ses jambes, et j'aperçois ses couilles qui pendent. C'est pas fait pour calmer mes ardeurs tout ça d'autant plus qu'une main passe sur une fesse putain que c'est doux et ferme en même temps. Je crois que mes massages deviennent en fait des caresses et que je ne me contrôle plus vraiment. J'ai remis de la pommade sur les fesses et je masse les deux fesses avec mes deux mains, en profitant pour les écarter voir cette belle raie s'ouvrir un peu, voir les poils blonds, je masse plus durement, forçant ses fesses à s'ouvrir encore plus pour essayer de voir ce qui m'intéresse, son petit trou car les fesses se tendent encore, les couilles pendent.

J'irais bien passer une main entre les cuisses mais j'ose pas.
Les fesses sont sèches, y'a plus de crème quand Timéo d'un seul coup se retourne pour me présenter une belle queue en pleine érection, les mêmes poils blonds que moi entourent un sexe bien dressé, bien droit, le gland pas décalotté mais on voit la mouille qui veut sortir.
-et pour les grosseurs subites ? tu proposes quoi monsieur l'infirmier paysagiste ? dit Timéo en me regardant tout sourire.
-faut toujours faire dégonfler les grosseurs monsieur le cycliste.
-et il s'y prend comment un infirmier paysagiste ?
Sans rien dire, j'ai pris ses couilles d'une main sa hampe de l'autre, décalottant son gland, son beau gland tout humide au méat grand ouvert d'où coule des perles de mouille. J'ai caressé ce beau morceau de viande que j'allais déguster. Je me suis passé le gland sur les lèvres, le faisant frissonner, d'un coup de langue j'ai enlevé la mouille et entourer le gland de mes lèvres chaudes. J'ai fermé les yeux pour mieux déguster cette belle queue qui allait me donner plein de vitamines j'étais sûr.

J'ai senti ses mains se poser sur ma tête, lentement, posément me caressant les cheveux, les joues comme un aveugle qui veut savoir comment t'es fait. Ses doigts étaient doux et j'ai avalé sa queue au plus profond que je pouvais à m'étouffer avec cette bonne queue de blond.
C'est pas souvent que j'ai comme amant un blond et que je vois une toison comme la mienne, j'étais heureux en plus d'être tombé sur un beau mec!
Alors j'ai mis tout mon savoir dans la pipe, avalée, sucée, léchée, sa belle queue vivait dans ma bouche, sous ma langue elle avait bon goût et une mouille abondante. Plusieurs fois j'ai cru qu'il allait jouir. Ses couilles, serrées dans ma main semblaient se rétracter, j'attendais ma récompense, mais non il était long le garçon!
Et, enfin quand j'ai senti ses mains s'appuyer plus fort sur ma tête, son petit coup de reins pour s'enfoncer dans ma bouche encore plus loin, j'ai juste eu le temps de bien serrer mes lèvres sur la queue qu'elle tressautait dans ma bouche en giclant son premier envoi. Une giclée copieuse qui m'a empli la bouche et coulé dans ma gorge, les autres giclées ont suivi mais trop fournies me ressortaient des lèvres.

Il m'a libéré, pour se mettre à genoux devant moi, plongeant ses yeux dans les miens il est venu me lécher les lèvres, récupérant son jus et l'avaler.
Il a passé ses bras autour de mon cou, m'a attiré à lui et notre premier baiser fut magnifique, tendre, chaud, humide. Nos langues agiles ont fait connaissance doucement puis il n'arrêtait pas de me faire de petits bisous.
-ça c'est du remède dit il en rigolant.
Il passe sa main sur mon entre jambe.
-mais tu peux pas rester comme ça dit il lève toi.

Il est resté à genoux, m'a déshabillé et a sifflé devant ma queue, la prend en main, me regarde.
-c'est pas souvent que j'ai à m'occuper d'une belle queue de blond dit il en souriant avant d'avaler ma queue.
Ses lèvres m'ont décalotté et mon gland est parti à l'aventure dans cette nouvelle bouche et le propriétaire est un gourmand, car sans aucune halte, ma queue a bousculé la luette et commençait à prendre possession de sa gorge. J'ai cru qu'il allait s'étouffer dessus.
Me tirant les couilles dune main il s'est mis à me sucer comme un malade. J'ai adoré de suite ses lèvres et sa langue sur ma queue, sa main sur mes couilles et, excité comme j'étais il n'a pas fallu beaucoup de va-et-vient pour que je l'abreuve au fond de sa gorge. Les yeux fermés, il déglutissait et avalait tout ce qui sortait. Il a relâché son os, en le serrant entre ses lèvres.

Je me suis remis à genoux, le prenant par le menton.
-mais c'est un gourmand Timéo!
Il rigole en m'embrassant.
-on va la boire cette bière ?
On s'est rhabillé pour aller s'installer et boire la bière, parler de nous et le temps a défilé rapidement.
-tu restes dîner avec moi ? demande Timéo.
-faut que tu te reposes quand même.
-oui mais il faudra me remettre de la pommade pour cette nuit alors comme t'as commencé le traitement.
-ah ah toi tu as une idée derrière la tête.
-mais t'oserais pas laisser un pauvre infirme seul cette nuit! On sait jamais une rechute peut arriver dit Timéo avec des yeux qui transpiraient le sperme.
-s'il n'y a que ça je te borderais bien avant de partir dis je malicieusement.
-oh oui mais on sait jamais, tu ne peux pas rester dormir avec moi mon secouriste ?
-mon grand cœur me perdra dis je, mais il faut que je t'examine en détails, que je touche, que je palpe, que je vérifie tous les trous.

Il se colle à moi.
-pour ça il faut que ta grosse seringue soit en forme, donc il faut que je m'en occupe comme il faut si je veux que ta crème fasse le plus grand bien à mes belles petites fesses. Car tu les as aimé mes petites fesses Fabrice, putain j'ai jamais été si bien caressé et t'as essayé de les ouvrir coquin tu voulais voir mon petit trou. Tu voulais en faire quoi de mon petit trou, y mettre ta langue ? ta grosse seringue ?
-et toi ? tu préfères quoi ?
-moi ? dit Timéo ouvrant grand ses beaux yeux bleus… les deux!
-alors tu fais parti des voyous toi aussi!
-si tu savais.
-bon heureusement demain c'est dimanche.

Les avis des lecteurs

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Elle arrive

Histoire Erotique
quelle belle histoire, bien écrite, bien détaillée, sensuelle. j'ai bcp aimé et j'aimerais prendre des nouvelles des fesses de Timéo.. une suite...?



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